Congo-UPADS : les membres de la Commission préparatoire du Congrès sont intronisés

La cérémonie d’intronisation qui a eu lieu samedi 08 juin au siège du parti à Brazzaville, a été présidé par le Premier secrétaire, Pascal Tsaty-Mabiala.

 

La Commission préparatoire du Congrès de l’UPADS a été installée samedi 08 juin 2024 au siège du Parti à Brazzaville. Cette commission est l’une des conclusions prises lors de la session du Conseil national du Parti tenue à Brazzaville, du 5 au 7 avril dernier.

La cérémonie d’intronisation qui a été présidé par le Premier Secrétaire de l’UPADS, Pascal Tsaty-Mabiala, a été marquée par quatre temps forts. Tout d’abord, présentation des membres de la Commission préparatoire du Congrès, à travers la lecture de l’acte portant nomination desdits membres, ensuite les félicitations des membres, puis le mot de circonstance du Président de la Commission préparatoire du Congrès, Joseph Adam Boussou Diangou, et enfin le discours d’orientations du Premier Secrétaire de l’UPADS Pascal Tsaty-Mabiala.

Après cette étape, il ne manque plus que la tenue du Congrès en lui-même.

Congo : les militants de l’UDH-Yuki appelé à s’unir

La première réunion du nouveau bureau de l’Union des démocrates humanistes de (l’UDH-YUKI) s’est tenu samedi 13 janvier 2024.

 

Le nouveau bureau de de l’UDH-YUKI a été voté pendant le dernier congrès du parti politique et très contesté par des dissidents. Présidée par Joseph Badiabio nouveau président et successeur du fondateur du parti, la rencontre a été une occasion d’installer un nouveau bureau politique de 46 membres, mais aussi un Conseil national et un Secrétariat général.

Il était aussi question de définir un programme d’actions à mener pendant l’année en cours. Axé sur sept grands points, le programme mettra en exergue entre autres la vulgarisation des textes du dernier congrès, le lancement d’une grande campagne d’adhésion pour recruter de nouveaux militants.

Face aux dissensions qui minent cette formation depuis plus de deux ans, Joseph Badiabio appelle tous les militants à l’apaisement et l’union. « Nous n’avons cessé de demander à ceux qui semblent prendre les devants de nous rejoindre pour que nous puissions mener (ensemble) le combat laissé par Guy-Brice Parfait Kolélas. Donc, au fond, ce qu’il faut retenir, c’est le message d’apaisement, de réunification et de rapprochement de toutes les filles et fils de l’UDH-Yuki », a-t-il déclaré.

Congo : les députés dissidents de l’UDH ne reconnaissent pas le nouveau président

Ils étaient nombreux arborant leurs écharpes devant le siège du parti, lorsqu’ils ont rejeté les décisions du congrès du 20 décembre 2023.

 

Un groupe de députés de l’Union des démocrates humanistes a annoncé lundi qu’ils ne reconnaissaient pas le nouveau président issu de leur dernier congrès. Ils remettent en cause l’élection à la tête de l’instance politique de Joseph Badabio, successeur du défunt Guy-Brice Parfait Kolélas, fondateur de l’UDH-Yuki.

C’est arboré de leurs écharpes aux couleurs du parti ce lundi au siège de la formation politique qu’ils ont rejeté toutes les décisions prisent pendant le congrès du 20 décembre dernier.

Pour Aurélien Juste Ntoumi Kolélas, l’un des dissidents « Le parti appartient à la base. On ne peut pas aller contre la volonté de la base. On ne peut pas nous imposer un leader. Ce qui s’est passé le 20 décembre, c’est une imposture. C’est un leader qui nous a été imposé, raison de plus pour laquelle nous rejetons ce congrès ».

Notons que Joseph Badabio était le seul candidat en lice lors du congrès de décembre dernier, les autres candidats n’ayant pas été retenus. Le groupe de députés réclame la tenue d’un nouveau congrès duquel personne ne sera exclu.

« Le chemin que nous proposons, c’est le congrès inclusif. C’est ça le salut pour le parti. Nous restons attachés à ce congrès inclusif. Quand nous parlons du congrès inclusif, ce sont 748 congressistes et 9 candidats (à la présidence du parti) enregistrés par le comité d’organisation du congrès », a expliqué Aurélien Juste Ntoumi Kolélas.

Le parti l’UDH-Yuki a été créé en 2026 par le défunt opposant Guy-Brice Parfait Kolélas. La formation politique est arrivée deuxième aux présidentielles de 2016 et 2021.

Congo : le congrès de l’UDH-Yuki se tiendra du 22 au 23 décembre

Le premier vice-président, Pascal Ngouanou, a réuni plusieurs dizaines de militants au siège du parti pour leur expliquer que la mission de la future équipe dirigeante.

 

Le congrès du parti d’opposition Union des démocrates humanistes (UDH-Yuki) du défunt Guy-Brice Parfait Kolélas va reprendre les 22 et 23 décembre 2023. Ledit congrès va permettre de choisir le successeur du fondateur de ce parti politique.

Interrompu en juillet dernier à cause de nombreuses dissensions, les militants ayant semé le trouble et occasionné l’interruption de la réunion, en juillet dernier, ont été retirés de la liste des participants, passant ainsi de 700 à 573. C’est du moins ce qu’a précisée l’équipe d’organisation.

Le premier vice-président, Pascal Ngouanou, 78 ans, a réuni plusieurs dizaines de militants au siège du parti pour leur expliquer que la mission de la future équipe dirigeante sera, entre autres, de refonder le parti et surtout de former les jeunes cadres devant prendre la relève.

Il est tout de même important de noter que l’UDH-Yuki ne disposait que 7 millions de francs CFA dans ses comptes, alors que la formation a besoin de 20 millions de francs CFA, soit 30 000 euros pour relancer le congrès.

Congo : neuf candidats à la présidence de l’UDH-Yuki

L’Union des démocrates humanistes-Yuki (UDH-Yuki), tiendra son congrès à la fin de ce mois de mai, au cours duquel il y aura élection du nouveau président.

 

Neuf candidats prétendant à la tête de l’UDH-Yuki. Le nom du nouveau leader de cette formation politique sera connu à la fin de son congrès. Il faut noter que ledit congrès se tiendra à la fin ce mois de mai 2023.

A quelques jours de la tenue de ce congrès, les différents candidats affûtent leurs armes, pour se hisser à la tête de parti de l’opposition. Des opérations de collecte de fonds sont organisées par les membres des structures intermédiaires et de base pour soutenir leur candidat.

Il faut rappeler que la tenue de son congrès l’UDH-Yuki, permettra de mettre en place de nouveaux dirigeants qui présideront aux destinées de cette formation politique.

Congo : le taux de croissance estimé à 2,6% en 2022

C’est ce qui ressort du discours de Denis Sassou N’Guesso devant le Parlement réuni en congrès à l’occasion du 64e anniversaire de la proclamation de la République.

 

A l’occasion de la commémoration du 64e anniversaire de la proclamation de la République, le chef de l’Etat s’est exprimé à la nation lundi 28 novembre 2022. Le chef de l’Etat a évoqué plusieurs sujets notamment la lutte contre la corruption, la pandémie à coronavirus, l’économie du pays et bien d’autres.

Sur le plan économique, Denis Sassou N’Guesso a déclaré que l’économie de la République du Congo relance avec un taux de croissance estimé à 2,6% en 2022. Après la crise des matières premières notamment le pétrole et celle de la COVID-19, l’économie se relance progressivement. C’est du moins ce qu’a affirmé le chef de l’Etat qui pense que l’espoir est toujours permis.

Cette relance est liée à la montée des cours de baril de pétrole sur le marché international, aux réformes entreprises dans le cadre du programme conclu avec le Fonds monétaire international (FMI) et au programme des réformes économiques et financières de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).

Rappelons qu’en 2020, le Congo-Brazzaville a connu une croissance de -5,8% contre -0,5% en 2021.

Congo-coronavirus : le président appelle la population à la vigilance

La Covid-19 était l’un des points sur lesquels le président de la République a insisté dans son discours devant le parlement lundi 28 novembre 2022.

 

Le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, était devant le Parlement réuni en congrès lundi 28 novembre 2022. C’était à l’occasion du 64e anniversaire de la proclamation de la République. Dans son discours, le chef de l’Etat a appelé la population à la vigilance afin de remporter définitivement la lutte contre la pandémie du nouveau coronavirus.

Denis Sassou N’guesso reconnait tout de même les efforts de tout le peuple congolais pour le recul de cette maladie dans le pays depuis le mois de mars dernier.

« Le mal, on peut se permettre de le dire, a pu être conjuré et le pire écarté. A titre d’illustration, depuis la fin du mois de mars 2022, le Congo n’a enregistré qu’un seul décès des suites de COVID-19 », a déclaré le président congolais dans son message sur l’état de la nation devant le Parlement.

Rappelons que, le 14 octobre dernier, les autorités congolaises ont procédé à la dissolution du Comité de coordination et de ses organes de gestion ainsi qu’à la levée des restrictions liées à la lutte contre la pandémie.

Congo : Denis Sassou N’Guesso dénonce la corruption dans le système judiciaire

Le président de la République du Congo, a dénoncé mardi 28 décembre, à Brazzaville la corruption au sein du système judiciaire du pays.

 

« Le gain facile et déshonorant du trafic d’influence, de la corruption, de la concussion (…) défie le professionnalisme de ceux qui sont chargés, au nom du peuple congolais, de dire le droit », a-t-il déploré dans son message sur l’état de la nation devant le Parlement réuni en congrès.

« Nul ne peut tolérer ces atteintes nocives qui affectent notre système judiciaire et asphyxient la noblesse du droit et l’impartialité de la justice dans notre pays », a-t-il prévenu.

Il a instruit le gouvernement de mener « à bon port » la réforme du système judiciaire, à travers la numérisation de la justice, la réforme des procédures pénales et civiles, le sens et l’efficacité des peines et l’organisation territoriale des juridictions.

Concernant la détermination de limiter les importations alimentaires onéreuses pour le pays, un autre point important dans le message, le président a appelé ses compatriotes à engager une croisade en faveur du développement de l’élevage.

« En rapport avec cette question cruciale et récurrente des importations alimentaires, il sied d’engager une véritable croisade en faveur du développement de l’élevage bovin, porcin, caprin et de volaille, ainsi qu’une pisciculture à grande échelle », a-t-il noté.

« Le coût des denrées alimentaires importées par notre pays et essentiellement composées de viande, de volaille et de produits halieutiques, varie entre 500 et 700 milliards de FCFA par an », a-t-il dit, annonçant la création de quatre zones agricoles protégées dans le pays pour l’élevage de petits ruminants et la production des denrées de base, tels le manioc, l’arachide, le maïs et le soja.

La République du Congo qui compte moins de 6 millions d’habitants, dispose d’énormes potentialités agro-pastorales, notamment de près de 10 millions d’hectares de terres arables, mais à peine un tiers est exploité de façon manuelle.

Congo : Denis Sassou-Nguesso fait son bilan devant le Congrès

Dans un discours, le chef de l’État de la République du Congo s’est félicité mardi 28 décembre 2021, de la politique menée dans son pays.

 

Costume bleu nuit, cravate rouge : Denis Sassou-Nguesso, 78 ans a d’abord évoqué l’impact du Covid-19 et a rappelé que le vaccin est l’unique solution. Il a donc exhorté la population à faire attention pour les fêtes de fin d’année : « La couverture vaccinale espérée pour la fin de cette année, au moins de 30% de la population totale du Congo, ne pourra pas être atteinte », a-t-il concédé.

Dans un appel très clair aux bailleurs, le chef de l’État congolais a indiqué que tout était en place pour la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption. « Le gain facile de la corruption défie le professionnalisme de ceux qui sont chargés de dire le droit », estime-t-il.

Signe que le marché des hydrocarbures n’est pas stable, c’est une priorité pour 2022, Denis Sassou-Nguesso souhaite que l’agriculture devienne un pilier de l’économie. « Pour l’élevage de petits ruminants et la production de denrées de base telles le manioc, l’arachide, le maïs, le soja », a-t-il précisé.

En vue des législatives, Denis Sassou-Nguesso, qui estime que la présidentielle s’est déroulée dans la sérénité, s’est adressé à la classe politique et a invité « l’ensemble de ces acteurs intéressés par les prochaines élections législatives à privilégier la paix ». « Vive le Congo, je vous remercie », a-t-il conclu.

Denis Sassou-Nguesso a également fait des promesses d’ordre social, dans un contexte de grogne : « Je veillerai à ce que le gouvernement, qui consent de plus en plus d’efforts face à la demande sociale, assure le règlement effectif des charges et autres droits attenant aux obligations pendantes, telles les bourses des étudiants, les pensions de retraite et diverses indemnités dues aux sinistrés et expropriés. Ces différentes créances sur l’État restent exigibles et seront couvertes au fur et à mesure de la disponibilité des ressources nécessaires. »

Claudine Munari, présidente de la plateforme de l’opposition Frocad, juge toutes les thématiques abordées loin des préoccupations premières des Congolais. « Tous les discours du président Sassou-Nguesso se ressemblent. C’est un copier-coller d’autosatisfaction surtout », estime-t-elle.

Congo : la présidentielle au centre du congrès du PCT

Plusieurs milliers de membres et militants du PCT venus des quatre coins du Congo, des délégations parties d’Europe, ont pris part aux travaux du congrès qui se sont poursuivis ce lundi 13 janvier 2020.

Le Parti congolais du travail (PCT), au pouvoir au Congo, a ouvert vendredi à Brazzaville son cinquième congrès ordinaire avec en ligne de mire l’élection présidentielle de 2021, scrutin auquel le chef de l’État Denis Sassou Nguesso devrait prendre part.

Les représentants des partis des « pays amis » tels que les Partis communistes chinois et cubain, le Mouvement populaire pour la libération de l’Angola (MPLA) ou encore le Front patriotique rwandais (FPR) étaient de la partie.

Secrétaire général sortant, en poste depuis 2011, Pierre Ngolo, 65 ans, a été le seul à prendre la parole. Il a exhorté ses camarades à la « discipline » et à « travailler pour le bien-être des Congolais ».

« C’est de la responsabilité du PCT de porter le peuple congolais à la réalisation de ses rêves d’une société démocratique, développée où il fait bon vivre », a insisté M. Ngolo.

Président du Sénat depuis 2017, M. Ngolo ne peut être candidat à sa propre succession conformément à un nouveau règlement du PCT daté de 2016 qui interdit le cumul de fonctions.

Le principal enjeu du congrès est la désignation d’un nouveau secrétaire général chargé de conduire cette formation cinquantenaire jusqu’à la présidentielle.

Jeudi, l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS, principale parti d’opposition) a estimé que les conditions ne seraient pas réunies pour que le pays organise une présidentielle en 2021.

L’UPADS a proposé une transition et un scrutin présidentiel en 2023 sans la participation de Denis Sassou Nguesso.

« Il y a des gens, qu’ils soient au pouvoir [ou dans] l’opposition, qui ne sont jamais prêts pour aller aux élections », a réagi Anatole Collinet Makosso, membre du bureau politique du PCT et ministre de l’Enseignement. « Mais, au PCT nous pensons que l’alternance c’est le respect des échéances », a-t-il ajouté.

Congrès du PCT : les membres du parti en conclave

Les membres du comité préparatoire du cinquième congrès ordinaire du Parti congolais du travail (PCT) sont en conclave, depuis le 18 novembre, au Palais des congrès de Brazzaville.

Au programme de la plénière qui s’étendra sur quelques jours figurent l’examen et l’adoption des rapports des commissions. Il s’agit notamment des rapports des commissions finances du parti ; organisations affiliées et mouvement associatif ; politiques économiques, sociales, culturelles et environnementales ainsi que la commission politique.

Lançant les travaux, le secrétaire général du PCT, président de la coordination du comité préparatoire, Pierre Ngolo, a souligné la nécessité de travailler dans la discipline, la compréhension et la tolérance. « Nous avons, à l’occasion du lancement du comité préparatoire, défini la ligne qui devrait être observée par les uns et les autres. Vous connaissez la singularité de notre congrès, donc l’importance de notre responsabilité, nous qui sommes chargés de préparer les documents. C’est donc une grande responsabilité dont il nous faudra prendre conscience », a-t-il conseillé.

Il a également invité les participants à œuvrer pour la création des conditions de renforcement de l’autorité du parti dans sa capacité d’analyse et de mobilisation pour apporter un appui conséquent au président du comité central, dans ce contexte particulièrement difficile. « Il faut réfléchir sur ce que nous devons faire pour que nous sortions victorieux à toutes les consultations futures. C’est cela qu’il faut privilégier, mais cette réflexion importante doit se faire dans la discipline absolue. Nous ferons tout pour rappeler à l’ordre quiconque tentera de faire obstruction de l’orientation telle que donnée », a reprécisé Pierre Ngolo.

Notons que le cinquième congrès ordinaire du PCT est prévu du 27 au 30 décembre, à Brazzaville, sur le thème « Membres et sympathisants du Parti congolais du travail, en cette année du cinquantenaire, ensemble, dans la discipline et la cohésion, raffermissons les idéaux et les valeurs de notre grand et glorieux parti ; relevons, sous la très haute conduite du camarade président Denis Sassou N’Guesso, les défis du développement de notre pays ».

Congo : le 3ème congrès de l’Ostac se tiendra du 6 au 7 novembre

L’information a été donnée au cours d’une conférence de presse ce samedi 02 novembre à Brazzaville, par les représentants des syndicales CSTC, CSC et Cosylac.

Le  troisième congrès de l’Organisation syndicale des travailleurs de l’Afrique centrale (Ostac), aura pour thème « La migration des travailleurs en Afrique centrale ; enjeux et perspectives ».

Le choix du thème des assises de Brazzaville, n’est pas un hasard comme a expliqués les représentants des syndicats. Ce thème ressort des enquêtes réalisées par le Bureau international du travail (BIT) qu’aujourd’hui, en Afrique centrale, le phénomène de migration est en hausse.

Il sera question au cours de ce congrès, entre autres, de parvenir à mettre en place dans chacun des pays les structures de certification des compétences afin que la migration devienne un problème d’équité et non de friction comme on l’a vu tout récemment en Afrique du Sud, ont souligné les trois responsables syndicaux. « Aujourd’hui, il se pose un problème de reconnaissance. La réticence des travailleurs qui pensent que les travailleurs immigrés viennent occuper leurs emplois. Dans la démarche du BIT, c’est faire de l’immigration un phénomène d’intégration et de développement », ont-ils précisé.

Pour les orateurs, ce congrès est une contribution importante pour les syndicats de la sous-région. Au niveau continental, ont-ils signifié, c’est l’Afrique centrale qui enregistre plus d’immigrés au vu des crises qui y sévissent. Selon eux, la migration n’est pas toujours une mauvaise chose, citant l’ONU qui a publié un rapport annonçant que les transferts de fonds émanant de l’immigration s’élèvent à quarante-quatre milliards de dollars américains par année.

L’Ostac a été créée en 1985 à Libreville, au Gabon, grâce à la volonté des centrales syndicales sous-régionales.

Congo : Sassou Nguesso convoque le parlement

Il va s’agir ce 28 décembre prochain, de la prestation de serment des membres de la cour constitutionnelle et de la haute cour de justice.

Le président Denis Sassou N’Guesso a convoqué le parlement qui se réunira en congrès le vendredi 28 décembre 2018 à 11 heures. Le décret a été signé le 15 décembre à Brazzaville.

L’ordre du jour portera sur la prestation de serment des membres de la Cour constitutionnelle, ainsi que celle des membres de la Haute cour de justice.

Bon à savoir, un décret présidentiel publié à la même date nomme respectivement messieurs Auguste Iloki en qualité de président de la Cour constitutionnelle, Pierre Passi, premier vice-président, Antonin Mokoko, secrétaire général et Emmanuel Poupet, secrétaire général adjoint de la Cour constitutionnelle.