Congo : le festival Feux de Brazza se tiendra en septembre

L’annonce a été faite mercredi 7 septembre, au cours d’une conférence de presse par René Bobala, directeur administratif et financier de ce festival.

 

Du 7 au 10 septembre prochain, Mfilou dans le septième arrondissement de Brazzaville, abritera le festival Feux de Brazza. Cette 7eme édition aura pour thème « Musiques traditionnelles africaines, sources de créativité et vecteurs de l’intégration continentale ».

Les activités programmées pour cet évènement sont entre autres la construction du village du festival à Mfilou ; les spectacles de musique ; la conférence débat sur la diplomatie coutumière africaine ; les visites guidées des sites touristiques de la ville.

En ce qui concernant le village du festival, c’est un espace culturel et commercial ouvert au grand public pendant et après les spectacles. Où seront disposé des stands, le podium et le plateau pour les spectacles. Au moins cinquante groupes nationaux et étrangers qui presteront au site de Mfilou et au mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza.

Cette conférence se déroulera le 9 septembre de 10h à 14h et sera animée par le Pr Urbain Amoa Koidio, détenteur de la chaire de l’Unesco sur la diplomatie coutumière africaine et président de l’université de Cocody, en Côte d’Ivoire.

Congo : le Parlement approuve la création de trois nouvelles entités territoriales

Le projet de loi portant création, redéfinition et érection de nouveaux départements, districts et communautés urbaines a été entériné, les 6 et 7 août, par le Sénat et l’Assemblée nationale.

 

Après son approbation le 3 juillet par le Conseil des ministres, le Parlement donne son accord sur la création de trois nouveaux départements. Il s’agit du Nkeni-Alima, qui regroupe les districts d’Abala, d’Allembé, d’Ollombo, d’ Ongoni et de Makotipoko avec pour chef-lieu Gamboma. Le deuxième, c’est le département du Djoué-Léfini composé des districts d’Ignié, de Vinza, de Kimba et de Ngabé. Son chef-lieu est Odziba.

Le dernier département créé s’appelle Congo-Oubangui qui, d’après le nouveau découpage administratif, regroupe les districts de Mossaka, Bokoma, Liranga et Loukoléla avec Mossaka comme chef-lieu.

Il faut relever que le Parlement adopté cette loi à l’issue d’un débat contradictoire entre les deux chambres. Pour le gouvernement, la nouvelle territorialité a pour objectif de rapprocher l’administration de l’administré et de créer les conditions d’émergence d’une administration orientée vers le département.

Le même texte de loi porte aussi sur l’érection des localités de Loango, de Ngombé, de Ngouha 2 et de Mpouya en communautés urbaines, conformément à la loi n°03-2003 du 17 janvier 2003 fixant l’organisation administrative territoriale, qui matérialise les principes de la déconcentration et de la décentralisation.

Congo-championnat de volleyball : 5 formations s’opposent chez les seniors messieurs

Qui sera sacré champion entre du tournai entre AS Gendarmerie de Pointe-Noire, Espoir, Inter, Direction générale de la sécurité présidentielle (DGSP) 1 et 2 de Brazzaville ?

 

C’est au gymnase Henri-Elendé à Brazzaville, le 05 août que le championnat national de volleyball a été lancé. Pour la fédération, l’objectif est de découvrir de nouveaux champions dans toutes les catégories et versions.

Pour cette 35e édition du championnat national des seniors messieurs, cinq formations, notamment l’AS Gendarmerie de Pointe-Noire, Espoir, Inter, la Direction générale de la sécurité présidentielle (DGSP) 1 et 2 de Brazzaville s’affronteront tout au long du tournoi.

Selon adiac-congo.com, chez les dames, la 29e édition regroupe trois équipes seulement : Kinda Odzoho, Interclub et DGSP. La 25e édition des juniors messieurs se disputera entre six équipes réparties dans deux poules de trois. La poule A comprend la DGSP, Saint Michel de Ouenzé (SMO) et Inter de Nkayi et la poule B mettra aux prises la Renaissance, Inter de Brazzaville et Inter de Pointe-Noire.

Depuis lundi 05 août dernier, les amoureux de volleyball savourent ces moments. La compétiton qui tire à sa fin, s’achève samedi 10 août 2024.

Congo-Enseignement technique : les prestataires menacent de grever

Le collectif des prestataires de l’enseignement technique et professionnel sollicite son implication dans le quota de 2024.

 

L’implication d’un représentant dans la gestion du quota 2024 des enseignants, jusqu’à l’intégration à la fonction publique ; le paiement des trois trimestres impayés de la prise en charge décidé par le gouvernement pour l’année 2023-2024. Ce sont entre autres les revendications des prestataires de l’enseignement technique et professionnel. Ils se sont exprimés lundi 05 août 2024, à Brazzaville.

Selon vox.cg, ces enseignants s’appuient sur la publication de 290 arrêtés des trois premiers lots du quota 2023 dont les enseignants prestataires de l’enseignement technique et professionnel n’ont bénéficié que de 23 arrêtés.

Cette plateforme a dans une déclaration plaidée pour l’amélioration de sa situation socioprofessionnelle par l’exécutif. « Le non-respect de ces revendications nous obligera en conséquence, à observer une grève illimitée à partir du 15 septembre 2024 », a fait savoir le collectif des prestataires de l’enseignement technique et professionnel.

Congo : 43 000 personnes sont mortes de la tuberculose en 2022

Un caucus parlementaire de lutte contre la tuberculose a été lancé mardi 06 août 2024, à Brazzaville, au siège de l’Assemblée nationale.

 

Le nombre de malades de tuberculose reste alarmant. Selon les récentes statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 278 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 2022 et 43 000 personnes sont mortes de la tuberculose au Congo pour une population totale de 6 millions d’habitants. L’agence onusienne révèle que le pays de Sassou N’Guesso fait partie des pays les plus touchés par la tuberculose et par la co-infection (tuberculose/VIH).

Pour intensifier la lutte contre cette maladie, un caucus parlementaire a été lancé dans la capitale congolaise, mardi 06 août. C’était en présence du 1er vice-président de l’Assemblée nationale, Léon Alfred Opimbat, et d’une délégation du caucus mondial sur la tuberculose, conduite par le coprésident du caucus francophone, Pierre Flambeau Ngayap.

Dans une déclaration, les parlementaires ont reconnu que « Au Congo, le taux de réussite du traitement pour les nouveaux cas et les cas de rechute est de 78%, le taux de réussite de traitement pour les cas précédemment traités, à l’exclusion des cas de rechute, est de 69% tandis que le taux de réussite du traitement pour les cas de tuberculose séropositives est de 46% seulement ».

Le caucus parlementaire du Congo s’est engagé, entre autres, à travailler avec les représentants de tous les partis politiques pour faire progresser la lutte contre la maladie.

Congo : une nouvelle règle prescrite aux PME de la filière bois

Le texte vise à empêcher l’entrée sur le marché européen des produits issus de la déforestation ou du trafic illicite.

 

Le nouveau Règlement de l’Union européenne sur la déforestation (RDUE) devrait être appliqué à partir de juin 2025. Il concerne aux Petites et moyennes entreprises (PME), producteur et exportateur du bois. Le RDUE vise à empêcher l’importation et la commercialisation sur le marché européen les produits des chaînes d’approvisionnement associés à la déforestation et d’accroître le commerce de produits du trafic illicite.

Selon adiac-congo.com, la Commission européenne a mis en place un système d’information par lequel les PME devront soumettre une déclaration de diligence raisonnée. Ce dispositif d’évaluation est prévu à travers la collecte d’information, l’analyse et la réduction du risque. Grand consommateur de matières premières associées à la déforestation (11 % des émissions de gaz à effet de serre) et de la perte de biodiversité, l’espace européen veut réduire sa contribution à la déforestation et s’assurer que les produits importés n’impactent pas les forêts dans le monde.

Le RDUE devrait comporter les exigences européennes en matière de traçabilité des produits, d’évaluation des risques et des mesures d’atténuation.

Congo : les enseignants demandent le déblocage des allocations familiales

C’est une des revendications formulées dans une déclaration lue par Raymond Mpika Ntari, porte-parole de la plateforme des structures des diplômés des Écoles professionnelles et des enseignants communautaires.

 

Les membres de ce groupement sollicitent entre autres la notification du quota de recrutement campagne 2024, l’augmentation du quota des écoles de formation professionnelles à 1500 conformément à la déclaration de l’année 2024.

Autres revendications, la signature de la note d’application du statut des enseignants du point de vue financier, la reconnaissance de la première prise de service, le déblocage des allocations familiales, la prise en compte des enseignants volontaires et communautaires de plus de 50 ans dans le quota campagne 2024.

Les enseignants de cette plateforme demandent également La prise en compte des anciens volontaires sur le terrain dans le quota 2024 et le paiement intégral de leur dette financière, la relance effective des activités de la Commission administrative et paritaire, l’augmentation du point d’indice de la fonction publique à 400, le respect du paiement régulier de la bourse des enseignants finalistes volontaires et communautaires, le paiement des rappels de solde d’activités dus aux enseignants, les paiement des émoluments aux enseignants ainsi que celui des fonctionnaires numéraires en charge par le trésor public.

Le Congo va recevoir environ 5 milliards FCFA de crédit carbone

Ce financement vise à récompenser le pays de Sassou N’Guesso pour ses efforts en de conservation forestière et de réduction des émissions de gaz carbonique.

 

La République du Congo devrait recevoir environ 5 milliards FCFA, pour la conservation forestière et de réduction des émissions de gaz carbonique. Cette enveloppe considéré comme crédit carbone, devrait être distribué aux bénéficiaires désignés, conformément au Plan de partage de bénéfice.

Le pays a réussi en 2020 à stoker 1674 212 tCO2 qui correspond à un montant de 8 371 060 de dollars. Ces chiffres sont contenus dans le rapport de vérification et de validation du cabinet Aenor, qui a réalisé l’audit entre novembre 2023 et juillet dernier.

C’est le résultat de plusieurs mois d’investigations et d’échange avec l’équipe de gestion du Programme de réduction des émissions-Sangha Likouala (PRE-SL). L’auditeur indépendant va donc rendre public son rapport le 26 août prochain. Notons que c’est tout premier paiement du fonds carbone que le Congo va recevoir au titre de financement avec pour base les résultats en lien avec la réduction des émissions vérifiées

Rappelons que le PRE-SL est un programme juridictionnel de réduction des émissions liées à la déforestation, à la dégradation des forêts qui intègre la gestion durable des forêts, la conservation de la biodiversité et l’accroissement des stocks de carbone forestier dans les départements de la Likouala et de la Sangha, afin de produire des crédits de réduction des émissions. Il a été conçu par le gouvernement congolais et la Banque mondiale.

Congo : le gouvernement appelé à revoir ses pratiques sur la liberté de manifestation

Une dizaine d’organisation de la société civile a formulé, à l’endroit du gouvernement, des recommandations en vue d’améliorer les pratiques sur le droit d’organiser des manifestations.

 

Quelques organisations de la société civile ont tenu une conférence de presse mercredi 31 juillet à Brazzaville. Au cours de cette rencontre, des recommandations ont été formulées avec pour objectif d’améliorer tout ce qui entoure l’organisation des manifestations au Congo.

Notons que cette conférence de presse fait suite à l’arrestation de trois activistes initiateurs d’une marche dite « Marche contre la misère », à travers laquelle elles ont appelé, le 26 juillet à la démission du gouvernement. Ces derniers ont été relâchés dans les soixante-douze heures ayant suivi leur interpellation.

La société civile demande la mise en place des cadres juridiques nationaux sur les manifestations publiques pour une meilleure jouissance du droit à la liberté de réunion pacifique et sur la protection des défenseurs des droits humains dans l’exercice de leur travail

Elle appelé également ses partenaires et les missions diplomatiques à encourager le gouvernement à améliorer le cadre de protection des défenseurs des droits humains dans le pays en rappelant ses engagements en matière des droits humains.

Congo : des cadres de l’AEMEC iront en séminaire à Ankara et à Istanbul

Du 05 au 10 août 2024, ils participeront à un programme de formation sur le droit de la mer et maritime.

 

Une dizaine de cadres congolais des structures de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales (AEMEC) va participer du 5 au 10 août, à Istanbul et à Ankara en Turquie, à une formation sur le droit de la mer et maritime.

Le choix de ces cadres de l’AEMEC a été opéré par les ministres membres du comité interministériel de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales. Ce sont des experts de l’Organisation maritime internationale (OMI) et du Tribunal international du droit de la mer (TIDM) qui ont été désignés pour dispenser les cours pendant cette formation.

Ces cadres congolais débuteront du 5 au 8 août 2024 leur formation à l’académie d’été sur le droit de la mer, puis s’en suivra un séjour d’immersion, les 9 et 10 août de l’année en cours. Ce voyage d’étude devrait aussi contribuer à une meilleure connaissance des opportunités que pourrait offrir la Türkiye dans les domaines autres que la formation maritime.

Le renforcement des capacités de la première promotion composée des cadres dans les secteurs de la mer et des eaux continentales est une des conditions sine qua none de l’opérationnalisation de l’AEMEC.

Congo : des kits pour renforcer la lutte contre la mortalité maternelle et infantile

Le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, a réceptionné, le 30 juillet à Brazzaville, des kits de césarienne.

 

La République du Congo vient de recevoir des kits de césarienne à hauteur d’un milliard de FCFA. C’est appui du Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap). Ces produits ont été réceptionnés mardi 30 juillet, à Brazzaville par le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki.

Ces kits viennent renforcer le dispositif de lutte contre la mortalité maternelle et infantile en milieu hospitalier. Le Congo a enregistré en 2023, 304 décès pour 100.000 naissances vivantes. Des chiffres qui restent élevés même si on note des améliorations.

Le Congo est passé de 445 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2021 à 414 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2022 puis 304 décès pour 100 000 naissances vivantes en 2023.

Cette situation avait poussé le président de la République à instituer le 29 juillet 2011, la mesure de la gratuité pour de la césarienne, de la grossesse extra utérine et des autres interventions obstétricales majeures.

Congo : TotalEnergies entend améliorer l’approvisionnement en carburant

C’est un des défis que se lance la nouvelle directrice générale de TotalEnergies marketing Congo, Anne Marie Kameni.

 

La nouvelle directrice générale de TotalEnergies marketing Congo, Anne Marie Kameni a été présentée mardi 30 juillet, à Brazzaville au ministre des Hydrocarbures, Bruno Jean Richard Itoua.

Selon un extrait tiré d’adiac-congo.com, le directeur général sortant de TotalEnergies marketing, Grégory Poetschke explique : « Nous avons été reçus aujourd’hui par le ministre des Hydrocarbures dans le cadre d’une passation, puisque j’ai fini ma mission au Congo après trois années passées dans ce merveilleux pays très accueillant. J’ai surtout présenté la personne qui va prendre le flambeau et relever les défis de la profession ».

Avec l’arrivée de Anne Marie Kameni, la société prévoit d’investir sur son réseau de stations-service dans le pays. Les priorités pour les trois années à venir devraient être la poursuite de la modernisation des installations et la gestion du personnel.

Congo : 45% de morts sont causées par les hépatites

Le gouvernement lance dimanche 28 juillet, un appel au dépistage à l’occasion de la Journée internationale de la lutte contre les hépatites virales.

 

En République du Congo, la mortalité imputable aux hépatites virales et leurs complications est estimée à 45%. L’information a été donnée par le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki. C’était dans une déclaration faite à l’occasion de la commémoration de la journée internationale de la lutte contre les hépatites qui se célèbre tous les 28 juillet de chaque année.

Le thème international retenu pour cette célébration a été « Ne pas ignorer. Agir maintenant ». Au plan national, cette célébration a été placée sur le thème « Dépister, c’est urgent ».

Le gouvernement a appelé tous les acteurs du secteur de la santé, la société civile, à mutualiser leurs efforts en organisant des activités de sensibilisation aux hépatites virales. Pour le ministre de la santé, Les dépistages dans les formations sanitaires dans tous les départements, la prise en charge des cas déclarés sont des différentes actions à mener dans la lutte contre ces pathologies.

Bon à savoir, l’hépatite virale est une infection provoquée par des virus se développant aux dépens du tissu hépatique. Le virus infecte souvent les cellules du foie encore appelées hépatocytes.

Eliminatoires CAN Maroc 2025 : des précisions sur le match Congo-Soudan du Sud

Les deux équipes vont s’affronter le 05 septembre prochain, au stade Alphonse-Massamba-Débat.

 

La République du Congo sera face au Soudan du Sud le 05 septembre 2024. Le match qui va se jouer au stade Alphonse-Massamba-Débat, comptera pour la première journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN). Des précisions qui ont été apportées par la Confédération africaine de football (CAF).

Autres informations données par la CAF, l’identité de l’arbitre qui officiera comme juge central. Il s’agit du Mozambicain Celso Armindo Alvacao. Il sera assisté par son compatriote Arsenio Chadresque Maringule (premier assistant). L’Angolais Ivanildo Mereilles de Oliveira Sanches Meirelles De O Sanche Lopez est le deuxième assistant tandis que le Mozambicain Simeone Bernardo Guambe est le quatrième arbitre. Le Rwandais Michel Gasingwe est le commissaire du match et le Nigerien Issaka Boubacar est l’assesseur des arbitres.

Congo : les prix du transport en commun ne changeront pas

C’est ce qui ressort de la séance de travail du lundi 29 juillet à Brazzaville, entre le gouvernement et les représentants de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo.

 

Un accord de la non-augmentation des tarifs de transports en commun sur toute l’étendue du territoire national a été signé entre les deux parties. « Il n’y a aucune augmentation des tarifs de transports en commun sur toute l’étendue du territorial national. Par conséquent, le bon d’information publié le 25 juillet 2024 est nul et de nul effet », ont décidé les deux parties.

Cette séance de travail intervient après que les transporteurs en commun aient annoncé le 27 juillet dernier, l’augmentation des tarifs des transports en commun à compter du 5 août prochain, soit 250 pour le bus et 1 500 FCFA pour le taxi.

La réunion de travail entre le gouvernement et l’intersyndicale a permis de mettre en place une commission élargie pour permettre la reprise des négociations. Les membres de cette commission sont constitués des directeurs des transports urbains et routiers de Brazzaville et de Pointe-Noire, le directeur de la stratégie et des politiques intermodales, le directeur administratif et financier, les chefs de service des transports urbains et routiers ainsi que les responsables de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo. Le conseiller aux Transports routiers du ministre des Transports et le directeur général des Transports terrestres sont respectivement secrétaire et rapporteur.

Ladite commission élargie sera présidée par le directeur de cabinet du ministre des Transports, de l’Aviation civile et de la Marine marchande qui sera suppléé par son collègue directeur de cabinet du ministère délégué en charge de la Décentralisation et du Développement local.

Le ministre délégué en charge de la Décentralisation et du Développement local, Juste Désiré Mondelé, qui présidait la séance de travail, a rappelé au transporteurs la nécessité de tenir compte de la conjoncture économique du pays et d’offrir du confort aux usagers des transports en commun.

Congo-Olympiades de Poto-Poto : la 1ere édition mobilise 200 athlètes

Pendant deux semaines, des jeunes sportifs vont compétir dans huit disciplines sportives qui sont judo, football, nzango, ping-pong, pétanque, scrabble, échiquier et basketball.

 

Le coup d’envoi de la première édition des Olympiades de Poto-Poto a été donné, dimanche 28 juillet 2024. 200 athlètes compétiront dans huit disciplines sportives pendant deux semaines. Les olympiades de Poto-Poto ont pour objectif de rassembler les jeunes du troisième arrondissement de Brazzaville autour des activités sportives surtout en cette période de vacances.

Pour les organisateurs, les olympiades de Poto-Poto contribueront à lutter contre la délinquance juvénile, en promouvant la paix, la tolérance et le vivre-ensemble dans cet arrondissement réputé pour sa diversité culturelle. Les athlètes vont compétir en judo, football, nzango, ping-pong pétanque, scrabble, échiquier et basketball.

Cette première édition a pour thème « Poto-Poto, un rêve partagé », en hommage à Patrick Elysée Angor, un actif de l’arrondissement décédé. Notons que le coup d’envoi des olympiades de Poto-Poto a été donné par le directeur général de la Société nationale des pétroles du Congo Distribution, Teddy Christel Sassou-Nguesso.

Congo : les prix du transport en commun vont augmenter en août

C’est ce qui ressort d’un communiqué de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo.

 

A compter du 5 août 2024, les prix des transports en commun vont connaitre une augmentation. Pour les bus le prix est fixé à 250 FCFA et les taxis 1500 FCFA. Le transport des voyageurs connaîtra une augmentation de 20% tandis que celui des marchandises de 30%.

L’information a été donnée dans un communiqué de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo. Cette décision fait suite à la non prise en compte des revendications des transporteurs, par le gouvernement.

Selon ce communiqué de l’intersyndicale, « Cette augmentation des prix sera appliquée sur toute l’étendue du territoire national ».

Le Congo ne sera plus actionnaire de Corsair

La compagnie aérienne française a déclaré, le 25 juillet dernier, avoir trouvé un nouvel actionnaire privé en remplacement du pays de Sassou N’Guesso.

 

Le Congo se retirer des discussions en vue de devenir actionnaire de la Corsair. La compagnie aérienne française a informé le 25 juillet dernier, dans un communiqué avoir trouvé un nouvel actionnaire privé en remplacement du Congo.

« La République du Congo et les actionnaires de la compagnie ont décidé, d’un commun accord, de limiter leur partenariat autour de leur coopération commerciale et opérationnelle à l’ouverture de la ligne Paris-Brazzaville », a expliqué la compagnie.

La République du Congo qui devait mettre sur la table près de 10 milliards FCFA (15 millions d’euros), n’entrera plus dans le capital de Corsair. « La République du Congo a décidé de concentrer ses moyens sur le développement de sa compagnie nationale [Ecair] pour les liaisons domestiques et régionales avec le soutien stratégique de la compagnie Corsair qui, de son côté, entend bien poursuivre l’ouverture de la ligne Paris-Brazzaville, en collaboration avec les autorités congolaises », a assuré le communiqué de Corsair.

Malgré cette information, la compagnie française entend tout de même maintenir son projet de desservir le Congo à partir de l’aéroport parisien d’Orly. La compagnie entend proposer des billets à partir de quatre cent soixante mille FCFA entre les deux capitales, contre les huit cent cinquante mille francs minimums qu’offre Air France.

Congo : le CSLC demande la poursuite de la campagne « être citoyen en ligne »

Cette activité vise entre autres à combattre le discours de haine et la désinformation dans les médias sociaux.

 

Lancée le 15 mai dernier, 13 délégations du Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC) ont été déployées dans les chefs-lieux de département. Ils avaient pour mission de mener la campagne à travers des actions d’affichage des banderoles, de rencontres et d’échanges avec les autorités et les forces vives locales.

« Lors de la mission, les délégués ont sensibilisé les jeunes, les femmes, les journalistes et les activistes des réseaux sociaux, à élever l’esprit de responsabilité dans l’usage des moyens de communication que sont les réseaux sociaux, de combattre le discours de haine et la désinformation dans les médias sociaux », a expliqué Philippe Mvouo, président du CSLC

La CSLC souhaite que la campagne se poursuive avec le relais des autres institutions afin de poursuivre l’éveil des consciences des populations dans l’utilisation des réseaux sociaux. Philippe Mvouo a exhorté les professionnels de l’information et de la communication à s’impliquer davantage dans l’usage des réseaux sociaux.

Congo-Festival international Bilili pour tous : appel à candidature de films

Les cinéastes ont jusqu’au 30 septembre pour s’inscrire à cette première édition du Festival international Bilili pour tous.

 

Le thème choisi pour la première édition est « Amenons le cinéma partout et pour tous ». L’initiative vise à explorer les différentes formes d’expression cinématographique et à promouvoir l’accès à la culture pour tous.

L’appel à candidature de films est ouvert depuis le 20 juillet dernier et se poursuit jusqu’au 30 septembre. Le festival international bilili se déroulera en 2025 en République démocratique du Congo. A l’occasion de ce rendez-vous annuel, les cinéastes sont appelés à soumettre à la fois des anciens comme des récents films.

« Peu importe l’année de production de votre film, nous sommes impatients de découvrir vos créations uniques et inspirantes, qui reflètent la richesse et la diversité du monde du cinéma ; et de les partager avec un large public », a confié l’organisation.

Festival international bilili pour tous entent organiser des séances de projection de films au profit notamment des personnes en situation de handicap et de celles vivant dans des milieux ruraux où les salles de cinéma sont rares.

Les catégories de compétition sont : court métrage fiction, court métrage documentaire, long métrage fiction, long métrage documentaire, court métrage animation, long métrage animation. On note également une catégorie dédiée au reportage.

J.O de Paris : le Congo représenté par 4 athlètes

Le Congo Brazzaville fait partir des pays africains qui prendront part à cette 33ème édition des jeux olympiques qui débutent vendredi 26 juillet 2024, à Paris en France.

 

Le Congo sera représenté dans trois disciplines,  l’Athlétisme, la Natation et le Tennis, par quatre  athlètes à savoir : la Sprinteuse Natacha Ngoye Akamabi 31 ans, en athlétisme 100m. Elle est championne de France sur 100m en interclubs  en 11.36, lors d’une compétition en mai dernier. Natacha Ngoye Akamabi a également performé aux championnats d’Afrique, en juin à Accra au Ghana, avec sa médaille de bronze sur le 200m.  En natation on a le nageur Freddy Mayala, qui va effectuer 50m de nage libre et 100m brasse.

La même discipline sera représentée par  la nageuse Vanessa Bombibo, qui fera 50m de nage libre.  En ce qui concerne le tennis de table,  on a  le pongiste de 34 ans Saheed Idowu.  Il est classé 9è au classement ITTF-Africa, équivalent au 117e rang mondial. Il retrouve la scène olympique douze ans après les jeux olympiques de Londres 2012, durant lesquels il s’était classé à la 65e place en simple.

La compétition va débuter  samedi 27 juillet à l’Aréna Paris Sud4. A paris, où plus de 10.000 athlètes venus de plus de 200 pays dans le monde, prendront part à cette 33ème   édition des  jeux olympiques.  Notons que, l’athlète spécialiste du 100 et 200 mètres Natacha Ngoye Akamabi, sera le porte fanion de la délégation du Congo à Paris en France.

Congo : la 2ème édition de la FIAC se tiendra en août

Ce rendez-vous de l’artisanat vise à promouvoir l’entreprenariat en Afrique et à favoriser l’éclosion de ce secteur.

 

La foire internationale de l’artisanat du Congo (FIAC) se tiendra du 13 au 25 août 2024. La 2ème édition de la foire réunira près d’une vingtaine de pays africains au tour de plusieurs activités. Expositions, ventes, ateliers de rencontres culturelles et bien d’autres activités meubleront cet évènement. Plusieurs problématiques seront débattues entre acteurs venus de divers horizons, notamment celle de l’autonomisation des jeunes à travers l’entrepreneuriat.

« L’organisation de la 2ème édition de la foire internationale de l’artisanat du Congo (FIAC) revêt une importance capitale, d’autant plus qu’elle contribue à la création d’emplois et au partage d’expériences entre les pays africains. Cette édition est si particulière parce qu’elle rassemblera le 12 août des ministres africains en charge de l’artisanat au cours de la réunion du comité africain pour le développement et la promotion de l’artisanat durant laquelle les acteurs clés discuterons de l’avenir de ce secteur », a fait savoir la ministre des petites et moyennes entreprises et de l’artisanat, Jacqueline Lydia Mikolo.

Le thème de cette édition est « La transformation locale des ressources naturelles par les artisans, défis et perspectives ».

Cette édition rassemblera le 12 août des ministres africains en charge de l’artisanat au cours de la réunion du comité africain pour le développement et la promotion de l’artisanat durant laquelle les acteurs clés discuterons de l’avenir de ce secteur ».

Congo : le Pr Francine Ntoumi nommé ambassadrice nationale de l’UNICEF

Cette nomination est une reconnaissance à son engagement à favoriser l’accès des jeunes filles à la recherche scientifique dans le domaine de la santé.

 

Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) a nommé, le 17 juillet à Brazzaville, la professeure Francine Ntoumi ambassadrice nationale de l’UNICEF au Congo. Cette nomination fait suite à son engagement à favoriser l’accès des jeunes filles à la recherche scientifique dans le domaine de la santé.

La cérémonie de nomination de la Pr Francine Ntoumi en qualité d’ambassadrice nationale de l’UNICEF au Congo a été ponctuée par une signature du protocole d’accord y relatif entre la chercheuse et la représentante de l’UNICEF au Congo, Chantal Umutoni.

« Outre votre combat quotidien sur la recherche scientifique dans le domaine de la santé au Congo et sur le continent africain, c’est votre travail en faveur de la jeune génération particulièrement des filles que je voudrais saluer. Pour vous, le cycle de pauvreté et d’injustice que subissent nos sociétés ne cessera pas tant que les droits des enfants ne seront reconnus et réalisés. Ainsi, la réduction des inégalités en matière d’éducation et de santé qui frappent, de façon injuste les filles plus que les garçons, est le moteur de votre engagement », a indiqué la représentante du Fonds des Nations unies pour l’enfance, Chantal Umutoni.

L’ambassadrice national de l’UNICEF au Congo aura entre autres pour missions de favoriser l’accès à une éducation de qualité particulièrement aux jeunes filles, accompagner les adolescentes durant leur cycle menstruelle, qui est la cause d’absentéisme de plusieurs jeunes filles à l’école, lutter contre les violences à l’égard des enfants ainsi que promouvoir la santé natale des jeunes mamans.

La professeure Francine Ntoumi, biologiste moléculaire de formation, s’est engagée dès le début de sa carrière dans la lutte contre le paludisme.

En 2008, elle crée la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale et devient quelques années plus tard la première femme africaine à prendre la tête du secrétariat de l’Initiative Multilatérale sur le Paludisme. Elle est aussi chef de laboratoire et professeure-associée à l’Institut de Médecine Tropicale de l’Université de Tubingen en Allemagne et enseignante-chercheuse à la Faculté des Sciences et Techniques de l’université Marien-Ngouabi de Brazzaville. Francine Ntoumi a publié ses travaux dans plusieurs revues scientifiques et a reçu plusieurs prix et distinctions, notamment les prix Kwame Nkrumah, Georg Forster, Christophe Mérieux et la Croix du service fédéral allemand.

Congo-baccalauréat général session 2024 : plus de 40000 admis

Les résultats du baccalauréat général session de juin 2024, ont été délibérés mardi 16 juillet à Brazzaville.

 

40.375 candidats ont été déclarés admis à cet examen d’Etat sur l’ensemble du territoire national, soit un pourcentage de 45,68%. Cette information a été donnée par le président général des jurys au baccalauréat général, Dominique Oba.

Dans un extrait tiré d’une publication de nos confrères de vox.cg, Dominique Oba a déclaré : « Nous sommes satisfaits des résultats de 40.375 admis soit un taux d’admission de 45,68 % contre 44,51 % l’année passée. Un pourcentage légèrement en hausse de 1, 17%. Nous n’avons eu aucune difficulté lors du processus du déroulement du baccalauréat, du traitement jusqu’à la délibération de cet examen »

Notons que le taux d’admission par départements n’a pas été dévoilé.

Congo-Baccalauréat technique et professionnel 2024 : 43,65% de taux de réussite

Les résultats du baccalauréat technique session de juin 2024 ont été publiés dimanche 14 juillet à Brazzaville.

 

7252 candidats ont été déclarés admis au baccalauréat technique et professionnel session 2024 sur un effectif de 16 613 présentés. On note une augmentation du taux de réussite qui est de 43,65% cette année par rapport à celui de l’année 2023 qui était de 39,04 %.

Le département de la Bouenza arrive en tête du classement avec 124 admis, soit 81,58% sur 152 candidats présentés, suivi de la Cuvette avec 449 admis sur 742 présentés, soit un pourcentage de 60,51%. La dernière place du classement est attribuée au département du Pool avec 34 admis sur 209 présentés, soit 16,27% de réussite.

Selon le procès-verbal de délibération de cet examen d’Etat, la moyenne d’admission retenue est de 10 sur 20.

Congo : l’Unicef fait un don de 230 000 doses de vaccins BCG

Le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki a réceptionné ces vaccins samedi 13 juillet 2024, à Brazzaville.

 

230 000 doses de vaccin BCG ont été mis à la disposition du Programme élargi de vaccination (PEV). Cet appui de l’Unicef va permettre d’assurer la couverture vaccinale à travers le pays sur une période de douze mois. C’est la ministre de la Santé et de la population, Gilbert Mokoki qui a réceptionné les vaccins le 13 juillet dernier.

Ces 230 000 vaccins BCG ne constituent qu’un premier lot, le second arrivera dans les prochains jours. C’est du moins ce qu’a précisé Etienne Loembe, responsable de la logistique au PEV.

Pour Gilbert Mokoki, « Le PEV avait déjà tiré la sonnette d’alarme. Certaines femmes se plaignaient déjà. L’Assemblée nationale nous avait interpellés pour savoir si les vaccins manquaient. Nous lui avions répondu en soulignant que l’on n’était pas encore arrivé à l’étape de rupture en vaccins. Ce lot reçu nous rassure tous »

Congo-Hydrocarbures : au 2e trimestre, le prix brut du baril fixé à 83,659 dollars

La réunion de fixation des prix des hydrocarbures au deuxième trimestre s’est tenue su 10 au 12juillet 2024, à Pointe-Noire.

 

Co-organisée par les sociétés Hamla E&P Congo et Kontinent Congo, les travaux de cette réunion ont permis aux experts de fixé les prix et les différentiels des hydrocarbures produits au Congo. On note que la moyenne trimestrielle des prix fixés des hydrocarbures était de 83,659 dollars par baril pour un différentiel trimestriel moyen de -1,159 dollar par baril.

« Au deuxième trimestre 2024, les cours du pétrole ont poursuivi leur rebond avant de se stabiliser. Le contexte économique reste incertain, avec un sentiment fragile d’apaisement des tensions géopolitiques balancé par l’augmentation des stocks et la hausse du dollar. La demande mondiale a connu une croissance de +1,2 million par baril contre 2,8 millions de barils par jour en 2023 », a souligné le directeur de cabinet du ministre des hydrocarbures, Macaire Batchi.

Les prix fixés et les différentiels des hydrocarbures produits au Congo, arrêtés au cours de la réunion des prix du deuxième trimestre, en dollar par baril, sont les suivants : Djeno Mélange. Mois d’avril, le prix fixé est de 85,792 pour un différentiel de -2,256. Mois de mai, le prix fixé est de 79,740 pour un différentiel de -2,413. Mois de juin, le prix fixé est de 81,896 pour un différentiel de -1,942.

-Nkossa Blend. Avril, le prix fixé est de 87,667 pour un différentiel de -1,850. Mai, le prix fixé est de 80,398 pour un différentiel de -1, 650. Juin, le prix fixé est de 80,421 pour un différentiel de -2,230.

-Yombo. Avril, le prix fixé est de 90,810 pour un différentiel de 0,660. Mai, le prix fixé est de 82,708 pour un différentiel de 0,660. Juin, le prix fixé est de 83,268 pour un différentiel de 0,660.

-Nkossa Butane. Avril, le prix fixé est de 51,262 pour un différentiel de 0,000. Mai, le prix fixé est de 43,248 pour un différentiel de 0,000. Juin, le prix fixé est de 44,979 pour un différentiel de 0,000.

-Nkossa Propane. Le prix fixé pour le mois d’avril est de 32,857 pour un différentiel de -0,273. Mai, le prix fixé est de 28,868 pour un différentiel de -0,273. Juin, le prix fixé est de 31,531 pour un différentiel de -0,273.

La prochaine réunion de fixation des prix pour le compte du troisième trimestre se tiendra du 9 au 11 octobre de l’année en cours à Brazzaville.

Congo : l’activité des motocycles réservé aux personnes de nationalité

Dans un décret datant du 09 juillet 2024, le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso, règlemente l’activité de transport public de personnes par motocycle.

 

Plusieurs recommandations émaillent du décret du Premier ministre. Désormais, « L’activité L’exercice de transport public de passagers par motocycle est autorisé dans les périphéries des grandes villes, dans les communautés urbaines dépourvues de toute autre offre de transport en commun et dans les zones rurales ».

Le décret du chef du gouvernement, précise que tout motocycle utilisé dans le transport public de passagers doit être immatriculé, assuré et soumis à un contrôle technique périodique. Chaque motocycle utilisé dans le transport public des passagers doit disposer de deux casques dont un pour le conducteur et un autre pour le passager. Il doit également se munir d’un désinfectant pour le casque des usagers et d’une trousse sanitaire, pour les premiers soins, en cas d’accident.

« Tout conducteur de motocycle utilisé pour l’exercice de l’activité de transport public de passagers doit avoir 18 ans révolus ; être détenteur d’un permis de conduire de la catégorie A1, pour les tricycles, et de la catégorie A, pour les motocycles à deux roues, en cours de validité ; être détenteur d’un certificat de capacité, pour le transport public de passagers ; être détenteur d’un certificat médical délivré par un médecin agréé par la collectivité concernée ; avoir un gilet fluorisant numéroté », détaille le décret.

Le même texte interdit au conducteur de motocycle à deux places de transporter plus d’une personne ; de rouler à une vitesse supérieure à 50 kilomètres à l’heure ; de transporter un passager en position « amazone ». Autres recommandations, « L’exercice de profession de conducteur de motocycle dans le transport public des passagers est spécifiquement réservé aux personnes de nationalité congolaise, sans distinction de genre. L’exploitation de cette profession est spécifiquement réservée aux groupements d’intérêt économique, aux entreprises et autres groupements professionnels, détenteurs d’un agrément délivré par un arrêté du ministre chargé des Transports terrestres ».

Congo : les experts examinent les documents sur la santé de la reproduction

L’objectif est de renforcer les capacités des enseignants à dispenser une éducation à la santé et au bien-être de qualité.

 

Ouverte mardi 09 juillet, la formation regroupe des experts nationaux et internationaux, des formateurs, des enseignants, des représentants des organisations de la société civile, des agences des Nations unies. Pendant cinq jours, les enseignants suivront des communications sur différents thèmes : la santé physique et mentale, la sexualité, les relations saines, la prévention des violences et les droits de l’homme.

L’objectif de cette formation est de renforcer les capacités des enseignants à dispenser une éducation à la santé et au bien-être de qualité. Elle a été lancée officiellement par le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, en présence de la représentante de l’Unesco au Congo, Fatoumata Marega Barry.

Fatoumata Marega Barry a déploré les barrières sociales, culturels et économiques qui mettent des limites d’accès aux jeunes dans les services de santé sexuelle et reproductive tels que les intrants, le dépistage, le traitement, les contraceptives.

Congo : la 2e édition de Digi forum se tient le juillet prochain

Organisé par le Club des directeurs des systèmes d’information du Congo (DSI club Congo), l’évènement se déroulera à Pointe-Noire.

 

Conférences, des sessions de networking, des ateliers sont entre autres les articulations qui vont meublées le Digi forum. L’événement organisé par le DSI club Congo a pour but de promouvoir le métier et la fonction système d’information, le développement des usages des technologies de l’information et de la communication, et l’assistance aux projets nationaux.

Placée sous le thème « Convergence numérique : transformations, défis et perspectives », l’édition de cette année se tiendra le 18 juillet à Pointe-Noire, dans la salle de Canal Olympia, à Mpita, dans l’arrondissement 1, Emery-Patrice- Lumumba. On note la participation de Maximin Mbou et de Serge Parfait Goma, respectivement secrétaire général et membre du bureau exécutif du DSI club Congo, qui interviendront lors des panels. Ils vont entretenir les participants sur « La transformation digitale des entreprises : stratégies efficaces et défis à surmonter » et sur « La sécurité dans un monde de plus en plus connecté : défis et solutions ». D’autres thèmes seront abordés au cours de cette rencontre.

Placée sur le thème « Convergence numérique : transformations, défis et perspectives », la deuxième édition de Digi forum, événement organisé par le Club des directeurs des systèmes d’information du Congo (DSI club Congo), se déroulera le 18 juillet à Pointe-Noire, dans la salle de Canal Olympia, à Mpita, dans l’arrondissement 1, Emery-Patrice- Lumumba.