Congo : le ministre de l’Agriculture ouvre les ZAP

Les zones agricoles protégées (ZAP) de Ngoliba et de Mbouala sont destinées dans un premier temps à la culture de manioc.

 

Les (ZAP) de Ngoliba, dans le district de Louingui, et de Mbouala, dans celui de Louomo, département du Pool sont désormais ouvert. Destinées dans un premier temps à la culture de manioc, l’ouverture de ces espaces agricole a pour objectif le renforcement de la compétition agricole dans le département du Pool.

Les Zones Agricoles Protégées de Ngoliba et de Mbouala comptent respectivement 166 et 191 producteurs agricoles. Pour le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo, l’ouverture de la ZAP de Louingui permettra à cette communauté de participer activement au développement de la sous-préfecture. Et aussi pour inclure toutes les communautés afin de répondre aux besoins du producteur quel que soit son parcours.

Des coopératives ont reçu du ministre en charge de l’Agriculture un échantillon de kits agricoles pour booster leur production.

Congo : début des activités de la Zone agricole protégée de Louvakou

Le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo, a lancé officiellement, le 2 avril, les activités de la Zone agricole protégée (ZAP) de Louvakou.

 

Les activités de la Zone agricole protégée (ZAP) de Louvakou, ont été lancées dimanche 02 avril 2023. Sur un espace de plus de 100 hectares aménagés par les tracteurs du ministère de l’Agriculture, plusieurs cultures seront développées dont le maïs, le soja et le manioc. Les regroupements qui y évoluent ont reçu du matériel aratoire, des semences et des motopompes pour contribuer à l’augmentation de la production végétale en République du Congo.

Selon le ministre en charge de l’Agriculture, cette ZAP contribue au renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, du tissu économique ainsi qu’à la création des emplois en vue de réduire le chômage. « Nous développons les ZAP pour renforcer notre souveraineté alimentaire, parce que nous sommes très dépendants de l’extérieur. En dehors de ce que les producteurs vont nous aider à devenir de plus en plus autonomes, cela leur permet de se retrouver. Nous pouvons aujourd’hui considérer que l’ensemble de ces groupements sont des entreprises. En additionnant tous ces sites à travers le pays, nous allons contribuer à la diversification de l’économie puisque nous allons augmenter le poids du secteur agricole dans l’économie nationale », a déclaré Paul Valentin Ngobo.