Initialement prévue du 23 au 24 septembre, la 2e édition de la Convention internationale Lisanga se tiendra finalement du 7 au 8 septembre.
L’information a été donnée le 27 août, par Sylvestre Didier Mavouenzela et Christian Massamba, respectivement président et chargé de la communication de la Chambre de commerce, d’industrie, d’agriculture et des métiers (CCIAM) de la ville océane. Cette 2e édition sera couplée à la 5e édition du Forum de l’entrepreneuriat. Ce rendez-vous économique regroupera des dirigeants d’entreprises des pays d’Afrique et d’ailleurs.
Comme justificatif du changement de date, Christian Massamba a expliqué : «Nous avions initialement trois évènements à organiser ce mois. Il y a la Convention Lisanga, le Forum de l’entrepreneuriat et la mission des hommes d’affaires belges. Nous avons décidé de les coupler à Lisanga pour donner à ce forum une dimension plus importante», explique Christian Massamba, pour justifier le changement de date de l’évènement.
«Nous avions initialement trois évènements à organiser ce mois. Il y a la Convention Lisanga, le Forum de l’entrepreneuriat et la mission des hommes d’affaires belges. Nous avons décidé de les coupler à Lisanga pour donner à ce forum une dimension plus importante».
La convention Lisanga 2019 aura pour particularité la présence des hommes d’affaires belge au Congo.
En marge de la Convention se tiendra la 5e édition du Forum de l’entrepreneuriat qui aura pour thème «Comment promouvoir le made in Congo dans le secteur de l’agroalimentaire». Des ateliers sur la communication sur le made in Congo et sur la mise en norme des exploitations seront organisés.
Les inscriptions à la Convention Lisanga se font uniquement en ligne (www.lisanga.cciampnr.com) et que les secteurs d’activités concernés à cette édition de Lisanga sont l’agroalimentaire, le bois, l’environnement, le traitement des déchets, l’énergie, la pêche, l’agriculture, le numérique, la santé, l’industrie et autres. Pour ce qui est du Forum de l’entrepreneuriat, les inscriptions se font à la Chambre de commerce.