AGL Congo célèbre la fête du Travail dans la ferveur

AGL Congo a pris part au défilé civil tenu à la place de la gare centrale de Pointe-Noire, organisé par la préfecture de Pointe-Noire à l’occasion de la fête du Travail. Un défilé qui a réuni un grand nombre d’entreprises publiques et privées et plus de 2 000 participants.

 

Les agents AGL Congo ont porté avec fierté les couleurs de leur entreprise, brandissant le nom de celle- ci sur un support où le logo était mis à l’honneur, pour marquer leur appartenance à l’entreprise. Après le défilé, les salariés ont pris part à un déjeuner offert par AGL Congo dans un restaurant de la place.

Henri LOEMBET BILLY, responsable des ressources humaines, a saisi l’opportunité de ce déjeuner pour encourager les collaborateurs à continuer à s’investir davantage dans l’amélioration continue de la qualité de travail délivrée aux clients et partenaires. Il a également détaillé l’ensemble des mesures mises en place par l’employeur pour le bien-être des employés ces cinq dernières années. Notamment l’aménagement des espaces de travail, la réorganisation des équipes, la promotion des nouveaux collaborateurs, la mise en application de convention collective revue plus avantageuse pour les collaborateurs.

AGL Congo est l’opérateur logistique multimodal de référence dans le pays. L’entreprise emploie plus de 500 collaborateurs et déploie des systèmes de management QHSE reposant sur des référentiels reconnus tels que l’ISO 9001, 14001 et 45001. L’entreprise met en œuvre une politique RSE au profit des familles des employés et de la population environnante.

Fête du Travail : TBC célèbre ses collaborateurs et sous-traitants

Le 1er mai 2024, à l’occasion de la journée internationale des travailleurs, le personnel et sous-traitant des Terminaux du Bassin du Congo (TBC) ont célébré la fête du Travail à Brazzaville au cours d’une cérémonie festive.

 

Près de 100 collaborateurs étaient présents à cette cérémonie au cours de laquelle, les efforts consentis par le top management pour accompagner le développement des carrières du personnel et l’amélioration de leurs conditions de travail ont été mis en lumière.

« Depuis 2021, nous disposons d’une équipe HSE qui suit et fait appliquer les mesures de sécurité sur notre site. Le port des EPI a intégré nos habitudes. Nous sommes plus safe qu’il y a quelques années » explique Privat AKOLI, chef du personnel à TBC.

« Nous avons réorganisé les équipes et les espaces de travail. Cela a favorisé la promotion des collaborateurs et de meilleurs rendements. Nous continuons à œuvrer pour leur bien-être. Une nouvelle convention collective des entreprises de transport et assimilés plus avantageuse pour les collaborateurs a été récemment conclue et mise en application au 1er janvier 2024 » explique Christophe PUJALTE,
Directeur Régional AGL Congo/RDC/Angola.

Engagé dans une politique de modernisation du Port de Brazzaville, les Terminaux du Bassin du Congo (TBC) y assurent les opérations de manutention et d’acconage. L’entreprise, qui bénéficie de la forte expérience portuaire du réseau AGL, développe l’offre sur les corridors Pointe- Noire/Brazzaville/Kinshasa, Pointe-Noire/Brazzaville/Bangui et désenclave l’hinterland en fluidifiant le trafic fluvial des marchandises.

Fête du travail : plus de 150 employés de Congo Terminal défilent à la place de la gare

A l’occasion de la fête du Travail, le 1er mai 2024, plus de 150 employés ont arboré les couleurs de Congo Terminal lors d’un défilé civil organisé par la préfecture de Pointe-Noire au profit de plusieurs entreprises publiques et privées.

 

Les salariés ont ensuite partagé des moments festifs dans un espace avec vue sur mer. Les efforts consentis par la direction générale pour l’amélioration des conditions de travail, le bien- être des employés ont été mis en lumière par Aristide DJAWE, directeur des ressources humaines. Sandrine WAMY, directrice d’exploitation, a pour sa part encouragé le personnel pour le travail accompli en l’invitant à plus d’efforts.

Depuis la mise en concession du terminal à conteneurs de Pointe-Noire en 2009, grâce au savoir-faire et à l’engagement des équipes opérationnelles, les volumes manutentionnés sont passés de 200 000 EVP à plus de 1000 000 EVP à fin 2021. Un record repris en 2022 et 2023 et que Congo Terminal veut dépasser tenant compte des investissements supplémentaires réalisés dans les infrastructures, la formation du personnel et l’acquisition de nouveaux équipements. A fin 2023, l’entreprise a réalisé des investissements de plus de 400 millions d’euros

Congo : plus de 15 000 personnes dépistées du VIH et de l’hépatite B

Dans le cadre de la célébration de la fête du travail le 1er mai dernier, L’Association congolaise pour le bien-être familial (Acbef) a dépisté.

 

Lundi 1er mai 2023, l’Acbef a organisé une campagne de dépistage du VIH et de l’hépatite B au rond-point du quatrième arrondissement de Brazzaville, Moungali.

Le dépistage a été volontaire et gratuit et s’inscrivait dans le cadre de la célébration de la fête du travail.

Les volontaires au dépistage ont été sensibilisés par les jeunes de l’association aux alentours du site où ils ont été dépistés après un counseling avec le personnel de santé. Ceux infectés bénéficieront d’une prise en charge gratuite. C’est du moins ce qu’a indiqué le directeur exécutif par intérim de l’Acbef, Georges Ibata.

Fête du travail : la CSTC demande à l’Etat de revoir la grille salariale des Fonctionnaires

C’était une doléance de la Confédération syndicale des travailleurs du Congo (CSTC), à l’occasion de la fête du travail le 1er mai 2018.

La Confédération syndicale des travailleurs du Congo (CSTC) a invité l’Etat à trouver une solution au dysfonctionnement de la grille actuelle des salaires ; à publier aussi bien le texte portant relèvement du salaire minimum de la Fonction publique à 80 600 francs CFA que les statuts particuliers des personnels de l’enseignement et à payer les rappels des soldes d’activités et des indemnités de fin de carrière des enseignants.

La CSTC voudrait également que soit diligenté le traitement des dossiers des retraités afin d’aboutir au paiement de leurs pensions. Elle réclame aussi la tenue régulière des commissions administratives paritaires, en application de la loi n°021-89 du 14 novembre 1989.

S’agissant des allocations familiales, l’organisation syndicale réclame l’harmonisation du paiement des retraités de la Caisse de retraite des fonctionnaires et ceux de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS).

Pour améliorer le climat social, la CSTC souhaite que l’Etat revoie la situation des personnels d’Ecair, de la Société des transports publics urbains, de la Société des pavés du Congo, d’Air Congo ainsi que les réformes envisagées à la Société nationale d’électricité, la Société nationale de distribution d’eau et à Congo-Télécom. Les droits sociaux des entreprises liquidées et celles en cours de liquidation font également partie des préoccupations de la centrale syndicale.

« La CSTC accompagnera le gouvernement dans les réformes des sociétés dites de souveraineté nationale, pourvu que lesdites réformes ne débouchent pas sur la perte massive d’emplois », a déclaré Bellard Elault Bello.  

En ce qui concerne la protection du climat social, l’organisation syndicale a plaidé aussi pour la situation des établissements publics à budget de transfert, la dette intérieure commerciale ainsi que de la prise en charge des sinistrés de 1997 et 2012.

Dans le secteur pétrolier, la CSTC déplore « la réalisation au très bas de l’échelle des recommandations consécutives aux conclusions du 23 août 2017 ». Il s’agit notamment des cotisations sociales des sociétés de la sous-traitance et de prestation de services. Pour la main d’œuvre étrangère, la CSTC demande que soient appliquées les dispositions combinées des articles 27 et 28 de la loi n°022/88 du 17 septembre 1988 qui exigent un contrat de travail signé au préalable avant l’entrée d’un étranger au Congo.

L’organe syndical a durci le ton sur les licenciements massifs qui ont été suivis de recrutements des étrangers. Il demande à l’administration publique d’appliquer les dispositions de la loi n°022/88. En rapport avec l’application de la convention collective du secteur des services pétroliers par les sociétés ayant des activités dans le secteur pétrolier et para pétrolier, il estime que « l’appartenance à une convention collective du travail est fonction de l’objet social et de l’activité principale de l’entreprise, de même, le basculement d’une convention de travail à une autre devrait être examiné cas par cas par l’administration du travail ».

Selon la CSTC, les sociétés ont l’obligation de s’affilier, de déclarer leurs travailleurs et de reverser les cotisations sociales à la CNSS. « La CSTC recommande à l’administration publique d’effectuer des contrôles réguliers de ces entreprises et, en cas de défaillance de celles-ci, la responsabilité des sociétés donneuses d’ordre sera engagée dans le règlement des sommes dues au titre des cotisations sociales », a indiqué Bellard Elault Bello.

Pour les sociétés en autorisation temporaire d’exercice, la CSTC exige la mise en place d’une commission de l’administration publique pour procéder aux enquêtes et clarifier leur situation.

Rappelons que le Comité national du dialogue social, à peine institutionnalisé, est un cadre de concertation entre l’Etat, les syndicats et les entreprises. Par ailleurs, afin de jouer leur partition aux festivités du 1er mai, une dizaine d’organisations ont défilé, pendant une trentaine de minutes, à la place de la gare à Brazzaville.