Pointe-Noire : plus de 200 collaboratrices évoluant à AGL Congo et Congo Terminal se mobilisent contre le cancer du sein

Le 31 octobre 2024, dans le cadre des activités liées à octobre rose, 215 femmes évoluant à AGL Congo et Congo Terminal se sont mobilisées contre le cancer du sein à Pointe-Noire.

 

Au menu marche sportive, vulgarisation des techniques d’auto-dépistage par palpation et sensibilisation sous le thème « cancer du sein, prévention primaire et secondaire »

Les participantes ont pu s’informer sur les causes, les symptômes, les mesures préventives et curatives pour lutter contre le cancer du sein. Elles ont également été sensibilisées sur la nécessité de se faire dépister le plus tôt possible.

« Octobre rose est une excellente occasion de réaffirmer l’engagement des entreprises publiques et privées dans la lutte contre le cancer du sein. C’est aussi un grand moment de sensibilisation et d’échanges pour neutraliser l’ignorance qui fait plus de victimes que le cancer lui-même » explique le Docteur Eléazar Céleste Massamba, Médecin conseil de Congo Terminal.

« Aujourd’hui, le cancer du sein ne concerne pas que les femmes uniquement, les hommes sont aussi touchés. C’est l’affaire de tous. C’est pourquoi AGL et ses filiales sensibilisent au plus près » a déclaré Raïssa DEKAMBI, Responsable RSE AGL Congo.

Africa Global Logistics réaffirme son engagement à soutenir la lutte contre le cancer du sein. L’entreprise et chacune de ses filiales s’engagent activement à promouvoir la prévention et le dépistage à travers diverses actions. L’an dernier une échographie mammaire volontaire et anonyme avait été offerte à chaque salarié de plus de 40 ans pour encourager le dépistage précoce du cancer du sein.

Congo : AGL Brazzaville et sa filiale TBC sensibilisent contre le cancer du sein

Le 29 octobre 2024 à Brazzaville, les équipes de Terminaux du Bassin du Congo (TBC ) et Africa Global Logistics Congo ( AGL) ont organisé un dépistage volontaire et anonyme du cancer du sein suivi d’une sensibilisation. Plus de 20 femmes de nos effectifs ont participé à cet évènement dénommé bandeau rose.

 

Animée par le docteur NDOUNGA Eliane, Cancérologue au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville (CHU-B), la sensibilisation sur le cancer du sein a permis aux participantes de comprendre la place du dépistage dans la lutte contre cette maladie et le comportement à adopter pour la prévenir. C’était également l’occasion de comprendre qu’elle n’est pas une fatalité.

« L’enthousiasme des équipes féminines de AGL et TBC Brazzaville pour la lutte contre le cancer du sein est encourageant. La sensibilisation sera étendue dans les familles assurément pour une large vulgarisation des pratiques à risques » a déclaré le docteur NDOUNGA Eliane.

« Tout le mois d’octobre, nos équipes féminines ont appuyé l’engagement de Africa Global Logistics (AGL) et ses filiales pour la lutte contre le cancer : bandeau mail, affichage des comportements à adopter pour prévenir le cancer du sein, sensibilisation au dépistage, etc. Notre soutien envers les personnes atteintes du cancer du sein et notre volonté de lutter contre le cancer ne faiblissent pas » soutient Dzema AYESSA-NDINGA, Directeur Général adjoint de TBC

Tous les ans, AGL organise des sensibilisations au dépistage du cancer du sein. Le groupe et ses filiales congolaises encouragent la prévention et la vulgarisation des comportements à risques afin de lutter contre la maladie. Il y a quelques années elles avaient appuyé la campagne « la mort est dans l’assiette » pour encourager la population à manger sainement pour se maintenir en bonne santé.

Congo-octobre rose : plus de 2 200 000 cas de cancer du sein découverts en 2022

L’Union des femmes des médias du Congo (Ufemco) a initié, mercredi 16 octobre, un atelier de sensibilisation de cette maladie.

 

Les femmes des médias ont été édifiées sur les causes, les conséquences, les moyens de prévention et de lutte de ces pathologies. L’atelier de sensibilisation avait pour thème : « Les femmes des médias : voix et actrices de la lutte contre le cancer du sein ».

La rencontre visait à informer les femmes des médias en particulier et de tout bord en général sur les deux pathologies cancéreuses les plus meurtrières chez la femme au Congo, notamment le cancer du sein et celui du col de l’utérus. Ces femmes ont été outillées sur les causes et manifestations des cancers du sein et du col de l’utérus, l’importance du dépistage, les modes de traitement ainsi que les facteurs de risque

Pour le Pr Alexis Bolenga, oncologue médical au CHUB, enseignant à l’université Marien-Ngouabi, le cancer du sein survient chez une femme sur huit, soit presque le quart de la population des femmes dans le monde. En 2022, 2 296 840 cas découverts dont 530 au Congo et 241 décès. Il a ainsi révélé la nécessité de se faire régulièrement dépister, car cela permettrait de prévenir plus de décès, soulignant que 50% de décès dus au cancer du sein sont liés au diagnostic.

Congo-cancer du sein et du col de l’utérus : les sages-femmes sensibilisent

Un atelier de formation à l’endroit des sages-femmes a été organisé, le 15 octobre à Pointe-Noire, à l’occasion de la campagne dite « Octobre rose ».

 

L’objectif de cet atelier était de mobiliser et de sensibiliser la population à la prévention du cancer du sein et du col de l’utérus. Initiée par la direction départementale des soins et services de santé de Pointe-Noire, en collaboration avec le Programme national de lutte contre le cancer, représenté par sa directrice, le Pr Judith Nsondé Malanda, cancérologue médicale, l’activité a regroupé près d’une trentaine de sages-femmes et le personnel paramédical en service dans les Centres de santé intégrés (CSI) et structures sanitaires privées de la place.

Favoriser et améliorer le diagnostic précoce afin de réduire le taux de malades qui viennent en consultation à un stade de la maladie très avancé a été le principal objectif de cet atelier. Les différentes communications ont été portées sur la prévention, le diagnostic, le traitement et la guérison.

« Notre but est de voir les patients être dépistés à temps dans les CSI. C’est ce qui justifie le choix sur les sages-femmes qui reçoivent en premier la population avant qu’elle n’arrive dans les grands hôpitaux. Ainsi, quand le cancer est détecté à un stade précoce, le pronostic est meilleur », a dit le Dr Stevy Makouanzi, oncologue médical, oncopédiatre.