Le chef du gouvernement a exprimé sa reconnaissance envers la France qui, comme de nombreux autres partenaires, a joué un rôle clé dans les négociations.
A Brazzaville le 25 janvier 2022, Anatole Collinet Makosso, Premier ministre a eu un entretien avec l’ambassadeur de France au Congo le 25 janvier. Il s’est agi de parler de la signature du 21 janvier Washington à, aux Etats-Unis, de l’accord de trente-six mois au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC) d’un montant d’environ 455 millions de dollars américains entre la République du Congo et le Fonds monétaire international (FMI).
Le chef du gouvernement a exprimé sa reconnaissance envers la France qui, comme de nombreux autres partenaires, a joué un rôle clé dans les négociations ayant abouti à la conclusion d’un nouvel accord avec le FMI.
« Nous avons aidé, autant que possible, notre partenaire congolais à satisfaire aux exigences du Fonds monétaire international et nous en sommes ravis. Maintenant que l’accord est conclu, la France avait promis un appui budgétaire qui va venir. Une mission va arriver à Brazzaville dans quelques semaines pour finaliser cet appui budgétaire comme c’était convenu. Donc avec d’autres partenaires nous allons soutenir le Congo pour mettre en œuvre efficacement cet accord », a promis le diplomate français en poste à Brazzaville.
Selon lui, l’aboutissement de ce dossier est le résultat d’un travail conjoint mené depuis plusieurs mois. « C’est un processus d’efforts partagé que nous avons célébré ce matin pour nous en réjouir. Il faut également dire que ce n’est que le début du processus de réformes qui est une étape absolument impérative, obligée. Maintenant que la confiance est restaurée, le travail peut commencer sur les bonnes bases et nous avons rassuré le Premier ministre que nous resterons au côté du Congo pour l’aider à mettre en œuvre tout ce qui a été prévu à Washington », a conclu François Barateau.