Congo : toujours pas de date pour le début des travaux de construction du plus grand barrage

D’après le porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla, les travaux débuteront prochainement, sans plus de précisions.

 

Le porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla, étaient face à la presse ce 14 avril 2025, dans le cadre de la quinzaine du gouvernement. Le ministre de la Communication et des médias a profité de la quinzaine pour annoncer que le début des travaux du barrage de Sounda n’interviendra pas immédiatement.

« Je crois que ces travaux ne manqueront pas de débuter dans les tous prochains temps. La science gouvernementale n’est pas une science exacte », a-t-il déclaré.

Initialement prévus en janvier 2025, les travaux de construction du barrage de Sounda, au sud du Congo, n’ont toujours pas commencé. Le Congo produit actuellement 720 mégawatts, dont une bonne partie se perd en raison de la mauvaise qualité du réseau. Le barrage de Sounda devrait produire 600 mégawatts supplémentaires pour un coût des travaux évalué à 1 300 milliards de FCFA.

Le ministre a reconnu la mauvaise qualité actuelle de l’alimentation énergétique. Ce qui nécessite la construction d’un nouveau barrage et la réforme du secteur dans son ensemble.

Congo : « Le gouvernement est à l’œuvre pour faciliter une reprise rapide des cours »

C’est une déclaration faite par le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Lézin Moungalla.

 

Le gouvernement congolais a tenu sa « Quinzaine » lundi 25 novembre 2024 le ministre de la Communication et des Médias, Porte-parole du Gouvernement, Thierry Lézin Moungalla, a donné une conférence de presse, le lundi 25 novembre 2024 à Brazzaville dans son Cabinet. Dans le cadre de la « Quinzaine du gouvernement », le ministre de la communication s’est adressé à la presse nationale et internationale.

Il est revenu sur quelques sujets qui font l’actualité depuis quelques temps en République du Congo. On cite entre autres la situation persistance de pénurie de carburant ; de la grève continue à l’université Marien Ngouabi ; la venue de la 5 G ; l’accord signé à la COP 29 et autres.

Pour ce qui est de la grève à l’université Marien Ngouabi, Thierry Lézin Moungalla a fait la promesse ferme et a rassuré que nullement cette année académique ne pourrait être blanche dans cette institution universitaire.

Pour le ministre, la situation à l’université Marien Ngouabi « C’est une préoccupation majeure, qui tient à cœur notre gouvernement. Rassurez-vous, il y a bien de négociations, il y a des discussions. Le caractère généralisé des revendications sociales rend difficile la solution ponctuelle de chacune des situations concernées.  Dans le cas de notre université, Marien Ngouabi, il y a là, une préoccupation plus importante puisqu’il s’agit de l’avenir de nos enfants, d’éviter un risque d’année blanche, cela serait un spectre intolérable pour un gouvernement. Nous espérons que le gouvernement et les organisations représentatives des enseignants trouveront une solution. Le gouvernement est à l’œuvre pour faciliter une reprise rapide des cours et des travaux universitaires au sein de l’Université Marien Ngouabi. Le gouvernement de la République n’acceptera jamais une année blanche à l’Université Marie Ngouabi ».

Congo : le gouvernement accuse la E2C de ne pas payer la redevance audiovisuelle

C’est ce qui ressort de l’échange que Thierry Moungalla, porte-parole du gouvernement a eu lundi 12 août, avec les journalistes.

 

Dans le cadre de la quinzaine du gouvernement, le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla a échangé avec les hommes de médias. Il s’est agit de passer en revue tous les sujets qui font l’actualité en République du Congo. L’un des sujets ayant meublé cet échange est la redevance audiovisuelle que devrait verser la société électrique du Congo (E2C).

Le porte-parole du gouvernement accuse la E2C de ne pas payer la redevance audiovisuelle (RAV) au secteur public. « La redevance audiovisuelle qui est collectée sur les factures E2C ne parvient pas au secteur public qui en est le principal destinataire et bénéficiaire. Je revendique la possibilité que nous percevions effectivement cette redevance audiovisuelle », a-t-il déclaré.

Notons que l’argent collecté par la E2C pour le paiement de la redevance audiovisuelle, est de 1 000 francs CFA sur chaque facture bimensuelle des consommateurs de courant. Cette RAV a été initiée depuis 2002 pour améliorer, un tant soit peu, les conditions de travail des médias, de la télévision publique singulièrement.