Congo : plus de 18000 personnes assistées par la sécurité civile pendant les concours

C’est ce qui ressort du bilan du bureau du commandant de la Sécurité civile, présenté vendredi 30 août à Brazzaville.

 

18977 élèves, personnel de bureau et autres personnes ont été secourus par les éléments de la sécurité civile pendant les examens d’état et autres concours de la session 2024. L’information a été donnée vendredi 30 août, dans la capitale congolaise, par le chef de cabinet du commandant de la Sécurité civile, José Aime Moupaaga Dziengué. C’était en faveur de la cérémonie de présentation de leur bilan de couverture sanitaire des examens et concours d’état.

« Lors des interventions des éléments de la sécurité civile aux examens d’état et concours, du 4 juin au 2 août, 67 personnes ont été évacuées vers les centres hospitaliers pour une prise en charges plus approfondie.  Les pathologies les plus courantes ont été les céphalées (6200 cas), le paludisme (2673 cas), les douleurs abdominales (2002 cas), le syndrome grippal (1487 cas, les dysménorrhée (1282 cas) et les troubles fonctionnels intestinaux (1092), a indiqué José Aime Moupaaga Dziengué,

La sécurité civile couvre 45 localités et lour réaliser les interventions, celle-ci a mobilisé 1602 agents, 37 véhicules et 2 motos. Les départements les plus touchés sont Brazzaville avec 8583 cas, suivi de la Cuvette avec 1470 cas, Pointe Noire, 1444 cas et le Niari, 1360 cas.

Pour José Aime Moupaaga Dziengué depuis 2018 où la sécurité civile assure la couverture sanitaire des examens et concours d’état, il a été constaté une hausse de 4901 cas, par rapport à l’année 2023 (2978 cas, soit une augmentation de 1923 cas).

Congo-examens d’Etat : plus de 6000 personnes prises en charge par la police

Cette information a été donnée par le médecin capitaine de police, William Thierry Mandzouono lors d’un point de presse.

 

Quelques 6 590 personnes qui ont reçu des soins de première nécessité pendant le déroulement des examens d’Etat. Le médecin capitaine de police, William Thierry Mandzouono, a présenté les résultats lors d’un point de presse qu’il a animé récemment à Brazzaville, en présence du commandant de la sécurité civile, le général Albert Ngoto.

Il ressort de ce bilan que le nombre de personnes prises en charge en 2021 est en hausse par rapport à l’année dernière, soit une augmentation de 1937 cas. Pour la sécurité civile, la présentation de ce bilan sanitaire a pour objectif de permettre aux ministères de l’Enseignement général et technique d’exploiter les statistiques fournies afin de tirer les leçons et parvenir à une préparation psychologique des candidats, en vue de les aider à mieux gérer le stress.

« Nos services médicaux ont été mis à rude épreuve à cause de l’état d’amortissement des ambulances sur-sollicitées en cette période d’état d’urgence sanitaire », a indiqué le médecin capitaine.

Pour les prochaines missions, les services de santé de la sécurité civile sollicitent auprès des autorités compétentes de renforcer leur parking d’ambulances ainsi que d’autres moyens roulants adaptés aux conditions de terrain.

Signalons qu’outre les candidats aux examens et concours, les services du commandement de la sécurité civile avaient également pris en charge des personnels administratifs et des agents des services de l’ordre.

Congo-examens d’Etat : les cours se poursuivent sur Télé Congo

Un contrat vient d’être signé permettant à la chaine nationale de diffuser les cours pédagogiques préenregistrés de façon quotidienne.

 

La diffusion des cours aux élèves de classes d’examens reprend sur Télé Congo. La cérémonie de signature du contrat entre l’Unesco (l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) et la télévision nationale congolaise, marquant le lancement officiel de la diffusion des cours s’est déroulée le 28 avril, à Brazzaville.

Selon les termes de ce contrat, les cours seront conçus et préparés par les enseignants congolais puis réalisés par la chaine du ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, EAD Tv avant d’être diffusés sur les ondes de Télé Congo.

Afin de mener tous les élèves de la République du Congo à suivre régulièrement ces cours, l’Unicef lancera l’opération de distribution d’environ quatre mille trois cents postes de radio solaire. Cela permettra aux élèves de l’hinterland de bénéficier, comme leurs amis des grandes villes, des bienfaits de ce nouveau service.

C’était en présence des ministres de l’Enseignement primaire et secondaire, Anatole Collinet Makosso, de la Communication et des Médias, Thierry Lézin Moungalla puis du coordonnateur résident des Nations unies en République du Congo, Chris Mburu, la représentante de l’Unesco, Fatoumata Marega et le directeur général de Télé Congo, André Ondélé, ont signé un accord qui permettra à la chaine nationale de diffuser les cours pédagogiques préenregistrés de façon quotidienne.

Congo : les inscriptions sont ouvertes pour les examens d’Etat session 2021

Le dépôt de candidatures aux examens d’Etat se tient du 20 janvier au 20 février 2021. L’annonce a été faite ce jour par le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’Alphabétisation

Une circulaire du ministère de l’Enseignement lance officiellement la caravane d’inscription aux examens d’Etat pour l’année en cours. Les inscriptions se font en ligne. Le département ministériel a envoyé des équipes dans les directions départementales à cet effet.

La plate-forme dédiée exécute trois opérations. Notamment la saisie des identifiants des candidats, la numérisation de la photo du candidat et la validation automatique de l’inscription.

Rappelons que cette plate-forme d’inscription en ligne a été conçue et présentée le 5 février 2020, dans la capitale Brazzaville. Elle a pour objectif, la dématérialisation et le traitement des inscriptions aux examens officiels. Elle facilite également la collecte des données, la saisie, la validation des candidatures et l’accès aux informations permettant d’identifier les faux candidats. C’est un travail de pointe initié par le ministère de tutelle.

Il est à préciser que les dates des différents concours n’ont pas encore été spécifiées.

 

Congo : les candidats aux examens d’Etat retournent à l’école

La reprise des cours, intervient quelques semaines après le déconfinement progressif par pallier décidé le 16 mai 2020 par le gouvernement.

Deux mois après la fermeture des écoles au Congo en raison de la crise sanitaire causée par l’épidémie de nouveau coronavirus, les candidats aux différents examens d’Etat ont renoué mardi 02 juin, avec le chemin de l’école.

La reprise des cours, tant pour les établissements publics que privés, intervient quelques semaines après le déconfinement progressif par pallier décidé le 16 mai dernier par le gouvernement congolais qui a imposé le port obligatoire de masque dans les milieux publics fermés et ouverts.

Elle doit obéir, selon lui, au strict respect des mesures barrières afin de briser la chaîne de contamination suivant un protocole sanitaire pour tous les établissements scolaires. Pour éviter la contamination dans ces établissements, le ministère de l’Enseignement a procédé à la désinfection des écoles et au dépistage des enseignants.

Selon le ministre de l’Enseignement primaire et secondaire, Anatole Collinet Makosso, ces cours dureront six semaines et visent à rattraper le troisième trimestre qui devait en principe commencer le 6 avril. L’objectif, a-t-il indiqué, est de boucler la totalité de l’année scolaire qui n’a pu se faire du fait du confinement.

« Pour ce troisième trimestre qui reprend ce 2 juin, il sera question de réviser les notions des deux premiers trimestres et de finaliser le dernier trimestre avant la tenue, en mi-juillet, des examens d’Etat », a précisé Collinet Makosso.

 

Congo-covid 19 : les cours reprennent le 2 juin 2020

Seuls les élèves du CM2, de la troisième et de la terminale, candidats aux examens d’État, sont concernés par cette reprise.

Fermées depuis le 19 mars à cause l’apparition du coronavirus alors que les élèves passaient les compositions du second trimestre, les écoles vont rouvrir partiellement au Congo-Brazzaville ce mardi 2 juin. Seuls les élèves du CM2, de la troisième et de la terminale, candidats aux examens d’État, vont revenir en classe.

Les autorités gouvernementales assurent qu’elles ont pris des dispositions pour qu’aucun enfant ne soit exposé à la maladie du Covid-19 qui touche déjà près de 600 personnes dans le pays. Le Mouvement des élèves et étudiants du Congo (MEEC) joue aux observateurs.

Congo : les classes d’examens reprennent les cours le 1er juin

Cette décision est l’une des annonces fortes du plan de déconfinement qui a été présenté aux congolais ce week-end.

Les élèves concernés devront compter au moins six semaines après le début des cours prévu le 1er juin prochain pour commencer les examens. C’est une estimation du ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Anatole Collinet Makosso.

Pendant qu’il annonçait le déconfinement progressif et les mesures garantissant son succès, le Premier ministre, Clément Mouamba, a indiqué ce week-end que dans le secteur de l’éducation les élèves des classes d’examen, notamment CM2, 3ème et terminale, vont renouer avec le chemin de l’école à partir du 1er juin dans le strict respect des mesures barrières contre le coronavirus (Covid-19) : distanciation sociale, port obligatoire de masque, lavage régulier des mains.

Pour le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, les examens d’Etat se tiendront en mi-juillet. « Le CEPE peut avoir lieu entre le 7 et le 14 juillet, le baccalauréat entre le 14 et 21 juillet et le BEPC entre fin juillet début août », a-t-il supposé précisant qu’il revient au gouvernement de fixer de façon précise le calendrier définitif des examens d’Etat.

Anatole Collinet Makosso a, par ailleurs, expliqué que les cours qui reprendront le 1er juin permettront de compléter le volume horaire requis, selon la norme pédagogique d’une année scolaire régulière, avant que les élèves ne fassent les examens.

En effet, les cours ont été arrêtés le 18 mars dernier sur l’ensemble du territoire à cause de la pandémie du coronavirus. Le troisième trimestre qui devrait commencer le 6 avril dans l’objectif de totaliser les six semaines pour boucler la totalité de l’année scolaire n’a plus eu lieu. « Ce sont les six semaines restantes que nous reprendrons à partir du 1er juin », a précisé le ministre Anatole Collinet Makosso.

En attendant la reprise des cours, les acteurs du secteur de l’éducation font les derniers réglages de sorte que les mesures barrières soient respectées à la lettre dans les salles de classe.

Congo : agitation autour du maintien des examens d’État

Les autorités congolaises veulent bien tenir les délais et organiser les examens d’État en bonne et due forme après le confinement dans lequel le pays est plongé depuis le 31 mars. Mais la démarche est contestée.

Au Congo, le déconfinement par paliers va intervenir à partir du 16 mai. L’école fait-elle partie du premier palier ? Anatole Collinet Makosso, ministre de l’Enseignement primaire et secondaire répond : « Ce sont les autorités sanitaires qui nous diront comment nous pouvons effectivement en gouvernement organiser ces paliers », a-t-il déclaré.

Le gouvernement exclut jusque-là l’hypothèse d’une année blanche. Les examens seront organisés. Pour préparer ces examens, les candidats sont soumis aux cours à domicile, notamment à la télévision publique, en ligne et dans l’unique quotidien de la place.

« Nous avons mis en place un programme de continuité pédagogique et administratif qui permet aux élèves de continuer à apprendre. Nous continuons donc à maintenir les élèves dans les conditions de préparation », a expliqué le membre du gouvernement.

Cependant, le Mouvement des élèves et étudiants du Congo (MEEC) dénonce un manque d’égalité de chance entre les candidats. Les supports sur lesquels les cours à domicile sont dispensés ne sont accessibles qu’aux candidats des grandes villes, relève Koncernant Epara, président du MEEC : « Diffuser les cours à la télévision ne fait pas l’assentiment des élèves. C’est une méthode qui remet en cause les lois régissant le système éducatif congolais. Celui-ci n’est pas numérisé », a-t-il dénoncé.

C’est une inquiétude non justifiée, rétorque le ministre Collinet Makosso qui affirme avoir élaboré des cours polycopiés qui sont distribués sur l’ensemble du pays avec l’appui des élus locaux notamment.

Examens d’Etat 2018 : les meilleurs élèves récompensés

Ils étaient environ quatre-vingt-trois élèves qui se sont distingués au baccalauréat, Brevet d’études du premier cycle (BEPC) et au Certificat d’études primaires élémentaires (CEPE).

C’est le 14 septembre que la troisième édition de l’émulation scolaire, organisée par le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, s’est tenue. Cette cérémonie vise, entre autres, à récompenser les meilleurs élèves par cycle afin de créer un effet d’entraînement chez les autres. L’autre volet de cette activité devenue une tradition depuis trois ans consiste à identifier les élèves éprouvant quelques difficultés afin d’améliorer leur prise en charge et les amener à un niveau de compréhension qui freinerait leur décrochage scolaire.

Ainsi, parmi les récipiendaires, il y a le jeune Helder Précieux Mboungou du lycée interdépartemental de Ouesso, dans la Sangha, qui a obtenu une moyenne de 16,01 au baccalauréat, avec la mention Très bien. Il s’agit, en effet, d’une première au Congo, depuis l’indépendance. Au BEPC, c’est l’élève Chrishna Cardie Bassoukissa du lycée d’excellence de Mbounda, dans le Niari, qui a occupé la première place avec 17,72. Quant au CEPE, la meilleure performance a été réalisée par Amour Mikala Nzengui de l’école primaire d’Itsali B à Mfilou, Brazzaville, qui a engrangé 116 points sur 130, soit une moyenne de 8,92.

Outre les meilleurs des meilleurs, le gouvernement a aussi pensé aux vingt-deux autres élèves ayant obtenu des bonnes moyennes au CEPE et en alphabétisation ou rescolarisation dans chaque département. Au BEPC, des prix spéciaux comprenant des diplômes d’honneur, des ordinateurs portatifs, des dictionnaires et kits scolaires ont été décernés aux dix-huit meilleurs dont les plus jeunes brevetés de l’année (fille et garçon) ; les brevetés les plus âgés et au meilleur en post-alphabétisation. S’agissant du baccalauréat, quarante-deux élèves ayant obtenu la mention Bien ont reçu des prix d’encouragement.

La République reconnaissante a également décerné des prix spéciaux aux plus jeunes bacheliers (fille et garçon) et aux plus âgés. Dans le lot des récipiendaires, on note également la meilleure fille au baccalauréat et les meilleures des classes renforcées de Pointe-Noire.

Fournir encore plus d’efforts

Présidant la cérémonie, le ministre Anatole Collinet Makosso a indiqué qu’un système d’émulation performant et bien adapté peut être une très bonne mesure pour motiver et valoriser certains élèves ayant vécu trop d’échecs. « Ensemble, nous sommes en train de créer les conditions d’apprentissage qui soient conformes aux besoins de nos apprenants afin que les défis à relever par eux soient réalisables. La récompense qui s’en suit peut être perçue comme un moyen temporaire qui alimente la motivation intrinsèque de l’élève et son estime de lui-même plutôt que l’importance d’une gratification spécifiquement matérielle », a-t-il souligné.

En effet, selon le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, la réussite des enfants, mieux que les échecs, résonnera toujours plus fort au sein des cellules familiales. Elle créera toujours, a-t-il expliqué, autant d’électrochocs positifs qui susciteront autant d’espoir et de bonheur, extensible à souhait, au sein de l’ensemble de la communauté éducative. D’où la nécessité de travailler pour la réussite scolaire des enfants. « Je voudrais former le vœu de voir davantage d’élèves promus à l’occasion des cérémonies à venir. Ce sera là, la meilleure occasion de se convaincre de ce que notre système éducatif est réellement en pleine mutation et conforme à nos aspirations en matière de développement économique et social », a conclu Anatole Collinet Makosso.

Couverture sanitaire des examens d’Etat : plus de 2 600 candidats pris en charge

Ces statistiques de l’opération « Confiance » ont été présentées, le 4 juillet à Brazzaville, au cours d’une conférence de presse co-animée par les lieutenants de police, Daniela Gloire Ngassiélé et Bertrand Roger Sah Mbou, médecins urgentistes à la sécurité civile.

Dans le but de prendre en charge médicalement des élèves malades et si possible les stabiliser afin de leur permettre de poursuivre leurs examens, la direction générale de la Sécurité civile a lancé sur le terrain la première promotion de ses médecins d’urgences et de catastrophes. En effet, au total 2601 candidats ont été pris en charge par des sapeurs-pompiers à travers l’opération « Confiance » à Brazzaville, Kinkala, Pointe-Noire, Impfondo, Ouesso, Nkayi, Dolisie, Owando et Oyo où cette composante de la police est présente.

Selon les statistiques présentées, la ville de Brazzaville a enregistré 2 138 cas dont 587 au baccalauréat (Bac) technique sur les 675 au niveau national, 588 au Bac général sur 746, 808 au BEPC sur 1 012, 88 au BET sur les 97 et 68 au CEPE sur 71. Cette couverture sanitaire n’a concerné que les épreuves écrites des différents examens d’Etat. « Ce qui a motivé cette opération, c’est le fait que nous sommes maintenant prêts. La sécurité civile est le premier maillon de secours pour la population congolaise », a expliqué le Dr Bertrand Roger Sah Mbou.

S’agissant des pathologies rencontrées, les deux conférenciers ont cité le paludisme, le syndrome grippal, la gastro entérite, l’Asthme, la carie dentaire, le syndrome anémique, l’Otite, l’hypertension artérielle, le mal épileptique, l’avortement, le syndrome hystérique et bien d’autres. « Nous avons eu des évacuations et avons traité ce qu’on pouvait sur place. Le but était d’éviter qu’un élève puisse rater son examen pour revenir l’année prochaine. Nous avons stabilisé les malades par rapport à nos moyens et pour les cas les plus graves, ils ont été envoyés dans les hôpitaux par rapport à leur proximité », a indiqué le Dr Daniela Gloire Ngassiélé, précisant que l’organisation des ambulances a été faite de telle sorte qu’il y ait un infirmier, un médecin et un brancardier en cas d’évacuation.

Interrogé sur les difficultés rencontrées sur le terrain, le lieutenant de police Bertrand Roger Sah-Mbou a déclaré que tout début d’une action n’a toujours pas été facile au regard du nombre important de pathologies. Des maladies qui pourront être prises en compte totalement à l’avenir car cette promotion comprenait tous les spécialistes: pédiatres,  gastroentérologues, cardiologues, chirurgiens et gynécologues. Il a aussi souligné la nécessité de travailler de connivence avec les ministères en charge des questions de l’éducation afin de faciliter la communication, les échanges entre les deux parties. « Le nombre n’a pas peut-être répondu à toutes les attentes de la population. Il était question de gérer plusieurs cas à la fois, ce n’est pas facile mais nous nous sommes efforcés pour abattre un grand travail », a-t-il poursuivi.

Rappelons que l’action de la sécurité civile a été saluée par le gouvernement, à l’instar du ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Anatole Collinet Makosso, qui le reconnaissait, le 27 juin à Louingui. « La sécurité civile remplissait son office. Nous avons tiré les enseignements de leur apport déterminant pendant les épreuves écrites du baccalauréat. Nous ne pouvons que nous satisfaire de cette coopération qui permet de prendre en charge les enfants malades », déclarait-il.