Congo-Inondations : le projet Kolendissa touchera plus de 230000 personnes

Le projet a été lancé mardi 10 décembre à Brazzaville par la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa.

 

Kolendissa a pour but de renforcer la résilience des communautés à haut risque face aux inondations dans le nord de la République du Congo. Il est question de soutenir les capacités nationales et la gestion communautaire des risques de catastrophe. Le projet concerne principalement les populations des départements de la Sangha, des Plateaux, de la Cuvette et de la Likouala qui sont confrontés aux inondations.

Financé à hauteur de 3,4, milliards de FCFA par le gouvernement américain, à travers l’ambassade des Etats-Unis par l’intermédiaire du Bureau de l’assistance humanitaire de l’Agence américaine pour le développement international (USAID). Ce budget sera réparti sur les trois secteurs suivants : les risques naturels et technologiques (NHTR) : 1,01 milliard de FCFA ; politiques et pratiques de réduction des risques de catastrophes (DRRPP) : 1,6 milliards de FCFA ; reprise économique et système de marché (ERMS) : 775,3 millions de FCFA.

Le projet Kolendissa touchera directement plus de 237566 personnes, dont 119496 femmes et 118 070 hommes. Selon les données collectées et analysées par l’Agence nationale de l’aviation civile (Anac) et de l’Institut de recherche en sciences exactes et Humaines, la République du Congo court le risque d’être confronté, une fois de plus, à une grave situation d’urgence humanitaire, à la suite des inondations enregistrées en cette fin d’année 2024 et avec une plus forte probabilité d’extension en premier trimestre de l’année 2025. C’est du moins ce qu’a indiqué Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa.

 

Congo : 200 micros projets vont sortir de l’informel

La formalisation des entreprises porteurs de ces projets va les aider à développer au mieux leurs activités.

 

Une liste des deux cents bénéficiaires du projet Telema en vue de la formalisation de leurs activités a été mise à la disposition de la ministre des Petites et Moyennes entreprises (PME) et de l’Artisanat, Jacqueline Lydia Mikolo. C’était lors du lancement officiel de la deuxième édition des journées portes ouvertes sur l’action sociale au Congo, le 13 novembre à Brazzaville présidé par la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa.

« A travers ce transfert, ces bénéficiaires cesseront d’évoluer dans le secteur informel. Parmi eux, 70 viennent de Brazzaville, 70 de Pointe-Noire, 60 du Pool. Il y a encore cinq cents bénéficiaires qui sont dans le processus d’accompagnement », a expliqué sur adiac-congo la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire.

Selon la ministre Jacqueline Lydia Mikolo, le ministère des PME et de l’Artisanat de prendre le relais dans le suivi de ces jeunes vulnérables porteurs de projets d’entreprise par la formalisation qui va les aider à développer au mieux leurs activités.

La formalisation de ces PME va permettre à ces porteurs de projets d’être en conformité avec le cadre légal en ayant notamment accès à un système de protection sociale pour le propriétaire de l’entreprise et ses employés.

Congo-Pointe-Noire : plus de 7000 ménages vulnérables reçoivent des allocations sociales

La ministre des Affaires sociales et de l’Action humanitaire, Irène Marie Cécile Mboukou Kimbatsa, a lancé officiellement, lundi 24 juin, le paiement des allocations sociales d’appoint (ASA).

 

Ce sont au total 7778 ménages qui vont recevoir la somme de 100 000 FCFA chacun via la banque postale dans la ville de Pointe-Noire. Cette cagnotte correspond aux allocations sociales d’appoint mis sur pied par le ministère des affaires sociale et de l’action humanitaire.

« Le gouvernent a mis à la disposition du ministère des Affaires sociales, de la solidarité et de l’action humanitaire une première tranche de 2 milliards de francs CFA en vue de prendre en charge 17 778 ménages vulnérables dont 10 à Brazzaville et 7 778 à Pointe-Noire.  Aux bénéficiaires de Pointe-Noire, j’espère de tout cœur que l’aide sociale octroyée va soulager tant soit peu leurs souffrances et je les invite à en faire bon usage », a déclaré Irène Marie Cécile Mboukou Kimbatsa lors du lancement de l’opération.

Le projet a pour objectif de fournir une aide d’urgence aux ménages touchés par la crise sanitaire et économique provoquée par la covid-19 et d’accroître l’accès des ménages ainsi que des jeunes vulnérables aux filets sociaux productifs.

Selon adiac-congo.com « Ce projet a pour, entre autres objectifs spécifiques, étendre le programme Lisungi pour le relèvement et le renforcement du système de protection sociale non constructif, assurer l’inclusion productive des jeunes vulnérables âgés de 18 à 35 ans. Le projet couvre les départements de Brazzaville, de Pointe-Noire, du Kouilou, du Niari, de la Lékoumou, du Pool, des Plateaux, de la Sangha et de la Likouala. Il vise à soutenir 40 000 ménages chroniquement pauvres, 8 000 personnes âgées et handicapées, 40 000 jeunes candidats à l’auto emploi et 5000 jeunes désirant apprendre un métier », a indiqué Antoine Regis Ngakegni, coordonnateur du projet de protection sociale et d’inclusion productive des jeunes.

Il est important de préciser que cette opération s’effectue après celle de Brazzaville, le 12 juin dernier.

Le Congo reçoit près de 100 millions de FCFA destinés aux victimes des inondations

Le protocole d’accord d’aide humanitaire a été signé entre l’ambassadrice de la Chine au Congo, Li Yan, et la ministre des Affaires sociales, de la solidarité et de l’action humanitaire, Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa.

 

Près de 100 millions de francs CFA, c’est la somme que vient de recevoir la République du Congo. C’est un don de la Chine destiné à accompagner le pays à faire face aux phénomènes d’inondations.

Lors de la signature du protocole d’accord d’aide humanitaire entre l’ambassadrice de la Chine au Congo, Li Yan et la ministre des Affaires sociales, Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa, la diplomate a indique que « C’est la troisième année consécutive que la Chine accorde au Congo, ce type d’aide humanitaire qui est une illustration de la solidarité entre nos deux peuples et la construction d’une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique ».

Près d’un million des congolais sont affectés par les dernières inondations dont plus de cinq cent mille ont besoin d’une assistance humanitaire d’urgence. C’est une information donnée par Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa qui précise que les crues de 2023 sont les plus importantes que le Congo ait connu depuis plus d’un demi-siècle.

Congo-Inondations : vers une aide humanitaire des partenaires

Le bilan des inondations en République du Congo fait état de de dix-sept morts, six disparus, 61842 ménages touchés, 346 000 hectares de terre inondées.

 

Le gouvernement congolais a déclaré l’état d’urgence sur l’ensemble du territoire national. La ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa a eu un échange mercredi 3 janvier, à Brazzaville avec les partenaires du Congo. Il s’est agi de présenter la situation à la suite des multiples dégâts causés par les inondations et de parler de l’aide humanitaire à apporter aux victimes.

La ministre Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa a énuméré les besoins dans le cadre d’une réponse humanitaire d’urgence en faveur des victimes de ces inondations qui sont dans les départements de la Likouala, de la Sangha, de la Cuvette, des Plateaux, de Brazzaville et de Pointe-Noire, du Niari et du Kouilou

Les partenaires, pour la plupart les agences du système des Nations unies et des ambassades de différents pays, ont promis de s’impliquer selon les modalités liées à leur fonctionnement sur les délais de décaissement des fonds.

Notons qu’en dehors de l’état d’urgence annoncé, le gouvernement entend débloquer plus de le gouvernement a débloqué plus de deux milliards FCFA pour faire face à la situation.

Pour rappel, les données provisoires évoquées par la ministre Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa à cette occasion font état de dix-sept morts, notamment dans les départements de la Likouala et de la Cuvette, six disparus, 61842 ménages touchés, 346 000 hectares de terre inondées, 361 villages, 36 quartiers des principales agglomérations.

Congo-drame du 4 mars : plus de 298 millions le coût de prise en charge

Ce montant comprend les frais de transport, de séjour hospitalier ainsi que la prise en charge des actes médicaux.

 

Deux cent quatre-vingt-dix millions trois cent soixante-douze mille FCFA (298 372.000 FCFA), c’est la montant global de prise en charge des victimes du drame du 4 mars 2012. Ce révélé par la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Irène Marie Cécile Mboukou-Kimbatsa. Cet argent est constitué des frais de transport, de séjour hospitalier ainsi que la prise en charge des actes médicaux.

Irène Marie Cécile Mboukou-Kimbatsa a dit avoir reçu les instructions du chef du gouvernement de recourir avec le ministère de la Santé au service d’une équipe d’experts médicaux assermentés en vue de procéder à une évaluation globale de l’état sanitaire des invalides.

Le rapport établi, à cet effet, indique que trente-trois patients souffrant d’une invalidité ont été identifiés et les conclusions des médecins évaluateurs ont établi quatre groupes d’invalides répartis ainsi qu’il suit : un premier groupe de sept patients à prendre en charge par les services de chirurgie classique et traumatologie et neurologique au Congo. Un deuxième groupe de cinq invalides à évacuer au Maroc pour des soins appropriés.

Un troisième groupe de dix-sept invalides à évacuer au Togo pour une prise en charge dans un centre orthopédique et enfin un quatrième groupe constitué de quatre invalides à transférer en France pour des soins adéquats.

Congo Terminal participe au séminaire des femmes du secteur portuaire et maritime africain

Congo Terminal a contribué du 30 mai au 1er juin 2022 à Pointe-Noire, au séminaire annuel tournant du réseau des femmes professionnelles maritimes et portuaires de l’Afrique de l’Ouest et du centre (RFPM/AOC), organe technique de l’Association de gestion des ports de l’Afrique de l’ouest et du centre (AGPAOC).

 

Du 30 mai au 1er juin 2022 à Pointe-Noire, Congo Terminal a contribué au séminaire annuel tournant du réseau des femmes professionnelles maritimes et portuaires de l’Afrique de l’Ouest et du centre (RFPM/AOC), organe technique de l’Association de gestion des ports de l’Afrique de l’ouest et du centre (AGPAOC). Près de 300 dames ont échangé sur le « système de management intégré : qualité, sûreté, santé, sécurité et environnement (QSSSE) ; un outil d’amélioration de la performance des ports de l’Afrique de l’ouest et du centre ». Elles se sont déplacées de tous bords pour l’évènement : Angola, Benin, Cameroun, Côte d’ivoire, Gambie, Sénégal, Burkina Faso, Liberia, Nigeria, Ghana, Togo, RDC, Guinée et Congo-Brazzaville.

Michèle BATAMIO, chef de service qualité et déléguée éthique Congo Terminal, y a présenté l’évolution de l’entreprise au travers de son Système de management avant, pendant et après la certification qualité ISO 901/2015 obtenue en 2017. Elle a également abordé les autres certifications axées sur la sécurité et la sûreté portuaires obtenues en 2017 et renouvelées plusieurs fois notamment le Pedestrian Free Yard et la conformité au code ISPS. La certification environnementale ISO 14001 et le projet Green en cours ont fait l’objet d’un exposé plus détaillé.

« Le système de management intégré est notre outil de référence pour améliorer nos performances et délivrer continuellement la meilleure qualité de service à nos clients » précise Sandrine WAMY, Directrice d’exploitation Congo Terminal.

Jean-Marc Thystère-Tchicaya, Ministre des Transports, de l’Aviation civile et de la Marine marchande, qui avait à ses côtés Irène Marie-Cécile Mboukou-Kimbatsa, Ministre des Affaires sociales et de l’Action humanitaire, a assuré les participantes de « la détermination du gouvernement à accompagner les initiatives lancées sur le plan régional et international en faveur de la promotion des femmes du secteur maritime et portuaire ».

L’Association de Gestion des Ports d’Afrique de l’Ouest et du Centre (AGPAOC) est une organisation économique intergouvernementale sous-régionale, composée de vingt-deux ports membres réguliers et de neuf membres associés, y compris les pays sans littoral et les organisations maritimes, tous situés le long de la côte ouest du continent Africain s’étendant de la Mauritanie à l’Angola. L’Association a été créée en 1972 à Freetown (Sierra Leone) par la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA). L’AGPAOC est un organe spécialisé de l’Organisation Maritime de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (OMAOC)

À propos de Congo Terminal.

Congo Terminal, concession de Bolloré Ports, est l’opérateur du terminal à conteneurs de Pointe Noire. L’entreprise est engagée dans un partenariat public-privé qui lui permet de répondre aux exigences de ses clients armateurs, importateurs ou exportateurs. Grâce à ses nombreux investissements, Congo Terminal participe à l’amélioration du pouvoir d’achat et contribue activement à la lutte contre la vie chère. Certifiée ISO 9001/2015, ISPS (sûreté) et Pedestrian Free Yard (HSE), l’entreprise dispose d’équipements et de technologies de pointe dont le système d’exploitation Navis 4 et bénéficie de la forte expérience portuaire du réseau Bolloré Ports. Congo Terminal emploie près de 900 collaborateurs congolais et mène des actions solidaires en faveur de la jeunesse, de la protection de l’environnement
et de l’éducation.

www.congoterminal.net