Congo : la CNTR valide son plan stratégique

C’est le résultat de trois jours de travaux de la Commission nationale de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques (CNTR).

 

La CNTR a organisé un atelier du 17 au 19 octobre, une rencontre en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). Au cours de cette rencontre, il a fallu trois jours pour permettre aux participants d’adopter les différents documents du plan stratégique 2025-2029.

L’atelier a permis la présentation des résultats préliminaires du rapport 2024 de la CNTR sur l’application du code de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques, ainsi que les principales leçons du diagnostic stratégique de cette institution. Il s’est également agi pour les participants de s’approprier la méthodologie de notation PEFA ; la vision de la CNTR ; la théorie de changement ; du cadre de mesure des performances et des résultats des administrations publiques dans l’application du code de transparence ; du cadre de gestion intégrée des risques et les défis de la mise en œuvre du plan d’actions triennal (2024-2026) de la CNTR.

L’application méthodique du Plan stratégique 2025-2029 devrait faire de la CNTR une institution de référence et d’excellence à terme. C’est du moins ce que pense le président du CNTR, Joseph Mana Fouafoua.

Congo : ouverture de l’atelier d’actualisation de l’avant-projet du plan stratégique

La rencontre qui se tient du 16 au 17 février 2022, a pour objectif de recueillir les analyses et les propositions des participants.

 

L’atelier est organisé en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) et la Banque mondiale. L’objectif est de recueillir les analyses et les propositions des participants en vue d’actualiser l’avant-projet du plan stratégique de la réforme de l’Etat. C’est le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso qui a procédé au lancement des travaux.

Il s’agit également de revisiter ce projet afin de l’accorder à la vision de l’Etat et aux orientations du président de la République ainsi qu’au programme d’action du gouvernement qui découle lui-même du Plan national de développement 2022-2026 et des engagements internationaux pris par le Congo.

Les partenaires du Congo, notamment le Pnud et la Banque mondiale, ont promis de l’accompagner dans ce projet.

Congo-Sida : nouveau plan de riposte contre la maladie

La république du Congo vient élaboré et adopté le plan stratégique national de riposte au VIH/sida 2019-2022 étendu à 2023.

 

Les cadres du ministère de la Santé ainsi que les partenaires publics et privés de la République du Congo en matière de lutte contre le sida et les infections sexuellement transmissibles ont élaboré et adopté, le 2 juin, le plan stratégique national de riposte au VIH/sida 2019-2022 étendu à 2023.

L’atelier organisé par le Conseil national de lutte contre le VIH/sida, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies (CNLSE), a permis aux participants de revoir les différentes stratégies contre la pandémie du sida en République du Congo.

Les grandes lignes qui composent ce document permettront au Congo  non seulement de renforcer sa stratégie de lutte, mais aussi et surtout de structurer cette lutte en privilégiant de diverses interventions dans le domaine de la prévention, de la recherche et de la prise en charge. Ce document servira, en réalité, de guide afin de suivre toutes les interventions sur le sida en République du Congo.

Selon le Dr Benjamin Atipo, directeur exécutif du CNLSE, cette pandémie reste généralisée en République du Congo. Depuis 2010, elle est quasi-stable malgré un taux de prévalence de 3,2 % chez les adultes.

« Cette pandémie réduit le gain d’espérance de vie, hypothèque la productivité et aliène une bonne partie des efforts de lutte contre la pauvreté, mettant ainsi en péril l’atteinte des objectifs de développement durable », a expliqué le directeur exécutif du CNLSE.

Pour sa part, le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, qui est également vice-président de la coordination nationale de lutte contre le sida, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies, a justifié la nécessité pour le Congo d’étendre sa stratégie de lutte par le fait que le sida continue à impacter négativement la vie de certains citoyens. Selon lui, l’exécution de ces stratégies contribue à l’atteinte du point trois des objectifs de développement durable qui garantit la bonne santé pour tous. Il a, par la même occasion, réitéré la volonté du gouvernement de lutter contre le VIH/sida et les infections sexuellement transmissibles.

Congo-lutte contre le Sida : nouveau plan de riposte contre la maladie

La république du Congo vient élaboré et adopté le plan stratégique national de riposte au VIH/sida 2019-2022 étendu à 2023.

 

Les cadres du ministère de la Santé ainsi que les partenaires publics et privés de la République du Congo en matière de lutte contre le sida et les infections sexuellement transmissibles ont élaboré et adopté, le 2 juin, le plan stratégique national de riposte au VIH/sida 2019-2022 étendu à 2023.

L’atelier organisé par le Conseil national de lutte contre le VIH/sida, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies (CNLSE), a permis aux participants de revoir les différentes stratégies contre la pandémie du sida en République du Congo.

Les grandes lignes qui composent ce document permettront au Congo  non seulement de renforcer sa stratégie de lutte, mais aussi et surtout de structurer cette lutte en privilégiant de diverses interventions dans le domaine de la prévention, de la recherche et de la prise en charge. Ce document servira, en réalité, de guide afin de suivre toutes les interventions sur le sida en République du Congo.

Selon le Dr Benjamin Atipo, directeur exécutif du CNLSE, cette pandémie reste généralisée en République du Congo. Depuis 2010, elle est quasi-stable malgré un taux de prévalence de 3,2 % chez les adultes.

« Cette pandémie réduit le gain d’espérance de vie, hypothèque la productivité et aliène une bonne partie des efforts de lutte contre la pauvreté, mettant ainsi en péril l’atteinte des objectifs de développement durable », a expliqué le directeur exécutif du CNLSE.

Pour sa part, le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, qui est également vice-président de la coordination nationale de lutte contre le sida, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies, a justifié la nécessité pour le Congo d’étendre sa stratégie de lutte par le fait que le sida continue à impacter négativement la vie de certains citoyens. Selon lui, l’exécution de ces stratégies contribue à l’atteinte du point trois des objectifs de développement durable qui garantit la bonne santé pour tous. Il a, par la même occasion, réitéré la volonté du gouvernement de lutter contre le VIH/sida et les infections sexuellement transmissibles.