Paris 2024 : l’esprit africain de la victoire, les leçons des Jeux olympiques et la voie du développement

Les Jeux olympiques de Paris 2024 ont été une fête sportive grandiose, où le monde entier a assisté aux exploits des meilleurs athlètes de la planète. Le bookmaker 1xBet vous propose d’évaluer les performances des athlètes africains aux Jeux olympiques, de discuter des perspectives du sport africain et de rêver un peu de l’avenir.

 

Les athlètes africains ont une fois de plus prouvé leur incroyable talent et leur force de caractère. Un certain nombre d’entre eux ont su s’imposer et laisser une impression inoubliable. Comme l’a fait remarquer Suo Chapele, journaliste sportive de renom et première femme commentatrice au Nigeria, « Bien que le contingent d’athlètes africains dans son ensemble n’ait pas récolté autant de médailles que prévu, quelques performances exceptionnelles resteront à jamais gravées dans nos mémoires. » En effet, des athlètes comme Letsile Tebogo (Botswana), Faith Kipyegon et Beatrice Chebet (Kenya), Imane Khelif (Algérie), Tatjana Smith (Afrique du Sud) et l’équipe masculine olympique du Maroc de football ont été les véritables héros de ces Jeux. Au total, le continent africain a remporté 39 médailles à Paris.

L’experte sportive estime que ce nombre de médailles pour l’Afrique a beaucoup à voir avec les problèmes administratifs qui « ont éclipsé ce qui aurait pu être une expérience passionnante pour de nombreux athlètes africains. » Malheureusement, nombre d’athlètes talentueux ont été confrontés à un manque de soutien au niveau national. Ces facteurs ont affecté les performances des équipes et des athlètes africains.

Malgré tous les défis auxquels les sportifs africains sont confrontés, leur esprit et leur détermination continuent d’être une source d’inspiration. Le bookmaker 1xBet admire les athlètes olympiques et suit leurs progrès de près. Quels que soient leurs résultats finaux, ils ont inscrit leur nom dans l’histoire du sport africain et consolidé le statut du continent en tant que région sportive de classe mondiale. Leurs succès montrent que, malgré les obstacles, l’Afrique est fière de ses athlètes et aspire à des exploits encore plus grands à l’avenir.

Les Jeux olympiques de Paris appartiennent déjà à l’histoire. Une histoire qu’il faut apprendre, en tirer des leçons et marcher en confiance vers l’avenir. Et cet avenir est très prometteur pour le continent africain. Le monde entier a les yeux rivés sur l’Égypte, qui envisage de se porter candidate à l’organisation des Jeux olympiques d’été en 2036 ou 2040. Si cette candidature est approuvée par le Comité international olympique et que le projet se concrétise, il s’agira d’un événement historique pour l’ensemble du continent.

Suo souligne que l’organisation des Jeux olympiques en Afrique offre de nombreuses opportunités, telles que l’augmentation du nombre de touristes, la stimulation de l’économie et du marché du travail, l’amélioration des infrastructures, la promotion du sport et d’un mode de vie sain auprès des jeunes et de la jeune génération. Il ne faut pas non plus oublier que l’organisation réussie des Jeux olympiques contribue au prestige et à la promotion de son propre « soft power ».

Selon Suo, bien que l’organisation des Jeux olympiques en Afrique puisse être un défi, « avec une planification minutieuse, la collaboration et l’innovation, il peut s’agir d’un succès révolutionnaire qui démontre le potentiel du continent et favorise la croissance économique, le développement des infrastructures et la reconnaissance mondiale. »

1xBet croit fermement que l’exemple de la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud montre sans équivoque que rien n’est impossible pour l’Afrique.

Congo-Jeux olympiques : les congolais hors de course

Les trois sportifs qui ont représenté le Congo en athlétisme et à la natation se sont arrêtés à l’étape des préliminaires.

 

Aucune médaille glanée par les athlètes congolais aux jeux olympique de Tokyo. Les trois sportifs qui ont représenté ce pays d’Afrique centrale n’ont rien remporté après leur prestation au cours de cette compétition.

En athlétisme, Natacha Ngoye Akamabi qui a couru le 100m et le sprinter Gilles Anthony Afoumba le 400m puis la nageuse Stefan Bellor Sangala n’ont pas pu obtenir une qualification pour les demi-finales.

En tête lors des deux premières séries du 100m féminin, le 30 juillet à Tokyo, avec un chrono de 11,47 puis 11,42, Natache Ngoye s’est vu son rêve et son dynamisme s’arrêter lors de la 3e série où elle a occupé la sixième place avec 11 secondes 52. « C’est ma première fois de participer à une telle compétition.  Au début,  j’ai donné le meilleur de moi-même, mais au fil des étapes le corps commençait à lâcher. La cause, c’est le manque des compétitions. On ne peut pas venir aux Jeux olympiques sans compétitions, même si tu es Usain Bolt, tu ne feras pas de miracles. J’étais vraiment fatiguée. Je demande au ministère des Sports de toujours faciliter la préparation des athlètes quelques temps avant la compétition. Je suis quand même contente car j’ai battu mon record », a signifié Natacha, après son élimination.

Son compatriote, Gilles Afoumba, n’a pas réussi de faire l’exploit, imitant ainsi Natacha en terminant 6e au terme de la course du 400m hommes lors de la 3e série avec un chrono de 46,03. L’échec était également au rendez-vous à Tokyo aquatics center où Stefan Bellor Sangala a terminé 7e (37,92) dans la catégorie de nage libre 50m féminin. Comme lors des précédentes éditions, le Congo sort bredouille des Jeux olympiques qui réunissent plus de 11.000 sportifs d’environ 206 pays du 23 juillet au 8 août à Tokyo, au Japon.