Congo : une formation sur la gestion des conflits en milieu scolaire

L’Organisation non gouvernementale (ONG) dénommée « Viens et vois » organise, du 15 au 17 novembre, une formation sur la gestion des conflits en milieu scolaire.

 

L’objectif est d’intégrer les acquis du cours de gestion des projets liés à la sensibilisation aux conflits, au fonctionnement du projet de prévention contre l’exploitation sexuelle, les abus et le harcèlement. La formation vise à former les formateurs en intégrant des modules spécifiques de gestion des conflits dans leur formation afin d’identifier les signes précoces de tension ou d’abus ainsi que de renforcer le système de plaintes à travers la mise en place d’un mécanisme de plaintes pour traiter les incidents liés à l’exploitation.

Pendant trois jours, les enseignements seront donnés en atelier sur plusieurs thèmes avec divers facilitateurs. La communication sur « La gestion des conflits » sera développée par le psychologue Kaya Boufala. Pour l’orateur, l’objectif est de familiariser les formateurs avec des notions et principes de sensibilité aux conflits, les causes courantes des conflits et les différents mécanismes de résolution de conflits.

La rencontre s’inscrit dans le cadre du projet de prévention contre l’exploitation sexuelle, les abus et le harcèlement. Le projet consiste à sensibiliser les élèves, les membres de l’organisation « Viens et vois » et tout le personnel enseignant sur les cas de conflits. Au total, trente participants ont été sélectionnés selon les critères de choix. Parmi eux figurent le personnel enseignant, le personnel éducatif, les élèves, les représentants de la Croix bleue internationale, les membres de l’organisation Viens et vois ainsi que les parents d’élèves.

Congo : une formation sur la gestion de la faune ouverte à Brazzaville

Une trentaine d’acteurs fauniques participent à une session de formation qui va durer trois jours dans la capitale politique.

 

Des experts, acteurs fauniques et conservateurs de la biodiversité au Congo ont entamé, le 28 octobre, à Brazzaville une formation de trois jours sur la faune. Organisée dans le cadre du projet CAAPP-Faune, il sera question pour les participants pendant les trois jours de formation de réactualiser leurs connaissances techniques dans la gestion de la faune sauvage et la conservation des écosystèmes forestiers.

Ils bénéficieront également des pratiques plus efficientes et adaptées en matière de conservation de la faune et de la protection des écosystèmes forestiers. Et aussi des méthodes d’inventaires et de suivi de la faune sauvage adaptées au contexte des concessions forestières.

Des thématiques qui seront développées porteront entre autres sur la Technique transect distance sampling ; Technique ARTS ; Technique pièges photographiques ; Technique capteurs acoustiques ; Technique ADN environnement et Outils FauneFac et AurèCam.

Congo : une formation spéciale pour des techniciens de huit aéroports

Une vingtaine de techniciens triés dans huit aéroports de l’espace Airports council international africa (ACI-Africa) participent à la session de formation à Brazzaville.

 

La capitale congolaise abrite une formation spéciale au profit des techniciens africains, en vue de renforcer leurs compétences opérationnelles sur l’audit de sécurité aéroportuaire. C’est une vingtaine de techniciens triés dans huit aéroports de l’espace ACI Afrique et venus de cinq pays qui y participent.

La formation a été lancée lundi 14 octobre, par la société Airports council international africa (ACI-Africa) avec l’appui d’Aérco (Aéroports du Congo). Treize thématiques y seront développées par des experts. Celles-ci portent, entre autres, sur l’inspection des travaux côté piste ; l’initiation et suppression des obstacles ; aides visuelles pour signaler un obstacle ; aides visuelles à la navigation-feux ; aides visuelles à la navigation-panneaux de signalisation et protection des emplacements des aides de navigation.

Cette session de formation placée sous l’égide du directeur général d’Aérco, Marcellus Boniface Bongho va se clôturer vendredi 18 octobre 2024.

Congo : 100 jeunes en formation à travers le projet « Eco classe 2024 »

L’initiative vise à favoriser la transition vers une économie à faible émission de carbone, à stimuler l’innovation technologique et promouvoir la création d’emplois verts.

 

Plus de 100 jeunes recevront une formation à travers le projet « Eco classe 2024 ». Cette formation gratuite sur l’économie verte est une initiative de l’ONG Eveil d’Afrique. Elle vise la rechercher d’un équilibre entre le développement économique, la protection de l’environnement et le bien-être à long terme de la société grâce à l’utilisation de technologies propres et des pratiques durables. Il sera question de stimuler l’innovation technologique et promouvoir la création d’emplois verts.

« Nous nous focalisons sur les questions de conception des projets, l’agriculture climato-intelligente, le recyclage et la valorisation des déchets. Nous ajoutons à la formation la sensibilisation à l’écocitoyen pour permettre aux jeunes d’être des acteurs engagés », a indiqué Ugain Kaya Mikala, président de l’ONG Eveil d’Afrique

La présentatrice de l’émission Alinéa, Aline France Etokabeka a annoncé qu’elle va accompagner le projet « Eco classe 2024 » à travers son émission pour une plus grande portée.

« A l’heure où l’on parle du changement climatique, il est important d’apprendre aux jeunes de protéger l’environnement, de connaître les enjeux du développement durable et d’orienter leurs ambitions professionnelles. Passionner des questions environnementales, j’entends personnellement apporter ma pierre à l’édifice, en faisant la promotion de leurs projets à travers les médias, notamment dans l’émission Alinéa, aussi les accompagner via des formations professionnelles pour affiner leurs compétences », a fait savoir, Aline France Etokabeka.

La formation gratuite de plus 100 jeunes sur l’économie verte, initiée par l’organisation Eveil d’Afrique, prendra fin le 6 septembre 2024.

Congo : des cadres de l’AEMEC iront en séminaire à Ankara et à Istanbul

Du 05 au 10 août 2024, ils participeront à un programme de formation sur le droit de la mer et maritime.

 

Une dizaine de cadres congolais des structures de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales (AEMEC) va participer du 5 au 10 août, à Istanbul et à Ankara en Turquie, à une formation sur le droit de la mer et maritime.

Le choix de ces cadres de l’AEMEC a été opéré par les ministres membres du comité interministériel de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales. Ce sont des experts de l’Organisation maritime internationale (OMI) et du Tribunal international du droit de la mer (TIDM) qui ont été désignés pour dispenser les cours pendant cette formation.

Ces cadres congolais débuteront du 5 au 8 août 2024 leur formation à l’académie d’été sur le droit de la mer, puis s’en suivra un séjour d’immersion, les 9 et 10 août de l’année en cours. Ce voyage d’étude devrait aussi contribuer à une meilleure connaissance des opportunités que pourrait offrir la Türkiye dans les domaines autres que la formation maritime.

Le renforcement des capacités de la première promotion composée des cadres dans les secteurs de la mer et des eaux continentales est une des conditions sine qua none de l’opérationnalisation de l’AEMEC.

Congo : les experts examinent les documents sur la santé de la reproduction

L’objectif est de renforcer les capacités des enseignants à dispenser une éducation à la santé et au bien-être de qualité.

 

Ouverte mardi 09 juillet, la formation regroupe des experts nationaux et internationaux, des formateurs, des enseignants, des représentants des organisations de la société civile, des agences des Nations unies. Pendant cinq jours, les enseignants suivront des communications sur différents thèmes : la santé physique et mentale, la sexualité, les relations saines, la prévention des violences et les droits de l’homme.

L’objectif de cette formation est de renforcer les capacités des enseignants à dispenser une éducation à la santé et au bien-être de qualité. Elle a été lancée officiellement par le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, en présence de la représentante de l’Unesco au Congo, Fatoumata Marega Barry.

Fatoumata Marega Barry a déploré les barrières sociales, culturels et économiques qui mettent des limites d’accès aux jeunes dans les services de santé sexuelle et reproductive tels que les intrants, le dépistage, le traitement, les contraceptives.

Congo : 500 filles seront formées dans le cadre du « Gracias-Matondo campus vacances »

Âgées de 16 à 29 ans, ces jeunes filles défavorisées de la ville de Dolisie bénéficieront des formations pendant la période du 08 juillet au 30 septembre 2024.

 

Ce sont quelques 500 jeunes filles en situation défavorisée de Dolisie dans le département du Niari, qui recevront des formations dans le cadre du projet « Gracias-Matondo campus vacances ». Ces formations qui vont s’étendre du 08 juillet au 30 septembre, concerneront les filles âgées de 16 à 29 ans en situation précaire.

« Devant le déficit prononcé d’infrastructures d’existence économique et la sélectivité des conditions d’accès à la formation structurée des institutions publiques et privées, les seules alternatives des jeunes issus des milieux défavorisés tournent autour de l’apprentissage traditionnel. Une triste réalité qui maintient les jeunes dans les difficultés. Nous allons former les jeunes filles en vue de leur donner l’accès au travail », a indiqué la coordonnatrice du projet « Gracias-Matondo campus vacances », Prodiges Saint-Auffret, lors d’une conférence de presse.

Les formations se dérouleront en deux étapes, la première sera théorique et la deuxième sur le terrain sous forme de stage. Les 51 apprenants les plus brillants sur les 500 lors de ces formations obtiendront une bourse de 150.000 FCFA chacune.

Congo : des inspecteurs et cadres de l’aviation civile en séminaire

Cette formation sur la sécurité des aéroports a pour but de permettre une meilleure protection des passagers, du personnel et des aéroports.

 

Le directeur général de l’agence nationale de l’aviation civile (ANAC), Florent Serge Dzota a ouvert la formation sur la sécurité des aéroports lundi 27 mai 2024. Celle-ci concerne inspecteurs et cadres de l’aviation civile.

« Nos institutions communautaires de l’aviation civile souhaitent adopter une approche proactive, afin de garantir une meilleure protection des passagers, du personnel et des aéroports, c’est la raison pour laquelle, il est essentiel de mettre en œuvre un système de gestion de sécurité solide, en dotant les acteurs clés des équipements performants et une coordination étroite », a déclaré Florent Serge Dzota, Directeur général de l’ANAC.

Ladite formation est organisée dans le cadre du projet d’appui au secteur aérien en Afrique du centre et de l’ouest et elle va permettre de mieux gérer les systèmes d’exploitation des aéroports. C’est du moins ce que pense Eugène Apombi, Directeur général de l’Agence pour la supervision de la sécurité aérienne en Afrique centrale (ASSA-AC).

L’initiative est financée par la Banque africaine de développement (BAD) et la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), avec le soutien de la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC), ce grâce au fonds de développement communautaire. Elle se tiendra sur 08 jours.

Talents 4 start-up 2024 : ouverture des candidatures jusqu’au 25 février

Les candidats retenus intègreront un réseau de plus de 300 personnes en provenance de vingt pays africains.

 

Digital Africa lance une formation dénommée « Talents 4 start-up ». Ce programme vise à former des personnes qui désirent acquérir des connaissances dans les métiers numériques et techniques.

Pour prendre part à ladite formation, il faut emplir certaines conditions. Notamment, être âgé de 18 à 35 ans, vivre dans un pays africain, être disponible pendant au moins neuf mois et être décide à travailler dans le numérique et la technologie, particulièrement les start-up.

Ceux qui seront retenus appartiendront à un réseau de plus de 300 personnes, tous ressortissants de vingt pays africains, déjà formés par le programme. Digital Africa entend contribuer à l’essor de l’écosystème tech africain et de bâtir un avenir pour l’Afrique.

Les intéressés devront prendre une inscription et renseigner un formulaire en ligne sur le site web du concours. Mais avant, les candidatures sont ouvertes jusqu’au 25 février prochain.

Congo : 274 médecins de retour après 8 ans de formation à Cuba

Ils ont été reçus dimanche 31 décembre à l’aéroport par la ministre de l’Enseignement supérieur, le Pr Delphine Edith Emmanuel.

 

Ils sont 274 nouveaux médecins revenus en République du Congo après 8 années de formation à Cuba. Arrivés dimanche 31 décembre 2023, ils ont été accueillis au pieds de l’avion par la ministre en charge de l’Enseignement supérieur, le Pr Delphine Edith Emmanuel, et le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Population, Jean Ignace Tendelet. Ces nouveaux médecins sont pour la plupart des généralistes et techniciens.

La ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, le Pr Delphine Edith Emmanuel, a rassuré étudiants finalistes qui viennent de regagner le pays. « Je tiens à vous rassurer que toutes les dispositions sont prises en vue de votre insertion professionnelle », a fait savoir la ministre

Ces nouveaux médecins devraient être mis en stage d’imprégnation dans différents hôpitaux du pays. Un stage pratique en vue d’acquérir l’expérience requise avant qu’ils ne soient engagés et affectés officiellement.

Rappelons que dans le but de combler le déficit en personnel de santé, le gouvernement avait résolu d’envoyer à Cuba plus de mille étudiants en médecine, entre 2013 et 2014. La première vague avait regagné le pays en 2020, d’autres promotions ont suivi.

Afrique Centrale : 22 jeunes vont bénéficier du programme Bloggers Demo School

La formation qui va s’étendre sur une période de six mois va débuter le mardi 05 décembre 2023.

 

Le Laboratoire Arc Côtier & Central de la Fondation de l’innovation pour la démocratie lance le programme de formation dénommé Bloggers Demo School (BDS). Il va s’agir d’outiller les jeunes (hommes et femmes) en leur donnant des compétences pour animer des blogs en produisant des contenus de qualité.

Pour cette première édition, 10 points focaux originaires de 10 pays de la sous-région de l’Afrique Centrale et des Grands Lacs soit un point focal par pays recevront cette formation en distanciel en respectant la même logique de parité. Le programme Bloggers Demo School prévoit également la formation de 12 jeunes camerounais, dont six hommes et six femmes, en présentiel dans la ville de Douala, capitale économique du Cameroun.

Ledit programme de formation comprend 4 unités d’enseignements : UE 1 Culture générale ; UE 2 Entreprenariat ; UE 3 Blogging et UE 4 Ecriture web ainsi que des cycles de conférences.

A l’issue du programme, les 22 apprenants seront autonomes pour animer un blog ; collecter et traiter l’information ; écrire des articles de qualité et sensibiliser à la responsabilité sociale de chacun pour l’avancement de la démocratie.

Toutefois les personnes intéressées par cette formation devront transmettre leurs dossiers de candidature, au plus tard 17 novembre prochain à l’adresse suivante centralafrican.lab@innovationdemocratie.org

Semi-marathon international de Brazzaville : 8 athlètes congolais se préparent au Kenya

Ils ont été sélectionnés par la fondation SNPC, mercredi 28 juin pour participer à une formation afin de préparer l’évènement sportif.

 

La 18ème édition du semi-marathon international de Brazzaville se tiendra le 14 août 2023. Pour préparer cette compétition, huit athlètes congolais ont été sélectionnés pour une formation au Kenya. Il s’agit de Rochetau Ondélé, Josué Moungany, Kevin Obando, Julienne Loufoua, Olidane Ngoma, Nelson Biyo, Missamou Bafoumbissa et Mantsoni. Ils ont été choisis mercredi 28 juin par la fondation SNPC, sponsor officiel du semi-marathon.

Jusqu’au 12 août prochain, soit pendant deux mois, ces jeunes athlètes professionnels vont passer un stage pratique animé par des techniciens d’un institut kényan d’athlétisme, afin de leur permettre d’améliorer leurs capacités athlétiques.

Le semi-marathon international de Brazzaville réunira des centaines d’athlètes qui viendront de par le monde.

Congo-sécurité maritime : une formation ouverte à Pointe-Noire

La ville océane abrite depuis lundi 05 juin une formation sur le traitement de l’information maritime et à la conduite des opérations.

 

Le stage qui s’inscrit dans le cadre de l’action de l’Etat en mer va se poursuivre jusqu’au 15 juin 2023. L’organisation de cette formation consacrée au traitement de l’information maritime en vue d’une conduite efficace de missions opérationnelles en mer va permettre de former des ressources humaines de qualité afin de bâtir une économie maritime régionale sécurisée, sûre et durable.

Cette formation devra déboucher au renforcement de capacités au bénéfice des états de la zone de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et des structures de l’Architecture de la sécurité de Yaoundé, notamment le Crismac et la zone D.

Pendant plus d’une semaine, les participants vont se pencher sur des thématiques qui font la préoccupation principale de l’Architecture de Yaoundé dont la communauté maritime entend célébrer les dix ans d’existence en ce mois de juin.

Notons que cette formation régionale qui s’attaque aux problématiques majeures de sécurité maritime à destination des professionnels est organisée par l’institut de sécurité maritime internationale avec l’appui technique et financier de la direction de coopération, de sécurité et de défense du ministère des Affaires étrangères françaises au bénéfice de la zone CEEAC et du projet Gogin de l’Union européenne.

Congo : un atelier de formation sur la gestion de la chaîne pétrolière

Des cadres et agents du ministère des Hydrocarbures renforcent leurs capacités, depuis le 3 mai, à Brazzaville, sur la maîtrise des principaux enjeux économiques et contractuels de la chaîne pétrolière.

 

La formation du personnel du département des Hydrocarbures s’inscrit dans le cadre du programme pluriannuel initié en 2021 par le ministre Bruno Jean Richard Itoua. Pendant dix jours, les apprenants vont échanger sur l’industrie pétrolière et gazière dans son environnement énergétique géopolitique. L’initiative vise à renforcer les capacités opérationnelles du personnel en vue de combler les déficits de connaissances dans le secteur pétrolier. C’est du moins ce qu’a déclaré directeur de cabinet du ministre des hydrocarbures, le Pr Macaire Batchi

Il sera également question de décrire les activités pétrolières et les caractéristiques des marchés et de cerner les différentes parties de la chaîne pétrolière et gazière, d’analyser les fondamentaux économiques de la chaîne pétrolière, y compris d’appréhender les outils de gestion et d’évaluation économique des projets pétroliers et gaziers nationaux.

Cette session de renforcement des capacités comprend, en effet, trois axes majeurs, à savoir la formation initiale pour offrir à certains agents les rudiments des activités pétrolières, notamment l’initiation à la chaîne pétrolière et gazière; la formation thématique pour les agents qui disposent d’un certain niveau d’expertise dans le domaine pétrolier ; et la formation sur les enjeux stratégiques du secteur, réservée aux managers et top managers.

Congo : 870 jeunes prêts à se lancer sur le marché du travail

Ils ont été formés grâce au projet Lisungi, mis sur pied dans le cadre de la coopération entre la République du Congo et la Banque mondiale.

 

Menuiserie, soudure, coupe-couture, coiffure esthétique, électricité, plomberie sanitaire, maraîchage, restauration, maçonnerie, mécanique générale, pâtisserie, charpente bois et apiculture sont les différents métiers auxquels ont été formés les jeunes du département de la Likouala. Ces 870 jeunes ont bénéficié du projet Lisungi qui s’inscrit dans le cadre de la coopération entre le gouvernement congolais et la Banque mondiale.

L’accord de financement additionnel du projet, signé en mars 2019, prévoyait la formation de 900 jeunes candidats à l’auto-emploi dont 439 pour Impfondo ; 146 pour Enyellé et 315 pour Bétou. Après cette formation, ces jeunes attendent d’être lancés sur le marché du travail.

Congo : le Maroc disposé partager son expertise agricole

C’est ce qui ressort d’une rencontre entre le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba et l’ambassadeur du Maroc au Congo, Ahmed Gargip.

 

Le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba, a reçu en audience l’ambassadeur du Maroc au Congo, Ahmed Gargip. Au cours cette rencontre entre les deux personnalités, Ahmed Gargip, a réaffirmé la disponibilité de son pays à former les Congolais dans le domaine agricole.

« Le Maroc entend former les Congolais dans ce domaine au regard de son expertise. Nous avons conquis la plupart des marchés, que cela soit en Europe, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou ailleurs. Donc, nous avons l’expertise et nous sommes disposés à former les frères congolais. Le Maroc est également précurseur dans les infrastructures hydrauliques au regard du nombre des barrages dont il dispose », a souligné le diplomate marocain.

Les deux personnalités ont ensuite convenu d’intensifier les échanges, les visites entre les Parlements des deux pays, afin de donner un nouvel élan à cette relation d’ores et déjà d’exception.

La relation qui réunit les deux pays, a noté le diplomate marocain, se traduit par la coordination fructueuse dans la plupart des forums régionaux et internationaux.

Congo : un séminaire pour pérenniser les acquis du projet DurQuap

Initiée depuis le 10 octobre 2022, la formation concerne Comités de gestion et de développement communautaire (CGDC).

 

Une session de formations à l’endroit des Comités de gestion et de développement communautaire (CGDC) a été mis sur pieds depuis le 10 octobre 2022. L’objectif est de leur donner des outils nécessaires leur permettant de bien gérer les infrastructures construites afin de garantir leur pérennité.

Les participants au séminaire sont composés des chefs de quartier et de zone ainsi que des ouvriers de maîtrise d’œuvre sociale. Ces équipes communautaires ont la mission de veiller au quotidien sur les infrastructures construites par le projet, dans le cadre de la gestion participative pour assurer leur pérennité.

Au cours de cette formation, ces CGDC ont donc reçu de nouveaux outils qui leur permettront de remplir loyalement leur mission sociale dont l’objectif est de préserver les acquis du projet.

Le DurQuap est un projet co-financé par le gouvernement congolais et la Banque mondiale à hauteur de 44,304 milliards F CFA. Sa phase pilote qui s’achève dans quelques mois a permis l’aménagement et la modernisation des quartiers Soukissa et Moukondzi-Ngouaka à Brazzaville, Mboukou et Tchiniambi à Pointe-Noire.

Congo : le personnel éducatif s’empreigne des nouveaux programmes

Enseignants et personnel d’encadrement du secteur public des départements de Pointe-Noire et du Kouilou sont réunis pour apprendre à manier les nouveaux programmes éducatifs.

 

A quelques jours de la rentrée scolaire, les enseignants et le personnel d’encadrement font les derniers réglages pour une année académique réussie. C’est ce qui explique cet atelier de formation qui a réuni ces acteurs de l’éducation. L’objectif est de maîtriser les nouveaux programmes des classes de CP1 et CP2 (du primaire) 6e et 5e (du secondaire), afin de les transmettre aux élèves.

Cette formation est organisée par le ministère de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation (MEPPSA), en partenariat avec le Projet d’appui à l’amélioration du système éducatif (Praased). Elle a reçu le soutien financier de la Banque mondiale et va s’étendre jusqu’au 30 septembre 2022.

Ledit séminaire se déroule simultanément dans la ville océane et dans les départements du Niari, de la Bouenza, de la Lékoumou et du Pool qui succèdent à ceux de Brazzaville, des Plateaux, de la Likouala, de la Cuvette, de la Cuvette-Ouest et de la Sangha où elle s’est déroulée du 2 au 11 septembre dernier.

Congo-Législatives et locales 2022 : une vingtaine de journalistes en séminaire

L’objectif est de donner aux journalistes de cette partie du pays des outils nécessaires leur permettant d’assurer la couverture médiatique équilibrée de ces scrutins.

 

Dans la perspective de la tenue des élections législatives et locales de juillet prochain, l’Union européenne et le Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC) ont organisé récemment à Mouyondzi, dans la Bouenza, une formation spéciale pour donner aux journalistes de cette partie du pays des outils nécessaires leur permettant d’assurer la couverture médiatique équilibrée de ces scrutins.

Une vingtaine de journalistes évoluant dans les médias communautaires relevant des départements du Pool, de la Bouenza et du Niari a participé au deuxième séminaire tenu sur le thème « Médias et élections ». Cette formation spéciale avait pour objectif de donner aux journalistes de cette partie du pays des outils nécessaires leur permettant d’assurer la couverture médiatique équilibrée et neutre pendant les élections législatives et locales.

Diverses thématiques ont été développées à cet effet par des experts en communication. Les connaissances techniques reçues  permettront aux participants dorénavant de bien assurer la couverture médiatique de tout le processus électoral. Dans la pratique, ils ont appris les principes d’impartialité et d’équité dans le traitement de l’actualité électorale ainsi que le respect de la déontologie professionnelle.

Les participants ont aussi débattu des spécificités de la radio, son rôle pendant le processus électoral, mais aussi les défis à relever dans la couverture professionnelle des scrutins. Une communication qui a permis aux journalistes de mieux appréhender les problématiques administratives auxquelles ils sont confrontés et de mieux cerner leurs attentes, en vue de leur permettre de jouer pleinement leur rôle de citoyens.

Notons que le séminaire a été organisé par l’Union européenne et le Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC).

Congo : dix artistes seront formés aux métiers de la musique urbaine

Cette formation s’inscrit dans le cadre de la 6e édition des scènes tremplins Mboté hip-hop organisée par l’Institut français du Congo (IFC).

 

Dix jeunes rappeurs congolais ont été sélectionnés pour bénéficier d’une formation de trois semaines aux métiers de la musique urbaine d’ici septembre. Au départ, ils étaient deux-cent trente-cinq artistes rappeurs à compétir pour dix places seulement. Les heureux bénéficiaires au terme des sélections sont Boni Black, Sam Chilson, Baborass Krittus Killer, Jojo Black, Kusba, Fuckiss, Christ Leduc, Eden et enfin, By la Rime.

Dans cette catégorie des « Musiques urbaines », c’est le rappeur et freestyleur congolais Bony Black qui a été sacré lauréat. A la 2e et 3e places du podium, on retrouve : Christ Leduc et Baborass Krittus Killer. En plus de la formation, les trois lauréats bénéficieront d’un ordinateur, un smartphone et la prise en charge des frais de transport durant toute la période de la formation.

A en croire les membres du jury de cette 6e édition des scènes tremplins Mboté hip-hop, le choix a été sévère mais pas égoïste car le but était de dénicher les meilleurs. Et à tous ceux qui ne figurent pas parmi les finalistes, ils les ont exhortés à persévérer car tôt ou tard un travail de qualité est toujours récompensé.

Organisées par l’IFC en partenariat avec Vivendi create Joy, Universal music group et Légendes Urbaines, les différentes formations que bénéficieront les dix artistes retenus leur donneront la possibilité d’acquérir de nouvelles compétences nécessaires dans la professionnalisation de leurs carrières.

Les ateliers se dérouleront autour de divers modules, à savoir : la communication web, la bonne gestion des réseaux sociaux, l’écriture et les techniques de scène, la réalisation d’un pressbook, etc. La formation se fera par des grands noms de la musique urbaine, notamment Black Kent, Général Philo ou encore Youssoupha.

Comme tous les ans, les scènes tremplins « Mboté hip-hop » contribuent à susciter des passions liées aux métiers de la musique urbaine, ainsi qu’à aider des artistes talentueux à faire valoir leur potentiel pour un début de carrière. La formation se déroulera en début septembre et, à son terme, une restitution par les artistes sera faite accompagnée d’une remise de prix.

Notons que le festival Mboté hip-hop concerne particulièrement six catégories : rap, DJing, beatmaking, management, danse et slam. Dans chaque catégorie, des artistes ont été retenus pour des formations et les premiers gagnants de chaque catégorie se produiront lors de la tenue du festival avant la fin de cette année.

Fonds vert climat : la BAD lance un programme de formation

Cette formation est organisée dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement des capacités de l’Afrique à accéder au financement des projets d’énergie durable ».

 

La Banque africaine de développement (BAD) a mis en place un programme de formation sur l’élaboration de projets d’énergie durable pour accéder aux financements du Fonds vert climat (FVC, ou GCF en anglais). Il est question d’apporter une réponse aux besoins des autorités nationales africaines dans ce domaine.

Cette formation est organisée dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement des capacités de l’Afrique à accéder au financement des projets d’énergie durable ».

Financé par le Fonds de coopération technique Inde-Afrique, le programme de formation permettra aux participants d’acquérir les connaissances, le savoir-faire et les ressources spécifiques, nécessaires pour mobiliser avec succès des financements du FVC pour les projets d’énergie durable, à travers une meilleure élaboration et la soumission de notes conceptuelles et de propositions de projet.

Le FVC est une ressource de base à laquelle les pays africains n’ont pas pleinement accès alors que le potentiel des projets d’énergie durable pour dynamiser l’électrification, l’atténuation et l’adaptation au changement climatique reste sous-utilisé.

La formation vise à offrir aux participants une connaissance approfondie du cycle de vie des projets financés par le FVC et à renforcer leur capacité à élaborer des projets d’énergie durable afin d’obtenir des financements auprès du FVC.

Le programme de formation couvrira un large éventail de technologies énergétiques durables, en tenant compte des défis et des réalités propres à chaque région et à chaque pays. Les participants recevront des informations sur les composantes spécifiques d’une proposition de financement du FVC et sa logique de financement. Ils étudieront des cas pratiques de propositions de financement réussies et élaboreront des notes conceptuelles pour compléter la formation.

La Banque africaine de développement est engagée dans plusieurs initiatives et activités liées à la résilience au changement climatique. Elle abrite le bureau régional pour l’Afrique du Centre mondial pour l’adaptation. La Banque travaille à la mobilisation de fonds dédiés à la finance climatique convaincue que le déploiement rapide et efficace du financement public international permettra aux pays en développement de s’adapter aux effets néfastes du changement climatique.

Congo : les handicapés formés aux métiers des Tic

La formation est une initiative du le Groupement des intellectuels et ouvriers handicapés du Congo (Giohac) en faveur des personnes vivant avec handicap.

 

Dans le cadre du projet d’insertion socio-professionnelle des handicapés, le Groupement des intellectuels et ouvriers handicapés du Congo (Giohac) a organisé une formation sur différents domaines des technologies de l’information et de la communication (TIC) en faveur de cette couche à Brazzaville.

La maintenance des ordinateurs, réseau et télécommunication, base de données, bureautique sont des domaines dans lesquels les personnes vivant avec handicap, homme et femmes, ont été formées sur initiative de la Giohac avec l’appui de ses partenaires.

La formation a été précédée par d’autres, notamment en pâtisserie, en coupe et couture, a rappelé Ghislain Serge Kimbouanga. Pour des formations à venir, le président a lancé un appel aux personnes de bonne volonté pour les accompagner dans l’initiative visant à proposer des formations aux personnes vivant avec handicap afin de faciliter leur insertion socio-professionnelle.

Congo : agents municipaux de la mairie de Brazzaville vont améliorer leurs compétences

Quelques élus locaux et agents de communes du Congo prendront part, du 14 au 16 juin à Brazzaville, à un atelier de formation.

 

La mairie de Brazzaville abritera un atelier de formation pour les élus locaux et agents des seize autres communes. Financé par l’Organisation internationale de la francophonie et se tiendra du 14 au 16 juin 2021. Cette formation a pour but d’améliorer les compétences des agents municipaux dans le domaine de la culture et la passation des marchés publics.

« Le bureau exécutif du conseil a jugé utile d’améliorer les compétences des agents municipaux au travers d’un programme de formation dans le domaine de la culture. Une bonne gestion du secteur de la culture permettra à nos villes de tirer parti de la richesse et de la diversité de leur patrimoine en vue d’accroître leur attractivité et leur rayonnement », a déclaré maire de la ville de Brazzaville, Dieudonné Bantsimba.

Congo : les directeurs d’écoles souhaitent avoir régulièrement des formations

Ce souhait a pour objectif de se mettent constamment à jour dans le cadre de la modernisation du système éducatif national.

A l’issue du séminaire sur le traitement des résultats scolaires et la rédaction des items d’évaluation, les directeurs d’études des collèges de l’enseignement général ont souhaité que les formations soient permanentes, afin qu’ils se mettent constamment à jour dans le cadre de la modernisation du système éducatif national.

« Nous souhaitons que ce genre de formation se fasse à un rythme régulier, de sorte à permettre aux enseignants promus au poste de directeur des études d’acquérir des connaissances nécessaires pour une pédagogie pratique et utilitaire », a déclaré Albert Josué Nkoutou, un des participants à la formation ayant concerné les directeurs des études des établissements scolaires privés de l’inspection de Brazzaville 3.

La formation a eu pour objectif de résoudre certaines limites, notamment le manque d’uniformisation des informations contenues dans les rapports pédagogiques, la disparité des techniques utilisées dans la formulation et la qualification des items, la diversité des méthodes utilisées dans l’interprétation des résultats.

Ainsi, un accent particulier a été mis sur les méthodes d’analyse des résultats scolaires, le calcul des pourcentages et des moyennes, la différenciation des types d’évaluation ont été au cœur des différents thèmes développés au cours de ladite formation. « Les résultats scolaires doivent être traités de façon scientifique, en vous appuyant sur des techniques innovantes acquises », a rappelé le directeur des collèges de l’enseignement général, Patrick Ngolo, d’adressant aux directeurs des études.

La direction générale de l’enseignement secondaire a prévu organiser la même formation en faveur des directeurs des études des collèges des départements des Plateaux, de la Cuvette et de la Cuvette-ouest, du 11 au 20 mai. Ces départements vont donc emboîter le pas à Brazzaville, Pointe-Noire et le Kouilou.

En rappel, au sein d’un établissement scolaire, en dehors de l’évaluation des apprentissages des élèves, les responsabilités d’un directeur des études incluent les missions de supervision et l’animation pédagogique des enseignants, de préparation et de la réalisation des visites des classes, du suivi de l’application et l’état d’avancement des programmes, tels que définis par le ministère de tutelle, l’application des textes officiels en matière d’enseignement.

Congo-Kokutan’Art : une dizaine de femmes formée en photographie

Cette formation a été initiée dans le but de permettre à celles-ci d’acquérir des connaissances sur la professionnalisation de la photographie.

La ville de Brazzaville va abriter la 1ère édition du Kokutan’Art du 20 au 24 avril 2021. En prélude à cet évènement culturel, dix femmes ont reçues une formation en photographie. Celle-ci a débuté lundi 12 avril dernier et était animée par le photographe professionnel congolais, Baudouin Mouanda. Ladite formation avait pour but de permettre à ces prochaines participantes du Kokutan’Art, d’acquérir des connaissances sur la professionnalisation du métier.

Alegra Nicka, Aude-May, Golden Nungi-Pambu, Elikia Céleste, Jennifer Mann, Lemane Nuptia Mayombo, Marthe Deborah Moungue, Meyrese Boukinda, Vanessa Manta et Pascaline Mallé Téné, sont les dix femmes bénéficiaires de cette formation en photographie.

La 1ère édition du Kokutan’Art est placée sous le thème « L’Afrique en face » avec pour objectif de faire participer uniquement les femmes à ces moments d’échanges et de réflexion. Elle vise particulièrement à les intéresser au métier et les encourager à participer aux rencontres photographiques nationales et internationales. C’est du moins ce qu’a confié Baudouin Mouanda.

« Lors d’un atelier-photo organisé en août, avec l’appui de l’Union européenne et de l’Institut français du Congo, nous étions étonné de constater que parmi les participants il n’y avait que des hommes. Et, lorsque j’ai été sollicité pour animer cette formation dans le cadre du festival Kokutan’Art, j’ai invité son fondateur, Lebon Zed, a lancé un appel à candidatures 100% féminin, afin de promouvoir l’égalité des genres », a raconté Baudouin Mouanda.

Ce photographe professionnel souhaite voir se secteur d’activité se développer grâce aux hommes et femmes qui photographes. Jusqu’au 19 avril, au siège des ateliers Sahm, les apprenantes apprendront l’écriture et la composition d’une photo, la thématique photographique, le décor, le repérage, la distinction d’une bonne image de la mauvaise et autres. Pour ce faire, chaque participante travaillera durant toute la période de la formation sur un thème donné qui débouchera sur la réalisation d’une série de photos.

Comment choisir sa formation en magnétisme au Congo ?

Pour un meilleur choix de votre formation en magnétisme, vous devez en amont vous focaliser sur certains paramètres.

 

Pour apprendre le magnétisme ou devenir magnétiseur au Congo, de nombreuses solutions sont à votre portée. Cependant, la base pour exceller dans ce corps professionnel que vous désirez intégrer, c’est de recevoir un bon enseignement. Il faudra bien entendu bien choisir votre formation. C’est la raison d’être de cet article. Il vous propose des astuces pour bien choisir votre formation en magnétisme au Congo.

Le mode de déroulement des cours

Pour un meilleur choix de votre formation en magnétisme, vous devez en amont vous focaliser sur certains paramètres. Parmi ceux-ci se retrouve le mode de déroulement des cours. En effet, il vous faudra déterminer à l’avance si vous comptez assister à une telle formation en présentiel ou en ligne. Ces deux méthodes de cours possèdent chacune leurs faiblesses ainsi que leurs forces. Mais, votre choix dépendra également de votre budget, votre disponibilité et votre position géographique. En optant par exemple pour une formation en ligne, vous pouvez vous faire former, quelle que soit votre position géographique. C’est d’ailleurs l’option la plus adaptée en cette période de crise sanitaire mondiale. Par ailleurs, cette option est financièrement plus accessible et est adaptée à votre disponibilité. Le seul bémol, c’est que vous n’aurez pas l’occasion de pratiquer les cours reçus. C’est tout le contraire avec une formation en présentiel. Mais, avec cette option, vous êtes contraints de vous adapter aux heures de cours et de vous déplacer.

Le professionnalisme et l’expérience du formateur

Dans tout corps de métier, il est possible de tomber sur des personnes qui prétendent être des professionnels, mais qui en réalité ne le sont pas. Une telle chose est d’ailleurs assez fréquente en magnétisme. Or, si votre formateur manque d’expérience et de professionnalisme, il est certain que vous aurez des difficultés à vous faire une renommée auprès du grand public. C’est la raison pour laquelle vous devez bien le choisir. Qu’il délivre une formation en ligne ou en présentiel, assurez-vous de la bonne réputation du formateur. À cet effet, les témoignages et les avis le concernant pourront vous orienter. En outre, veillez à choisir un formateur avec un nombre d’années d’expérience. Si c’est le cas, il pourra vous aider à acquérir toutes les connaissances dont vous aurez besoin. De même, comme vous trouverez sur le site https://www.formation-magnetisme.net, il est important de choisir un professionnel qui pratique réellement le magnétisme. Par ailleurs, sachez que le taux vibratoire de votre formateur est une astuce simple pour identifier sa compétence. Si cet indice possède une valeur en dessous de 300 000 Unités Bovis, sachez que votre choix n’est pas l’idéal.

Le contenu de la formation

Pour sélectionner la formation en magnétisme qui saura parfaitement vous convenir, vous devez prendre en compte le contenu de cette dernière. S’il existe beaucoup d’offres de formations en magnétisme au Congo, elles ne sont jamais pareilles. Selon le type de formateur choisi, le niveau de la formation peut largement varier. Tout dépendra de ce que vous désirez acquérir comme aptitudes. En fonction de vos objectifs, vous pouvez trouver des formations dont le contenu est basé essentiellement sur le métier de magnétiseur. D’autres vous donnent uniquement les clés sur la pratique de la discipline. À noter que certains cours sont destinés à développer vos dons énergétiques pendant que d’autres visent votre perfectionnement.

Une formation en magnétisme vous sera avantageuse sur de nombreux points. Il vous faut alors bien la choisir. Pour ce faire, analysez le contenu des cours et la façon dont ces derniers se déroulent. De plus, ne négligez pas l’expérience ainsi que la réputation de votre formateur. Tous ces détails vous aideront à faire le bon choix.

Congo-présidentielle 2021 : des journalistes révisent la déontologie

Ils se rassemblent depuis lundi 22 février,  dans le cadre d’un atelier de formation portant sur l’application des règles déontologiques et de la couverture médiatique en période électorale.

L’initiative est du Système des Nations unies en partenariat avec les institutions nationales compétentes. Ladite formation qui prendra fin ce 24 février a pour objectif de faire la promotion de la paix, des droits de l’homme et du genre. Celle-ci est axée sur plusieurs thèmes, notamment : comprendre le cadre juridique et connaître les acteurs du processus électoral, les droits et devoirs du journaliste en période électoral, médias et protection des droits de l’homme en période électorale et la couverture médiatique d’un processus électoral.

Il est question de sensibiliser les participants sur les enjeux de la prévention des violences électorales et de renforcer leurs capacités sur les techniques de traitement et de diffusion de l’information électorale, notamment dans un contexte marqué par l’inflation des fake news. Ce sont environ 120  hommes et femmes des médias privés et publics issus de tous les départements du pays, ainsi que les membres de la Force publique qui participent à cet atelier de formation.

Plusieurs personnalités se sont exprimés aux cours de l’atelier, telles que le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Thierry Lézin Moungala, le président du Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC), Philippe Mvouo, sans oublier le coordonnateur Résident du Système des Nations unies, Chris Mburu et les chefs d’agence onusiens en poste au Congo.

Notons que, la ville de Pointe-Noire abritera la deuxième phase de la formation qui est prévue du 1er au 6 mars 2021.

Archives nationales : le personnel édifié sur les nouvelles méthodes de travail

Débutée le 17 novembre,  la formation  des gestionnaires des archives nationales du ministère de la Culture et des Arts, de la mairie de Pointe-Noire, du Chemin de fer Congo-Océan et du Port autonome de Pointe-Noire, a été close le 24 décembre.

La formation  des gestionnaires des archives nationales a été organisée par le Centre national des archives et de la documentation avec l’appui financier et logistique de l’ambassade de France au Congo. Elle s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre de la convention de financement signée en juillet 2019 entre l’ambassade de France au Congo et le ministère de la Culture et des Arts.

Pendant six semaines, les participants à cette session de formation ont eu à suivre des cours théoriques et quatre semaines de stage pratique au sein des administrations publiques. De même, ils  ont été édifiés notamment  sur la gestion du courrier, les missions dévolues au secrétariat et celles d’un service d’archives, les procédures de gestion, de conservation des documents et des archives.

La cérémonie de clôture qui a eu lieu au Cercle Musée Africain de Pointe-Noire a été marquée par la remise des attestations de participation et les allocutions de remerciement du directeur départemental du patrimoine et des archives de Pointe-Noire ainsi que du directeur du Centre national des archives et de la documentation, Brice Owabira.

Dans son discours de clôture,  Brice Owabira a exhorté les séminarites à mieux intérioriser les enseignements reçus et à en faire bon usage au profit de leurs administrations respectives. « Il vous revient de mettre à profit les enseignements de ce stage de formation afin que ces instants de partage et de renforcement de capacités façonnent et consolident davantage votre profil au profit de vos structures respectives », a-t-il déclaré.

RCA : des officiers pourront aller se former en Russie

Le Chef de l’Etat, Faustin Archange Touadéra a fait cette déclaration le 06 octobre 2020, pendant de sa visite à Moscou.

Le Président de la République centrafricaine Faustin Archange Touadéra a déclaré qu’il était possible d’envoyer des militaires centrafricains pour une formation à l’Académie de l’Etat-Major des Forces armées russes. Le Chef de l’Etat centrafricain a fait cette déclaration pendant sa visite à Moscou le mardi 6 octobre.

«Le Président Touadéra s’est dit intéressé par la formation des hauts cadres du Ministère de la Défense centrafricain à l’Académie militaire», a informé le Ministère de la Défense russe.

Le Directeur par intérim de l’Académie militaire général-lieutenant Oleg Makarevitch a fait visiter l’Académie au Président centrafricain. Il a présenté au Chef de l’Etat les supports didactiques et matériels de l’Académie ainsi que les cours de formation des militaires étrangers.

«La rencontre qui s’est passée dans une ambiance amicale, a prouvé une fois de plus que les deux parties sont déterminées à consolider la coopération multiforme dans le domaine de la science et de l’enseignement visant à renforcer les capacités de défense des Forces Armées Centrafricaines », a-t-on expliqué au Ministère de la Défense.

Il est à noter que des généraux et des officiers de 35 pays amis suivent une formation à l’Académie de l’Etat-Major des Forces armées actuellement. En quelques décennies la Faculté spéciale de l’Académie a formé plus de 4 mille étrangers qui ont par la suite occupé des hauts postes dans la fonction publique ou dans l’Armée nationale.

Congo : 256 médecins congolais formés à Cuba de retour à Brazzaville

Ils sont arrivés mercredi 09 septembre à l’aéroport de Maya-Maya, et ont été accueillis par la conseillère aux affaires sociales et aux œuvres universitaires au ministère de l’Enseignement supérieur, Muriel Nelly Hobie.

A l’aéroport de Maya-Maya mercredi, un dispositif a été mis en place pour accueillir les 256 médecins qui étaient à Cuba, où ils ont reçu une formation. La conseillère aux affaires sociales et aux œuvres universitaires au ministère de l’Enseignement supérieur, Muriel Nelly Hobie, s’est rendue le 9 septembre sur les lieux.

« Nous sommes tous satisfaits des dispositions prises et des informations reçues. A leur arrivée, il y a une équipe qui prendra à nouveau la température et leur distribuera du gel alcoolique ainsi que des masques », a indiqué Muriel Nelly Hobie.

Arrivés à Brazzaville, ces deux-cent-cinquante-six médecins, six techniciens finalistes et quatre spécialistes observent une quarantaine à domicile parce qu’ils ont tous été testés négatifs depuis leur embarquement à Cuba.

« Nous avons des finalistes qui n’ont pas de parents à Brazzaville. Ceux-là seront pris en charge par le ministère de l’Enseignement supérieur notamment à la résidence universitaire de Kintélé », a expliqué Muriel Nelly Hobie.