Congo : Brazzaville abrite réunion du Comité de contrôle des navires par l’Etat du port du MoU d’Abuja

Le lancement des travaux des experts a été effectué mardi 10 septembre par le ministre congolais des Transports, de l’Aviation Civile et de la Marine Marchande, Honoré Sayi.

 

Pendant trois jours, le travail des experts sera reparti en trois volets.  Du 10 au 12 septembre, les experts vont peaufiner les textes pour un meilleur fonctionnement du MoU d’Abuja; le 12 septembre, ce sera la célébration du 25e anniversaire de la signature du Mémorandum, puis le 13 septembre 2024, la tenue de la Conférence ministérielle.

Notons que le mémorandum qui avait été signé le 22 octobre 1999 à Abuja, en République Fédérale du Nigéria, est un protocole entre les administrations de la Marine Marchande de la région de l’Ouest et du Centre. A sa date de signature, 16 pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre avaient adhéré, et au fur et à mesure, il y a eu d’autres adhésions, dont celle du Congo, le 16 novembre 2001.

A noter que le MoU d’Abuja regroupe 22 Etats riverains de la côte Atlantique, de l’Ouest du Continent, c’est-à-dire, de la Mauritanie, en Afrique du Sud.

Transport aérien : vers la reprise des vols directs Brazzaville-Bangui

Le sujet a été au centre des échanges lundi 19 août, entre le ministre congolais des Transports, Honoré Sayi, et son homologue centrafricain chargé de la Promotion du secteur privé, Jean Paul Ngate.

 

Aucun vol direct ne relie la République du Congo et la Centrafrique. La liaison entre les deux pays avait été suspendue depuis la crise sanitaire de covid-19. Pour faire 1h30 de vol entre Bangui et Brazzaville, il faut obligatoirement faire une escale soit en Afrique de l’Est ou alors en Afrique de l’Ouest. Mais encore, il faut débourser entre 300 000 et 350 000 FCFA pour une billet de vol aller simple. Une situation difficile que les autorités des deux pays entrevoient de rouvrir la liaison aérienne entre les capitales Brazzaville et Bangui.

Le ministre congolais des Transports, Honoré Sayi a eu un tête-à-tête lundi 19 août avec le ministre centrafricain chargé de la Promotion du secteur privé, Jean Paul Ngate. Le sujet à l’ordre du jour, les possibilités de rouvrir la liaison entre leurs deux pays. Les deux personnalités ont exprimé leur engagement d’accélérer le processus de réouverture du pont aérien. Ils sont tout de même conscients qu’ils seront certainement butés à de nombreuses contraintes notamment économiques.

Congo-Sûreté de l’aviation civile : un audit annoncé

Les Léopards viennent à bout des Pharaons après des prolongations et d’une longue séance de tirs au but.

 

Le Comité national de sûreté de l’aviation civile vient de tenir sa session ordinaire. Au cours de celle-ci, le ministre des Transports, de l’Aviation civile et de la Marine marchande, Honoré Sayi a annoncé que le Congo fera l’objet d’un audit de sûreté par l’organisation de l’aviation civile internationale. Même s’il n’y a pas de précisions sur la date, on retient après son annonce que ça se fera dans un avenir proche. Honoré Sayi appelle toutes les entités concernées à se a apporter des améliorations aux systèmes de supervision de la sûreté de l’aviation civile congolaise.

« Il faut se préparer à accueillir cette mission avec plus d’assurance afin que les résultats de celle-ci donnent la réelle mesure des efforts fournis », a-t-il fait savoir.

Le 14 juillet 2023, le Comité national de sûreté de l’aviation civile avait tenu sa session. Au cours de celle-ci, plusieurs amendements aux programmes nationaux relatifs à la sûreté avaient été adoptés. Pour lui, « A travers tous ces documents, le Congo s’est engagé dans un processus devant se traduire par les actions concrètes en termes de formation, de contrôle qualité, d’acquisition et de maintenance des équipements de sûreté »

Chemin de fer Congo Océan : vers la reprise du transport ferroviaire

C’est ce qui ressort de la visite de travail à Pointe-Noire du ministre des Transports, de l’Aviation civile et de la Marine marchande, Honoré Sayi le 3 janvier 2024.

 

Le ministre Honoré Sayi a effectué une visite de travail mercredi 03 janvier, à Pointe-Noire. Il a rencontré les travailleurs du Chemin de fer Congo Océan (CFCO). Pendant les moments d’échange, Honoré Sayi, a exhorté les travailleurs du CFCO à reprendre le trafic ferroviaire dans les meilleurs délais.

« Nous avons envisagé la reprise des transports ferroviaires dans ses axes y compris le train Air-Pool et le train marchandises, le 28 décembre, pour l’un, et le 26 janvier, pour l’autre. Mais pour des raisons techniques, nous sommes au-delà de ce qui était nos prévisions et nos estimations. Toutefois, je demande à la direction générale du CFCO ainsi qu’à son secrétariat général de travailler davantage et de faire en sorte que l’on ne soit pas dans les schémas habituels où, en face d’une difficulté, qu’on dise qu’on ne peut pas avancer ou parce qu’il n’y a pas de moyens. Une société peut créer des moyens si elle ne les a pas. Elle peut travailler avec le moyen venant des partenaires, à l’instar des opérateurs économiques qui ont apporté des financements qui permettent aujourd’hui au CFCO de réparer les wagons, quitte à les amortir au fur et à mesure du transport accompli », a dit le ministre des Transports.

Le ministre Honoré Sayi se préoccupe aussi de la situation du Centre de formation et d’apprentissage du CFCO, dont l’ouverture tarde toujours. « Il y a un an lors des visites, j’avais dit que le centre d’apprentissage soit rouvert non pas seulement pour utiliser la jeunesse comme le veut le président de la République, mais pour faire aussi de telle sorte que le capital que nous avons avec tous ceux qui vont à la retraite, qui sont possesseurs d’un certain savoir, qu’ils continuent à être utiles et qu’ils transmettent ce qu’ils ont eu durant leur carrière à la jeunesse qui viendra travailler », a rappelé le ministre. « Le Centre de formation est aussi le lieu où l’on peut montrer, au-delà de la prescription du temps pour travailler, qu’on peut être utile, qu’on peut accompagner les nouveaux apprenants et préparer ainsi la relève », a-t-il poursuivi.

Notons également, le ministre Honoré Sayi a demandé que le trafic Mont-Belo-Mbinda soit rouvert d’ici au mois de février.

Congo : bientôt les permis et les cartes grises biométriques

Le Système d’uniformatisation des plaques d’immatriculation et de lecture automatique (Supila) des véhicules a été mis en service, le 16 juin, à Brazzaville.

 

Le ministre des Transports, de l’Aviation civile et de la Marine marchande, Honoré Sayi a lancé le 16 juin dernier le projet Supila. Le nouvel outil qui va produire les permis et cartes grises biométriques a pour objectif de lutter contre la fraude et les accidents de la route.

Le projet Supila apporte un dispositif à la pointe de la technologie, afin d’éradiquer la fraude et d’assurer la traçabilité des automobilistes. Ce nouveau dispositif répond aux normes internationales, car les informations sur les permis et cartes grises ainsi que sur les automobilistes seront stockées dans une base de données sécurisée.

La réforme engagée par les autorités, d’après le ministre Honoré Sayi, vise à répondre aux nombreux défis du secteur de transport routier. Le pays ne disposait ni d’un système informatique sécurisé pour la gestion des données des transports routiers, ni de celui d’archivage électronique fiable et sécurisé. La circulation est envahie de faux permis de conduire et la police routière a de la peine à tracer les automobilistes contrevenants aux normes de la circulation.

Avec le projet Supila, les pouvoirs publics comptent assurer un traitement diligent des actes administratifs de circulation routière, en vue de garantir un meilleur contrôle des usagers et une saisine méthodique des archives.

Le système informatisé sera constitué d’un progiciel qui met en exergue des éléments techniques sur la carte à puce dédiée au permis de conduire biométrique et à la carte grise sécurisée. La biométrie va harmoniser les éléments sur les armoiries de la République, l’identité et la photo du titulaire, la signature de l’autorité compétente et le numéro de permis.

Congo : l’Upads lève la suspension Honoré Sayi

Cette décision a été prise à l’occasion de la clôture des travaux de la 4ème session du bureau de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads).

 

Honoré Sayi a été réhabilité au sein de l’UPADS. C’était dimanche 13 mars de la clôture des travaux de la 4ème session du bureau politique de ce parti de l’opposition, que la sanction du ministre de l’Energie et de l’hydraulique a été levée.

Les résultats sanctionnant le vote se présentent comme suit : 169 voix ont voté pour; 08 voix contre et  29 voix absentes. Pour le premier secrétaire de l’Upads ce vote est un symbole de la démocratie au sein du parti qu’il dirige.

« Il ne s’agit pas d’une simple levée de sanction, mais notre capacité de l’assumer. Le plus important c’est de voir ce que nous sommes et de ce que nous voulons être demain, et le vote qui a majoritairement milité en faveur de la levée de la sanction est l’expression de la démocratie en notre sein », a déclaré Pascal Tsaty-Mabiala.

Notons que L’Upads se prépare pour les prochaines élections législatives et locales.

Congo : Honoré Sayi demande l’amélioration de la desserte en eau

Le ministre de l’Énergie et de l’hydraulique Honoré Sayi a fait cette demande vendredi 25 février 2022 à Brazzaville.

 

Le ministre de l’Énergie et de l’hydraulique Honoré Sayi a déclaré le 25 février à Brazzaville que les cadres et les ingénieurs de la congolaise des eaux devraient produire dans un bref délai un rapport technique des suggestions qui permettront d’améliorer la qualité et la desserte en eau au Congo.

« Aux ingénieurs, nous demandons de nous produire une réflexion technique en lien avec la science de l’eau, en commençant par faire l’état de lieu, et des projections qui peuvent apporter satisfaction pour régler les questions de l’eau »   a indiqué le ministre Honoré Sayi lors de la Communication devant les directeurs départementaux, centraux et cadre de La congolaise des eaux (LCDE).

Selon lui, les ingénieurs devraient être capables de briser les goulots d’étranglements dans les zones situées en altitude, afin de faire passer le réseau hydraulique dans ces quartiers. Aussi s’est-il interrogé sur l’incapacité de la LCDE à satisfaire les besoins de près de 5 millions de la population en eau.

Notons que La Congolaise des eaux compte 250 milles abonnés. Celle-ci fait face à plusieurs difficultés qui enfreignent  au fonctionnement efficient de cette entreprise.

Congo : Honoré Sayi revient sur les causes de la pénurie d’eau à Brazzaville

Le ministre de l’Energie et de l’Hydraulique évoque que les causes endogène et exogènes sont à l’origine du manque d’eau dans la capitale congolaise.

 

Interpellé récemment par les députés au cours de la séance de questions orales au gouvernement avec débat, sur les difficultés rencontrées actuellement dans la fourniture en eau potable dans la ville capitale, le ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, Honoré Sayi, a évoqué des causes endogènes et exogènes.

Sur le plan interne, le ministre a épinglé le Projet d’extension en zones périphériques et de renforcement du service public d’eau potable à Brazzaville (PEPS) comme étant l’une des causes principales de perturbations de la desserte d’eau dans la ville. Il a aussi évoqué la vétusté du réseau de distribution existant dans les vieux quartiers de la ville datant de 67 ans avec des canalisations en acier galvanisé et en fontes grises, à l’origine de la dégradation de la qualité de l’eau distribuée, bien qu’elle soit sortie potable de l’usine. Les difficultés d’approvisionnement en pièces dans le cadre des équipements de production et de distribution ; la mauvaise situation financière de la société opératrice sont autant des problèmes que rencontre La Congolaise des eaux (LCDE).

« En effet, la structure financière de la LCDE est déficitaire pour faire face aux différentes contraintes d’exploitation.  Cette situation est liée à plusieurs facteurs dont les tarifs et le non-paiement par l’Etat de ses factures », a expliqué Honoré Sayi.

S’agissant des causes exogènes, il a cité une alimentation en électricité très intermittente. « Nous savons tous que pour faire un pompage d’eau, il faut environ 7 h continues de distribution d’électricité sur les usines. Quand il n’y en a pas, en raison de la multitude des ruptures que nous avons constatées, il ne peut y avoir de l’eau », a-t-il répondu.

Les autres causes étant le ravinement érosif dans les quartiers périphériques qui met les canalisations à nu et les expose à des destructions surtout lors des passages des véhicules lourds ou par des actes inciviques de certains citoyens ; le défi majeur environnemental constitué actuellement par l’engorgement des prises d’eau des usines par les dépôts de sable  et autres déchets solides chargés  par les cours d’eau au Djoué et à Djiri. A cela, s’ajoute la forte dégradation de la qualité de l’eau brut suite aux pluies diluviennes occasionnant ainsi des arrêts techniques de production.

Concernant les solutions envisagées, le ministre a annoncé que la ville de Brazzaville bénéficie actuellement, dans le cadre du projet PEPS, de la pose, du renouvellement, de la densification et de l’intensification de plus de 500 km de canalisation dans les quartiers périphériques. Les zones impactées sont Mayanga, Madibou, Mfilou, Sadelmi, Moukondo, Nkombo, Massengo, Académie…Le gouvernement compte aussi sur la réhabilitation en cours de l’ancienne usine de Djoué qui date de 1954.

« Plus de 20 000 nouveaux branchements sont déjà installés chez les usagers dans la ville et la LCDE n’attend plus que le passage des bénéficiaires de ce projet auprès de ses agences pour les souscriptions des abonnements. Par ailleurs, le schéma directeur de l’eau préconise la construction pour le captage d’eau en amont des rivières Djoué et Loua dans la partie sud de Brazzaville », a conclu Honoré Sayi.

Congo : de nouveaux barrages pour favoriser la vente de l’électricité

Le ministre congolais de l’Energie et de l’hydraulique, Honoré Sayi, a exprimé la nécessité de construire plusieurs barrages hydroélectriques pour vendre l’électricité en Afrique centrale.

 

La République du Congo envisage de vendre l’électricité en Afrique Centrale. Le ministre de l’Energie et de l’hydraulique, Honoré Sayi, s’est exprimé récemment à Brazzaville sur la question. Pour lui, il est nécessaire de construire plusieurs barrages hydroélectriques dans le pays pour vendre l’électricité à d’autres pays de la sous-région.

«Nous pouvons, grâce à notre coût du kilowatt/heure le plus bas, réussir à faire de telle sorte que le Congo soit le plus grand vendeur d’électricité en Afrique centrale. Il y a onze États qui partagent avec notre pays ce marché commun. L’effort que le pays peut faire, au lieu de parler seulement du pétrole, est de construire des barrages hydroélectriques », a déclaré le ministre Honoré Sayi.

Selon Honoré Sayi, le Congo peut produire plus de 6 000 mégawatts auxquels s’ajoutent entre autres la construction de six barrages à sec en partant de Brazzaville jusqu’à Boko, dans le département du Pool (sud). Chaque barrage pourra être doté d’une capacité minimale de 500 mégawatts.

Congo : Honoré Sayi suspendu de l’UPADS

Une sanction de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale arrive après la nomination d’Honoré Sayi au poste de ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique.

 

L’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS, première formation d’opposition) a suspendu de ses instances dirigeantes son président du groupe parlementaire à l’Assemblée nationale. Honoré Sayi a été nommé ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique. Il a accepté sa sanction et promet de revenir « à la maison » une fois sa mission de servir la République terminée.

Au siège de l’UPADS la réunion ayant abouti aux sanctions prononcées contre Honoré Sayi s’est tenue dans une atmosphère détendue, selon un participant.

Présent, Honoré Sayi lui-même n’a exprimé aucun remord. Il juge « normale » la suspension dont il écope.

« Que personne ne soit ému. C’est totalement régulier que j’appelle toutes les forces du pays à comprendre qu’un parti qui se respecte doit prononcer ces sanctions. Et, pour respecter également les prescrits de la République, il faut bien que j’aie des coudées franches, les mains libres parce qu’on ne peut pas servir deux maîtres à la fois. Je vais donc me consacrer au service de la République et je prends congé de mon parti », a-t-il déclaré.

A-t-il été consulté avant sa nomination ? Honoré Sayi pense que la question ne se pose plus en ces termes. Il va diriger le ministère de l’Énergie et de l’Eau. Deux denrées servies par intermittences, notamment dans les grandes villes de Brazzaville et de Pointe-Noire. Les Congolais l’attendent au tournant et il promet de relever le défi.

« Nous allons travailler pour cela. Qu’est-ce qui vous dit que l’impossible est là », a dit Honoré Sayi.

À la tête du groupe parlementaire de l’UPADS, il a été remplacé par Jeremy Lissouba, fils de Pascal Lissouba, fondateur de cette formation.

Congo-UPADS : Honoré Sayi sera écouté par le parti ce mardi 18 mai

Le porte-parole de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), Honoré Sayi vient de faire son entrée dans le nouveau gouvernement.

 

Honoré Sayi est la nouveau ministre de l’énergie et de l’hydraulique en République du Congo. Il a été nommé dans le récent gouvernement formé par le Nouveau Premier ministre, Anatole Collinet Makosso.

La nomination du porte-parole de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), Honoré Sayi, semble mal passer au sein de la première formation politique de l’opposition congolaise.

Réuni en séance extraordinaire le 16 mai à Brazzaville, le secrétariat national de l’UPADS s’est dit « surpris par cette nomination annoncée par les médias ». Il a décidé « d’écouter le camarade Honoré Sayi absent à Brazzaville, pour des amples informations ». C’est du moins ce qu’on peut lire dans un communiqué rendu public à l’issue de cette rencontre.

Le nouveau ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique sera donc écouté ce 18 mai par le secrétariat national de l’UPADS.

Congo : Onze personnalités font leur entrée dans le nouveau gouvernement

Denis Christel Sassou-Nguesso, le fils du chef de l’Etat, il hérite d’un portefeuille fraîchement créé pour cette occasion.

 

Le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso a formé son équipe gouvernementale. Un gouvernement qui est arrivé trois jours après sa nomination. On remarque l’entrée de onze personnalités dans cette équipe notamment celle Denis Christel Sassou-Nguesso. Fils du chef de l’Etat. Celui-ci, celui-ci est le ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé, un portefeuille créé pour l’occasion. Ancien député, Denis Christel Sassou-Nguesso a été cadre dirigeant à la société nationale pétrolière congolaise, la SNPC.

Une autre entrée remarquable c’est bien celle d’Honoré Sayi, député et président du groupe parlementaire d’opposition de l’UPADS à l’Assemblée nationale. Enseignant en philosophie, il présidait le groupe parlementaire de l’UPADS, le premier parti d’opposition au Congo. Il est nommé ministre de l’Energie et de l’Hydraulique.

Rigobert Roger Andély hérite du ministère des Finances et du Budget.  Ce cadre de banque  avait déjà occupé ces fonctions, entre 2002 et 2005.

Notons que sept personnalités ont été remerciées ; au nombre desquelles Henri Djombo qui a été ministre sans discontinuer depuis 1997.