Semaine de la gastronomie : huit jours pour découvrir les divers mets

La ministre du tourisme et des loisirs, Destinée Hermella Doukaga a procédé mardi, à l’ouverture officielle de la première édition de la semaine de la gastronomie congolaise.

 

L’esplanade du Stade Massamba debat de Brazzaville accueille la première édition de la semaine de la gastronomie congolaise. Le lancement officiel de cet évènement a été présidé mardi 21 décembre, par la ministre du tourisme et des loisirs, Destinée Hermella Doukaga.

C’est une initiative du ministère du Tourisme et des Loisirs qui va s’étendre jusqu’au 28 décembre 2021. L’évènement vise à mettre en exergue la richesse et la diversité de la gastronomie. C’est aussi un moment d’échange, de partage, de convivialité et de découverte pour les acteurs de ce secteur et le public.

Cette semaine de la gastronomie congolaise va rassembler uniquement les restaurateurs, les hôteliers, les chefs cuisiniers et traiteurs de la capitale congolaise. Elle va permettre aussi de sensibiliser les consommateurs congolais au choix des produits, de la diversité des terroirs, des spécialités régionales.

Congo-tourisme : une stratégie nationale pour développer le secteur

C’est le vœu formulé par Destinée Hermella Doukaga à l’occasion de la célébration de la journée mondiale du Tourisme.

 

Le Congo de concert avec la communauté internationale a célébré la journée mondiale du tourisme. A l’occasion de cet évènement, la ministre du tourisme et des loisirs, Destinée Hermella Doukaga a fait une déclaration. Pour elle, il faut une stratégie nationale de développement du tourisme. La célébration avait pour thème « Le tourisme pour une croissance inclusive »

La ministre a précisé que la stratégie nationale permettra d’assurer au tourisme l’image d’une véritable vitrine du pays. Cela permettra aussi d’atteindre les objectifs de développement durable.  Cette stratégie a l’avantage, a-t-elle déclaré, de prendre en compte la structuration des différentes filières du tourisme. Et aussi les moyens à mettre en œuvre ou à renforcer, ainsi que les mécanismes de mobilisation des ressources nécessaires.

En dépit des défis majeurs à relever liés aux contextes économique et sanitaire, le Congo opte, pour une conformité à la stratégie de la durabilité touristique. Une décision en accord avec les recommandations de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT).

Il faut dire que le tourisme a été retenu parmi les principaux domaines de diversification de l’économie nationale pour les cinq prochaines années. L’objectif étant de réduire le poids du secteur pétrole dans la formation du produit intérieur brut national. Le tourisme est un moyen de promotion de la croissance, de création d’emplois, de lutte contre la pauvreté, de préservation de l’environnement et du rayonnement culturel du pays.

Congo : le gouvernement s’engage à améliorer les capacités de résilience des jeunes

C’est une affirmation du ministre en charge de la jeunesse, Destinée Hermella Doukaga, à l’occasion de la célébration ce 15 juillet de la journée mondiale de développement des compétences des jeunes.

Dans le cadre de la Journée mondiale de développement des compétences des jeunes, célébrée le 15 juillet de chaque année, la ministre en charge de la Jeunesse, Destinée Hermella Doukaga, a rendu public un message dans lequel elle a exprimé la détermination du gouvernement à améliorer les capacités de résilience de la couche juvénile face aux défis du coronavirus (Covid-19).

Cette journée constitue une opportunité de réflexion collective sur la place des jeunes dans le processus de développement et les moyens à leur portée, favorables à la libération de leur potentiel, en cette période de Covid-19, a souligné la ministre de la Jeunesse.

« … Acquérir et développer les compétences dans différents domaines demeurent pour les jeunes eux-mêmes et pour les gouvernants, une préoccupation permanente, car il faut tout mettre en œuvre pour garantir aux jeunes l’emploi et en même temps améliorer leur employabilité face au défi de la crise sanitaire… », a indiqué Destinée Hermella Doukaga.

Selon elle, il est question d’impliquer les jeunes en tant que couche majoritaire de la population et acteurs dynamiques de la société dans la quête des solutions de lutte contre la propagation de la pandémie de Covid-19 qui touche 60% de la population estudiantine dans le monde.

Conscient de la place de la jeunesse dans l’émancipation des Etats, le gouvernement congolais a placé cette sixième journée de développement des compétences des jeunes sur la thématique : « Développer les compétences des jeunes face aux défis liés à la pandémie de Covid-19 ».

« Un thème qui nous interpelle tous à plus d’un titre au moment où notre pays fait face à une crise sanitaire sans précédent, doublée d’une crise économique et financière, alors qu’il s’était engagé sur plusieurs chantiers pour relancer sa croissance économique et garantir sa cohésion sociale », a déclaré la ministre Doukaga.

Instituée en 2014 par l’Organisation des Nations unies, cette journée a pour but de promouvoir le potentiel des jeunes par la concrétisation de l’enseignement et la formation technique et professionnelle, en vue d’accélérer leur transition vers la vie active.

Congo-Coronavirus : la population invitée à se protéger et à préserver

La ministre de la Jeunesse et de l’Education civique, Destinée Hermella Doukaga, a exprimé son espoir, le 2 juin, lors de la Minute civique, une tradition qui se rapporte au citoyen, à ses droits et à ses devoirs. Des attitudes à adopter pendant cette cérémonie ont été enseignées aux agents.

Organisée au siège du ministère, cette cérémonie est en fait une vieille tradition réhabilitée par la direction générale de la jeunesse. Les agents évoluant dans ce département ont renoué avec les rassemblements autour du mât avec la levée des couleurs.

A cet effet, la ministre de la Jeunesse et de l’Education civique a exhorté la population à respecter les mesures barrières édictées par le chef de l’Etat. Pour elle, la population doit être consciente de la gravité de la situation. Le coronavirus (Covid-19) existe et chacun devrait s’efforcer de se protéger pour préserver aussi les autres. « Il faut craindre cette maladie », a-t-elle insisté.

Au terme de la cérémonie, l’un des agents invités à lire le mot du jour, a déclaré ce qui suit : « Peuple congolais au-delà de l’efficacité des institutions, votre comportement doit être exemplaire. Car la vie de chacun et de tous en dépend ».

Noter que cette journée du civisme a eu pour thème : « Le civisme : arme incontournable pour rendre la Covid-19 inoffensive ».

Entrepreneuriat : les jeunes congolais appelés à s’imprégner du secteur agricole

La ministre de la Jeunesse et de l’éducation civique, Destinée Hermella Doukaga, a rappelé, le 29 septembre, la nécessité pour les jeunes d’apprendre « avec pragmatisme » des métiers du secteur agricole en s’inspirant du modèle rwandais.

Le Congo avait participé, les 20 et 21 août dernier à Kigali, la capitale du Rwanda, à la Conférence régionale initiée par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Union africaine (UA) et le gouvernement rwandais. Placée sur le thème « Les jeunes dans l’agriculture comme solution pour mettre fin à la faim et à la pauvreté en Afrique : s’engager dans les technologies de l’information et de la communication ainsi que dans l’entrepreneuriat », cette conférence a connu la participation des jeunes évoluant dans le secteur agricole de plus de quarante pays africains.

De retour au pays, la délégation congolaise a organisé un symposium sur la restitution des conclusions issues de cette rencontre. En effet, cette restitution de Brazzaville visait, entre autres, à promouvoir un cadre d’échanges interactifs entre les jeunes sur les questions agropastorales et susciter un esprit d’éveil agropastoral en vue de promouvoir l’autosuffisance alimentaire au Congo. Ainsi, les participants au symposium ont suivi des témoignages des jeunes congolais qui émergent dans les métiers de l’agriculture.

Selon la ministre en charge des questions de jeunesse, la conférence de Kigali intègre la vision de l’agenda 2063 de l’UA qui place les jeunes au centre du développement de l’Afrique. L’objectif principal était, d’après Destinée Hermella Doukaga, la promotion des métiers du secteur agricole dans l’environnement juvénile, en favorisant les échanges entre les décideurs et partenaires afin d’établir un lien sur les connaissances et les meilleures pratiques. « (…) la délégation congolaise de retour au pays, juge opportun de stimuler, à travers cet atelier de restitution, l’engagement et l’intérêt des jeunes pour l’agriculture comme solution durable pour l’éradication de la pauvreté en République du Congo. Car il est temps que la population en général, et les jeunes en particulier, s’imprègnent avec pragmatisme des métiers de la terre en s’inspirant du modèle rwandais », a-t-elle indiqué.

Le coordonnateur résident du système des Nations unies au Congo, Anthony Ohemeng Boamah, a rappelé que la FAO encourage davantage les investissements publics et privés dans le secteur agro-alimentaire des services liés au marché. Cela pour attirer et maintenir les jeunes dans ce secteur afin de stimuler la création d’emplois et promouvoir un nouvel essor de ce secteur reconnu comme grand pourvoyeur d’emplois. « Aujourd’hui, l’on sait suffisamment que le facteur clé pour l’amélioration des perspectives d’emplois pour les jeunes dans le secteur de l’agriculture est l’accès au financement, à la formation à la terre, aux technologies de l’information et de la communication et l’accès au marché. Je suis convaincu que nous pouvons faire mieux ici en République du Congo », s’est-il exprimé, au nom de la représentante de la FAO au Congo, rappelant que la Conférence régionale de Kigali a permis à cette agence onusienne de repositionner la question de l’emploi des jeunes dans le secteur agricole en Afrique.

Recommandations et résolutions de Kigali

Les participants à la réunion de Kigali avaient, entre autres, recommandé aux gouvernements d’inclure les jeunes dans la planification, la conception et la formulation des politiques et d’injecter des investissements dans toute la chaîne des valeurs au niveau de l’agrobusiness. Ils devraient aussi renforcer les mécanismes d’octroi des finances ; appuyer les jeunes dans la création d’une plate-forme qui les réunit ; augmenter les technologies innovantes ; élargir les approches de renforcement des capacités afin de bien encadrer les jeunes ; élargir le réseau numérique pour le suivi et l’évaluation.

Avoir une politique agricole dirigée par des jeunes ; numériser la conférence ; appuyer la vision des jeunes par la formation ; renforcer l’environnement industriel ; accompagner les jeunes entrepreneurs ; valoriser l’image de l’agriculture sont les résolutions qui ont été prises par les participants.