Le sujet était au centre du point de presse animé vendredi 15 mars, par le Pr Richard Bileckot, inspecteur général de la santé.
Le secteur privé de la santé a besoin d’assainissement. C’est pour attirer l’attention des acteurs de ce secteur que le Pr Richard Bileckot, inspecteur général de la santé a animé un point de presse le vendredi 15 mars dernier au cabinet du ministère de la Santé et de la population à Brazzaville.
Au cours de cette rencontre, le Pr Richard Bileckot a parlé de la mise en place, cette année, d’un système de veille et d’alerte dans le but d’assainir le secteur de la Santé pour le bien-être sanitaire de la population.
« Nous avons identifié des structures qui offrent des soins de santé, ces structures pour certaines sont en règle et doivent s’efforcer dans le cadre sanitaire à offrir des soins de qualité, d’autres par contre exercent en toute illégalité et mettant même en danger la santé d’autrui lorsqu’il ne s’agit pas uniquement de but mercantile », a déclaré l’inspecteur général de la santé, dans cet extrait tiré de congomediatime.com.
Des sanctions s’en suivront pour ceux qui ne s’aligneront pas. « Ces sanctions vont des amendes jusqu’à la fermeture, nous allons faire appliquer la loi », a-t-il dit.
A cette rencontre étaient présents des responsables de l’Union nationale des opérateurs économiques du Congo (UNOC), de l’Ordre national des médecins, de l’Alliance du secteur privé de la santé ainsi que de la police administrative.