Congo : les prix du transport en commun ne changeront pas

C’est ce qui ressort de la séance de travail du lundi 29 juillet à Brazzaville, entre le gouvernement et les représentants de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo.

 

Un accord de la non-augmentation des tarifs de transports en commun sur toute l’étendue du territoire national a été signé entre les deux parties. « Il n’y a aucune augmentation des tarifs de transports en commun sur toute l’étendue du territorial national. Par conséquent, le bon d’information publié le 25 juillet 2024 est nul et de nul effet », ont décidé les deux parties.

Cette séance de travail intervient après que les transporteurs en commun aient annoncé le 27 juillet dernier, l’augmentation des tarifs des transports en commun à compter du 5 août prochain, soit 250 pour le bus et 1 500 FCFA pour le taxi.

La réunion de travail entre le gouvernement et l’intersyndicale a permis de mettre en place une commission élargie pour permettre la reprise des négociations. Les membres de cette commission sont constitués des directeurs des transports urbains et routiers de Brazzaville et de Pointe-Noire, le directeur de la stratégie et des politiques intermodales, le directeur administratif et financier, les chefs de service des transports urbains et routiers ainsi que les responsables de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo. Le conseiller aux Transports routiers du ministre des Transports et le directeur général des Transports terrestres sont respectivement secrétaire et rapporteur.

Ladite commission élargie sera présidée par le directeur de cabinet du ministre des Transports, de l’Aviation civile et de la Marine marchande qui sera suppléé par son collègue directeur de cabinet du ministère délégué en charge de la Décentralisation et du Développement local.

Le ministre délégué en charge de la Décentralisation et du Développement local, Juste Désiré Mondelé, qui présidait la séance de travail, a rappelé au transporteurs la nécessité de tenir compte de la conjoncture économique du pays et d’offrir du confort aux usagers des transports en commun.

Congo-Olympiades de Poto-Poto : la 1ere édition mobilise 200 athlètes

Pendant deux semaines, des jeunes sportifs vont compétir dans huit disciplines sportives qui sont judo, football, nzango, ping-pong, pétanque, scrabble, échiquier et basketball.

 

Le coup d’envoi de la première édition des Olympiades de Poto-Poto a été donné, dimanche 28 juillet 2024. 200 athlètes compétiront dans huit disciplines sportives pendant deux semaines. Les olympiades de Poto-Poto ont pour objectif de rassembler les jeunes du troisième arrondissement de Brazzaville autour des activités sportives surtout en cette période de vacances.

Pour les organisateurs, les olympiades de Poto-Poto contribueront à lutter contre la délinquance juvénile, en promouvant la paix, la tolérance et le vivre-ensemble dans cet arrondissement réputé pour sa diversité culturelle. Les athlètes vont compétir en judo, football, nzango, ping-pong pétanque, scrabble, échiquier et basketball.

Cette première édition a pour thème « Poto-Poto, un rêve partagé », en hommage à Patrick Elysée Angor, un actif de l’arrondissement décédé. Notons que le coup d’envoi des olympiades de Poto-Poto a été donné par le directeur général de la Société nationale des pétroles du Congo Distribution, Teddy Christel Sassou-Nguesso.

Congo : les prix du transport en commun vont augmenter en août

C’est ce qui ressort d’un communiqué de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo.

 

A compter du 5 août 2024, les prix des transports en commun vont connaitre une augmentation. Pour les bus le prix est fixé à 250 FCFA et les taxis 1500 FCFA. Le transport des voyageurs connaîtra une augmentation de 20% tandis que celui des marchandises de 30%.

L’information a été donnée dans un communiqué de l’intersyndicale des transporteurs en commun du Congo. Cette décision fait suite à la non prise en compte des revendications des transporteurs, par le gouvernement.

Selon ce communiqué de l’intersyndicale, « Cette augmentation des prix sera appliquée sur toute l’étendue du territoire national ».

Le Congo ne sera plus actionnaire de Corsair

La compagnie aérienne française a déclaré, le 25 juillet dernier, avoir trouvé un nouvel actionnaire privé en remplacement du pays de Sassou N’Guesso.

 

Le Congo se retirer des discussions en vue de devenir actionnaire de la Corsair. La compagnie aérienne française a informé le 25 juillet dernier, dans un communiqué avoir trouvé un nouvel actionnaire privé en remplacement du Congo.

« La République du Congo et les actionnaires de la compagnie ont décidé, d’un commun accord, de limiter leur partenariat autour de leur coopération commerciale et opérationnelle à l’ouverture de la ligne Paris-Brazzaville », a expliqué la compagnie.

La République du Congo qui devait mettre sur la table près de 10 milliards FCFA (15 millions d’euros), n’entrera plus dans le capital de Corsair. « La République du Congo a décidé de concentrer ses moyens sur le développement de sa compagnie nationale [Ecair] pour les liaisons domestiques et régionales avec le soutien stratégique de la compagnie Corsair qui, de son côté, entend bien poursuivre l’ouverture de la ligne Paris-Brazzaville, en collaboration avec les autorités congolaises », a assuré le communiqué de Corsair.

Malgré cette information, la compagnie française entend tout de même maintenir son projet de desservir le Congo à partir de l’aéroport parisien d’Orly. La compagnie entend proposer des billets à partir de quatre cent soixante mille FCFA entre les deux capitales, contre les huit cent cinquante mille francs minimums qu’offre Air France.

Congo : le CSLC demande la poursuite de la campagne « être citoyen en ligne »

Cette activité vise entre autres à combattre le discours de haine et la désinformation dans les médias sociaux.

 

Lancée le 15 mai dernier, 13 délégations du Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC) ont été déployées dans les chefs-lieux de département. Ils avaient pour mission de mener la campagne à travers des actions d’affichage des banderoles, de rencontres et d’échanges avec les autorités et les forces vives locales.

« Lors de la mission, les délégués ont sensibilisé les jeunes, les femmes, les journalistes et les activistes des réseaux sociaux, à élever l’esprit de responsabilité dans l’usage des moyens de communication que sont les réseaux sociaux, de combattre le discours de haine et la désinformation dans les médias sociaux », a expliqué Philippe Mvouo, président du CSLC

La CSLC souhaite que la campagne se poursuive avec le relais des autres institutions afin de poursuivre l’éveil des consciences des populations dans l’utilisation des réseaux sociaux. Philippe Mvouo a exhorté les professionnels de l’information et de la communication à s’impliquer davantage dans l’usage des réseaux sociaux.

Congo-Festival international Bilili pour tous : appel à candidature de films

Les cinéastes ont jusqu’au 30 septembre pour s’inscrire à cette première édition du Festival international Bilili pour tous.

 

Le thème choisi pour la première édition est « Amenons le cinéma partout et pour tous ». L’initiative vise à explorer les différentes formes d’expression cinématographique et à promouvoir l’accès à la culture pour tous.

L’appel à candidature de films est ouvert depuis le 20 juillet dernier et se poursuit jusqu’au 30 septembre. Le festival international bilili se déroulera en 2025 en République démocratique du Congo. A l’occasion de ce rendez-vous annuel, les cinéastes sont appelés à soumettre à la fois des anciens comme des récents films.

« Peu importe l’année de production de votre film, nous sommes impatients de découvrir vos créations uniques et inspirantes, qui reflètent la richesse et la diversité du monde du cinéma ; et de les partager avec un large public », a confié l’organisation.

Festival international bilili pour tous entent organiser des séances de projection de films au profit notamment des personnes en situation de handicap et de celles vivant dans des milieux ruraux où les salles de cinéma sont rares.

Les catégories de compétition sont : court métrage fiction, court métrage documentaire, long métrage fiction, long métrage documentaire, court métrage animation, long métrage animation. On note également une catégorie dédiée au reportage.

J.O de Paris : le Congo représenté par 4 athlètes

Le Congo Brazzaville fait partir des pays africains qui prendront part à cette 33ème édition des jeux olympiques qui débutent vendredi 26 juillet 2024, à Paris en France.

 

Le Congo sera représenté dans trois disciplines,  l’Athlétisme, la Natation et le Tennis, par quatre  athlètes à savoir : la Sprinteuse Natacha Ngoye Akamabi 31 ans, en athlétisme 100m. Elle est championne de France sur 100m en interclubs  en 11.36, lors d’une compétition en mai dernier. Natacha Ngoye Akamabi a également performé aux championnats d’Afrique, en juin à Accra au Ghana, avec sa médaille de bronze sur le 200m.  En natation on a le nageur Freddy Mayala, qui va effectuer 50m de nage libre et 100m brasse.

La même discipline sera représentée par  la nageuse Vanessa Bombibo, qui fera 50m de nage libre.  En ce qui concerne le tennis de table,  on a  le pongiste de 34 ans Saheed Idowu.  Il est classé 9è au classement ITTF-Africa, équivalent au 117e rang mondial. Il retrouve la scène olympique douze ans après les jeux olympiques de Londres 2012, durant lesquels il s’était classé à la 65e place en simple.

La compétition va débuter  samedi 27 juillet à l’Aréna Paris Sud4. A paris, où plus de 10.000 athlètes venus de plus de 200 pays dans le monde, prendront part à cette 33ème   édition des  jeux olympiques.  Notons que, l’athlète spécialiste du 100 et 200 mètres Natacha Ngoye Akamabi, sera le porte fanion de la délégation du Congo à Paris en France.

Congo : la 2ème édition de la FIAC se tiendra en août

Ce rendez-vous de l’artisanat vise à promouvoir l’entreprenariat en Afrique et à favoriser l’éclosion de ce secteur.

 

La foire internationale de l’artisanat du Congo (FIAC) se tiendra du 13 au 25 août 2024. La 2ème édition de la foire réunira près d’une vingtaine de pays africains au tour de plusieurs activités. Expositions, ventes, ateliers de rencontres culturelles et bien d’autres activités meubleront cet évènement. Plusieurs problématiques seront débattues entre acteurs venus de divers horizons, notamment celle de l’autonomisation des jeunes à travers l’entrepreneuriat.

« L’organisation de la 2ème édition de la foire internationale de l’artisanat du Congo (FIAC) revêt une importance capitale, d’autant plus qu’elle contribue à la création d’emplois et au partage d’expériences entre les pays africains. Cette édition est si particulière parce qu’elle rassemblera le 12 août des ministres africains en charge de l’artisanat au cours de la réunion du comité africain pour le développement et la promotion de l’artisanat durant laquelle les acteurs clés discuterons de l’avenir de ce secteur », a fait savoir la ministre des petites et moyennes entreprises et de l’artisanat, Jacqueline Lydia Mikolo.

Le thème de cette édition est « La transformation locale des ressources naturelles par les artisans, défis et perspectives ».

Cette édition rassemblera le 12 août des ministres africains en charge de l’artisanat au cours de la réunion du comité africain pour le développement et la promotion de l’artisanat durant laquelle les acteurs clés discuterons de l’avenir de ce secteur ».

Congo : le Pr Francine Ntoumi nommé ambassadrice nationale de l’UNICEF

Cette nomination est une reconnaissance à son engagement à favoriser l’accès des jeunes filles à la recherche scientifique dans le domaine de la santé.

 

Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) a nommé, le 17 juillet à Brazzaville, la professeure Francine Ntoumi ambassadrice nationale de l’UNICEF au Congo. Cette nomination fait suite à son engagement à favoriser l’accès des jeunes filles à la recherche scientifique dans le domaine de la santé.

La cérémonie de nomination de la Pr Francine Ntoumi en qualité d’ambassadrice nationale de l’UNICEF au Congo a été ponctuée par une signature du protocole d’accord y relatif entre la chercheuse et la représentante de l’UNICEF au Congo, Chantal Umutoni.

« Outre votre combat quotidien sur la recherche scientifique dans le domaine de la santé au Congo et sur le continent africain, c’est votre travail en faveur de la jeune génération particulièrement des filles que je voudrais saluer. Pour vous, le cycle de pauvreté et d’injustice que subissent nos sociétés ne cessera pas tant que les droits des enfants ne seront reconnus et réalisés. Ainsi, la réduction des inégalités en matière d’éducation et de santé qui frappent, de façon injuste les filles plus que les garçons, est le moteur de votre engagement », a indiqué la représentante du Fonds des Nations unies pour l’enfance, Chantal Umutoni.

L’ambassadrice national de l’UNICEF au Congo aura entre autres pour missions de favoriser l’accès à une éducation de qualité particulièrement aux jeunes filles, accompagner les adolescentes durant leur cycle menstruelle, qui est la cause d’absentéisme de plusieurs jeunes filles à l’école, lutter contre les violences à l’égard des enfants ainsi que promouvoir la santé natale des jeunes mamans.

La professeure Francine Ntoumi, biologiste moléculaire de formation, s’est engagée dès le début de sa carrière dans la lutte contre le paludisme.

En 2008, elle crée la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale et devient quelques années plus tard la première femme africaine à prendre la tête du secrétariat de l’Initiative Multilatérale sur le Paludisme. Elle est aussi chef de laboratoire et professeure-associée à l’Institut de Médecine Tropicale de l’Université de Tubingen en Allemagne et enseignante-chercheuse à la Faculté des Sciences et Techniques de l’université Marien-Ngouabi de Brazzaville. Francine Ntoumi a publié ses travaux dans plusieurs revues scientifiques et a reçu plusieurs prix et distinctions, notamment les prix Kwame Nkrumah, Georg Forster, Christophe Mérieux et la Croix du service fédéral allemand.

Congo-baccalauréat général session 2024 : plus de 40000 admis

Les résultats du baccalauréat général session de juin 2024, ont été délibérés mardi 16 juillet à Brazzaville.

 

40.375 candidats ont été déclarés admis à cet examen d’Etat sur l’ensemble du territoire national, soit un pourcentage de 45,68%. Cette information a été donnée par le président général des jurys au baccalauréat général, Dominique Oba.

Dans un extrait tiré d’une publication de nos confrères de vox.cg, Dominique Oba a déclaré : « Nous sommes satisfaits des résultats de 40.375 admis soit un taux d’admission de 45,68 % contre 44,51 % l’année passée. Un pourcentage légèrement en hausse de 1, 17%. Nous n’avons eu aucune difficulté lors du processus du déroulement du baccalauréat, du traitement jusqu’à la délibération de cet examen »

Notons que le taux d’admission par départements n’a pas été dévoilé.

Congo-Baccalauréat technique et professionnel 2024 : 43,65% de taux de réussite

Les résultats du baccalauréat technique session de juin 2024 ont été publiés dimanche 14 juillet à Brazzaville.

 

7252 candidats ont été déclarés admis au baccalauréat technique et professionnel session 2024 sur un effectif de 16 613 présentés. On note une augmentation du taux de réussite qui est de 43,65% cette année par rapport à celui de l’année 2023 qui était de 39,04 %.

Le département de la Bouenza arrive en tête du classement avec 124 admis, soit 81,58% sur 152 candidats présentés, suivi de la Cuvette avec 449 admis sur 742 présentés, soit un pourcentage de 60,51%. La dernière place du classement est attribuée au département du Pool avec 34 admis sur 209 présentés, soit 16,27% de réussite.

Selon le procès-verbal de délibération de cet examen d’Etat, la moyenne d’admission retenue est de 10 sur 20.

Congo : l’Unicef fait un don de 230 000 doses de vaccins BCG

Le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki a réceptionné ces vaccins samedi 13 juillet 2024, à Brazzaville.

 

230 000 doses de vaccin BCG ont été mis à la disposition du Programme élargi de vaccination (PEV). Cet appui de l’Unicef va permettre d’assurer la couverture vaccinale à travers le pays sur une période de douze mois. C’est la ministre de la Santé et de la population, Gilbert Mokoki qui a réceptionné les vaccins le 13 juillet dernier.

Ces 230 000 vaccins BCG ne constituent qu’un premier lot, le second arrivera dans les prochains jours. C’est du moins ce qu’a précisé Etienne Loembe, responsable de la logistique au PEV.

Pour Gilbert Mokoki, « Le PEV avait déjà tiré la sonnette d’alarme. Certaines femmes se plaignaient déjà. L’Assemblée nationale nous avait interpellés pour savoir si les vaccins manquaient. Nous lui avions répondu en soulignant que l’on n’était pas encore arrivé à l’étape de rupture en vaccins. Ce lot reçu nous rassure tous »

Congo-Hydrocarbures : au 2e trimestre, le prix brut du baril fixé à 83,659 dollars

La réunion de fixation des prix des hydrocarbures au deuxième trimestre s’est tenue su 10 au 12juillet 2024, à Pointe-Noire.

 

Co-organisée par les sociétés Hamla E&P Congo et Kontinent Congo, les travaux de cette réunion ont permis aux experts de fixé les prix et les différentiels des hydrocarbures produits au Congo. On note que la moyenne trimestrielle des prix fixés des hydrocarbures était de 83,659 dollars par baril pour un différentiel trimestriel moyen de -1,159 dollar par baril.

« Au deuxième trimestre 2024, les cours du pétrole ont poursuivi leur rebond avant de se stabiliser. Le contexte économique reste incertain, avec un sentiment fragile d’apaisement des tensions géopolitiques balancé par l’augmentation des stocks et la hausse du dollar. La demande mondiale a connu une croissance de +1,2 million par baril contre 2,8 millions de barils par jour en 2023 », a souligné le directeur de cabinet du ministre des hydrocarbures, Macaire Batchi.

Les prix fixés et les différentiels des hydrocarbures produits au Congo, arrêtés au cours de la réunion des prix du deuxième trimestre, en dollar par baril, sont les suivants : Djeno Mélange. Mois d’avril, le prix fixé est de 85,792 pour un différentiel de -2,256. Mois de mai, le prix fixé est de 79,740 pour un différentiel de -2,413. Mois de juin, le prix fixé est de 81,896 pour un différentiel de -1,942.

-Nkossa Blend. Avril, le prix fixé est de 87,667 pour un différentiel de -1,850. Mai, le prix fixé est de 80,398 pour un différentiel de -1, 650. Juin, le prix fixé est de 80,421 pour un différentiel de -2,230.

-Yombo. Avril, le prix fixé est de 90,810 pour un différentiel de 0,660. Mai, le prix fixé est de 82,708 pour un différentiel de 0,660. Juin, le prix fixé est de 83,268 pour un différentiel de 0,660.

-Nkossa Butane. Avril, le prix fixé est de 51,262 pour un différentiel de 0,000. Mai, le prix fixé est de 43,248 pour un différentiel de 0,000. Juin, le prix fixé est de 44,979 pour un différentiel de 0,000.

-Nkossa Propane. Le prix fixé pour le mois d’avril est de 32,857 pour un différentiel de -0,273. Mai, le prix fixé est de 28,868 pour un différentiel de -0,273. Juin, le prix fixé est de 31,531 pour un différentiel de -0,273.

La prochaine réunion de fixation des prix pour le compte du troisième trimestre se tiendra du 9 au 11 octobre de l’année en cours à Brazzaville.

Congo : l’activité des motocycles réservé aux personnes de nationalité

Dans un décret datant du 09 juillet 2024, le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso, règlemente l’activité de transport public de personnes par motocycle.

 

Plusieurs recommandations émaillent du décret du Premier ministre. Désormais, « L’activité L’exercice de transport public de passagers par motocycle est autorisé dans les périphéries des grandes villes, dans les communautés urbaines dépourvues de toute autre offre de transport en commun et dans les zones rurales ».

Le décret du chef du gouvernement, précise que tout motocycle utilisé dans le transport public de passagers doit être immatriculé, assuré et soumis à un contrôle technique périodique. Chaque motocycle utilisé dans le transport public des passagers doit disposer de deux casques dont un pour le conducteur et un autre pour le passager. Il doit également se munir d’un désinfectant pour le casque des usagers et d’une trousse sanitaire, pour les premiers soins, en cas d’accident.

« Tout conducteur de motocycle utilisé pour l’exercice de l’activité de transport public de passagers doit avoir 18 ans révolus ; être détenteur d’un permis de conduire de la catégorie A1, pour les tricycles, et de la catégorie A, pour les motocycles à deux roues, en cours de validité ; être détenteur d’un certificat de capacité, pour le transport public de passagers ; être détenteur d’un certificat médical délivré par un médecin agréé par la collectivité concernée ; avoir un gilet fluorisant numéroté », détaille le décret.

Le même texte interdit au conducteur de motocycle à deux places de transporter plus d’une personne ; de rouler à une vitesse supérieure à 50 kilomètres à l’heure ; de transporter un passager en position « amazone ». Autres recommandations, « L’exercice de profession de conducteur de motocycle dans le transport public des passagers est spécifiquement réservé aux personnes de nationalité congolaise, sans distinction de genre. L’exploitation de cette profession est spécifiquement réservée aux groupements d’intérêt économique, aux entreprises et autres groupements professionnels, détenteurs d’un agrément délivré par un arrêté du ministre chargé des Transports terrestres ».

Congo : les experts examinent les documents sur la santé de la reproduction

L’objectif est de renforcer les capacités des enseignants à dispenser une éducation à la santé et au bien-être de qualité.

 

Ouverte mardi 09 juillet, la formation regroupe des experts nationaux et internationaux, des formateurs, des enseignants, des représentants des organisations de la société civile, des agences des Nations unies. Pendant cinq jours, les enseignants suivront des communications sur différents thèmes : la santé physique et mentale, la sexualité, les relations saines, la prévention des violences et les droits de l’homme.

L’objectif de cette formation est de renforcer les capacités des enseignants à dispenser une éducation à la santé et au bien-être de qualité. Elle a été lancée officiellement par le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, en présence de la représentante de l’Unesco au Congo, Fatoumata Marega Barry.

Fatoumata Marega Barry a déploré les barrières sociales, culturels et économiques qui mettent des limites d’accès aux jeunes dans les services de santé sexuelle et reproductive tels que les intrants, le dépistage, le traitement, les contraceptives.

Congo : la 2e édition de Digi forum se tient le juillet prochain

Organisé par le Club des directeurs des systèmes d’information du Congo (DSI club Congo), l’évènement se déroulera à Pointe-Noire.

 

Conférences, des sessions de networking, des ateliers sont entre autres les articulations qui vont meublées le Digi forum. L’événement organisé par le DSI club Congo a pour but de promouvoir le métier et la fonction système d’information, le développement des usages des technologies de l’information et de la communication, et l’assistance aux projets nationaux.

Placée sous le thème « Convergence numérique : transformations, défis et perspectives », l’édition de cette année se tiendra le 18 juillet à Pointe-Noire, dans la salle de Canal Olympia, à Mpita, dans l’arrondissement 1, Emery-Patrice- Lumumba. On note la participation de Maximin Mbou et de Serge Parfait Goma, respectivement secrétaire général et membre du bureau exécutif du DSI club Congo, qui interviendront lors des panels. Ils vont entretenir les participants sur « La transformation digitale des entreprises : stratégies efficaces et défis à surmonter » et sur « La sécurité dans un monde de plus en plus connecté : défis et solutions ». D’autres thèmes seront abordés au cours de cette rencontre.

Placée sur le thème « Convergence numérique : transformations, défis et perspectives », la deuxième édition de Digi forum, événement organisé par le Club des directeurs des systèmes d’information du Congo (DSI club Congo), se déroulera le 18 juillet à Pointe-Noire, dans la salle de Canal Olympia, à Mpita, dans l’arrondissement 1, Emery-Patrice- Lumumba.

Congo : la CNI valide plus de 257 milliards FCFA pour 11 dossiers des entreprises

Les membres de la commission nationale des investissements (CNI), ont validé 11 dossiers sur un total de 22, des sociétés œuvrant dans divers secteurs.

 

La CNI valide 11 entreprises sur les 22 dont les dossiers ont été examinés. Ces sociétés prévoient un investissement de plus de 257 milliards de FCFA avec plus de 1489 emplois à créer. L’information a été donnée mercredi 10 juillet à Brazzaville, par le directeur de cabinet du ministre de l’Economie et des finances, Athanase Ngassaki.

« Les sessions de la commission nationale des investissements sont une occasion importante d’évaluation des engagements pris par les entreprises qui veulent investir dans notre pays en créant des emplois en apporter de la richesse », a dit Athanase Ngassaki, à l’ouverture des travaux de la première session de la CNI de l’année 2024.

Les 11 entreprises dont les dossiers ont été validés œuvrent entre autres dans les domaines de l’élevage, des BTP, des transports, des services, des télécommunications, de l’industrie, de l’industrie alimentaire, de la construction et de l’industrie métallurgique.

« L’ensemble des investissements accordés aux sociétés soumissionnaires représente près de 258 milliards de Francs CFA avec à la clé plus de 1489 emplois à créer », a précisé Athanase Ngassaki.

Notons que neuf dossiers ont reçu un avis favorable sous réserve et 2 ont été ajournés.

Congo : le FMI décaisse plus de 26 milliards F dans le cadre de la FEC

La décision a été approuvée mercredi 10 juillet, à Washington, aux Etats-Unis par le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI).

 

La République du Congo va recevoir près de 26 milliards 055 millions 300 mille FCFA (environ 43 millions de dollars). Ce décaissement du FMI s’inscrit dans le cadre de la Facilité élargie de crédit (FEC), octroyé au Congo au titre de l’article 4 de ses statuts.

La mise à disposition du prêt, est consécutive à la performance du programme, les objectifs quantitatifs ayant été atteints par le gouvernement. Ce qui permet la mise à disposition immédiate de 32, 4 millions de Droits de tirage spéciaux (DTS). C’est du moins ce qu’a souligné le ministère de l’Economie et des finances dans un communiqué.

Congo : du matériel pour améliorer la lutte contre le sida et la tuberculose

C’est don du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) pour apporter des améliorations dans la collecte des données.

 

Ordinateurs, imprimantes et un véhicule sont les éléments qui constituent le don du Pnud au Programme national de lutte contre le sida (PNLS) et au Programme national de lutte contre la tuberculose (PNLT). Le matériel a été réceptionné lundi 08 juillet, par les différents directeurs des deux structures, Cécile Mapapa Miakassissa du PNLS et le Pr Franck Hardain Okemba-Okombi du PNLT.

Ledit matériel permettra d’améliorer la collecte des données et les indicateurs de prise en charge des malades. Un geste qui arrive en appoint dans la lutte contre le VIH/Sida selon Cécile Mapapa Miakassissa. Pour le Pr Franck Hardain Okemba-Okombi, l’appui de la représentation du Pnud leur permettra d’approcher d’une façon régulière les centres de prise en charge pour les accompagner et résoudre le niveau d’atteinte des indicateurs.

Notons que le don a été remis par la représentante résidente du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) au Congo, Adama Dian Barry.

Congo : 500.000 dollars pour soutenir l’agriculture

Cet appui est destiné aux agriculteurs victimes d’inondations dans les cinq départements de la Cuvette, de la Cuvette-Ouest, du Pool, des Plateaux et de la Likouala.

 

L’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) s’engage à donner un montant de 500.000 dollars au Congo. C’est un appui qui sera affecté aux agriculteurs victimes d’inondations dans les départements de la Cuvette, de la Cuvette-Ouest, du Pool, des Plateaux et de la Likouala.

Un accord de coopération technique relatif à ce financement a été signé le 9 juillet à Brazzaville entre la représentante résidente de cette agence onusienne, Yannick Ariane Rasoarimanana et la ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Irène Mboukou-Kimbatsa.

Notons que cette aide de la FAO s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet d’appui d’urgence initié par le gouvernement à la suite d’inondations survenues en décembre dernier dans plusieurs départements au Congo. Ces agriculteurs avaient perdu des hectares de plantations.

Congo-BECP : plus de 110000 candidats affrontent les épreuves

Les épreuves écrites du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) ont démarré, sur l’ensemble du territoire national.

 

Lancées mardi 09 juillet, ce sont 119.067 candidats qui sont face aux épreuves écrites du BEPC en République du Congo. Ils sont repartis dans 526 centres d’examen. Le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation Jean-Luc Mouthou, a sillonné les différents centres d’examen, en vue de lancer les épreuves et s’enquérir de l’effectivité du déroulement du BEPC.

« Les téléphones portables et calculatrices programmables sont strictement interdits dans les centres d’examen », a précisé le ministère. Il a aussi souligné que la session de 2024 enregistre une baisse des candidats, soit 119.050 contre 121.940 en 2023.

A Pointe-Noire, ils sont 33.006 candidats inscrits au BEPC, répartis dans 199 centres, ils prennent part aux épreuves écrites de cet examen d’Etat, session du 9 Juillet 2024.

Les candidats ont débuté par les mathématiques et l’histoire-géographie. Ces épreuves écrites du BEPC prendront fin le 12 du mois en cours par l’expression écrite.

AGL Congo modèle du pacte de sécurité

A fin Juin, Africa Global Logistics (AGL) a réalisé à Pointe-Noire un score de 100% dans la mise en œuvre du pacte sécurité sur le site d’un client du secteur énergétique. Il s’agit d’un Indice de Performance Sécurité (IPS) record qu’une entreprise partenaire peut atteindre dans le cadre de son implication dans le programme de sécurité du client.

L’initiative ‘’ Pacte de Sécurité & Environnement ’’ traduit l’engagement et la politique de ce client en vue d’améliorer ses performances sécurité et atteindre l’objectif zéro accident, en mettant un accent particulier sur les activités conduites par ses partenaires et sous-traitants. Il consiste à répertorier les forces et faiblesses du personnel impliqué dans les opérations onshore au moyen de l’évaluation des comportements et bonnes pratiques HSE. Les résultats alimentent l’indice performance sécurité & Environnement (IPSE) de l’entreprise partenaire et permettent de mesurer l’implication active du management et des opérateurs via un système de bonus/malus qui repose sur les compteurs sécurité & Environnement.

« Ce score obtenu par AGL démontre que l’appropriation des exigences HSE du groupe et de nos clients par nos collaborateurs porte ses fruits» estime Destaing LOUKOMBO, Coordinateur HSE AGL Congo.

AGL est le partenaire pilote de son client pour ce projet au Congo depuis son lancement en 2022. L’entreprise a toujours réalisé un score oscillant entre 94% et 99% avec un record de 100% établi sur  la dernière évaluation

Congo-Ciar : plus de financements pour reboiser les forêts africaines

C’est le cri lancé par les chefs d’Etats africains lors de la clôture vendredi 05 juillet à Brazzaville, de la première conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement (Ciar).

 

La Ciar a refermé ses portes vendredi 05 juillet 2024. Aux moins présidents (Congo, Gabon, Éthiopie, Ghana, Éthiopie, Guinée-Bissau), ont assisté à la clôture de cet évènement. Ils ont tous plaidé pour plus de mobilisation des financements par les bailleurs, en vue de renforcer le couvert végétal mondial, pour une lutte efficace contre les changements climatiques.

Dans la déclaration finale, les participants ont adopté une recommandation en vue d’adosser cette initiative dans l’agenda des Nations unies. « S’agissant de la gouvernance du système mondial sur l’afforestation et le reboisement, nous recommandons l’adoption d’une résolution par la 79e Assemblée générale des Nations Unies [prévue en septembre 2024 à New York, NDLR] pour endosser officiellement la décennie africaine et mondiale de l’afforestation et du reboisement, reconnaissant ainsi son importance cruciale pour la planète », peut-on lire dans le document. Le document a été lu par la ministre congolaise de l’économie forestière, Rosalie Matondo.

Congo-UDSN : le budget 2025 estimé à plus de 11 milliards FCFA

Ce montant a été adopté vendredi 05 juillet, dans la commune de Kintélé, lors de la tenue du Comité de direction de l’Université Denis-Sassou-N’Guesso (UDSN).

 

Plus de 11 milliards FCFA, c’est le montant adopté pour le budget 2025 de l’UDSN. Ce budget a été arrêté vendredi 05 juillet au cours de la réunion du Comité qui s’est tenue à Kintélé. On note une hausse par rapport à celui de 2024 qui était de 9 816 000 000 FCFA.

Hormis le budget de l’exercice 2025, le comité a également adopté plusieurs autres documents notamment le compte-rendu de la session extraordinaire du comité de direction du 5 octobre 2023, le rapport d’activités 2023, les comptes administratifs et de gestion 2023, l’évaluation à mi-parcours du plan stratégique de développement (2022-2026), le budget rectifié 2024, les programmes de l’école des mines, de l’hydraulique et de l’énergie (EMHE) qui sera ouverte en 2025, le programme de master professionnel es sciences de l’éducation.

Autres adoptions, on note les programmes révisés de l’Institut supérieur des sciences géographiques, environnementales et aménagement, et de l’Institut supérieur d’architecture, urbanisme, bâtiment et travaux publics, le programme d’activités 2025, le calendrier universitaire 2024-2025, le rapport d’autoévaluation, le manuel de procédures et programmes, le rapport d’activités au 30 juin 2024 ainsi que les accords de coopération et les partenariats.

Congo : la lutte anti vectorielle se poursuit avec la validation du plan stratégique 2025-2029

Des acteurs du système de santé congolais se sont réunis, le 2 juillet à Brazzaville.

 

Le plan stratégique national du projet de lutte anti vectorielle (PSN/Plav) 2025-2029 a été validé mardi 02 juillet à Brazzaville. C’était au cours d’une réunion à laquelle ont pris part les acteurs du système de santé congolais.

Pour le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Population, Jean Ignace Tendelet, la lutte anti vectorielle consiste à promouvoir les méthodes biologiques, chimiques et mécaniques afin d’attaquer ce fléau qui mine la société.

Lancé en octobre 2021, le Play qui a pour coordonnateur Fabrice Djockah Toutoubelly, est une structure de mobilisation de fonds dont le but est d’outiller la République du Congo dans sa lutter contre les vecteurs.

« Le gouvernement a institué par arrêté n°21623/MSP/CAB du 30 septembre 2021 le projet de lutte anti vectorielle dont l’objectif est de faire le plaidoyer technique et de mobiliser les ressources financières afin de lutter contre les vecteurs dans notre pays », a expliqué Jean Ignace Tendelet.

La mise en place du Play est une recommandation de l’assemblée mondiale de la santé à tous les Etats membres.

Congo : la Banque mondiale approuve un prêt de plus de 60 milliards FCFA

Cette somme va servir à la réhabilitation et au renforcement du réseau de transport d’électricité entre Pointe-Noire et Brazzaville.

 

61 milliards FCFA, c’est montant approuvé par la Banque mondiale (BM) à la République du Congo. Ce financement est destiné à la réhabilitation et le renforcement du réseau de transport d’électricité entre Pointe-Noire et Brazzaville, ainsi que des réseaux de distribution au niveau des deux villes.

Le directeur des opérations de la BM pour le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine et le Congo, Cheick Fantamady Kanté, est allé mardi 02 juillet, à Brazzaville, donner l’information au ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, Emile Ouosso.

« Avec le ministre et son équipe, nous avons travaillé depuis quelques mois sur la mise en place d’un financement qui permettra au gouvernement d’accélérer le renouvellement de la ligne de transport de Pointe-Noire à Brazzaville. Ce projet qui vient d’être approuvé par notre Conseil d’administration, nous espérons signer l’accord cette semaine. Nous avons discuté sur les modalités d’accélérer son déroulement pour que, à terme très rapidement, la population puisse sentir que le problème de l’électricité est désormais derrière elle », a expliqué Cheick Fantamady Kanté à sa sortie d’audience.

L’énergie est un secteur dans lequel le groupe de la Banque mondiale intervient de façon prioritaire pour appuyer les efforts du gouvernement dans le cadre de l’amélioration de la fourniture en électricité. C’est du moins ce qu’a précisé Cheick Fantamady Kanté.

Congo : la France va financer le projet « Former, informer et protéger »

Un mémorandum d’entente a été signé entre le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean-Luc Mouthou et Claire Bodonyi, ambassadeur de France au Congo.

 

La mise en œuvre du projet « Former, informer et protéger », se fera par l’organisation non gouvernementale Renatura et financé par la France. Il a pour objectif de sensibiliser la population congolaise en général et les apprenants en particulier à la sauvegarde de la biodiversité et du climat ainsi qu’aux enjeux de la protection de l’environnement et de son potentiel en matière de développement socioéconomique.

Le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean-Luc Mouthou, a signé un mémorandum d’entente avec Claire Bodonyi, ambassadeur de France au Congo.

Pour Jean-Luc Mouthou, la signature de ce partenariat est un moment crucial qui scelle la collaboration entre la France et le secteur éducatif congolais. « Ce partenariat enrichit notre système et crée des ponts entre la volonté du président de la République et notre système éducatif », a-t-il conclu.

Selon adiac-congo.com, le Congo fait partie des trois premiers pays au monde à être engagés dans un country package, et le seul à consacrer un axe entier de ce partenariat à la sensibilisation de sa population à la sauvegarde de la biodiversité et du climat en complément d’axes dédiés à la recherche, à la gestion, à l’extension d’aires protégées et à l’afforestation.

Congo : ouverture de la conférence internationale sur la reforestation

L’initiative qui va réunir du 2 au 5 juillet de nombreux experts venus du continent, vise à augmenter la superficie forestière pour lutter contre les changements climatiques.

 

Brazzaville accueille à partir de ce mardi 02 juillet, La conférence internationale d’afforestation et de reboisement (Ciar). L’objectif de rencontre est d’augmenter la superficie forestière pour lutter contre les changements climatiques. Ce sont donc plusieurs experts venus des pays d’Afrique qui sont attendus dans la capitale congolaise.

Jusqu’au 05 juillet prochain, il sera question de multiplier des actions en vue de planter davantage d’arbres pour lutter efficacement contre les changements climatiques, la dégradation de l’habitation de certaines espèces animales et la dégradation des sols.

Pour lancer cette initiative, environ 2 000 plants d’acacias ont été plantés par des experts, des membres de la société civile et d’associations sur le site de Bambou Mingali, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Brazzaville.

Des chefs d’Etats sont annoncés à l’évènement notamment ceux des deux Congo, les présidents du Gabon et du Kenya.

Congo-aéroport International de Maya-Maya : du nouveau matériel de contrôle de police

Des passagers en provenance de l’étranger sont soumis à un exercice de contrôle de police aux frontières à l’aide d’un nouveau matériel.

 

Scannage du passeport, prise des empreintes, de la photo biométrique ainsi que des renseignements particuliers sont les différentes étapes que parcours ces voyageurs. Ce nouveau matériel est installé dans le hall au sortir de la passerelle aéroportuaire. Le passager y accompli lui-même les formalités de police au débarquement.

L’innovation est encore expérimentale, le temps pour les voyageurs d’appréhender les différents mécanismes de son utilisation. Ceux qui rencontrent des difficultés sont accompagné par les agents. A côté des machines est installé un écran passe en boucle une vidéo du mode d’utilisation de l’appareil.

Congo : les problèmes des jeunes au centre d’un échange entre le CCJ et l’AN

Le Secrétaire exécutif permanent du Conseil consultatif de la jeunesse (CCJ), Michrist Kaba Mboko a été reçu jeudi 27 juin, par le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba.

 

Plusieurs sujets concernant la jeunesse congolaise ont meublé les échanges le 27 juin dernier, entre Michrist Kaba Mboko et Isidore Mvouba.

« Nous avons parlé de l’année de la jeunesse. Et nous sortons de cette audience, satisfaits puisque notre plaidoyer qui consistait à solliciter du Chef de l’Etat une rallonge de cette année commence à entendre raison parce que, en une année, on ne peut pas tout faire. Donc nous sommes rassurés qu’une, deux ou trois années supplémentaires nous soient accordées pour régler l’épineuse problématique du chômage des jeunes, l’adéquation formation-emploi », a expliqué Le Secrétaire exécutif permanent du CCJ.

Autres sujets abordés entre les deux hommes, « les questions de bourses des étudiants, des quotas écoles des jeunes finalistes de nos écoles en vue de leur recrutement à la fonction publique ».

Le Secrétaire exécutif permanent du CCJ, Michrist Kaba Mboko rassure les jeunes que « la commission spécialisée sur les questions d’économie et de finances est à pied d’œuvre. »

Notons que cette rencontre a eu lieu après la tournée nationale Michrist Kaba Mboko, au cours de laquelle il a collecté les préoccupations des jeunes des localités de l’intérieur du Congo.