Congo : Denis Sassou N’Guesso fait construire une église à la population d’Oyo

Cette batiste sera officiellement remise aux autorités de l’église catholique de cette ville le 14 mars prochain, jour de commémoration de la l’ex première dame du Gabon, Edith Lucie Bongo Ondimba.

Cette Église deviendra la troisième grande Église du Congo, après Sainte-Anne et Notre Dame de Pointe-Noire. Cette église d’une capacité de 300 places rend heureux les populations chrétiennes d’Oyo qui pour eux, considèrent ce bâtiment pour le plus « grand cadeau » offert par le président de la république.

A titre de rappel, Edith Lucie Bongo Ondimba, était la fille de Denis Sassou Nguesso. Celle-ci est née le 10 mars 1964, de Denis Sassou N’Guesso et Claire Dira. L’ex-première dame gabonaise était décédée le 14 mars 2009 dans une clinique marocaine à l’âge de 45 ans.

Congo : première visite d’État du président Félix Tshiseked à Brazza

Le chef de l’Etat congolais Denis Sassou N’Guesso a accueilli son homologue de la RDC, Félix Tshisekedi à l’aéroport Ma-Maya de Brazzaville, jeudi après-midi.

Le président Tsisekedi effectue en terre congolaise, une visite officielle de 48 heures. Exécution des hymnes, revue des corps constitués, l’ambiance était à la solennité.

Après quelques instants de conciliabule au salon d’honneur de Maya-Maya, avec le président Denis Sassou N’Guesso,  les deux chefs d’État ont eu droit à un bain de foule des congolais des deux rives, qui avaient fait en grand nombre, le déplacement de Maya-Maya.

Les entretiens entre les deux hommes se sont ensuite poursuivis au Palais du Peuple avec en toile de fond, les questions d’intérêt commun aux deux États, le Congo et la RDC, dont les relations ne souffrent d’aucun nuage.

Dans la soirée, Denis Sassou N’Guesso a offert au Palais du Peuple, un banquet en honneur de son hôte et la délégation qui l’accompagne.

Rappelons que Brazzaville est une étape très importante pour cette première tournée du nouveau président de la RDC Félix Tshisekedi.

Brazzaville et Kinshasa, les deux capitales les plus rapprochées au monde, sont condamnées à coopérer, quelles que soient les humeurs des acteurs politiques.

Le président Félix Tshisékedi attendu à Brazzaville, ce jeudi 7 février 2019

Une dizaine de jours après sa prestation de serment, le nouveau président de la RDC, Félix  Tshisekedi  est attendu à Brazzaville, ce 7 février pour une visite officielle.

Au cours de son séjour, le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo aura des entretiens en tête à tête avec son homologue congolais Denis Sassou N’Guesso.

Brazzaville est la troisième étape d’une tournée que le président Tshisekedi a entamé le mardi 05 février par l’Angola et le Kenya. Le nouveau chef de l’État congolais vient à Brazzaville pour renforcer la coopération et dynamiser les liens séculaires d’amitié et de fraternité qui existent entre les deux pays voisins ayant les capitales les plus proches au monde.

Ce tête à tête avec son hôte, ne manqueront pas d’évoquer la coopération bilatérale entre les deux pays, ainsi que la situation de paix et de sécurité dans leurs deux pays et dans la sous-région d’Afrique centrale.

Au-delà de ces aspects diplomatiques, le nouveau président de la RDC ne manquera de puiser à la source de l’expérience de son homologue dans la gestion des affaires publiques. Denis Sassou N’Guesso, comme on le sait, a joué un rôle éminemment dans la recherche des voies et moyens pour une sortie de crise en RDC.

Facilitateur dans cette crise, le chef de l’État congolais a reçu plusieurs acteurs politiques et de la société civile de la RD Congo, aussi bien à Brazzaville qu’à Kinshasa pour trouver une issue pacifique à la crise qui a prévalu avant les élections du 30 décembre 2018

Coopération : Félix Tshisekedi attendu cet après-midi à Brazzaville

Après l’étape de l’Angola, le président de la République se rend, ce mercredi 6 février 2019, au Kenya.

Le Président congolais Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a quitté ce mercredi 6 février 2019 à 5h54′ le sol angolais pour le Kenya.

A Nairobie, il aura un entretien avec son homologue kenyan, Uhuru Kenyata ; le seul chef d’État africain présent lors de son investiture en tant que 5ème président de la République démocratique du Congo.

Tout comme en Angola, la coopération bilatérale entre la RDC et le Kenya sera au menu de la rencontre entre les deux hommes.
Il sied de signaler que le président de la République arrivera également aujourd’hui dans les après-midi à Brazzaville pour un tête-à-tête avec son homologue Denis Sassou-Nguesso avant de s’envoler ce week-end à Addis-Abeba pour y prononcer son discours de président nouvellement élu ; une tradition des sommets de l’Union africaine.

Congo : Denis Sassou-Nguesso l’homme du 5 févier 1979

Mouvement du 5 février 40 ans déjà.  Une session extraordinaire du Comité Central du Parti Congolais du Travail, mettait un terme au règne du Comité Militaire du Parti  le 5 février 197, au directoire politique provisoire, institué au lendemain de la mort du Président Marien Ngouabi.

À certains de ses dirigeants, notamment le général Jacques Joachim Yombi-Opango, les cadres du PCT reprochent un embourgeoisement illicite au mépris du peuple.

Jusqu’au début de l’année 1979, le Comité militaire du Parti, alors chargé d’organiser les obsèques du président Marien Ngouabi, semble se complaire à la conservation du pouvoir. De nombreux cadres du PCT, au nombre desquels Jean-Pierre Thystère-Tchicaya, Pierre Nzé, Jean-Baptiste Bokamba-Yangouma, Gabriel Oba Apounou, et bien d’autres, dénoncent la destruction du parti orchestrée par les tenants de la « ligne droitière et liquidationniste » caractérisées par une « bourgeoisie bureaucratique compradore ».

Ainsi soutenues, les organisations de masse du PCT (CSC, URFC et UJSC) se saisissent du sujet et réclament la tenue d’une session extraordinaire du Comité central, mis en veilleuse depuis l’institution du CMP.

La réunion s’ouvre le 5 février 1979 dans une ambiance électrique. Le pays tout entier retient son souffle. À l’hôtel de ville de Brazzaville où se tiennent les travaux, selon qu’ils sont favorables à tel ou tel autre camp, des corps de l’armée se font face et se regardent en chiens de faïence, le doigt sur la gâchette.

De partout, à travers le pays, le travail est mis en veilleuse dans les écoles ou les administrations où l’on reste l’oreille collée au poste transistor pour suivre la retransmission de l’ouverture des travaux ainsi que les conclusions qui en découleront.

Le discours d’ouverture du président Yhombi est d’une durée inhabituelle, tant il est presque interminable, et son ton on ne peut plus martial n’est pas pour rassurer. L’angoisse monte, surtout que des danses guerrières auraient été exécutées, signe d’une déflagration annoncée et on redoute une action militaire ouverte. Les membres civils du comité central du PCT prennent Denis Sassou N’Guesso pour bouclier face à la menace armée qui semble peser sur eux.

Dès le premier jour, le président du CMP, Jacques Joachim Yhombi-Opango est mis en minorité. Il est contraint d’accepter la dissolution du CMP et la fin de son mandat à la tête de la République. Sous la contrainte, le président du CMP remet les pleins pouvoir au PCT qui les lui avait cédé, le temps des obsèques du président Marien Ngouabi.

Alors colonel, Denis Sassou N’Guesso est élu Président du Comité préparatoire du troisième congrès extraordinaire du Parti. Le troisième Congrès extraordinaire de mars 1979, confirmera son élection à la tête du Parti et par conséquent à celle de l’État. Il devient ainsi « l’homme du 5 févier 1979 ».

Congo : où va l’argent des taxes routières ?

L’argent des amendes issues de la répression routière ne sert pas à améliorer les infrastructures routières sur toute l’étendue du territoire national. C’est en substance ce que dénonce le congolais lambda.

De là, à savoir exactement ce qui est fait de tout cet argent de péage, ce n’est pas si évident. En toute franchise, c’est surtout bien difficile à dire ! Ce dont on peut être à peu près sûr, c’est que sur l’ensemble des amendes routières perçues, pour le reste, la traçabilité financière étant loin d’être évidente, il n’est pas simple de se montrer précis.

Il y en a en effet plus de 50 % – et même certainement bien plus – qui ne sont pas attribués à la rénovation des routes, autrement dit à l’amélioration des infrastructures routières, la préoccupation en creux des congolais et autres automobilistes.

Depuis 2004, d’importants investissements consentis dans le secteur routier ont fait évoluer le réseau routier national de 18.000 km à environ 23.234, dont 8.254 km du réseau routier prioritaire et 14.980 km de routes secondaires et de desserte rurale. Le réseau routier bitumé est passé de 1200 km à 3000 km.

Il a été établi que l’instauration de l’autonomie de gestion permettrait au Fonds routier de mieux financer les travaux d’entretien et de réhabilitation des routes bitumées.

Le directeur général de cet établissement, Elenga Bat-Nzenguet, indiquait que le Fonds routier disposait de beaucoup de ressources prévues dans les textes, déplorant cependant que « cet argent n’arrive pas au fonds pour pouvoir financer l’entretien des routes».

La déclaration de M. Elenga Bat-Nzenguet confirme donc l’avis du Congolais lambda, qui pense que la taxe routière obligatoire collectée auprès des usagers de la RN2, qui devrait permettre une prise en charge de l’entretien routier, ne va pas au trésor public mais dans les poches des tiers.

Mais qui exactement ? Et quand la sanction interviendra t-elle?

Chaussées fissurées ou déformées, accotements instables, signalisation manquante ou effacée, glissières de sécurité absentes, les images des routes les plus abîmées du Congo, font le buzz sur les réseaux sociaux.

Le résultat n’est hélas pas surprenant. Depuis plusieurs années se profile une dégradation lente et inévitable des routes, en raison notamment d’une baisse des crédits accordés pour leur entretien courant par l’État et les collectivités locales. Cela a des répercussions facheuses sur le quotidien des congolais, notamment un ralentissement de l’économie informelle basée sur les produits vivriers venant des campagnes et alimentant les grands centres urbains.

Une situation qui met le président de la République, Denis Sassou Nguesso hors de lui et dans une colère noire, nous apprend une source très proche de la Présidence de la République.

Comme un électricien affairé sur son tableau de plombs, le fusible Denis Sassou Nguesso devra maintenant gérer 2 courants opposés : la nécessité de stopper cette mafia et la nécessité de parler aux congolais, de leur dire qu’il entend leur colère et leurs inquiétudes, de se remettre au niveau le plus terrien de la politique. Le fusible devra aussi faire prise de terre.

Brazzaville : Itoua Ndinga plaide pour le rayonnement des écrivains congolais en manque de visibilité internationale

L’écrivain congolais, Itoua-Ndinga s’organise pour remettre ses homologues au-devant de la scène, sur la vitrine proposée par le Pavillon des Lettres d’Afrique d’Aminata Diop Johnson au Salon Livre Paris 2019, du 15 au 18 mars prochain dans la capitale française.

«Hier, nos aînés, Tati Loutard, Théophile Obenga, Henri Lopes, Marie-Léontine Tsibinda Bilombo, Sony Labou Tansi ou Aimée Mambou Gnali assuraient notre représentativité à l’international. Comment comprendre que Huguette Nganga Massanga, Huppert Malanda, Alphonse Chardin N’Kala, Pierre Ntsemou ou Obambe Boundze-Ngakosso ne rayonnent pas à l’international », s’interroge Itoua-Ndinga.

Auteur de plusieurs livres et conscient du fait que la production littéraire est abondante au Congo-Brazzaville. Itoua-Ndinga indique « qu’Il n’est pas interdit à chaque congolais d’avoir des initiatives en faveur d’un Congo émergent, notre président Denis Sassou Nguesso, nous encourageant à mettre le pays en valeur, j’ai eu l’intuition de créer une plate-forme. Cette structure, à la manière de la sélection de Campus France pour les étudiants étrangers désireux de poursuivre leurs cycles universitaires en France, sélectionnera pour la première fois, par des auteurs, des œuvres et des auteurs congolais qui iront au Salon littéraire de Paris à la rencontre du public parisien », précise Itoua-Ndinga qui dispose déjà de l’appui de ses homologues.

Les férus du livre pourront découvrir, par exemple, « La famille africaine » d’Emile Gankama ; « La poubelle et l’ordure » de Parisse Akouango ; « Les étincelles d’un amour interdit » de Joséphine Loppy ; « Même les nuits denses ont leur lumière » de Sauve Gérard Ngoma Malanda, « La femme congolaise et la défense de la nation » d’Aline Olga Lonzaniabeka ou  » Le cri de la forêt » d’Henri Djombo, président de l’Union nationale des écrivains, récent lauréat de la treizième édition « FestiVert »…

Denis Sassou Nguesso, un artisan de paix dans la sous-région

L’ambassadeur de Chine au Congo, Ma Fulin a salué les efforts du président congolais, dans son effort à assurer la paix et la quiétude dans sous-région, notamment lors du processus électoral en RDC.

Ma Fulin a s’exprimé le mercredi à l’issue d’une rencontre avec le numéro un congolais au Palais du peuple à Brazzaville.

A trois jours de la présidentielle en République démocratique du Congo (RDC) et après une campagne marquée par des violences, le numéro un congolais qui ne cache pas son inquiétude face au risque d’une crise post-électorale, et des répercussions qu’elle pourrait avoir dans la sous-région, a invité plusieurs chefs d’Etat de la SADC [Conférence de coordination pour le développement de l’Afrique australe] et de la CIRGL [Conférence internationale sur la région des Grands Lacs] le mercredi 26 décembre dernier à Brazzaville pour un sommet exceptionnel sur la RDC.

Les chefs d’Etat et de gouvernement ont notamment exprimé leur préoccupation suite aux violences pendant la campagne électorale et réaffirmé leur disponibilité à accompagner la RDC dans cette période jugée sensible.

Denis Sassou Nguesso a adressé un message d’« apaisement » à tous les acteurs du processus électoral en RDC avant de réaffirmer l’importance de la paix, de la sécurité et de la stabilité, conditions essentielles au développement.

Elections en RDC : Denis Sassou Nguesso propose un nouveau décompte des voix

Dans une déclaration publiée ce dimanche 13 janvier 2019, le président en exercice de la CIRGL, a demandé à la République démocratique du Congo.

Suite à la proclamation des résultats provisoires de la présidentielle en République démocratique du Congo, la conférence internationale sur la région des grands lacs (CIRGL), s’est prononcée. Le président congolais, Denis Sassou Nguesso, président en exercice de la CIRGL, a suggéré lors d’une assise ce dimanche 13 janvier 2019, dans une déclaration, aux structures compétentes d’envisager le décompte des voix. L’objectif serait de garantir la transparence des résultats de l’élection présidentielle contestée en RDCongo.

Denis Sassou Nguesso n’a pas caché son inquiétude face au risque d’une crise post-électorale, et des répercussions que ces résultats contestés pourraient avoir dans la sous-région. Il a également demandé aux structures compétentes de fournir l’assurance nécessaire aux gagnants et aux perdants.

Cette déclaration arrive quelques jours après la sortie du porte-parole du gouvernement congolais. Thierry Moungalla avait affirmé que, le président Denis Sassou Nguesso relève que la CIRGL prend note de la proclamation de la victoire de Félix Tshisekedi et invite les parties à observer les procédures et voies de recours légales.

Sassou Nguesso : « la diplomatique congolaise reste ouverte à l’Afrique »

C’était au cours de la cérémonie d’échange de vœux entre le cours diplomatique et le chef de l’Etat, Denis Sassou Nguesso, le samedi 05 janvier 2019.

Le corps diplomatique accrédité au Congo a échangé les vœux de nouvel an avec le chef de l’Etat congolais ce 05 janvier 2019. A cette occasion, Denis Sassou N’Guesso a assuré que « la diplomatie congolaise reste ouverte, disponible pour l’Afrique et le Monde dans sa globalité. »

La cérémonie qui s’est déroulée au Palais du peuple de Brazzaville a connu deux allocutions. L’ambassadrice de la RCA au Congo, Doyenne du corps diplomatique, Charlotte Fayanga qui a ouvert le bal a rendu hommage au président congolais pour ses efforts dans résolution des conflits aussi bien en Afrique qu’ailleurs. « […], depuis de nombreuses années, vous avez un rôle qui vous va si bien. Nous le connaissons tous, c’est celui de médiateur », a affirmé la Doyenne du corps diplomatique qui a rappelé au passage que « le président congolais est sur plusieurs fronts de médiation : en Libye, en RCA, en RDC, etc. »

Madame Charlotte Fayanga n’a pas éludé la situation intérieure du Congo en reconnaissant les efforts du président de la République dans la recherche de la paix dans le département du Pool, dont les acteurs sont parvenus, le 23 décembre 2017, à la signature de l’Accord de Kinkala, relatif au cessez-le-feu et à la cessation des hostilités.

En réponse à ce tableau peint par la Doyenne du corps diplomatique, le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou-N’Guesso a affiché la volonté de son pays d’offrir ses bons offices aux autres pays tant d’Afrique que du Monde, en vue de préserver la paix et la stabilité de la planète.

Dans cette perspective, Denis Sassou-N’Guesso, affirme que le Congo poursuivra sa « politique de bon voisinage, l’amitié entre les peuples, la non-ingérence et la coopération mutuellement bénéfique » qui, selon ses propos, « restent les maîtres mots intangibles » de son action à l’international. Denis Sassou-N’Guesso a exprimé son espoir de voir en 2019, un monde juste, plus apaisé, généreux et solidaire, en dépit de l’ampleur des menaces et des fléaux à éradiquer.

Denis Sassou-N’Guesso, est revenu sur la problématique des changements climatiques pour laquelle il a sollicité l’implication de la communauté internationale. « Pour endiguer le réchauffement du climat, l’implication de la communauté internationale se révèle impérative et, plus que jamais, urgente », a-t-il fait remarquer, tout en précisant qu’«il s’agit de notre survie collective, devant l’ampleur des désastres déjà observés. Même la santé mondiale est en danger, du fait des dérèglements climatiques. »

Le chef de l’Etat congolais a rappelé l’organisation, par le Congo, en avril 2018, du premier sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Il a lancé un nouvel appel aux donateurs, afin de soutenir le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ; initiative salutaire, a-t-il dit qui participe à la préservation de la planète. « J’exhorte la communauté internationale à une mise à disposition pressante des financements nécessaires à la gestion durable des forêts du Bassin du Congo », a déclaré le chef de l’Etat congolais, sans manquer de rappeler la découverte des tourbières dans la Cuvette centrale du Bassin du Congo.

La solution aux crises dans le monde

Les élections en RDC ont fait partie des préoccupations de Denis Sassou N’Guesso qui a lancé un appel à l’apaisement aux forces vives de la République Démocratique du Congo, dans l’esprit des conclusions du mini-sommet conjoint CIRGL – SADC, tenu le 26 décembre 2018, à Brazzaville.

Président du comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Lybie, Denis Sassou-N’Guesso, soutient que la voix de l’Afrique doit être écoutée dans la résolution de la crise que traverse ce pays depuis 2011. « Je réitère solennellement, ici, la nécessité de tenir une conférence de réconciliation inter-libyenne inclusive, préalable à un schéma consensuel de sortie de crise et, surtout, d’un processus électoral apaisé », a martelé le chef de l’Etat congolais.

En ce qui concerne, la RCA, le président congolais s’est dit favorable au déploiement des efforts dans le cadre de l’Initiative africaine pour la paix et la réconciliation, afin de parachever le processus de retour de la paix et la quiétude en République Centrafricaine.

Denis Sassou N’Guesso a, en outre, salué l’adoption récente, à Marrakech, du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, avant de féliciter le Docteur Denis Mukwege, qui s’est vu décerner le Prix Nobel de la Paix 2018, pour son combat contre les violences faites aux femmes.

En somme, le chef de l’Etat congolais est rassuré de savoir que le Congo poursuit sa marche vers le développement en comptant aussi sur ses partenaires.

Débat sur le dialogue pour arriver au Forum national pour la culture de paix

Depuis quelques semaines, la diaspora congolaise de France est, non seulement secouée mais complètement divisée par sa participation ou non à un dialogue inclusif ou exclusif.

Le président  Sassou Nguesso aurait tiré les leçons des échecs de tous ses précédents dialogues qui ont eu lieu à Ewo, Sibiti et Dolisie. Cette fois-ci, il voudrait associer les Congolais de l’étranger. Cependant, les Congolais, abusés par sa mauvaise gouvernance, ne croient plus en sa bonne volonté. Du coup, les populations, victimes des guerres politiques récurrentes, pensent que c’est un coup de bluff. Le projet divise déjà la diaspora congolaise de France. Deux tendances s’opposent dans les médias sociaux et à travers des déclarations intempestives. La première semble être menée par l’ancien ambassadeur du Congo au Cameroun, Marcel Makomé, la deuxième, désorganisée est composée par plusieurs individualités et mouvements dont les plus connus sont les Indignés du 242Sassoufit et la plateforme associative, Assises Nationales du Congo.

Pour avoir été membre du Comité préparatoire du Forum national pour la culture de paix, organisé conjointement, à Brazzaville, par le gouvernement congolais et l’Unesco, du 19 au 23 décembre 1994, après les troubles politiques qui avaient opposé les partisans de Pascal Lissouba et ceux de Bernard Kolelas et de son allié Denis Sassou Nguesso, entre 1993 et 1994, nous pouvons en parler. Nous voulons ici dépoussiérer l’histoire et ressortir les différentes étapes qui ont conduit à la tenue de ce Forum. A notre avis, le principe d’aller à un dialogue ou à une conférence internationale, devait, du coup, être accepté par tous. Les démocrates ne doivent pas refuser le débat. Cependant, il appartient à chacun de faire savoir ses préalables ou proposer son contenu. Comme en 1994.

Aucun parti politique n’avait pratiqué la politique de la chaise vide. Des préalables ou des propositions sur les thèmes ou encore les sujets à mettre à l’ordre du jour de ce qui, au début, n’était qu’un dialogue national, étaient publiés dans les journaux. Il y a eu un vrai débat dans la presse. La Semaine Africaine avait publié des dossiers entiers pour convaincre et préparer l’opinion nationale et internationale à cette grande rencontre. Les universitaires avaient rompu le silence et inondé les pages des journaux par des articles de réflexion. Chaque parti ou personnalité politique avait fait savoir ses préalables et ses propositions dans la presse.

Le président Pascal Lissouba n’avait pas résisté devant la pression des intellectuels qui était grandissante dans tout le pays y compris dans son propre parti politique et dans son fief électoral.

C’est le ministre Jean-Baptiste Tati Loutard, membre du Parti congolais du Travail, qui est venu, au Comité préparatoire, avec cette exigence de Denis Sassou Nguesso.
Devant cette exigence, une délégation conduite par le ministre Gabriel Matsiona était obligée de se rendre à Oyo pour rencontrer le leader du Pct. D’où vient-il qu’aujourd’hui, Sassou Nguesso ou ses partisans refusent ce qu’ils avaient exigé au président Lissouba ?  Sassou Nguesso craignait de tomber dans un piège. Il avait fait deux préalables avant d’accepter l’invitation. Soit le Forum se tenait sous la présidence de Nelson Mandela. Soit celle de l’Unesco. Et, c’est celle de l’Unesco qui avait été retenue puisque cette institution avait déjà organisé une telle activité dans un autre pays qui, lui aussi, connu la guerre.

Rejeter tout simplement et catégoriquement le principe de dialoguer avec Sassou Nguesso bien qu’il soit un président illégitime ou illégal ou encore génocidaire, sans proposer une autre issue de la crise, ne serait qu’une sorte de lâcheté. Acceptez de dialoguer et faites savoir vos exigences ou préalables. Voilà une voie qui peut être salutaire. Rehaussons donc le débat s’il vous plait ! Mais, nous n’encourageons pas l’initiative privée de Marcel Makomé et compagnie d’aller rencontrer le pouvoir sans auparavant faire savoir à l’opinion nationale et internationale leurs propositions et leurs préalables. Mais, la rencontre de Makomé avec le pouvoir serait profitable si notre ancien ambassadeur y était allé avec un Mémorandum de la diaspora. Malheureusement, cette diaspora est incapable de fournir un tel document.

Affaire Mokoko : « Le fait que nous n’ayons pas répondu ne vaut pas acquiescement », Thierry Moungalla

Le gouvernement congolais  répond au groupe de travail de l’ONU dans l’affaire Mokoko, selon eux, l’opposant Jean-Marie Michel Mokoko, condamné le 11 mai à vingt ans de prison bénéficier d’un « droit de réparation » pour détention arbitraire.

Suite aux  déclarations du Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire de Jean-Marie Michel Mokoko, un organisme placé sous la tutelle du Conseil des droits de l’homme s’est penché sur le sujet. Selon les arguments de sa défense, il avait été assigné à domicile le 4 avril 2016, quelques semaines après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle. Le groupe d’experts associe cette assignation à domicile à une « privation de liberté » dans la mesure où celle-ci aurait « interdit toute entrée et sortie » de l’opposant. Et le comité d’ajouter que cette privation de liberté devait s’inscrire dans un « cadre légal ». Or « il ressort des faits présentés […] qu’elle s’est faite en dehors de tout fondement légal et sans aucun contrôle ». Il en serait de même, ultérieurement, de la détention provisoire de l’opposant, qui a duré « presque deux ans » avant son procès. Le candidat malheureux à la présidentielle de 2016 a été condamné en mai dernier à vingt ans de prison pour « atteinte à la sûreté de l’État ».

 

Les conclusions non contraignantes, ont une portée symbolique,  Mais le rapport d’une dizaine de pages comporte exclusivement les arguments de la défense. Selon les experts, Brazzaville n’a pas répondu dans les délais : contactées en Mai, les autorités congolaises ne se sont manifestées qu’en juillet, demandant alors une « prorogation des délais », ce qui leur a été refusé. Pour le gouvernement congolais, ce retard dans la réponse au groupe de travail était dû à  un dysfonctionnement entre le ministère de la Justice et celui des Affaires étrangères. « Le fait que nous n’ayons pas répondu ne vaut pas acquiescement », souligne par ailleurs Thierry Moungalla, le porte-parole du gouvernement. Joint par Jeune Afrique, celui-ci fait part de son mécontentement : « Cette démarche est biaisée car les experts onusiens auraient dû nous accorder un délai supplémentaire pour que nous articulions notre réponse. »

 

Le groupe de travail de l’ONU pointe également du doigt  l’ingérence. D’après eux, le chef de l’État congolais avait manifesté son souhait de voir la justice clore « au premier trimestre 2018 » certains dossiers judiciaires, notamment celui de Jean-Marie Michel Mokoko. « En tant que premier magistrat du pays, Denis Sassou Nguesso avait alors émis ce vœu pour garantir l’apaisement, justifie Thierry Moungalla. Il ne s’agissait nullement d’une immixtion de l’exécutif dans le processus judiciaire. » Face au refus du gouvernement d’obtempérer aux préconisations des experts onusiens, Jessica Finelle, l’avocate du général Mokoko, affirme que la défense va saisir les bailleurs internationaux, comme le Fonds monétaire internationale (FMI) et l’Union européenne, pour que ces derniers exigent  des autorités congolaises le respect des recommandations formulées par le groupe de travail de l’ONU. De son côté, le gouvernement reste ferme. « Les droits de la défense ont été respectés : M. Mokoko a saisi les juridictions congolaises et a fait un pourvoi en cassation. Aujourd’hui, cette affaire est définitivement jugée et ne peut faire l’objet d’une intervention extérieure », estime Thierry Moungalla. 

 

Denis Sassou N’Guesso rencontre Lu Zhenya

Reçu en audience par le président Sassou N’Guesso, le président de Global energy interconnnection development and coorporation organization (Geipco), a annoncé, le 17 novembre à Brazzaville, l’intention de son groupe d’accompagner le Congo dans la construction des barrages hydroélectriques en vue de l’exportation de l’électricité.

Le potentiel hydroélectrique du Congo serait évalué à quelque 25 000 MW, a indiqué Liu Zhenya, ajoutant que la mise en valeur des ressources énergétiques permettrait d’augmenter la production nationale et favorisera le développement des mines de fer ainsi que de potasse. « Nous avons fait le rapport de notre travail au président de la République. Nous avons présenté l’interconnexion énergétique en Afrique et au Congo », a confié Liu Zhenya. « Avec le développement de l’industrie, on pourra avoir quatre-vingt-quinze milliards de dollars par an à la fin de l’année 2050. Cela permettra d’augmenter les recettes fiscales et de créer plus de sept mille emplois par an », a-t-il soutenu. Le groupe Geipco entend ériger les centrales hydroélectriques dans le bassin du Kouilou et dans la zone du fleuve Congo.

Denis Sassou Nguesso et Archange Touadera en tête à tête

Dans la capitale française, le 12 novembre, les deux présidents ont échangé sur les questions bilatérales et la paix dans la sous-région.

En marge des festivités du centenaire de l’armistice 1918 à Paris, le président congolais, Denis Sassou Nguesso s’est entretenu avec son homologue centrafricain Archange Touadera lundi 12 novembre, sur les questions bilatérales et la paix dans la sous-région, dans la capitale française.

On rappelle que le président centrafricain, Faustin Archange Touadera a toujours exprimé la reconnaissance du peuple centrafricain pour l’implication du président Denis Sassou Nguesso dans la résolution de la crise Centrafricaine.

Pour le président Faustin Archange Touadera le président Sassou Nguesso a beaucoup œuvré pour le retour de la paix en Centrafrique.

S’il y a eu des élections apaisées en RCA, c’est grâce aux efforts qu’il a déployés en tant que médiateur international dans cette crise.

Oyo : Denis Sassou Nguesso reçoit le PDG d’ENI Congo

Le mardi 6 novembre 2018, le président congolais, Denis Sassou Nguesso a reçu en audience à Oyo dans le département de la Cuvette (nord), le PDG d’ENI Congo, Claudio Descalzi.

A l’issue de cette rencontre au bord de l’Alima, Claudio Descalzi a annoncé l’arrivée depuis un mois d’une turbine devant permettre de porter la capacité de production de la Centrale électrique du Congo (Cec) de 300 à 450MW.

Basée à Pointe-Noire, la Cec, fruit de la coopération entre le géant pétrolier italien et le gouvernement congolais, fournit 60% de l’électricité consommée dans le pays.

L’augmentation de la capacité de cette centrale devrait permettre non seulement d’améliorer la production énergétique nationale mais aussi d’épargner la population des coupures intempestives d’électricité.

Congo: Sassou fait ses adieux au général Morlendé

Le président de la république, Denis Sassou N’Guesso s’est rendu à Boundji-Saint Benoît, lundi 05 novembre, pour assister aux obsèques du général Morlendé.

Denis Sassou N’Guesso a fait ses adieux au général Morlendé. Le chef de l’Etat s’est rendu lundi 05 novembre dans la localité de Boundji pour la circonstance.

Notons que cet officier général des Forces Armées congolaises, est mort le lundi 15 octobre à l’hôpital Saint Louis de Paris en France. Avant son décès, le général Morlendé avait décidé de se reposer au milieu des siens.

Le président Denis Sassou N’Guesso a déposé une gerbe de fleurs devant la dépouille du disparu. Sassou a ensuite pris part à l’office religieux.

Denis Sassou Nguesso en séjour à Oyo

 Le président de la République du Congo est arrivé dans le département de la Cuvette (nord), le mardi 30 octobre 2018 pour une visite de travail.

Denis Sassou N’Guesso s’est rendu à Oyo, mardi 30 octobre 2018, pour une visite de travail. Le chef de l’Etat a été accueilli à l’aéroport international d’Ollombo par les corps constitués des départements des Plateaux et de la Cuvette.

Jeudi 01 novembre, le couple présidentiel a tenu à déposer des gerbes de fleurs sur les tombes des parents du couple présidentielle. L’agenda du président de la République prévoit des audiences qu’il accordera à des personnalités étrangères en séjour de travail au Congo. Et à l’occasion de la journée nationale de l’arbre, le 6 novembre prochain, Denis Sassou Nguesso plantera un arbre pendant une cérémonie organisée pour la circonstance.

Congo : conseil des ministres ce samedi 6 octobre

L’ensemble des ministres du gouvernement que dirige Clément Mouamba est attendu ce samedi 6 octobre au Palais du Peuple pour le conseil des ministres.

Denis Sassou Nguesso, le chef de l’Etat présidera ce samedi 6 octobre le conseil des ministres du gouvernement au Palais du peuple. Selon des sources dignes de foi, l’ordre du jour portera notamment sur la relance de l’économie à la diversification de l’économie, sous fond de réduction des cours du pétrole. Des sujets tels que la réduction du train de vie de l’état, l’apport de certaines niches longtemps maintenues en friche, le regain quantitatif dans la production pétrolière, les probants résultats des régies financières seront aussi au rendez-vous.

Rappelons que l’une des résolutions phares du dernier conseil des ministres du 20 septembre 2018 était la dissolution de l’actuelle Commission nationale de lutte contre la corruption, ainsi que l’Observatoire anti-corruption. Il s’agit pour le gouvernement  de les remplacer par une Haute autorité de lutte contre la corruption (HALC) afin d’atteindre l’objectif de rupture avec les mentalités déviantes et les comportements négatifs du passé, et dans le souci de prévenir et réprimer plus efficacement les actes de corruption, de concussion et de fraude.

Congo : Sassou Nguesso en visite de travail à Conakry

Denis Sassou Nguesso a quitté Brazzaville pour une visite de travail et d’amitié à Conakry.

Le président de la république du Congo Brazzaville s’est envolé ce lundi 1er octobre pour la Guinée Conakry. Selon les sources au sein du sérail, Sassou Nguesso s’y rend pour une visite du travail et d’amitié.  Les deux hommes d’Etat se pencheront entre autres sur la crise économique qui secoue le Congo Brazzaville depuis quelques mois.

Le Congo est d’ailleurs en pleine négociation avec le Fonds monétaire international afin d’obtenir un accord pour un nouveau prêt qui relancera l’économie du pays. Rappelons que la Guinée Conakry et le Congo entretiennent de vielles relations de coopération.

Congo : Sassou Nguesso crée la Haute autorité de lutte contre la corruption

La décision a été prise par le chef de l’Etat congolais lors du dernier conseil des ministres tenu au Palais du Peuple ce jeudi 20 septembre.

La commission nationale de lutte contre la corruption, ainsi que l’Observatoire anti-corruption n’existeront plus au Congo Brazzaville. C’est l’une des résolutions du dernier conseil des ministres qui s’est déroulé ce jeudi au Palais présidentiel sur la supervision de Denis Sassou Nguesso. Ces organes seront remplacés par la Haute autorité de lutte contre la corruption (HALC), une nouvelle institution chargée de traquer les criminels.

A en croire les sources bien introduites, l’objectif de cette reforme est de réprimer plus efficacement les actes de corruption, de concussion et de fraude. Elle aura entre autres des missions de prévention et des pouvoirs d’investigation accrus. La nouvelle institution sera composée d’un président et d’autres agents dont la nomenclature est rappelée dans le corps du texte en examen.

Concrètement, chaque poste sera ouvert à candidature publique. C’est-à-dire que tout Congolais, jouissant de ses droits civiques et non condamnés pour des crimes ou délits, ou à une sanction privative de liberté, pourra postuler. Les personnes retenues seront nommées par décret en Conseil des ministres ou décret du premier ministre, chef du gouvernement, en fonction du poste concerné. Il est ici question de garantir leur indépendance et leur donner une large de manœuvre dans l’exercice de leurs fonctions.

Le projet de loi portant création de la Haute autorité de lutte contre la corruption (HALC) sera présenté au parlement pour adoption.

 

Congo : Sassou Nguesso convoque le prochain conseil des ministres le 20 septembre

De retour à Brazzaville, le président congolais a convoqué pour ce jeudi 20 septembre le prochain conseil des ministres de son gouvernement.

Après prés d’une semaine, Denis Sassou Nguesso est de retour d’Oyo où il a notamment reçu le vice-président Kényan William Ruto. Aussitôt arrivée, le chef de l’Etat congolais a convoqué pour ce jeudi 20 septembre le conseil des ministres du gouvernent. Un conseil sous fond de tension si on s’en tient aux révélations du journal Le troubadour qui vient d’ailleurs d’être suspendu pour un mois.

Selon certaines indiscrétions, le président congolais devra prendre lors de cette rencontre des mesures fortes afin de remonter les bretelles à certains membres du gouvernement opposé à sa politique de lutte contre les antivaleurs. D’autres sources qui vont plus parlent même d’un potentiel remaniement ministériel. Toutefois, rien n’est moins sûr, le conseil ce tiendra comme à l’accoutumé au palais du peuple.

Congo : Denis Sassou Nguesso reçoit en audience le vice-président Kenyan

William Ruto, le vice-président du Kenya a rencontré ce 13 septembre 2018 le chef de l’Etat du Congo Brazzaville. Plusieurs sujets importants ont été abordé par les deux hommes d’Etats.

Denis Sassou Nguesso a reçu ce jeudi 13 septembre à Oyo sa ville natale William Ruto le vice président du Kenya. Au menu des échanges, entre autres sujets, les deux hommes ont évoqué les questions liées au tourisme, l’industrie et la santé. Il faut dire que le Kenya veut renforcer sa coopération sur le plan économique et diplomatique avec le Congo Brazzaville.

« Nous avons abordé des questions qui portent sur le progrès de ce continent et avons parlé du sort de huit millions de jeunes africains qui ont besoin d’opportunités et de formation », à indiqué le vice président  kényan a sa sortie d’audience.

Précisons que le Congo et le Kenya ont signé les accords de coopération qui datent de la période des indépendance. Ils viennent d’ailleurs de les renforcer avec un accord cadre dans les domaines des mines, de l’agriculture et de l’élevage. Une commission mixte a été mise en place pour le suivi du procès. William Ruto poursuivra son séjour à Oyo, dans la Cuvette (nord), ce vendredi.

 

Congo : Cambriolage à l’université Denis Sassou Nguesso de Kintelé

Les malfrats se sont introduits dans les bureaux du campus universitaire et ont emporté de nombreux matériaux de valeur. De grosse perte…

C’est un véritable revers que vient de subir l’université Denis Sassou Nguesso de Kintelé, les voleurs se sont introduit ce jeudi 6 août et ont emporté plusieurs objets de valeur. Les climatiseurs, postes téléviseurs, panneaux solaires et meubles ont été dérobé alors que le site est gardé par une dizaine d’éléments de la force publique. «C’est un désastre de voir tous ces bâtiments qui ont été désossés où des climatiseurs, les cuirs sont enlevés », a reconnu Clément Mouemba le premier ministre congolais.

Le chef du gouvernement a par ailleurs instruit le ministre de l’intérieur, ainsi que les forces de défense à mener les enquêtes afin de débusquer les responsables. Il a aussi donné l’ordre de renforcer la sécurité autour du bâtiment. Rappelons qu’il n’y aura pas de rentrée académique en octobre prochain à l’Université Denis-Sassou-Nguesso (UDSN). Les travaux sont encore en cours de réalisation. A en croire Serge Pereira, président directeur général d’Unicon, il faut environ soixante-dix milliards FCFA pour la finalisation des travaux.

Congo : ce que la Chine a promis à Denis Sassou Nguesso

En marge du sommet Chine-Afrique, Denis Sassou Nguesso et son homologue XI Jinping se sont longuement entretenus sur la situation de crise économique que traverse le Congo.

Le chef de l’Etat congolais séjourne depuis quelques jours au pays de l’empire du milieu, il a pris part aux travaux du sommet Chine-Afrique. Outre le forum, Denis Sassou Nguesso avait aussi pour mission de rencontrer en aparté son homologue chinois XI Jinping afin de trouver les solutions pour l’obtention d’un accord entre le Congo et le FMI. Il faut dire que le Congo a sollicité l’aide de la Chine dans ces négociations avec le FMI.

Selon les informations filtrées du long  tête-à-tête entre les deux hommes d’Etat, la Chine a promis une aide conséquente et octroie sans condition un don de 26Mds de FCFA à la République du Congo. Un soutient qui pourrait être capitale dans l’évolution du dossier du Congo au Fonds monétaire internationale.

Créé en 2000, le Forum sur la coopération sino-africaine (Focac) est devenu un immense guichet pour le continent africain. Les slogans « Destin commun » et « Amitié entre les peuples » se déploient le long des sept périphériques de la capitale chinoise. En l’espace de dix-huit ans, le continent africain a contracté plus de 100 milliards d’euros d’emprunts lors de ces rencontres.

Chine : Obiang Nguema en tête à tête avec Denis Sassou Nguesso

Les deux hommes d’Etats ce sont retrouvés en marge du sommet Sino-Africain à pekin. Au menu des échanges, la situation économique et sécuritaire dans la sous-région Afrique centrale.

Les chefs d’Etats d’Afrique sont depuis quelques jours en Chine pour participer au 7 eme forum Chine-Afrique qui a ouvert ses portes ce 3 septembre. En marge de ce rendez-vous qui s’annonce comme le plus grand événement diplomatique de l’année 2018 au pays de l’empire du milieu, Sassou Nguesso a accordé une audience à son homologue guinéen Obiang Nguema.

Les deux hommes d’Etat ont parlé entre autres de la situation politique et économique de l’Afrique centrale. Des solutions pour relancer la croissance dans la sous région. Le chef de l’Etat congolais s’est aussi entretenu avec Moussa Faki Mahamat, Président de la commission de l’UA. Les deux hommes ont fait le tour d’horizon de la situation politique et sécuritaire en Lybie. Il faut dire que le président congolais est président du comité de haut niveau de l’UA pour la Lybie.

La question de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine (UA) a aussi été abordée. Une sorte de vision pour faire de l’Afrique grâce à un plan d’action structuré pour faire de l’Afrique un continent riche et prospère. Rappelons enfin qu’en tant que participant du Forum Chine Afrique, Sassou Nguesso a principalement apprécié l’initiative chinoise « la Ceinture et la Route ». «La chine apportera, à travers l’initiative ceinture – route, quelque chose de très importante au reste du monde. Ce projet intègre harmonieusement les objectifs du développement durable définis aux Nations unies et l’Agenda 2063 » a indiqué Sassou Nguesso.

 

 

 

Coopération : le sommet Sino-africain s’ouvre ce 3 août

Comme annoncé, le sommet Sino-africain ouvre ses portes ce lundi 3 août à Pekin sur fond de crise de la dette. Les chefs d’Etats de 53 pays africains sont présents.

Les délégations de 53 pays africains sont réunies ce lundi 3 août pour l’ouverture du 7eme forum du sommet Chine-Afrique. Une affluence record pour ce sommet qui s’annonce comme le plus grand événement de l’année dans l’empire du milieu en 2018.  Un millier de participants seront présents pendant deux jours, on annonce notamment la présence du secrétaire général des nations Unies, Antonio Gutterres.

Si la plupart des chefs d’Etats ont pu s’entretenir ce week-end avec leur homologue Xi Jinping et signer des mémorandums, il sera désormais d’aborder la question du financement des grands projets sur le continent pendant le sommet. Mais aussi des questions d’industrialisation et de transferts de compétences. Plusieurs chefs d’État du continent y sont aussi afin de solliciter de l’aide pour maintenir l’équilibre de leurs finances publiques.

Mais au-delà du financement de projets, des questions d’industrialisation et de transferts de compétences, plusieurs chefs d’État du continent sont aussi venus au Focac pour y solliciter de l’aide afin de maintenir l’équilibre de leurs finances publiques. Le président congolais Denis Sassou Nguesso sollicitera la coopération de son plus grand créancier, dans ses négociations pour obtenir des fonds du FMI. Les travaux relatifs au sommet prendront part le 5 août.

 

Pekin : Sassou Nguesso s’incline devant la mémoire des héros chinois

En marge du sommet Chine-Afrique qui se tien à Pekin, le président du Congo Brazzaville s’est incliné au pied de la stèle érigée en l’honneur des héros chinois.

Denis Sassou Nguesso, séjourne en Chine depuis le dimanche 2 septembre, il participe comme ses pairs du continent au sommet Sino-Afrique. Le chef de l’Etat congolais a entamé son séjour de travail à Pékin, par le dépôt d’une gerbe de fleurs à la place Tien’anmen en la mémoire des héros chinois de la révolution.

Accompagné par les éléments de l’armée chinoise, la gerbe de fleur décorée aux couleurs du Congo Brazzaville et porté par deux soldats a été déposé aux pieds de la stèle par Sassou Nguesso. Après s’être recueilli, le chef de l’Etat a assisté à l’exécution de l’hymne nationale chinoise. La place Tien’anmen est le lieu mythique de la révolution chinoise.

Rappelons que le 7e Forum sur la coopération sino-africaine s’ouvre effectivement ce lundi 3 septembre, sur fond de crise de la dette. Pendant deux jours, les dirigeants de 53 pays africains tenteront, entre autres, de renégocier les conditions de financement de leurs projets.

 

Coopération Sino-africaine : Denis Sassou Nguesso quitte Brazzaville pour Beijing

Le président du Congo Brazzaville s’est envolé ce jeudi 30 août pour la Chine afin de prendre part aux travaux du forum sur la coopération Chine-Afrique.

Comme annoncé depuis plusieurs semaines, Denis Sassou Nguesso a quitté la capitale Brazzaville pour la Chine. Il prendra part tout comme ses autres paires du continent la semaine prochaine au sommet Chine -Afrique qui se tiendra dans la ville de Beijing. Outre ce forum, le chef de l’Etat congolais entamera dans la foulée une visite d’Etat le même pays.

A en croire les sources dignes de foi, ce second axe de son agenda portera exclusivement sur les questions économiques. Il faut dire que le Congo et la Chine entretiennent des rapports de coopération liés au développement et aux projets de construction d’infrastructures. Sassou Nguesso rencontrera spécialement Xi-Jinping pour un entretien.

Les deux hommes d’Etats épilogueront notamment sur la dette congolaise vis-à-vis de la Chine. Il sera surtout question de trouver les mesures d’assouplissement pour le remboursement. L’objectif étant d’encourager la Chine à appuyer le dossier du Congo Brazzaville qui stagne depuis longtemps dans les bureaux du FMI. Rappelons que le pays que dirige Sassou Nguesso traverse une crise économique. L’accord avec le FMI est devenu une nécessité.

Congo : Denis Sassou Nguesso de retour à Brazzaville

Le président de la république a regagné la capitale Brazzaville après un séjour de travail dans sa localité d’origine à Oyo.

Denis Sassou Nguesso est depuis ce début de semaine de retour à Brazzaville après un bref séjour de travail à Oyo dans le département de la Cuvette. Le chef de l’Etat congolais a été accueilli à sa descente d’avion par les membres du gouvernement. Durant son séjour à Oyo, le président congolais a notamment reçu la visite de son homologue centrafricain Faustin archange Touadera et celui de l’ambassadeur de Chine au Congo.

Avec le président de la Centrafrique, Le chef de l’état centrafricain a ont profité de ce moment pour visiter les investissements de Sassou Nguesso dans le domaine de l’agriculture et l’élevage. Ils se sont notamment baladés dans les ranches de Kila et d’Olenga. Archange Touadera a pu découvrir les quelques  10.300 têtes de bœuf et près de 200 autruches qu’abrite ces sites.

Avec Ma Fulin le président congolais s’est principalement entretenu sur la préparation du sommet Chine-Afrique qui se tiendra en septembre prochain. Il faut dire qu’en mai dernier, Sassou Nguesso avait officiellement reçu une invitation de son homologue chinois, Xi Jinping, pour participer à la rencontre sur la coopération sino-africaine. Les deux hommes ont aussi évoqué la situation du Congo avec le FMI. L’ambassadeur de la Chine a profité de cet entretien pour rappeler le bon état des relations entre les deux états malgré la crise économique que traverse le Congo.

 

 

Congo : Sassou Nguesso visite ses ranches en compagnie de Faustin archange Touadera

Le chef de l’Etat congolais a fait le tour du propriétaire de ses activités agro-pastorales à Oyo en compagnie du président Centrafricain Faustin Archange Touadera.

Denis Sassou Nguesso à invité son homologue centrafricain Faustin Archange Touadera dans sa ville natale à Oyo ce mardi 21 août. Le chef de l’état centrafricain a ont profité de ce moment pour visiter les investissements de Sassou Nguesso dans le domaine de l’agriculture et l’élevage. Ils se sont notamment baladés dans les ranches de Kila et d’Olenga.

Après avoir parcouru le domaine de l’élevage qui abrite quelque 10.300 têtes de bœuf et près de 200 autruches, Archange Touadera s’est dit impressionné avant de féliciter dans la foulée son homologue. A en croire les employés du ranche, le président congolais ambitionne de commercialiser à grande échelle la viande de ces animaux. D’ailleurs, un abattoir moderne aux normes internationales est en construction au bord de l’Alima.

Sassou Nguesso et Arhange Touadera ont ensuite visité l’usine de production du lait made in Congo, le lait de l’Alima. L’usine de traitement de ce lait est implantée à Edou, une localité située près de la ville d’Oyo, dans le département de la Cuvette. Elle a été inaugurée le 2 novembre 2013 par le président de la République, Denis Sassou Nguesso. La production du lait de l’Alima varie entre 800 à 1000 litres de lait par jour, contre 2500 à 3000 litres de lait par jour, en 2016.