Congo : Li Yan restitue les résultats du forum sur la coopération sino-africaine

L’ambassadeur de Chine au Congo a animé une conférence de presse lundi 16 septembre, à Brazzaville.

 

La conférence de presse animé par Li Yan portait sur la restituer les résultats du forum sur la coopération sino-africaine qui s’est tenu récemment à Beijing en Chine. Pour la diplomate, le Forum a obtenu des résultats fructueux dans divers domaines. En outre, depuis la mise en place du Focac, la Chine a injecté une énergie forte à la croissance économique de ses partenaires.

« Sous la direction du Focac, le volume des échanges commerciaux entre la Chine et l’Afrique et le stock d’investissement de la Chine en Afrique sont multipliés respectivement par 26 et par 100. 77 instituts Confucius et classes Confucius ont été créés en Afrique. La Chine a envoyé des équipes médicales à 48 pays africains et plus de 230 millions d’Africains en ont bénéficié », a déclaré Li Yan

A l’issue de l’entretien avec la presse nationale, l’ambassadeur de Chine a fait un don du matériel de bureau et informatique aux différents médias. Ce matériel était constitué d’ordinateurs, des onduleurs, des imprimantes, des encres, des photocopieurs, etc. Ont bénéficié de ce don, Les Dépêches de Brazzaville, ACI, TV Congo, radio Congo, Nouvelle République, DRTV, Vox TV et le Groupe Congo Média.

Congo : 3 millions de dollars pour des familles vulnérables

C’est un don de la Chine pour répondre aux besoins des familles en situation de vulnérabilité alimentaire en République du Congo.

 

Le don de la Chine a été remis lundi 11 décembre, au programme alimentaire mondial (PAM). L’accord relatif à ce don a été signé lundi entre l’ambassadeur de Chine au Congo, Li Yan, et le représentant résident du PAM au Congo, Mamadou Mbaye. Ce don d’une valeur de trois millions de dollars, va répondre aux besoins des familles vulnérables.

Rappelons cet appui du gouvernement chinois fait suite à l’opération par laquelle 1356 et 880 foyers ont reçu respectivement à Brazzaville et à Pointe-Noire une assistance alimentaire composée de riz.

En dehors de l’assistance alimentaire et sanitaire, la Chine apporte son soutien aux petits producteurs, au nombre de plus de 1.700 œuvrant dans la production de manioc. C’est du moins ce qu’a indiqué Mamadou Mbaye, représentant résident du PAM au Congo.

Congo : des petits acteurs socio-économiques reçoivent des dons

Le don est composé du matériel de restauration, de maraîchage, de la mécanique automobile, de coiffure homme, de l’informatique, de l’électroménager, de photographie et bien d’autres.

 

Les petits acteurs socio-économiques exerçant dans différents secteurs d’activités ont reçu le 4 juillet, à Brazzaville, un don de matériel professionnel afin de leur permettre de passer de l’informel au formel. Le don est composé du matériel de restauration, de maraîchage, de la mécanique automobile, de coiffure homme, de l’informatique, de l’électroménager, de photographie et bien d’autres. Il fait suite à l’accord signé en avril 2021 entre le gouvernement et le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). Les bénéficiaires ont été notamment les acteurs des départements de Brazzaville et de Pointe-Noire.

Peu avant la remise du matériel, la lettre d’engagement signée entre les deux parties a été présentée. Elle interpelle les acteurs de l’économie informelle à faire bon usage de ce matériel.

« Il est strictement interdit de faire louer, prêter ou vendre ce matériel car en cas de non-respect de l’engagement, le groupement est dans l’obligation de rembourser au gouvernement la valeur du matériel reçu », ont indiqué les organisateurs.

La cérémonie de la remise du matériel professionnel aux acteurs de l’économie informelle a été marquée, entre autres, par l’allocution prononcée par l’administrateur maire de l’arrondissement 3, Poto-Poto, Jacques Elion.  Il a indiqué que la deuxième édition de remise du matériel s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan de travail annuel 2021, initié à l’appui du relèvement des acteurs de l’économie informelle. Elle prouve à suffisance la détermination du ministère de la Promotion de la femme, de l’Intégration de la femme au développement et de l’Economie informelle de faire de ce sous-secteur un pilier indispensable qui contribue à la croissance nationale.

Pour le représentant résident adjoint du Pnud au Congo, Henri René Diouf, ce don contribuera au relèvement des acteurs de l’économie informelle. Au Congo, l’informel emploie plus de 73 000 personnes dans 42 000 unités de production. Le secteur représente une source de revenus pour des personnes avec très peu d’options.

« Le secteur informel joue un rôle important dans l’économie mondiale et dans la réduction de la pauvreté et des inégalités. Son action contribue à deux objectifs de développement durable (ODD) définis dans l’agenda 2030 des Nations unies que sont l’ODD relatif à l’éradication de la pauvreté et l’ODD relatif à la réduction des inégalités », a-t-il déclaré.

De son côté, la ministre de la Promotion de la femme, de l’Intégration de la femme au développement et de l’Economie informelle, Ines Bertille Nefer Ingani, a encouragé les femmes à se formaliser ainsi qu’à dénoncer toutes les formes de violences faites à leur égard.

Entreprise : guide sur le financement participatif

Le financement participatif peut vous aider à lancer et à pérenniser votre entreprise. Découvrez dans cet article tout ce qu’il faut savoir à propos de cette solution financière.

 

Tout ce qu’il faut savoir sur le financement participatif

Nombreux sont les entrepreneurs qui doivent abandonner leur projet parce qu’ils ne disposent pas des fonds nécessaires pour lancer leurs activités. Heureusement, le financement participatif est en train de se développer. C’est une solution de financement pour tout porteur de projet qui souhaite financer son entreprise.

À quoi sert le financement participatif pour une entreprise ?

Afin de financer une société telle qu’une SAS, les associés optent le plus souvent pour ce qu’on appelle une levée de fonds. Il s’agit d’une opération consistant à faire entrer des investisseurs dans le capital d’une société, à charge pour eux de réaliser des apports en numéraire. C’est une pratique très courante pour la forme de société dite à capitaux.

Pour cela, le financement participatif constitue une option plus intéressante par rapport aux établissements bancaires et aux organismes de crédit. Il utilise une plateforme qui met en relation l’entrepreneur qui a besoin d’un fond d’un côté, et les particuliers qui veulent fructifier leur économie de l’autre.

Le financement participatif permet d’augmenter le montant du capital afin de développer son activité ou de réaliser de nouveaux investissements.

Les différentes formes de financement participatif

Le financement participatif peut se présenter sous trois grandes formes : le don, le prêt et l’investissement.

Le don

Il s’agit d’une aide financière de la part des amis, des membres de la famille, des passionnés d’un sujet ou de personnes qui poursuivent une cause commune. En retour, les donateurs ne reçoivent rien ou reçoivent des cadeaux symboliques.

Le prêt participatif

Le prêt participatif est un prêt destiné à reconstituer les fonds propres d’une entreprise. Il est destiné à une entreprise déjà opérationnelle pour satisfaire un besoin en liquidité. Il peut aussi servir à réaliser des investissements immatériels (acquisition de logiciels, recherches et développements, formation des collaborateurs…).

Pour le prêt participatif, le montant du prêt de chaque contributeur est plafonné à 5 000 € s’il s’agit d’un prêt non rémunéré. Il est limité à 2 000 € pour les prêts rémunérés. Dans ce dernier cas, le taux d’intérêt varie aux alentours de 8 %.

L’investissement participatif

Ici, le contributeur est appelé à apporter des fonds dans la société, et reçoit en retour une contrepartie de son investissement. Il peut s’agir :

  • d’un apport en capital qui permet à l’investisseur de recevoir de dividendes,
  • d’une obligation dont la rémunération prend la forme d’intérêts,
  • ou d’une participation financière récompensée par des royalties ou des commissions sur le chiffre d’affaires.

Les avantages du crowdfunding

Par rapport aux modes de financement traditionnels (banques, établissements de crédit), le financement participatif présente un certain nombre d’avantages.

Un financement rapide

La levée de fonds en financement participatif peut être rapidement mise en œuvre. Lorsque votre projet est validé, la prochaine étape consiste à trouver une plateforme de financement participatif existante. Cette dernière vous met en relation directe avec les particuliers qui veulent vous aider. Vous pouvez aussi lancer vous-même votre campagne de financement.

Des conditions de financement très souple

Avec les dons et les prêts sans intérêts, l’entreprise peut obtenir le fonds dont elle a besoin, sans payer des contreparties financières. Concernant les prêts, le financement participatif dispose d’un point fort principal : l’absence de garanties personnelles. Autrement dit, l’entrepreneur ne doit fournir aucune garantie pour obtenir le prêt. Son patrimoine personnel est donc préservé en cas de défaut de paiement.

Un financement adapté aux besoins spécifiques

Le financement participatif constitue aussi une solution pour financer des besoins rarement pris en charge par les banques. Il s’agit, par exemple, du besoin en fonds pour former les collaborateurs ou pour mener des recherches.

Une plus grande visibilité

Lancer une campagne de financement participatif consiste à porter votre projet à la connaissance du public. On utilise toutes sortes de moyens (médias, réseaux sociaux, réseaux professionnels…) pour communiquer, diffuser de la publicité, etc. Ce qui fait que l’entreprise et toutes les informations importantes à son sujet (activité, produits/services, raison sociale…) sont connues avant même qu’elle soit opérationnelle. Il faut aussi noter que les donateurs deviennent les premiers clients de l’entreprise.

Comment mener une campagne de financement participatif ?

Il est indispensable de bien préparer votre campagne pour qu’il arrive à vous rapporter le fonds que vous souhaitez.

Ce qu’il faut faire avant la campagne

  • Rassembler les éléments permettant de convaincre les investisseurs : business plan, modèle d’entreprise, étude de marché, plan de financement, etc.
  • Soigner sa manière de communiquer : convaincre, capter l’attention du public, utiliser les bons supports de communication (contenus textuels, visuels, etc.).
  • Exploiter tous les canaux de communications existants : le média, le blog, le site web, l’e-mailing, les réseaux sociaux, etc.
  • S’octroyer le budget nécessaire pour mener votre campagne de communication.

Ce qu’il faut faire pendant la campagne

Votre présence, aussi bien physique qu’en ligne, est très importante. Vous devez aller à l’encontre des investisseurs, et aussi animer vos communications.

Vous pouvez faire appel à des proches ou à des influenceurs pour partager l’information sur votre campagne. Les personnes influentes sont là pour rendre virale votre campagne de communication.

Ce qu’il faut faire après la campagne

Quel que soit le résultat de la campagne, vous devez informer le public, surtout les financeurs, de l’issue de votre projet. Ceux qui ont participé doivent recevoir les contreparties promises. Quant à vous, vous devez tirer des enseignements des actions menées et des retours obtenus.

Pour conclure, il convient d’ajouter qu’il existe d’autres sources de financement pour une entreprise : fonds d’investissement, business angels, subventions, aides publiques… C’est à vous de choisir l’investissement adapté à votre projet.

Congo : le CNTS reçoit un conteneur de collecte de sang

L’association Regard d’Afrique a fait un don d’un conteneur de sang au Centre national de transfusion sanguine (CNTS).

Le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) a reçu mardi 19 avril un container aménagé destiné à la collecte de sang. C’est un don de l’association Regard d’Afrique que dirige Nathalie Bumba. L’objectif de cette offre est d’accroître son approvisionnement en produits sanguins.

Le don a été réceptionné par le ministre de la Santé et de la population, Gilbert Mokoki qui l’a ensuite transmis au directeur général du Centre national de transfusion sanguine (CNTS), Serge Oscar Mokono en présence de quelques membres du gouvernement.

Le poste avancé de collecte sang sera installé à la cité universitaire, à côté de l’amphi 1600, avec pour objectif de se rapprocher des potentiels donneurs mais aussi de faire la promotion du don de sang volontaire et bénévole auprès des étudiants et de la population environnante.

Ce don est le fruit de la collaboration entre le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) et l’association Regard d’Afrique dont le but est de renforcer et d’augmenter la capacité d’approvisionnement du centre en produits sanguins.

« L’association se joint donc au combat de zéro décès par manque de sang, que mène le centre, en offrant le premier poste avancé de collecte de sang de masse que nous avons présenté ce matin », a signifié le Bresley Tsiengui, coordonnateur des projets santé de l’association Regard d’Afrique.

En deux ans, le CNTS a doublé sa production, elle est passée de 45 000 poches produites par an à 90 000 poches. Des résultats positifs mais toujours pas suffisants selon le directeur général du CNTS parce que les besoins sont autour de 150 000 poches.

Congo : la Chine fait un don de plus de 290 millions F pour les victimes d’inondations

Ce don fait suite à l’accord de coopération économique et technique signé le 12 juin 2014, entre le Congo et la Chine.

 

La République du Congo a reçu le 11 mars dernier la somme de 296,7 millions FCFA (500 000 dollars américains) de la part de la Chine. Cet argent s’inscrit dans le cadre de l’aide humanitaire d’urgence aux victimes des inondations dans la partie nord de Congo.

Le don fait suite à l’accord de coopération économique et technique signé le 12 juin 2014, entre le Congo et la Chine. Il permettra d’appuyer les opérations d’assistance aux victimes des inondations dans les départements des Plateaux, de la Cuvette, de la Sangha et de la Likouala sinistrés.

La remise du don s’est faite entre l’ambassadeur de Chine au Congo, Mâ Fulin, et le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, de la Francophonie et des Congolais de l’étranger, André Poh, en présence de la ministre des Affaires sociales et de l’Action humanitaire, Irène Marie Cécile Mboukou-Kimbatsa.

Le diplomate chinois a expliqué à cette occasion que son pays suit avec inquiétude l’évolution des catastrophes occasionnées par l’apparition des inondations et est très attristé par les dégâts occasionnés.

Congo : don de médicaments et du matériel médical technique de la Chine

L’ambassadeur de la République populaire de Chine à Brazzaville, Ma Fulin, a remis le 28 février ce don au ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki.

 

Des médicaments et du matériel médical technique c’est ce qui constituait le don de la Chine au gouvernement congolais. Il a été réceptionné par le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki.

Notons que le don offert est estimé à plus d’une dizaine de millions de francs CFA, est destiné à l’hôpital d’Amitié sino-congolaise de Mfilou, dans le cadre de la crise sanitaire. Il est composé de médicaments, des tables d’opération, de matériel de buanderie, de stomatologie, de cabines de biométrie, des fauteuils dentaires, des consommables de radiographie, de carbones et bien d’autres.

La donation s’inscrit dans le cadre de la coopération d’amitié qui existe entre les deux pays depuis des longues dates, a expliqué le diplomate chinois.

C’est l’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de Chine au Congo qui a remis l’offre au gouvernement congolais.

Il faut dire que dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, la Chine avait fait des dons de plus de 809 220 doses de vaccins Sinopharm au Congo.

Coronavirus : le Congo reçoit 151 000 doses supplémentaires de Johnson and Johnson

C’est un don de l’Espagne qui a été remis mardi 15 février 2022, par l’ambassadeur de ce pays au Congo, Carlos Robles Fraga.

 

La République du Congo reçoit 151 000 doses supplémentaires du vaccin Johnson and Johnson. Ce don a été remis le 15 février au gouvernement congolais par l’ambassadeur du royaume d’Espagne au Congo, Carlos Robles Fraga

Ces doses de plus vont permettre d’augmenter la capacité de produits pour vacciner la population congolaise. Un don qui s’inscrit dans le cadre de l’effort de solidarité vers d’autres pays. C’est du moins ce qu’a précisé l’ambassadeur d’Espagne

Le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, qui a réceptionné l’échantillon symbolique de ce don, a rappelé que la vaccination est le pilier du plan de riposte à la Covid-19. Selon lui, le taux de couverture vaccinale de la population devrait atteindre 60% d’après les conseils de l’OMS.

« Le ministère s’est engagé dans plusieurs initiatives multilatérales et bilatérales visant à garantir les disponibilités de vaccins pour la campagne de vaccination contre la covid » a déclaré Gilbert Mokoki.

Congo-coronavirus : nouvelle livraison de 168 000 doses du vaccin Johnson & Johnson

Le directeur du Programme élargi de vaccination (PEV), Alexis Mourou Moyoka, a réceptionné le don de doses supplémentaires du vaccin contre la Covid-19.

 

Les Etats-Unis viennent de faire un nouveau don de 168 000 doses de vaccin Johnson & Johnson. Ces vaccins ont été réceptionnés par le directeur du Programme élargi de vaccination (PEV), Alexis Mourou Moyoka, le 15 novembre 2021. Ce lot est acquis avec l’appui de l’Union des Fonds des Nations unies pour l’enfance et de l’Organisation mondiale de la santé, via l’initiative Covax. Il vient compléter les 302 400 premières doses du même vaccin offertes au Congo, le 27 août dernier, par les Etats-Unis.

Ce don va permettre au Congo de renforcer la campagne de vaccination en cours dans le pays. Notons que les Etats-Unis ont offert au Congo au total 470 400 doses du vaccin Johnson and Johnson contre le coronavirus.

Congo-coronavirus : les États-Unis font un don de plus de 300.000 doses de vaccins

Selon le bureau régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Afrique, ce don s’inscrit dans le cadre du mécanisme Covax.

 

La République du Congo a reçu plus de 300.000 doses de vaccins contre le coronavirus. C’est un don des États-Unis qui s’inscrit dans le cadre du mécanisme Covax, dont la première livraison a été réceptionnée ce week-end. C’est du moins ce qu’a indiqué ce lundi 30 août le bureau régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Afrique.

«La première livraison de vaccins contre la COVID19 par le COVAX au Congo a eu lieu ce week-end à Brazzaville», écrit l’OMS Afrique sur twitter. Le dispositif Covax vise à fournir cette année des vaccins anti-Covid à 20% de la population de près de 200 pays à travers le monde. «Le pays (Congo-Brazzaville) a reçu 302.400 doses de vaccin J&J [Johnson&Johnson] données par les États-Unis», précise le bureau régional de l’OMS.

Rappelons qu’au Congo, la campagne de vaccination contre le Covid-19 avait démarré en avril dernier. Les vaccins chinois Sinopharm et russe Sputnik étaient proposés aux candidats au vaccin. Cette campagne n’a jusqu’à présent pas suscité l’engouement des habitants. Mi-août, seuls 1,8 à 2% de la population éligible à la vaccination avaient reçu leurs doses, à cause des résistances et de la méfiance que suscitent les vaccins.

Congo : les USA fait un don de 660 millions FCFA pour le Pool

Cette somme vise à accompagner le gouvernement congolais à stabiliser et sécuriser le département du Pool.

 

La République du Congo et les Etats-Unis viennent de signer un protocole d’accord. C’est qui explique la rencontre entre la Chargée d’Affaires des USA au Congo, Ellen Thoburn et le Ministre, Haut-Commissaire à la Réinsertion des Ex-Combattants, Euloge Landry Kolelas. La rencontre a eu lieu dans la capitale congolaise, Brazzaville mardi 22 juin 2021.

Le document paraphé par les deux personnalités porte sur un accord de don du gouvernement Américain de 1,2 millions de dollars soit environ 660 millions de francs FCA. Cette somme est destinée à soutenir les activités de réinsertion dans le Département du Pool. Le premier volet porte sur les districts de Mayama et Kindamba.

« La paix et la sécurité permettent à chacun de rechercher le bonheur, la justice et des moyens de subsistance. La paix et la sécurité permettent aux entreprises de se créer, de se développer et de prospérer. La paix et la sécurité permettent à la prochaine génération de dirigeants d’obtenir une éducation. La paix et la sécurité permettent à ceux qui sont malades de se faire soigner. La paix et la sécurité mènent au dialogue, à la collaboration et à une compréhension commune du progrès. », a relevé Ellen Thoburn

Notons qu’on il s’agit pour les États-Unis d’Amérique, d’accompagner les efforts du gouvernement congolais à promouvoir la paix et la réconciliation, la résilience communautaire, la sécurité alimentaire dans le département du Pool.

Congo : 34 milliards FCFA, le coût du nouveau siège du parlement

Les travaux de construction de ce nouvel édifice ont duré trois ans et c’est un don de la République populaire de Chine.

Le parlement congolais a son nouveau siège. Cet édifice flambant neuf qui va abriter le Sénat et l’Assemblée nationale est un don de la Chine. la construction de cette infrastructure a duré trois ans pour un coût global de plus de 34 milliards FCFA. Les travaux ont été réalisés par l’entreprise chinoise Jiangsu Provincial construction group corporation limited.

Le nouveau parlement comprend deux blocs de trois niveaux. Entre les deux blocs, se trouve la grande salle polyvalente de banquets avec terrasse accessible. L’Assemblée nationale dispose d’un hémicycle de cinq cents places et le Sénat, trois cents. L’ensemble du bâtiment a des commodités suivantes : trois ascenseurs par bloc ; un système vidéo surveillance ; un système de sécurité incendie et extinction ; un système de réception satellite et radiodiffusion ; un système de câblage synthétique (fibre optique et autres réseaux) ; un système de sonorisation et écran géant ; un système d’alimentation, de traitement et d’évacuation des eaux.

Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a procédé mercredi 3 mai à son inauguration en présence de l’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin et de plusieurs personnalités.

Congo : un don de matériel pour la gestion des catastrophes

La Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) a offert du matériel de travail au point focal national.

Du matériel informatique et de communication, c’est ce qui constituait le don que vient de faire la Communauté économique des Etats de l’Afrique au point focal national. La cérémonie de remise du  don a eu lieu, le 13 octobre, à Brazzaville à l’occasion de la célébration de la Journée internationale pour la gestion des risques de catastrophes. C’est Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’Environnement du Congo qui a présidé la remise du don.

Arlette Soudan-Nonault a indiqué que le don témoigne de l’intérêt que cette institution sous régionale accorde à la problématique de la prévention des risques de catastrophes dans cette partie du continent en général et au Congo en particulier.

« Comme vous le savez, l’Afrique centrale est particulièrement vulnérable aux effets néfastes des changements climatiques et leurs corollaires d’impacts négatifs sur les populations. Cette réalité nous appelle à une prise de conscience collective et à la mise en œuvre d’actions d’envergure si nous voulons créer les conditions de notre adaptation, donc de notre survie. Cette problématique concerne toutes les parties prenantes, à savoir les pouvoirs publics, la société civile et le secteur privé », a déclaré la ministre.

Le don de la CEEAC était composé de quatre ordinateurs portables, deux ordinateurs fixes, une imprimante à trois fonctions et deux modems wifi avec accessoires. Les bénéficiaires de ce don sont notamment le point focal du Réseau des parlementaires pour la résilience aux catastrophes en Afrique centrale, le point focal Genre et le point focal Météorologie, à qui sont destinés trois ordinateurs portables. Le reste du matériel étant dévolu au fonctionnement du point focal national pour la prévention et la gestion des risques de catastrophes.

Congo : La Chine fait un don à la maire de Brazzaville

Composé d’ordinateurs, imprimantes et autres le présent a été réceptionné, mardi 29 septembre, par le président du Conseil départemental et municipal de Brazzaville, Dieudonné Bantsimba.

La Chine vient d’offrir des ordinateurs à la mairie de Brazzaville. Ce don s’inscrit dans le cadre de l’assistance de la Chine à la République du Congo. Il est composé d’ordinateurs portables et de bureau, des imprimantes, et autres accessoires informatiques. C’est l’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin, qui a procédé à la remise du don au maire de la ville.

Ce nouveau don selon l’ambassadeur, témoigne de la volonté de la Chine à renforcer sa coopération avec le Congo. Pour Ma Fulin, l’aide permettra aux services municipaux de travailler dans les conditions optimales et modernes.

« Les peuples congolais et chinois sont de bons frères. Nous voulons témoigner cette fraternité par des actions amicales et fraternelles, surtout par la réalisation des projets dans cette ville. C’est dans ce but que nous sommes venus à la rencontre du maire et avons profité pour faire ce geste. Cette visite coïncide avec la fête de la lune et la fête nationale de la Chine, deux évènements les plus importants dans notre pays », a indiqué Ma Fulin.

Pour le président du conseil départemental et municipal de Brazzaville, la donation vient à point nommé souder à nouveau les relations bilatérales et fortifier les liens qui existent entre les deux pays.

« Ce matériel sera géré à bon escient. Il nous permettra de renforcer les capacités de nos services. Nous réitérons notre disponibilité à collaborer avec les villes chinoises. Fait à l’occasion des fêtes d’indépendance et de la lune, qui est une fête de la famille, ce geste vient témoigner notre familiarité avec le peuple chinois », a déclaré Dieudonné Bantsimba.

Congo : l’école nationale d’agronomie reçoit du matériel de laboratoire

Ce don est du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage, grâce au financement du Projet d’appui au développement de l’agriculture commerciale (Pdac).

L’Ecole nationale supérieure de l’agronomie et de la foresterie (ENSAF) a reçu, le 9 septembre, un don de matériel de laboratoire de la part du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage, grâce au financement du Projet d’appui au développement de l’agriculture commerciale (Pdac).

C’est un ensemble composé entre autres des réactifs, des verreries et des petits équipements tels que les loupes otoscopes, et des transformateurs universels. Ce présent remis par le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, Michel Elenga, a été réceptionné par le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur qui, à son tour, l’a transmis au vice-recteur de l’Université Marien- Ngouabi, Jean Maurille Ouamba.

Notons que, l’appui du Pdac à cette école d’enseignement supérieur s’inscrit dans le cadre de sa composante 3, dédiée au renforcement des capacités des institutions et au renforcement de l’agriculture commerciale au profit des structures de formations professionnelles et supérieures agricoles.

Congo/Covid-19 : vers des dépistages en masse

Le ministre de l’Aménagement, de l’Equipement du territoire et des Grands travaux, Jean-Jacques Bouya, a réceptionné le 9 juin à Brazzaville, des lots de produits de lutte contre le coronavirus offerts par la Chine.

Composé essentiellement des réactifs, des masques, des intrants et autres matériaux susceptibles de renforcer les stratégies de riposte à la covid-19, ce don du gouvernement chinois répond bien à la demande de la République du Congo, a signifié Jean-Jacques Bouya.

Ainsi, le Congo pourrait désormais, selon lui, enclencher l’opération de dépistage en masse. « Depuis le début de la covid-19, la Chine est toujours à nos côtés. Aujourd’hui, ce vol spécial nous a apporté d’autres produits de prévention contre la pandémie à coronavirus. Au nom du gouvernement, je remercie la Chine. Nous avons reçu plus de dix milles réactifs et je pense que l’instruction du président de la République concernant le dépistage en masse sera bientôt effective », a-t-il indiqué.

Ces produits qui constituent le plus grand lot du don de la Chine au Congo depuis le début de cette pandémie sont arrivés ensemble avec ceux acheté par l’Etat congolais.

« Nous avons plus de cent cinquante mille masques, des respirateurs, des tests réactifs d’acide nucléique pour dix mille personnes, des combinaisons et autres produits de prévention », a expliqué l’ambassadeur de Chine au Congo Ma Fulin lors de la remise du don à l’aéroport Maya-Maya.

Par ailleurs, le ministre de l’Aménagement, de l’Equipement du territoire et des Grands travaux, a remis, au nom du gouvernement congolais, des diplômes d’honneur aux médecins chinois spécialisés en épidémiologie. Ces derniers viennent d’avoir des échanges avec leurs homologues congolais dans la détection, la prise en charge et le traitement des patients atteints du coronavirus.

Le Congo reçoit un nouveau don de la Chine

Ce don est constitué de 150 milles masques simples et sophistiqués, des respirateurs, de 10 milles tests réactifs, tactiques et autres matériels.

La république du Congo vient de recevoir un nouveau don de la Chine. Il s’agit du matériel de prévention contre le coronavirus. Ce don est dont constitué de 150 milles masques simples et sophistiqués, des respirateurs, de 10 milles tests réactifs, tactiques et autres.

Mardi 09 juin, l’Ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin a précisé à Brazzaville que cette offre s’inscrit dans le cadre de la riposte contre la Covid-19 mais aussi dans l’amitié traditionnelle qui unit les deux pays.

Le don a été réceptionné par le président de la commission nationale de suivi et de coopération du forum Chine-Afrique, Jean Jacques Bouya.

Congo : le ministère des Postes et des télécommunications reçoit un don de masques

C’est un don de la société chinoise Huawei qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus.

Le ministre de des postes et des télécommunications et de l’Economie numérique, Léon juste Ibombo a récemment réceptionné un don de masques. C’était celui de la société chinoise Huawei. Ce geste va en droite ligne du combat actuel contre le coronavirus dont fait face le monde en général et le Congo en particulier.

Ces masques devront permettre au personnel du ministère de renforcer davantage l’observation des mesures barrières afin de stopper la transmission interhumaine du virus.

Pour rappel depuis 2007, Huawei accompagne le Congo dans certains de ces projets.

Congo : la direction générale de l’administration pénitentiaire reçoit un don de l’UNHCR

Cent dispositifs lave-mains, six mille six cent dix-huit masques, trois mille trois cent neuf gels hydroalcoolisés et autre constituaient l’ensemble du don.

Vendredi 15 mai, la direction générale de l’administration pénitentiaire a reçu du matériel de protection contre le coronavirus. C’est un don de la représentation du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR), en partenariat avec le comité national des droits de l’homme (CNDH).

Celui-ci était constitué de cent dispositifs lave-mains, six mille six cent dix-huit masques, trois mille trois cent neuf gels hydroalcoolisés, deux cent huit cartons de savons, quatre-vingt-dix-neuf sous-vêtements féminins et quatre-vingt-dix-neuf serviettes hygiéniques. Il a été réceptionné par Jean Blaise Komo, directeur général de l’administration pénitentiaire.

Evalués à dix-huit millions quatre cent soixante-dix-neuf mille deux cent soixante-seize francs CFA, ces produits seront distribués à mille cent trois détenus dont vingt et trois refugiés. « Le milieu carcéral étant très sensible, c’est de bon droit que le HCR en partenariat avec le CNDH a choisi de soutenir les détenus en République du Congo, afin de lutter contre la propagation du coronavirus. Nous poursuivons la donation à d’autres maisons d’arrêt du pays pour accompagner le Congo et répondre à l’appel du chef de l’Etat », a indiqué

Congo-Coronavirus : des entreprises chinoises font un don d’équipements

Des masques, des tests et d’autres intrants utiles dans la lutte contre la pandémie, constituaient le offert par deux entreprises chinoises au gouvernement congolais.

La ministre en charge de la Santé, Jacqueline Lydia Mikolo et celui de l’Aménagement du territoire, Jean-Jacques Bouya, ont réceptionné le 13 mai à Brazzaville.

« Ce geste est une manière pour nous de témoigner notre solidarité avec le Congo dans la riposte au Covid-19 », a expliqué le directeur de la société chinoise Jiangsu provincial construction. Cette société construit le nouveau siège du Parlement congolais en plein cœur de Brazzaville. L’autre entreprise, Cemg a apporté un lot d’équipements.

Pour la ministre en charge de la Santé, ce don, notamment les intrants, permettront de faire les tests. Le gouvernement s’est, en effet, engagé dans un processus visant à réaliser un dépistage à grande échelle. Ces équipements seront utilisés dans la prise en charge des malades et la protection des personnels de santé.

De son côté, le ministre Jean-Jacques Bouya a souligné que le geste des entreprises chinoises était l’expression de l’excellence des relations entre les deux pays. Il a également salué les efforts de l’ambassade de Chine qui mobilise les partenariats publics et privés pour accompagner le Congo dans la riposte au Covid-19.

Congo : l’Association des cuisiniers apporte du sourire aux démunis

A travers un don composé d’aliments frais, boîtes de conserve, savons et gels hydroalcooliques pour les personnes âgées, au moins cinquante familles démunies en ont été des bénéficiaires.

Le donateur est un membre de l’Association des cuisiniers du Congo basé aux États-Unis, chef Christ Lanydrek. Dans un contexte de confinement à domicile de la population, décrété dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus, ce geste de solidarité a soulagé des personnes vulnérables vivant à Bacongo, Ouenzé, Makélékélé, Poto-Poto et au centre-ville.

D’après le secrétaire général de l’Association des cuisiniers du Congo, chef Pascal Ottataud, les professionnels ne comptent pas s’arrêter à cette première distribution. D’autres donateurs résidant à l’étranger ont promis offrir des vivres et non-vivres à distribuer aux démunis. « En fonction des dons que l’association va recevoir, nous allons procéder à une nouvelle distribution dans d’autres quartiers », a-t- fait savoir.

Créée il y a cinq ans, l’Association des cuisiniers du Congo promeut le métier de la cuisine et forme également des jeunes congolais à l’art culinaire. Tout comme le reste des activités socio-économiques du pays, le secteur de la gastronomie est durement affecté par la crise sanitaire liée au Covid-19, avec la fermeture des hôtels et restaurants de la place.

Coronavirus-Pointe-Noire : 10000 bavettes offertes à des hôpitaux publics

C’est un don de la fondation Congo qui a à sa tête la première dame, Antoinette Sassou Nguesso.

La fondation Congo a fait un don de dix mille bavettes à certains établissements de santé dans la ville océane. La cérémonie de remise du don a eu lieu samedi 14 mars à la clinique Poto Djembo.

Composé de plus de dix mille bavettes, celles-ci ont été remises par Félicité Meno Diop Tchilimbou, responsable antenne Congo Assistance Pointe-Noire, aux responsables de l’hôpital général Adolphe-Sicé, l’hôpital de base de Tié-Tié, du Centre de santé intégré Madeleine-Mouissou et l’hôpital régional des armées.

En ce moment où le monde traverse la pandémie du coronavirus, tous les pays prennent des mesures pour limiter les dégâts. Ces bavettes serviront à protéger le personnel et les malades, a indiqué Raoul Chocolat, directeur général de l’hôpital général Adolphe-Sicé.

Leur usage constitue une des mesures de prévention de cette pandémie détectée pour la première fois dans la ville de Wuhan en Chine, qui ne cesse de se propager dans le monde. Au Congo, le premier cas a été détecté samedi 14 mars. Ce qui suscité la prise d’un certain nombre de mesures par le gouvernement.

Congo : l’hôpital spécialisé Blanche-Gomez s’arrime au digital

La Fondation Congo Assistance a fait  un don de matériel informatique à la direction générale de l’hôpital mère-enfant, le mardi 10 mars 2020.

L’hôpital spécialisé Blanche-Gomez est au cœur de l’action de la première dame du Congo, présidente de la Fondation Congo Assistance (FCA) qui tient à ce qu’il devienne le centre de référence au Congo, concernant la mère et l’enfant.

« La première dame a estimé qu’il fallait porter un appui aux techniques pour que l’exigence de modernité se matérialise dans cet hôpital. Ce matériel informatique permettra à Blanche Gomez de se digitaliser et de faire en sorte qu’il y ait un suivi réel des patients et qu’il y ait une traçabilité sur les soins à administrer», a déclaré le secrétaire général de la Fondation, Michel Mongo, au cours d’une cérémonie, en présence des responsables de l’hôpital et ceux de Congo Assistance.

« Nous sommes convaincus que le directeur général de l’hôpital, sur la supervision de son président, fera un usage approprié de ce matériel. Ce qui nous donnera plus d’élan à vous accompagner davantage. C’est un long voyage qui commence à travers ce petit geste », a-t-il ajouté.

Le directeur général de cet hôpital a, au nom du personnel de l’hôpital, exprimé sa joie : « C’est avec beaucoup d’émotion et une grande satisfaction que je reçois ce présent de la part de la FCA que dirige notre mère. C’est un établissement que nous dirigeons certes avec beaucoup de difficultés, mais, je crois que nous saurons compter avec cette Fondation qui vient de marquer un pas important. C’est un grand plaisir que cette dame qui a pour principal cheval de bataille la santé de la mère et de l’enfant puisse penser à Blanche Gomez ».

Ce matériel, a-t-il dit, « nous permettra d’informatiser la gestion de Blanche-Gomez. Le système de gestion était encore manuel, c’était un travail pénible pour les acteurs qui s’occupent de ce département, mais, avec ce matériel, la gestion sera informatisée et nous pourrons prendre l’engagement que nous en ferons bon usage », a indiqué Jean Robert Mabiala Babela, ajoutant que « Lorsque nous avons présenté les difficultés de Blanche-Gomez, la FCA avait réagi. Elle avait fait la promesse de nous offrir des ordinateurs. Pendant que nous attendions cinq ordinateurs, elle nous en donne le double. C’est une satisfaction ».

Signalons que le don du matériel informatique fait suite à la promesse faite par la FCA lors de la deuxième session du comité de direction de l’hôpital au cours de laquelle les autorités avaient exprimé leurs besoins.

Congo : les Etats-Unis offrent 118 tonnes de vivres pour les sinistrés des inondations

L’Ambassade des Etats-Unis en République du Congo annonce l’envoi d’une barge de 118 tonnes de produits alimentaires à Mossaka pour assister 24 000 personnes sinistrées par les inondations.

Cet envoi de vivres des Etats-Unis, intervient en réponse à l’appel des autorités congolaises. L’expédition et la distribution des produits seront assurées par le Programme Alimentaire Mondial. Cette offre s’inscrit dans le cadre de la réponse à l’appel des autorités congolaises. La cargaison est composée de 86 tonnes de riz, 23 tonnes de haricot, 8 tonnes d’huile et une tonne de sel.

« Nous espérons que ces vivres soulageront la population de Mossaka en ce moment particulièrement difficile », a déclaré Dan Travis, Chargé d’Affaires de l’Ambassade des Etats-Unis.

Rappelons que, la ville de Mossaka a été particulièrement affectée par les inondations touchant le centre et le Nord de la République du Congo depuis octobre 2019. Les autorités locales font état d’une forte augmentation des prix alimentaires en raison des dégâts de la montée des eaux sur les infrastructures, les stocks et les zones d’approvisionnement en produits locaux. Pour exemple, le sac de 50 kg de farine de manioc qui coutait 7 500 FCFA en août-septembre avant les inondations, coute aujourd’hui 12 500 FCFA (prix fin décembre 2019 à Mossaka).

Paludisme : fausse rumeur sur l’empoisonnement des moustiquaires

La plate-forme des organisations non gouvernementales et associations de lutte contre le paludisme au Congo a appelé, le 17 septembre à Brazzaville, les responsables des ménages à se faire recenser en vue de s’approprier des moustiquaires imprégnées d’insecticide, insistant qu’elles ne sont pas toxiques.

L’invite des organisations de la société civile fait suite à un support sonore qui circule dans des réseaux sociaux au sujet des moustiquaires imprégnées qui seraient empoisonnées.

La plate-forme de lutte contre le paludisme demande à la population congolaise de ne pas se fier à cette publication sonore, assurant que l’insecticide utilisé pour imprégner ces moustiquaires n’est pas toxique à l’homme et ne constitue pas une menace pour la santé.

« La dotation des moustiquaires imprégnées d’insecticides à longue durée d’action par le Fonds mondial, principal bailleur qui finance la lutte contre le VIH-sida, la tuberculose et le paludisme en collaboration avec le ministère de la Santé et de la population est une initiative salvatrice pour la prévention contre cette pandémie », a indiqué Fredy Kelly, rapporteur de la plate-forme.

Au Congo, le paludisme est un problème majeur de santé publique. Le rapport 2018 de l’Organisation mondiale de la santé a enregistré 403 000 décès dus à cette maladie. En effet, pour l’endiguer, le gouvernement procède depuis le début de ce mois au dénombrement des ménages dans le but de leur distribuer des moustiquaires imprégnées. Mais certains ménages refusent de se faire recenser, redoutant des moustiquaires qui seraient nocives à la santé ou empoisonnées.

Pour atteindre tous les ménages cibles, le ministère de la Santé et de la population, grâce à l’appui de ses partenaires financiers, a déployé plusieurs agents dénombreurs sur l’ensemble du territoire national. A Brazzaville, ces agents ont été confrontés au refus de certains ménages qui n’entendent pas se faire enregistrer.

« Nous confirmons que la société civile, à travers notre plate-forme, est impliquée dans le processus d’obtention du don de ces moustiquaires depuis le dialogue pays qui a dégagé les priorités nationales en matière de lutte contre le paludisme, en passant par la rédaction du projet, jusqu’à la signature de l’accord de don entre le Congo et le Fonds mondial », a précisé Bipemosso, premier président de la plate-forme de lutte contre le paludisme.

La déclaration de la plate-forme des organisations non gouvernementales et associations de lutte contre le paludisme relève que « la rumeur ne précise ni la nature de l’insecticide ni le laboratoire pour déduire que ces moustiquaires sont toxiques ».

Congo : le ministère de l’agriculture reçoit un don de 15 véhicules

Le don est du projet d’appui au développement de l’agriculture commerciale (PDAC), en collaboration avec la Banque mondiale (BM).

Le PDAC en collaboration avec la BM a fait un don de quinze véhicules (4×4) au ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche. Il y en aura trente-cinq, mais les vingt autres seront offerts avant fin septembre.

« Le gouvernement a conscience de l’état d’indigence matérielle qui caractérise nos services partout, mais, dans le cadre du PND 2018-2022 nous avons prévu un plan de développement de notre agriculture, y compris le renforcement des capacités opérationnelles et institutionnelles. Et, dans ce cadre-là, il est prévu de doter nos services techniques des moyens adéquats afin qu’ils puissent se déployer et être plus efficaces, ou qu’ils deviennent efficaces parce que, sans moyens, ils sont cloitrés, ils ne peuvent pas produire assez », a expliqué le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Henri Djombo.

Cette dotation s’inscrit dans le cadre du renforcement des capacités des institutions publiques qui appuient l’agriculture commerciale de la composante III du PDAC. Les véhicules serviront aux descentes sur le terrain, l’exécution des programmes conformément à la politique agricole nationale.

Mathurine Dzoualou, directrice départementale de l’agriculture, a dit sa gratitude au PDAC pour ce geste. « Dans notre façon de faire, qu’est ce qui va changer ; c’est la manière. Nous serons sur le terrain pour regarder la bonne marche du travail ».

Pour le coordonnateur du PDAC, Isidore Ondoki,

« L’objectif étant de renforcer les capacités des collègues qui sont sur le terrain à bien faire leur travail de tous les jours. Nous finançons les micro-projets ; la grande administration est à Brazzaville. Les personnes qui sont plus proches des bénéficiaires, ce sont les directeurs départementaux, les chefs de secteur agricole. Donc, lorsque nous leurs donnons les moyens, en réalité, nous donnons les moyens à nous-mêmes », a précisé le coordonnateur du PDAC, Isidore Ondoki.

La Chine fait un don de matériel aratoire pour les déplacés du Pool

Un don qui complète les kits du matériel aratoire que la Chine a récemment mis à la disposition des familles relogées pour accroître leur capacité de production agricole.

C’est l’ambassadeur chinois, Ma Fulin, qui a procédé à la remise du matériel aratoire, au ministère des Affaires sociales et de l’action humanitaire.  Ce matériel aratoire devra servir les déplacés, de poursuivre la relance des activités agricoles lorsqu’ils reviendront dans leurs localités.

« Ce n’est pas pour la première fois que la Chine nous aide dans le cadre du plan de relèvement des familles relogées du Pool », a rappelé la ministre des Affaires sociales et de l’action humanitaire, Antoinette Dinga-Dzondo, recevant le don de l’ambassade de Chine, le 27 mars, à Brazzaville.

Ce don vient compléter les kits du matériel aratoire que la Chine a récemment mis à la disposition des familles relogées pour accroître leur capacité de production agricole.

Ma Fulin a indiqué que son pays va poursuivre son action humanitaire dans le Pool. « Nous allons continuer à faire ce genre d’actions d’une manière ou d’une autre », a-t-il dit.

On se rappelle qu’en février dernier, la Chine avait fait un don estimé à soixante et un millions de francs CFA. Ce don avait été mis à la disposition de dix-neuf coopératives des localités et des ménages.

JIF : les femmes de la SNPC font un don des médicaments aux centres de santé intégrés

La célébration de la journée internationale de la femme a commencé le 07 mars 2019, dans les centres de santé intégré Marien-Ngouabi et Moukondo.

Cette activité des femmes de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), s’inscrit dans le cadre de la célébration de la femme. Il s’est agi pour ces dames d’apporter leur assistance à ces établissements sanitaires. C’est travers un don de médicaments que les ladies de la SNPC, ont voulu marquer d’une pierre l’édition 2019 de la JIF.

Tout a commencé en matinée ce mars. Ces femmes ont débuté leur ronde au chevet des femmes ayant accouché, à cette date, au Centre de santé intégré Marien-Ngouabi, dans le sixième arrondissement, Talangaï. Ensuite, elles ont poursuivis à l’autre structure sanitaire de Moukondo, dans le quatrième arrondissement, Moungali.

Les mamans ont-elles aussi reçu de la part de leurs sœurs de la SNPC, des kits de trousseaux de maternité, d’habits pour les nouveau-nés, des pagnes. « Par ce geste, la direction générale de la SNPC prouve que l’entreprise est toujours proche de la population », a expliqué Esther Itoua Ekamba-Elombé, qui a conduit la délégation.

Elle a  souligné que les femmes qui accouchent ne sont pas souvent prises en compte de façon conséquente lors des festivités de la Journée internationale de la femme. La SNPC a donc tenu à mettre un accent particulier sur elles.

Pour le chef du centre de santé intégré Marien-Ngouabi, le Dr Gérard Ngakosso, ce don vient à point nommé. Il a assuré que ces médicaments seront d’une grande importance puisqu’ils permettront de répondre aux besoins sanitaires de la population. Le directeur du centre de santé de Moukondo, le Dr Pascal Itoua, lui aussi a salué l’action des femmes de la SNPC.

Les ladies de SNPC ne se sont pas limitées à Brazzaville, elles ont poursuivi leur Pointe-Noire, notamment à l’hôpital de base de Tié-Tié et aussi à l’orphelinat du centre social de Mahouata ; à Impfondo, dans le département de la Likouala.

Education : nouvelle coopération entre le Congo et la Chine

Un accord qui a été matérialisé mardi 30 octobre, à Brazzaville, par la remise d’un don de l’Ecole secondaire expérimentale de Henan au complexe scolaire Révolution-Gampo Olilou.

Le mardi 30 octobre à Brazzaville, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation (MEPSA), Anatole Collinet Makosso, a réceptionné un don, de l’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin. Il s’agissait d’un don fait par l’Ecole secondaire expérimentale de Henan au complexe scolaire Révolution-Gampo Olilou. Ceci entrait dans le cadre de la signature de l’accord de jumelage entre deux établissements.

Ce don était composé, entre autres, de livres, sacs à dos, plumiers, cahiers, calculatrices, stylos, cartouches de stylo, kits de géométrie… Une action qui marque le début d’une coopération amicale entre le Complexe scolaire Révolution-Gampo Olilou et l’Ecole secondaire expérimentale de Henan. L’accord de remise de ce don a été signé par le directeur général adjoint du Bureau provincial de Henan, Diao Yuhua, et l’Inspecteur général du MEPSA, David Boké.

Le proviseur du lycée de la Révolution, Firmin Moungalla, a profité de l’occasion pour inviter les élèves tout comme les travailleurs à se mettre résolument au travail. Selon les termes du document signé, vingt élèves et enseignants du lycée de la Révolution et du CEG Gampo Olilou bénéficieront, une fois pendant le camp d’été, de dix jours de vacances en Chine.

Le proviseur de l’Ecole secondaire expérimentale de Henan, Ma Yuxia, pense, de son côté que « La convention amicale signée entre nos deux écoles est la mise en œuvre de la visite du président du CCPPC et correspond aux huit actions proposées par le président chinois lors du sommet Chine-Afrique de cette année. (…). Nous avons compris, après des échanges avec les amis, que votre école est très populaire au Congo, une école bien équipée avec beaucoup d’enseignants excellents ».

Pool : plus de cinq cents personnes déplacées reçoivent des ballots de friperie

L’objectif de ce don est pour l’ONG une façon d’apporter tant soit peu sa contribution aux personnes du 3e âge du département du Pool déplacées après les émeutes des miliciens ninjas.

Les bénéficiaires identifiés depuis le mois de novembre dernier ont reçu, le 28 janvier, des mains du coordonnateur national de l’ONG « Livre du Congo Blanc », Garcel Dubblon, un don de vêtements au siège de l’organisation à Mfilou-Ngamaba, le 7e arrondissement de Brazzaville. 

 

Le don a été composé de ballots de friperie, de vivres ainsi que de frais de transports. Il permettra à ces personnes vulnérables d’exercer un petit commerce par le biais de leurs familles d’accueil, a expliqué Garcel Dubblon.

Peu avant la distribution, il a exprimé son amour envers cette catégorie de personnes. « L’organisation ne pouvait pas rester indifférente à votre souffrance causée par la bêtise humaine. Les hostilités organisées dans ce département ont conduit à l’arrêt brutal de vos activités quotidiennes. Nos portes sont ouvertes pour vous accueillir et bien d’autres personnes au cas où, vous éprouveriez le besoin de nos services », a-t-il indiqué.

Après avoir réceptionné le don, Bernard Mafoua, un agriculteur de Kibouendé âgé de 75 ans, a salué l’initiative de l’ONG. Le geste est très grand, a-t-il expliqué, avant d’ajouter que cela leur permettra de vendre ces vêtements d’occasion et tirer le maximum de bénéfices pour survivre avec leurs familles d’accueil.

Notons que l’organisation « Livre du Congo Blanc » est une association créée en 2010. Elle œuvre dans le cadre social entre les institutions de développement socio humanitaire et de préservation de l’environnement. Son action s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie de la vieillesse au Congo en apportant des aides sanitaires et administratives. Parmi ses activités menées, figurent des dons en faveur de ces personnes, des formations de jeunes en langues étrangères au Congo, en médecine, ainsi que l’organisation de conférences sur l’impact socio-économique du vieillissement au Congo et bien d’autres.