CAN 2029 : Brazza et Kin discutent d’une possibilité d’organisation conjointe

Le ministre des Sports et loisirs de la RDC, Didier Budimbu échange avec son homologue de Brazzaville Hugues Ngouelondele pour voir la faisabilité.

 

La République du Congo et la République démocratique du Congo envisagent une organisation conjointe de la Coupe d’Afrique des Nation (CAN) 2029. Les ministres des sports des deux pays ont commencé les échanges pour trouver un accord. C’est du moins ce qu’a déclaré Didier Budimbu, ministre des Sports et loisirs de la RDCongo, vendredi 13 décembre.

« Avec mon homologue du Congo-Brazzaville, nous sommes déterminés à organiser ensemble la CAN 2029. Les deux capitales les plus rapprochées au monde sont Kinshasa et Brazzaville. Nous avons donc pensé qu’il serait logique de saisir cette chance pour organiser cet événement historique ensemble », a déclaré Didier Budimbu.

Pour les deux pays l’objectif est de s’offrir l’opportunité de figurer parmi les nations ayant accueilli cette prestigieuse compétition continentale. Si les deux gouvernements parviennent à un accord, les coûts de l’organisation seront partagés, et chaque pays devra construire au moins trois stades modernes, conformes aux exigences de la confédération africaine de football (CAF).

Le Maroc accueille la CAN 2025 tandis que l’édition 2027 sera coorganisée par le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda.

Congo-Législatives et Locales 2022 : la CEEAC déploie des observateurs électoraux

Gilberto da Piedade Verissimo Président de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC),  a autorisé le déploiement d’une mission internationale d’observation dans le cadre des élections législatives et locales du  en République du Congo.

 

La mission internationale d’observation des élections législatives et locales est conduite par Gabriel Arcanjo Ferreira Da Costa, ancien Premier Ministre de la République Démocratique de Sao Tomé-et-Principe. Elle comprend 20 observateurs électoraux provenant de dix pays membres de la CEEAC.

Le déploiement de cette équipe en République du Congo s’inscrit conformément aux textes communautaires en vigueur. Son but est d’accompagner le Congo-Brazzaville afin de contribuer à la consolidation et à l’ancrage de la démocratie en Afrique centrale.

Une équipe de supervision et de coordination technique constituée de deux hauts fonctionnaires de la commission de la CEEAC et du représentant de l’Institut électoral pour la démocratie durable en Afrique appuient cette mission.

Elle a pour entre autres mandats, la production d’un rapport précis, objectif et impartial sur le déroulement des élections législatives et locales en République du Congo, y compris, la manière dont la conduite du processus électoral aura respecté les standards,

Rappelons que le vote par anticipation des Forces de l’ordre a eu lieu ce lundi 04 juin sur toute l’étendue du territoire national.

 

Congo-FIFA : Gianni Infantino à Brazzaville

Le président de la Fédération internationale de football association (FIFA) a inauguré le samedi 20 février, le nouveau bureau du développement régional de cette institution.

Gianni Infantino, président de la Fédération internationale de football association (FIFA) était en séjour en République du Congo. Lors de son séjour, il a inauguré le nouveau bureau du développement régional de la FIFA à Brazzaville, samedi 20 février 2021.

.Précisons qu’en 2017, la FIFA a décidé d’établir des bureaux du développement régional partout dans le monde, afin de mieux servir ses associations membres, en se rapprochant de leurs préoccupations. Quatre de ces bureaux se trouvent en Afrique : à Dakar au Sénégal, Johannesburg en Afrique du Sud, Brazzaville en République du Congo et Kigali au Rwanda.

Gianni Infantino a aussi rencontré le président de la République du Congo, Denis Sassou-Nguesso, le ministre des Sports, Hugues Ngouélondélé et le président de la fédération congolaise de football (FECOFOOT) Jean-Guy Mayolas.

Internet : la Likouala bientôt connectée au réseau de la fibre optique

Le directeur de cabinet du ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Franck Siolo a annoncé le 14 janvier dernier, que le département de la Likouala sera bientôt  connecté au réseau de la fibre optique.

Les techniciens chargés d’implanter la technologie en matière d’accès à internet à travers le territoire national sont déjà à pied d’œuvre à Impfondo, chef-lieu du département.

L’Internet à Très Haut Débit est un levier essentiel de croissance, de compétitivité mais aussi d’intégration sociale.

Parmi l’ensemble des technologies de télécommunication, le déploiement de la fibre optique jusque dans les logements et les entreprises est la solution la plus évolutive et la plus performante pour remplacer les réseaux de cuivre déjà obsolètes au Congo-Brazzaville.

Fil de verre plus fin qu’un cheveu, la fibre optique transporte les données à la vitesse de la lumière, sans jamais faiblir. C’est grâce à elle qu’on accède au très haut débit (jusqu’à 1000 Mb/s contre 30 Mb/s maximum en ADSL).

CAN 2019: le Congo-Brazzaville n’est pas candidat à l’organisation

Le 2e vice-président de la Confédération africaine de football (CAF), Constant Omari, invité de l’émission Radio Foot Internationale vendredi 7 décembre 2018 sur RFI, avait indiqué que le Congo-Brazzaville était candidat à l’organisation de la CAN 2019. Hugues Ngouélondélé, ministre des Sports et de l’éducation physique, a démenti cette information le samedi 8 décembre.

Le 2e vice-président de la Confédération africaine de football (CAF), Constant Omari, était l’invité de l’émission Radio Foot Internationale vendredi 7 décembre 2018 sur RFI. « Il y en a un qui a déjà écrit, le Congo-Brazzaville. Notre secrétaire général adjoint Anthony Baffoe m’a dit qu’il allait me parler d’une deuxième candidature », avait-il déclaré alors que le Cameroun ne sera plus l’organisateur.

« Le Congo-Brazzaville ne sera pas candidat »

Joint par téléphone samedi 8 décembre, Hugues Ngouélondélé, actuel ministre des Sports et de l’éducation physique, a démenti cette information. « Nous sommes à six mois de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations et il ne sera pas possible pour nous de l’organiser avec honneur et dignité. C’est plutôt le contraire, le Congo-Brazzaville ne sera pas candidat. Cela ne sera pas possible », déclare-t-il.

« Un jour peut-être nous serons candidat, avance Hugues Ngouélondélé. Mais pour le moment ce n’est pas au programme de notre gouvernement. Peut-être que l’idée a circulé, mais face à la réalité, nous ne pouvons pas organiser une grande fête comme celle-ci. Nous n’avons pas les structures pour le moment. »

Hugues Ngouélondélé a pointé le manque d’infrastructures pour accueillir la compétition. Comme les hôtels dans la ville d Dolisie. « Nous n’allons pas nous lancer dans un telle aventure pour que la fête ne soit pas belle et déshonorer notre pays. Le Congo n’est pas prêt ». Actuellement, le Congo-Brazzaville n’a pas la possibilité d’ssumer le coût de l’organisation.  « La crise est mondiale et nous avons d’autres priorités que d’organiser la CAN pour le moment », explique Hugues Ngouélondélé. Celui-ci précise aussi que le Congo-Brazzaville n’a pas été sollicité par la Confédération africaine de football, tout en souhaitant « bonne chance » au pays organisateur.

Un plan B avant le 31 décembre

En 2014, la CAF, alors présidée par le Camerounais Issa Hayatou, avait attribué les trois prochaines CAN d’un coup : 2019 au Cameroun, 2021 à la Côte d’Ivoire et 2023 à la Guinée. La semaine dernière, la CAF a retiré l’organisation de 2019 au Cameroun, pénalisé par des retards dans les travaux et par une situation fragile sur le plan sécuritaire, au profit d’un plan B déterminé « d’ici le 31 décembre ».

Le dossier le plus urgent reste donc de trouver le remplaçant du Cameroun pour la première CAN à 24 équipes, programmée du 15 juin au 13 juillet. L’Afrique du Sud, seul pays africain à avoir déjà organisé une Coupe du monde en 2010 et le Maroc sont souvent présentés comme le recours idéal à l’organisation de la CAN 2019.

Assise nationale : la presse nationale congolaise fait sa mue

En présence des représentants des corps constitués, et du représentant du premier ministre, l’ensemble de la presse congolaise a tenu ses assises ce 25 octobre à Brazzaville.

Les journalistes congolais ont tenu ce jeudi 25 octobre une assise nationale afin de trouver les solutions aux multiples problèmes qui minent encore ce secteur pourtant sensible. Etaient notamment présents, Le ministre de l’Intérieur et de la décentralisation, représentant le Premier ministre, chef du gouvernement, le ministre de la Communication et des médias, porte-parole du gouvernement, les représentants de l’Unesco, de l’Organisation internationale de la francophonie, de l’Union européenne et le président du Conseil supérieur de la liberté de communication.

Les hommes de médias du Congo ont notamment profité de cette audience des institutions nationales et internationales pour plaider en faveur de l’établissement d’un véritable cadre de liberté fondamentale de la presse au pays de Sassou Nguesso. La liberté de la presse doit être une réalité, ont-ils notamment insisté.

Au delà de toutes les propositions suggérées pour améliorer le secteur, il va sans dire que la presse n’est pas aussi exempte de tout reproche. Les journalistes devront dorénavant prendre leur destin en main afin de défendre son indépendance.

Phénomène de transe : ce qui s’est vraiment passé au lycée technique du 1er mai de Brazzaville

L’affaire fait pratiquement la Une de tous les journaux du Congo Brazzaville, 39 élèves du lycée technique de Brazzaville sont entrés en transe sur les regards inquiets de leurs camarades. Retour sur le film d’une journée agitée qui continue à susciter l’émoi dans le tout le pays.

La scène se déroule dans l’enceinte du lycée technique du 1 er mai de Brazzaville, une trentaine d’élèves a manifesté les symptômes de transe. Selon les témoins présents sur les lieux, ces enfants qui étaient en cours ont commencé à étouffer et sentir des malaises avant de s’évanouir.

Les victimes ont rapidement été pris en charge par les secours et transportés dans la foulée au CHU de Brazzaville. Pris de panique, les autres élèves ont quitté le lycée en courant dans tous les sens. L’administration du lycée a immédiatement suspendu les cours pour la journée afin de voir un peu plus clair.

La question de l’origine de ce phénomène est le principal sujet d’actualité sur toutes les lèvres à Brazzaville. Certains évoquent la thèse d’un envoûtement collectif, d’autres parles du fétichisme et de la sorcellerie. D’autres vont plus loin en parlant de substance neurotoxique ou de l’agoraphobie. Pour l’instant, rien n’est sûr, le ministère de l’Education mène des investigations, nous a confirmé une source bien introduite.

Rappelons que le même phénomène s’est produit au lycée Ganga Edouard la veille.

Congo : vers une série de délestage électrique dans le pays

La maintenance en cours sur l’une des principales turbines de la centrale électrique, installée dans la capitale économique pourrait perturber la distribution de l’énergie sur l’étendue du territoire.

C’est la société de distribution d’énergie qui a fait l’annonce, l’énergie électrique sera instable au Congo Brazzaville durant une quarantaine de jours. Il faut dire que les techniciens procèdent depuis ce dimanche 21 octobre à la maintenance d’une turbine qui fournit à elle seule 60% de l’énergie servie par la société nationale aux populations.

La conséquence est sans appel pour les petits commerces et les industries, les machines, congélateurs, climatiseurs et réfrigérateurs qui devront se contenter de fonctionner au ralenti faute d’une électricité pérenne. La société de distribution va fournir le produit de façon rotative. « Déjà pour maman qui fait des provisions, elle ne pourra plus le faire. C’est comme si elle n’a rien fait. Et pour son petit commerce, le bar, elle ne pourra plus avoir de la boisson glacée, alors que ses clients préfèrent de la boisson glacée », explique Tina une congolaise visiblement déjà inquiète.

« Le problème de délestages c’est notre pain quotidien. J’ai des maisons d’informatique et nous dépendons du courant. Déjà, pour trouver du courant ce n’est pas facile. Je suis donc obligé d’aller payer un groupe électrogène », se désole un consommateur. « Quarante-cinq jours sans électricité c’est grave. Ce n’est pas facile de subir cela », dit un autre consommateur.

Rappelons que malgré une capacité énergétique de plus de  600 mégawatts, l’offre énergétique demeure toujours inférieur à la demande au Congo Brazzaville.

 

Francophonie : Denis Sassou Nguesso est arrivé en Arménie

Le président de la République du Congo a atterri ce 12 octobre 2018 en Arménie. Il prendra part aux travaux du 17ème sommet de la Francophonie.

Sassou Nguesso et les chefs d’Etats ayant pour langue commune le français sont depuis ce 11 au 12 octobre 2018 à Erevan (Arménie) à l’occasion du XVIIe Sommet de la Francophonie. Si l’un des enjeux de ce sommet reste l’élection du secrétaire générale de l’organisation, les jeux semblent faits.

Premièrement parce que le suspens autour du duel entre la secrétaire générale sortante Michaëlle Jean et la ministre rwandaise des Affaires étrangères Louise Mushikiwabo est largement redescendu depuis mardi soir. Le Canada et le Québec, deux des principaux soutiens de Jean, ont en effet fait savoir dans des communiqués qu’ils ralliaient le « consensus » autour de la candidature rwandaise.

Rappelons que l’Arménie attend pour cet événement une quarantaine de chefs d’État et de gouvernement, une hausse considérable au regard des précédentes éditions. Ils étaient 17 à Antanarivo en 2016. Cette année, la venue de Charles Michel (Belgique), Patrice Talon (Bénin), Justin Trudeau (Canada), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville), Emmanuel Macron (France), Paul Kagame (Rwanda), Macky Sall (Sénégal) ou encore Idriss Déby Itno (Tchad) est confirmé.

 

Santé : menace de nouvelle gréve au CHU de Brazzaville

La nouvelle a été annoncée par la Fédération nationale des agents de la santé et des affaires sociales (FENASAS) lors de son assemblée générale du 2 octobre dernier.

L’information fait déjà grand bruit dans la capitale politique du Congo Brazzaville, le personnel du CHU de Brazzaville menace d’entrer en gréve. La Fédération nationale des agents de la santé et des affaires sociales (FENASAS) qui dénonce le manque de volonté des autorités à améliorer les conditions de travail du personnel promet de ne pas lâcher du leste dés qu’elle sera déclenchée.

Selon le syndicat, elle sera illimitée, ce jusqu’à la satisfaction de ses revendications qui tiennent entre autres, au départ de tous les directeurs généraux des hôpitaux, ainsi que le payement bloqué de 3 mois d’arriérés de salaires. Concrètement, les soins dans le centre hospitalier universitaire risquent être perturbés au grand dommage des populations.

Bien que les autres syndicats de la santé acquise à la cause n’épousent pas l’option d’une « grève sauvage » comme la précédente. Toutefois, quelles qu’en soient les proportions, elle impactera une fois de plus la vie des populations.

 

Congo : un trafiquant de drogue congolais abattu par les gendarmes gabonais

L’opération menée par les éléments de la gendarmerie gabonaise s’est déroulé samedi dernier à Nyanga dans le Niari (sud). Le trafiquant qui était spécialisé dans le trafic du chanvre indien a été abattu.

Les forces de l’ordre de la gendarmerie gabonaise sont entrés en territoire congolais au village Ngongo, près de Nyanga dans le Niari (sud) afin de mettre la main sur François Bounzana. Ce congolais de 30 ans habitant la ville de Mouila en République gabonaise était poursuivi pour trafic de drogue, il détenait une quantité très importante du chanvre indien.

Selon les gendarmes qui ont mené l’assaut, l’infortuné en dépit de plusieurs sommations a tenté de fuir et a réussi à traverser la frontière gabonaise pour se retrouver sur le territoire congolais. Une attitude qui a contraint les gendarmes a entré sur le territoire congolais et a abattre le jeune trafiquant.

La dépouille a été déposée à la morgue municipale de Dolisie pour besoin d’autopsie, l’enquête ouverte sur la supervision du parquet est en cours.

 

 

Congo : 56 fonctionnaires coupables d’absentéisme

Le conseil des ministres tenu le 6 octobre dernier a épinglé une cinquantaine de fonctionnaires congolais absents dans leurs lieu de service.

Le dernier conseil ministériel vient de frapper du point sur la table, 56 fonctionnaires ont été épinglés pour absentéisme ! Selon les sources dignes de foi, les 26 et 27 septembre 2018, une opération policière a été menée dans la plus grande discrétion à Brazzaville. Des investigations qui ont permis de retrouver les fonctionnaires déserteurs à la pâtisserie Mandarine, Raphaël Kiamba ou au restaurant « Mère Carine ».

Au total, ce sont « cinquante-six agents et fonctionnaires d’État qui ont été pris en flagrant délit de présence sur ces lieux et ce, aux heures de travail qui leur sont en principe dévolues », indique le communiqué du Conseil des ministres du 6 octobre 2018.

Le rapport de cette mission de contrôle a été rendue publique par le ministre de l’Intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou.

Congo : conseil des ministres ce samedi 6 octobre

L’ensemble des ministres du gouvernement que dirige Clément Mouamba est attendu ce samedi 6 octobre au Palais du Peuple pour le conseil des ministres.

Denis Sassou Nguesso, le chef de l’Etat présidera ce samedi 6 octobre le conseil des ministres du gouvernement au Palais du peuple. Selon des sources dignes de foi, l’ordre du jour portera notamment sur la relance de l’économie à la diversification de l’économie, sous fond de réduction des cours du pétrole. Des sujets tels que la réduction du train de vie de l’état, l’apport de certaines niches longtemps maintenues en friche, le regain quantitatif dans la production pétrolière, les probants résultats des régies financières seront aussi au rendez-vous.

Rappelons que l’une des résolutions phares du dernier conseil des ministres du 20 septembre 2018 était la dissolution de l’actuelle Commission nationale de lutte contre la corruption, ainsi que l’Observatoire anti-corruption. Il s’agit pour le gouvernement  de les remplacer par une Haute autorité de lutte contre la corruption (HALC) afin d’atteindre l’objectif de rupture avec les mentalités déviantes et les comportements négatifs du passé, et dans le souci de prévenir et réprimer plus efficacement les actes de corruption, de concussion et de fraude.

Congo : une circulaire du ministère du commerce contre la consommation abusive d’alcool

Dans une circulaire publiée ce 2 octobre 2018, le ministre du commerce et de la consommation va en guerre contre les promotions de ventes de boissons alcoolisées, incitant les populations à une consommation immodérée.

Le constat est alarmant au ministère du commerce, de nombreux producteurs ou importateurs de boissons alcoolisées ont opté pour des campagnes anarchiques de promotion de leurs produits. Entre publicités tapageuses dans les médias, baisse drastique des prix il y a un risque de dérives chez les consommateurs.

Selon le ministre Claude Alphonse N’Silou cette approche du marketing dans le secteur de la boisson pousse de nombreuses personnes à s’adonner à l’alcool. Surtout que sur les bouteilles, aucune mention n’est faite de ce que « l’abus d’alcool est dangereux pour la santé ». Aussi, plusieurs jeunes après avoir consommé se livrent à des actes de vandalisme, de viol et de violence.

Rappelons qu’au Congo-Brazzaville la prévalence de la consommation d’alcool est estimée à 61% chez les jeunes adultes et à un peu plus de 25% chez l’adolescent.

 

 

 

 

 

Mayoko : un accident de moto fait un mort au village Léhala

La violence et l’impact du choc a laissé un des conducteurs sur le carreau.

La scène s’est déroulée ce mardi 2 octobre à Mayoko au sud dans le Niari, deux motos sont entrées en collision. Le premier pilote, un jeune ressortissant de Moungoundou Nord, est décédé sur place. Le second  quand à lui été grièvement blessé et transporté à l’hôpital.

Arrivées sur les lieux pour s’enquérir de la situation, les forces de l’ordre ont ouvert une enquête afin d’établir les responsabilités. Rappelons que d’après les statistiques officielles, les 3/4 d’accidents dans le département du Niari sont causés par les cyclomoteurs appelés «motos Djakarta ».

Les habitants déplorent le manque d’immatriculation et de réglementations des motos Djakarta. Ils appellent d’ailleurs les autorités compétentes à y remédier pour plus de sécurité.

Fédération des architectes francophones d’Afrique : le Congo Brazzaville élu

Le pays de Denis Sassou Nguesso a été élu à la vice présidence du de la Fédération des architectes francophones d’Afrique à l’issue de l’assemblée générale tenue le mois dernier à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

La Fédération des architectes francophones d’Afrique vient de tenir son assemblée générale qui a permis le renouvellement de ses instances dirigeantes. Une assise qui a vu la reconduction de Sehinabou Yolande Doukouré à la tête d’un Conseil de sept membres pour un nouveau mandat de trois ans.

Le Congolais Gervais Aurélien Dibantsa a, quant à lui, été élu au poste de vice-président chargé du genre et de l’insertion des jeunes architectes. La vice-présidence chargée de la communication, de la culture et de la promotion de l’architecture, est confiée à la Tunisie, alors que le Togo est chargé de l’éducation et de la formation continue.

Le Burkina Faso assure la vice-présidence chargée de l’éthique, de la discipline et de l’arbitrage et le Sénégal celle chargée des relations avec les organisations nationales et internationales. Le Niger a, de son côté, arraché le secrétariat général. Durant cette assemblée générale, il a aussi été question pour le bureau de la fédération des architectes de transférer le siège de l’institution de de Tunis (Tunisie) à Agblagandan (commune de Sèmè-Podji), au Bénin.

 

Congo : le préfet et le maire lancent la nouvelle année scolaire à Pointe-Noire

Alexandre Honoré Paka et Jean François Kando ont donné le coup d’envoi de la rentrée scolaire 2018- 2019.

Le préfet et le député maire de Pointe Noire a sillonné plusieurs établissements de la capitale économique pour le coup d’envoi de la rentrée scolaire. A en croire les deux personnages, toutes les mesures ont été mises en place par le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation pour permettre une bonne rentrée scolaire. Le personnel administratif et le corps enseignant ont répondu présents pour accueillir les élèves tôt le matin.

Aux lycées Victo- Augagneur et Poaty-Bernard, tout comme à l’école 30-mars et dans bien d’autres établissements scolaires qu’ils ont pu visiter, les deux autorités départementales ont constaté l’effectivité de la rentrée scolaire. Bien qu’on ait pu remarquer une timidité au niveau de la présence des élèves et celle des enseignants, les cours ont effectivement commencé.

Alexandre Honoré Paka et Jean François Kando ont surtout profité pour prodiguer quelques conseils d’assiduité et de bonne conduite aux apprenants, afin de les mettre déjà dans le bain.

Congo : Sassou Nguesso en visite de travail à Conakry

Denis Sassou Nguesso a quitté Brazzaville pour une visite de travail et d’amitié à Conakry.

Le président de la république du Congo Brazzaville s’est envolé ce lundi 1er octobre pour la Guinée Conakry. Selon les sources au sein du sérail, Sassou Nguesso s’y rend pour une visite du travail et d’amitié.  Les deux hommes d’Etat se pencheront entre autres sur la crise économique qui secoue le Congo Brazzaville depuis quelques mois.

Le Congo est d’ailleurs en pleine négociation avec le Fonds monétaire international afin d’obtenir un accord pour un nouveau prêt qui relancera l’économie du pays. Rappelons que la Guinée Conakry et le Congo entretiennent de vielles relations de coopération.

Congo : rentrée scolaire sous fond de timidité

Les élèves tout comme les enseignants n’ont pas massivement répondu présent ce 1er octobre à la rentrée scolaire 2018-2019.

Les élèves congolais sont depuis ce lundi 1er octobre de retour dans les salles de classes à l’occasion de la rentrée scolaire sur tout le territoire national. Un rendez-vous que les enseignants et les élèves ont timidement répondu présent. Il faut dire qu’une menace de gréve et le non paiement des salaires des enseignants à un tout petit peu perturbe la rentrée.

« Jusque-là, nous attendons l’arrivée des enseignants et jusque-là, il n’y a rien encore. On attend et quand ils viendront on verra comment les enfants vont entrer en classe. L’une des raisons, c’est peut-être le fait que les enseignants ne sont pas encore payés. Pour enseigner, il faut qu’ils mangent. Il faut faire ceci, il faut faire cela avec l’argent. Ventre affamé n’a point d’oreilles », explique un parent d’élève.

Le Ministre de l’Enseignement primaire et secondaire a fait la ronde de quelques écoles de Brazzaville.  « La rentrée a lieu, timidement mais assurément. Ce qui nous rassure, c’est la présence massive des enseignants. On peut supposer que d’ici la fin de la semaine tous les élèves vont se mobiliser et vont se rendre à l’école » à rassurer Anatole Collinet Makasso.

 

Coopération : Pierre Ngolo reçu par le président du sénat Français

En visite de travail en France, le président du sénat congolais a été reçu par Bertrand Cochery  ce 27 septembre. Au menu des échanges, les questions de coopération.

Gérard Larcher, le président du sénat français a reçu en audience dans son cabinet ce jeudi 27 septembre Pierre Ngolo son homologue congolais. Une visite qui s’inscrit dans la droite ligne du renforcement de la coopération entre les institutions parlementaires des deux pays et les présidents des hautes Assemblées.

Les deux hommes d’Etats ont abordé plusieurs thématiques, notamment celles ayant trait aux secteurs sur lesquels le Congo sollicite l’expertise et l’appui de la France. En pleine négociation avec le fonds monétaire international, la chambre haute Congolaise a aussi besoin de l’expertise et de l’expérience de la chambre haute Française.

Rappelons que cette visite a été initiée en août dernier par l’ambassadeur de France au Congo, Bertrand Cochery.

Mort d’un homme dans un commissariat : l’enquête piétine à Pointe Noire

Après un mois et demi d’enquête sur la mort du congolais Goma Carel Bianchiny dans un commissariat de Pointe Noire, la police tarde toujours à élucider les circonstances exactes de sa mort. La famille dénonce l’impunité des coupables.

Les proches de Goma Carel Bianchiny ne savent plus à quels seins se vouer depuis qu’il a brutalement été tué au de Tchiali, à Pointe-Noire. Il faut dire que rien n’avance, la police n’a toujours pas conclu son enquête pourtant le jeune homme est mort depuis le 15 août dernier, bientôt deux mois.

Pourtant les proches ont déposé une plainte pour meurtre et abus de pouvoir, mais depuis plus d’un mois, la procédure est au point mort. Toutefois, une information judiciaire a été ouverte pour violation de domicile, arrestation arbitraire et coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort, rappelle Maître Guy Maixent Missamou, l’avocat de la famille.

L’avocat qui est en charge de la défense des intérêts de la famille souligne surtout que personne n’a jusqu’à là été inculpé et les suspects, précise-t-il, sont toujours dans la nature.

Congo : non, Claudia Sassou n’a pas été arrêtée à Paris

La nouvelle s’est rependue sur les réseaux sociaux comme une traînée de poudre, pourtant ce n’était qu’un Fake News. Claudia Sassou Nguesso n’a jamais été arrêté en France.

Une nouvelle fois, Claudia Sassou Nguesso, la fille du président Congolais a été victime d’une grosse cabale sur les réseaux sociaux dans la journée du 27 septembre 2018. A en croire plusieurs pages Facebook détenues par les activistes congolais, la députée (PCT) de Talangaï a été arrêtée avec des valises d’euros à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle. Une information non avérée selon des sources au sein des cercles du pouvoir.

La semaine dernière, le fils du président de la Guinée Equatoriale avait été arrêté par la douane brésilienne avait environ 16 millions de Dollars dans ses valises. Une arrestation qui a fait le buzz dans tout le monde entier. Les détracteurs du régime au Congo Brazzaville auraient peut-être souhaité le même sort pour Claudia Sassou.

Rappelons que les membres de la famille présidentielle en Afrique sont très souvent victime de tous types de dérives sur les réseaux sociaux. Certaines informations sont parfois sans fondement réel, d’autres par contre sont le fruit des révélations ou des fuites au sein du sérail.

Congo : préparation du plan de relance de la filière cacao

L’Etude du projet est menée par l’équipe de coordination du Projet d’appui au développement de l’agriculture commerciale (Pdac).

Le comité de pilotage du Pdac s’est réuni ce 25 septembre à Brazzaville afin de statuer sur la relance économique de la filière cacao. Au menu des échanges, une série de réformes en termes de sécurité alimentaire, de distribution de semences, de dialogue public-privé, d’appui à la recherche, de construction et réhabilitation des pistes rurales.

Le comité identifié vingt-trois districts qui serviront de bassin de production de diverses filières parmi lesquelles le cacao. Les localités pilotes choisies bénéficieront des travaux de réhabilitation d’environ cinq cents kilomètres de pistes rurales. Le projet entend financer, dans les prochains mois, les plans d’affaires des groupes de producteurs locaux, des micros, petites et moyennes entreprises agroindustrielles.

Le programme est cofinancé par le gouvernement et la Banque mondiale. « Le plan de relance est en cours de réalisation par un cabinet de réputation internationale et complètera le dispositif du PND agricole », a indiqué le coordonnateur du Pdac, Isidore Ondoki.

Rappelons que la culture de cacao figure parmi les trois filières prioritaires du gouvernement, à côté du manioc et de la banane.

Rentrée scolaire : le Japon octroie une aide d’un milliard FCFA au Congo

Le don est destiné à la prise en charge de cinquante-quatre mille élèves, issus de trois cent dix-huit écoles de plusieurs départements du Congo Brazzaville.

C’est une bonne nouvelle pour les élèves congolais à la veille de la rentrée scolaire, le gouvernement Japonais vient de faire une nouvelle aide alimentaire d’environ 1 800 000 dollars, soit plus d’un milliard FCFA en faveur des élèves des écoles primaires du Congo. L’accord de réception du don a été signé le 25 septembre, à Brazzaville. Il est principalement destiné à la prise en charge de cinquante-quatre mille élèves, issus de trois cent dix-huit écoles des départements de la Likouala, du Pool, de la Bouenza, des Plateaux, de la Cuvette, de la Lékoumou et de la Sangha.

Représentant son pays, l’ambassadeur du Japon en République du Congo, Hiroshi Karube, a indiqué que cette offre vise à améliorer la sécurité alimentaire et à lutter contre la malnutrition dans les milieux scolaires. « Dans sa coopération, le Japon tient compte de l’aspect de la contribution à une croissance inclusive et durable du Congo et met activement en œuvre un soutien pour améliorer le cadre de vie de base de la population congolaise. Je suis convaincu qu’assurer la nourriture à travers un programme de cantine scolaire permettra d’améliorer davantage l’environnement de l’éducation des élèves », a déclaré le diplomate japonais.

Une initiative saluée par le Programme alimentaire mondial (PAM) : « L’accès à la cantine scolaire mettra les enfants vulnérables en condition d’assister aux cours et d’acquérir les savoirs nécessaires pour préparer leur avenir. Des études économiques ont prouvé qu’au Congo, un dollar investi dans la cantine scolaire produit 9.6 dollar de retombées sociales » a rappelé le représentant du PAM au Congo, Jean-Martin Bauer.

 

 

 

Congo : plus de 6000 armes collectées dans le Pool

La Commission en charge de la  supervision de l’opération de désarmement dans le Pool a livré son premier rapport. Plus de 6000 armes ont déjà été ramassées.

L’opération de désarmement des ex combattant Ninja du pasteur Ntumi se poursuit normalement dans le département du Pool. Le procédé d’usage n’a pas changé, les ex combattants remettent leurs armes en échange de l’argent. Selon les premiers rapports de la commission, plus de 6000 armes ont déjà été collectés. Des chiffres encourageants.

« On s’est manifesté à faire la guerre, maintenant qu’on a signé la paix c’est bon. On a retrouvé les parents et les enfants également après avoir passé deux ans en brousse », témoigne un ex-combattant. A en croire Séraphin Ondélé, président de la Commission qui supervise l’opération de désarmement, c’est le mot d’ordre du pasteur Ntumi qui a accéléré l’opération dont il établit le bilan à mi-parcours.

Il faut dire que l’implication de Frédéric Bintsamou alias Pasteur Ntumi a été déterminante dans la mise en place du processus de paix dans le Pool. Son adhésion avait été possible après la levée du mandat d’arrêt contre lui et ses proches.

 

 

 

Les travaux de l’audit sur le fonds de soutien à l’agriculture ont commencé

Jean-Marie Montsagna a présidé ce 19 septembre les travaux de l’audit externe du Fonds de soutien à l’agriculture (FSA). Objectif, faire la lumière sur la gestion du fonds et envisager les solutions…

C’est le cabinet Noott-Conseil qui a été choisi pour réaliser l’audit externe du Fonds de soutien à agriculture. Son cahier de charge portera notamment sur les conditions d’octroi de crédit, ainsi que sur les états financiers et comptables du Fonds. Il sera aussi question de s’assurer des conditions de poursuite et de mise en demeure des débiteurs. Le cabinet définira enfin une Stratégie de relance des activités du Fonds.

L’audit devra aussi vérifier si chaque bénéficiaire a été recensé en phase avec son terrain de culture bien délimité en hectares ; si ce terrain est fertile ; s’il prévoit des abris aux intempéries et s’il présente des garanties contre les maladies des plantes.

Rappelons que le Fonds de soutien de l’agriculture est une initiative du président Denis Sassou Nguesso.  4 milliards de F CFA avaient été prévus au budget de l’État en 2018 pour cette cause. L’objectif du chef de l’Etat lorsqu’il mettait sur pied ce fonds était de diversifier l’économie congolaise. L’audit sur la gestion de l’argent alloué dans le budget est indispensable pour la poursuite du projet.

Football : le bus des Diables noirs attaqués

Le bus des joueurs qui revenaient de l’entrainement a essuyé des jets de pierre dans le deuxième arrondissement de Brazzaville.

Les Diables Noirs ont passés un début de weekend agité, leurs bus a été caillassés alors qu’il roulait entre le croisement des avenues Matsoua et Cinq chemins dans le quartier Bacongo. La violence a été telle que deux vitres latérales ont éclaté sous l’impact des projectiles. Certains joueurs et membres du staff technique ont d’ailleurs été touchés. Toutefois, ils ont rapidement été pris en charge.

Malgré l’intervention de la police qui est arrivée sur les lieux, les responsables de l’attaques n’ont pas pu être identifié. Des jeunes gens, selon des témoins. Ils se sont enfuis après avoir balancé d’imposants cailloux contre le bus. Une situation qui vient une fois de plus soulever les problèmes de règlements de comptes entre les supporteurs des équipes de football locale.

 

Congolais : Paulin Makaya reçoit la visite de l’opposition

Le président du parti Unis pour le Congo a reçu à son domicile la visite de plusieurs leaders de l’opposition.

La Fédération de l’Opposition Congolaise et le Conseil Fédéral Frocad-IDC-CJ3M ont apporté leurs soutiens et leur réconfort à Paulin Makaya, 3 jours après sa sortie de prison. Les confrères de l’opposant ont surtout profité de ce moment pour féliciter et encourager l’opposant de 49 ans a tenu bon dans son combat et à ne surtout pas se décourager.

Arrêté pour trouble à l’ordre public et pour avoir participé à une marche non autorisée contre le changement de la constitution du 20 janvier 2002, Paulin Makaya avait été libéré 3 ans après. Sa libération effective avait été possible quatre jours après la décision de justice ordonnant la fin de sa détention. L’opposant à d’ailleurs rassuré ses militants à sa sortie de prison qu’il poursuivrait son combat.

 

Rentrée scolaire : quarante-neuf établissements privés à fermer en 2019

La décision a été prise lors de la première session ordinaire de la commission nationale d’agrément de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation.

Anatole Collinet Makosso a tenu les 19 et 20 septembre à Brazzaville une session ordinaire en vue d’attribuer les agréments aux établissements primaire et secondaire. Selon les premières résolutions de la commission nationale d’agrément, sur les 813 écoles ayant sollicité l’agrément provisoire, 49 sont à fermer, tandis que 342 ont été provisoirement agréées et 333 sont ajournées.

Dans la ville de Pointe Noire, sur 461 écoles postulantes, 221 ont reçu l’agrément provisoire pour tous les cycles ; 165 sont ajournées et 32 sont à fermer pour tous les cycles ; 44 ont des cycles soit agréés provisoirement, soit ajournés, soit fermés. A Brazzaville, sur 260 établissements qui ont sollicité l’agrément, 74 l’ont reçu provisoirement pour tous les cycles, 130 ont été déclarés ajournés pour tous les cycles ; 12 sont à fermés ; 44 ont des cycles soit agréés provisoirement, soit ajournés, soit à fermer.

« Les établissements à fermer, quant à eux, sont tenus d’étudier la possibilité avec les parents d’élèves de réorienter leurs élèves vers d’autres écoles publiques ou privées de leur choix, en fonction de la carte scolaire. Toutefois, pour ne pas perturber la scolarité des élèves inscrits au titre de l’année scolaire 2018-2019, les établissements sont exceptionnellement autorisés à dispenser les enseignements jusqu’au 30 juin 2019, date de fermeture définitive et sans appel », indique le communiqué final de la session.

Denis Sassou Nguesso en route pour Bamako

Le président congolais a quitté la capitale Brazzaville ce 21 septembre pour le mali. Il prendra notamment part à la fête nationale.

Invité d’honneur aux festivités marquant le 58ème anniversaire de l’indépendance du Mali, le chef de l’Etat congolais a quitté Brazzaville pour Bamako ce vendredi 21 septembre 2018. Le Mali célébrera samedi prochain, 22 septembre, le 58ème anniversaire de son indépendance sur fond de paix et de stabilité notamment après la réélection du Président Ibrahim Boubacar Keïta pour un second mandat à la tête du pays et les progrès enregistrés dans l’application de l’Accord de paix et de réconciliation au Mali, signé en 2015.