Congo : la CNI valide plus de 257 milliards FCFA pour 11 dossiers des entreprises

Les membres de la commission nationale des investissements (CNI), ont validé 11 dossiers sur un total de 22, des sociétés œuvrant dans divers secteurs.

 

La CNI valide 11 entreprises sur les 22 dont les dossiers ont été examinés. Ces sociétés prévoient un investissement de plus de 257 milliards de FCFA avec plus de 1489 emplois à créer. L’information a été donnée mercredi 10 juillet à Brazzaville, par le directeur de cabinet du ministre de l’Economie et des finances, Athanase Ngassaki.

« Les sessions de la commission nationale des investissements sont une occasion importante d’évaluation des engagements pris par les entreprises qui veulent investir dans notre pays en créant des emplois en apporter de la richesse », a dit Athanase Ngassaki, à l’ouverture des travaux de la première session de la CNI de l’année 2024.

Les 11 entreprises dont les dossiers ont été validés œuvrent entre autres dans les domaines de l’élevage, des BTP, des transports, des services, des télécommunications, de l’industrie, de l’industrie alimentaire, de la construction et de l’industrie métallurgique.

« L’ensemble des investissements accordés aux sociétés soumissionnaires représente près de 258 milliards de Francs CFA avec à la clé plus de 1489 emplois à créer », a précisé Athanase Ngassaki.

Notons que neuf dossiers ont reçu un avis favorable sous réserve et 2 ont été ajournés.

Congo : trois entreprises vont générer environ 931 emplois directs

La Commission nationale des investissements (CNI) accorde des titres d’agréments à ces trois entreprises pour un investissement de plus  de 129 milliards F CFA.

 

Les travaux de la première session 2022 de la Commission nationale des investissements (CNI) se sont tenus mardi 29 mars à Brazzaville. Sur les quatre dossiers examinés, a accordé des agréments définitifs à deux entreprises et un titre provisoire à une seule société, en attendant qu’elle complète les quelques pièces qui restent pour un investissement global de de 129 136 822 milliards F CFA. Une candidature a été renvoyée à sa prochaine session qui se tiendra dans trois mois

Les entreprises accréditées projettent d’investir dans divers secteurs d’activités en vue d’impulser l’économie nationale durement frappée par les crises financière et sanitaire. Les secteurs préconisés sont, entre autres, l’agropastoral, l’industrie minière et forestière ainsi que celui des bâtiments et travaux publics. Ce sont donc 931 emplois directs qui seront générés.

Il faut préciser que les sociétés retenues devraient bénéficier des allègements et avantages particuliers de la part de l’Etat congolais, comme cela est prévu dans la charte des investissements. Les privilèges liés à ces allègements portent, entre autres, sur la réduction des droits de douane, de la taxe sur le bénéfice et bien d’autres faveurs fiscales.

En contrepartie, d’après la même charte des investissements, ces sociétés adjudicatrices ont l’obligation de recruter prioritairement le personnel congolais et doivent l’immatriculer à la sécurité sociale. Ladite charte précise que ces entreprises sont, par ailleurs, tenues de transformer la matière première sur le sol congolais afin de soutenir le dynamisme économique.

Les travaux de la première session 2022 de la CNI ont été présidés par le directeur de cabinet de la ministre de l’Economie, du Plan, de la Statistique et de l’Intégration régionale, Ferdinand Sosthène Likouka.

Congo-investissements : des petits projets bénéficieront de près de 100 milliards FCFA

C’est ce qui ressort de la deuxième session annuelle de la commission nationale des investissements qui s’est tenue le 7 septembre 2021.

 

La Commission nationale des investissements (CNI) a tenu, le 7 septembre à Brazzaville, sa deuxième session annuelle. Après avoir examiné l’ensemble des demandes, elle a accordé des titres d’agrément à douze entreprises.  lesquelles entendent investir plus de 99 milliards Fcfa en faveur des petits projets.

Pour sa seconde session de l’année en cours, la CNI a examiné treize dossiers de candidatures. Au terme des travaux, elle a accordé des agréments définitifs à neuf sociétés et à trois autres sous réserve, en attendant que celles-ci complètent quelques pièces qui manquent. Une seule demande a été ajournée et renvoyée à la prochaine session. Les sociétés adjudicataires des titres projettent investir à travers le pays dans l’agro-industrie, l’industrie, les transports, l’agriculture, les télécommunications, les bâtiments et travaux publics ainsi que dans le domaine des services. Si tous ces investissements venaient à se réaliser, selon la commission, ils représentent globalement plus de 99,175 milliards F CFA et pourront générer plus de 2035 emplois directs.

Pour le directeur de cabinet du ministre de l’Economie et de la Statistique, président adjoint de la CNI, Ferdinand Sosthène Likouka, cela renforce l’économie nationale. Lors de la dernière session tenue en janvier, la commission avait examiné douze dossiers de candidatures. Dix d’entre eux avaient été agréés pour un coût d’investissement de 120 milliards 477 millions FCFA.

Ayant eu des agréments, ces sociétés devraient bénéficier également des allègements et avantages particuliers de la part de l’Etat congolais, conformément à la charte des investissements. Les privilèges y afférents portent, entre autres, sur la réduction des droits de douane, de la taxe sur le bénéfice et bien d’autres faveurs fiscales.

En contrepartie, précise la même charte, celles-ci doivent recruter prioritairement le personnel congolais, puis l’immatriculer à la sécurité sociale. Suivant la charte des investissements, elles doivent transformer la matière première sur le sol congolais afin de soutenir l’économie.

Signalons que la CNI est un organe d’exécution de la politique du gouvernement en matière de promotion des investissements. Elle compte une vingtaine de membres permanents, issus de diverses administrations publiques et privées, ainsi que de quelques institutions. Sa mission fondamentale est d’examiner les demandes d’agrément sollicitées par les entreprises.