Congo : le budget du projet d’inclusion productive des jeunes réajusté à plus 9 milliards F

Il été arrêté vendredi a 18 octobre, à Brazzaville, lors de la session extraordinaire du comité de pilotage du Projet de protection sociale et d’inclusion productive des jeunes.

 

Le comité de pilotage du Projet de protection sociale et d’inclusion productive des jeunes a adopté son plan de travail et son budget annuel. Budget qui a été revu à la baisse. Il passe de 12 milliards 825 millions à 9 milliards 666 millions FCFA.

« A la différence du premier plan de travail et budget annuels, celui-ci comptera quarante-six activités contre soixante-six précédemment retenues. », a indiqué le directeur de cabinet de la ministre du Plan, de la Statistique et de l’Intégration régionale, Ferdinand Sosthène Likouka.

Il sera question dans le cadre de ce projet de l’identification, la sélection et l’enrôlement de 45000 jeunes de 18 à 35 ans candidats à l’inclusion productive ; la formation et l’accompagnement de 3300 jeunes à l’auto emploi ; de 2600 jeunes en apprentissage d’un métier, le versement des transferts monétaires conditionnels à 17 640 ménages.

Les principaux résultats attendus sont entre autres l’acquisition de l’équipement du bâtiment devant abriter le Registre social unique ; la dotation aux ménages enregistrés des actes de naissance, des cartes nationales d’identité et des numéros d’identification unique.

Congo : le budget du Proclimat arrêté à plus de 12 milliards FCFA

Il a été adopté mardi 11 juin à Brazzaville, lors de la session inaugurale du comité de pilotage du projet de création des activités économiques inclusives et résilientes au changement climatique (ProClimat).

 

Les membre du ProClimat se sont réunis mardi 11 juin dernier à Brazzaville. C’était à l’occasion d’une session inaugurale au cours de laquelle le budget prévisionnel a été arrêté à 12 980 328 770 FCFA.

Cette enveloppe va entre autres permettre de renforcer les capacités des institutions et promouvoir la cohésion sociale, de financer des activités soutenant les capacités institutionnelles et communautaires pour construire des moyens de subsistance inclusifs.

« La composante 6 du projet ProClimat porte sur la mise en œuvre des réponses d’urgence à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle, question de répondre aux besoins les plus aigus en matière d’insécurité alimentaire à court terme. La mise en œuvre de cette composante est confiée au Programme alimentaire mondial, conformément à la recommandation adoptée par les membres du comité de pilotage », a expliqué Maixans Sosthène Mayoukou, coordonnateur du projet.

Congo : la Fecofoot adopte plus de 2 milliards FCFA de budget

La Fédération congolaise de football (Fecofoot) a tenue son assemblée générale ordinaire samedi 09 mars à Sibiti.

 

2 100 000 000 de Francs CFA, c’est le budget pour l’exercice 2024, de la Fécofoot. La cagnotte a été arrêté samedi à Sibiti, lors de l’assemblée générale ordinaire de l’instance faitière du football congolais.

Pendant la rencontre, dix-neuf points ont été examinées notamment l’adoption du budget de l’année en cours. On note une augmentation de ce budget par rapport aux années précédentes. En comparaison, le budget voté pour l’exercice 2022 s’élevait à 1 milliard 257 millions de Francs CFA, tandis qu’en 2019, il se limitait à 1 781 945 000 Francs Cfa.

L’assemblée générale de la Fécofoot s’est déroulée en présence du conseiller Administratif et juridique représentant le ministre des Sports, Icka Séraphin Hervé.

Congo : grève au budget

Les grévistes ont barricadé les entrées des bureaux jeudi 09 décembre, pour exiger le départ des responsables qui ont atteint l’âge de la retraite.

 

« Au revoir au directeurs retraités, les DGB exigent le départ immédiat des directeurs retraités. ». Ce sont des phrases inscrites sur des bouts de cartons que scandaient les grévistes. Ils ont tenté de barricader jeudi 09 décembre 2021,  les bureaux de certains responsables qui ont déjà atteint l’âge de la retraite.

En février dernier, le secrétaire général de la confédération syndicale des travailleurs du Congo (CSTC), Justin Oyenga avait demandé, à travers une note circulaire, à tous les directeurs centraux et chefs de services admis à la retraite au Trésor Public de continuer leurs activités.

Le ministre congolais des Finances et du Budget, Calixte Nganongo, a demandé, pour sa part à travers la circulaire N° 0182/MFB-CAB du 15 novembre 2018, à tous les directeurs généraux d’établir des attestations de cessation de service à tous les fonctionnaires admis à faire valoir leur droits à la retraite.

Congo : l’opération Coup de poing évaluée à plus de 4 milliards FCFA

Cette campagne d’une durée de 45 jours, vise à renforcer les mesures de lutte contre le nouveau coronavirus, notamment son variant Delta.

 

Le budget de l’opération Coup de poing passe de 3,5 milliards de francs CFA à 4,3 milliards de FCFA. Les autorités sanitaires l’ont annoncé mercredi 03 novembre 2021. Cette campagne d’une durée de 45 jours, vise à renforcer les mesures de lutte contre le nouveau coronavirus, notamment son variant Delta. Elle a été lancée le 18 octobre 2021 par le Premier ministre Anatole Collinet Makosso.

Le ministre de la Santé, Gilbert Mokoki, a justifié cette augmentation par la gravité de la situation, notamment la recrudescence des cas de contamination dans les deux principales villes du pays, Brazzaville et Pointe-Noire, considérées comme l’épicentre de la pandémie.

« Le dispositif de contrôle de la maladie est visible et nous agissons le plus sur les deux épicentres qui enregistrent 70% du taux de contamination en l’espace de trois semaines », a-t-il expliqué.

La République du Congo enregistre 13.533 cas d’infection, dont 183 décès.

Congo : plus de 63 milliards FCFA alloués au gouvernement

En attendant l’adoption du budget rectificatif qui prend en compte les nouveaux ministères, une somme de 63,06 milliards de francs CFA a été allouée au gouvernement pour fonctionner.

 

Le parlement va ouvrir le 15 juillet sa session administrative et devrait examiner en urgence le projet de budget rectificatif pour donner les moyens au gouvernement. Mais en attendant, une cagnotte de plus de 63 milliards est à répartir entre les différents ministères pour faire face aux dépenses de biens et services.

Selon le décret 25-2021, la Primature recevra 1 milliard sur les 3,8 prévus dans le budget normal. Mais, la plus grosse allocation d’urgence revient au ministère des Finances qui va encaisser plus de 9,9 milliards sur les 9,9 prévus, soit la totalité de la somme. C’est le cas également du ministère de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé qui recevra 500 millions sur les 500 prévus.

Bénéficient également à 100% de ces crédits d’urgence, les ministères de la Sécurité publique 8,8 milliards, celui des Affaires étrangères 8,01 milliards, de la Santé et population 6,9 milliards, de l’Administration du territoire 4,1 milliards, de la Jeunesse et sports à 1,3 milliard, du Contrôle d’Etat, à 500 millions, ou celui du Tourisme et loisirs à 493 millions de francs CFA.

De nombreux ministères seront servis à environ 50% des crédits prévus dans le budget normal. Il s’agit entre autres des ministères de la Communication, de l’Économie forestière, de l’Énergie et de l’hydraulique, ou des PME, qui recevront chacun 250 millions de francs CFA.

En attendant la normalisation, beaucoup de ministères devront attendre pour rentrer pleinement dans leurs fonds. La Défense nationale, par exemple, recevra 250 millions sur plus de 105 milliards inscrits cette année. Même le ministère de la Justice ne percevra que 100 millions sur les trois (3) milliards qui sont prévus. Le ministère de la Culture prendra 150 millions sur les 494 prévus.

Ainsi, sur les 180 milliards inscrits au titre des dépenses des biens et services dans le budget à adopter, une ouverture de 63 milliards de francs CFA a été faite pour ne pas asphyxier l’Etat et permettre au gouvernement d’aller rapidement sur les dossiers urgents.

Congo-Tié-Tié : la Croix-Rouge arrête à plus de 21 millions FCFA son budget de l’exercice 2021

La session inaugurale de la Croix-Rouge de l’arrondissement 3 Tié-Tié, tenue le 27 février, a été sanctionnée par l’adoption du  programme d’activités et du budget exercice 2021.

Plus de 21 millions de FCFA (2135 000 FCFA), c’est le montant adopté par la Croix-Rouge de l’arrondissement de Tié-Tié, pour l’exercice 2021.

Cet argent va servir à la recherche et l’acquisition du siège, à la campagne d’adhésion qui va permettre d’intégrer des nouveaux membres dans le mouvement, au recensement des secouristes et volontaires, à leur formation par le renforcement des capacités à bien servir le mouvement,  à l’élaboration des micro-projets, à la création des équipes (équipes des diffuseurs, équipes de secours d’urgence, équipes des brancardiers), à l’identification des zones à risques, à la mise en place des comités de quartier, à l’organisation des séances IEC (Information, éducation, communication) dans la communauté sur les pathologies courantes, à l’assainissement des espaces publics, à la réalisation des activités sportives ( marche, football et ndzango), à la célébration des dates historiques et internationales ( 22 février, 8 mai Croix-Rouge), (14 juin, don de sang), (20 juin, journée des réfugiés), (1er décembre sida), etc.

La Croix-Rouge a en dehors de son budget a aussi adopté son programme.

Conseil économique, social et environnemental : le budget de l’exercice 2021 fixé à 2,6 milliards FCFA

Le budget adopté devrait permettre à cette structure d’améliorer son fonctionnement et être plus performante.

Les membres de l’institution consultative viennent de boucler, le 10 août à Brazzaville, leur première session ordinaire consacrée à la relance de l’économie nationale affectée par la crise sanitaire du coronavirus.

Une bonne partie du budget du Conseil économique, social et environnemental(CESE) est destinée à son fonctionnement, soit 1,66 milliard francs CFA et environ 975 millions sont prévus pour l’investissement sans plus de précisions. « Le présent projet sera transmis à date à la direction du budget pour arbitrage. Une fois pris en compte dans la prochaine loi de finances, la Commission des affaires économiques et le bureau du conseil dégageront un collectif y relatif », a indiqué le rapporteur du conseil, Louis Patrice N’Gagnon.

Comme lors de l’ouverture des travaux de la session inaugurale, la présidente du CESE, Émilienne Raoul, a insisté sur rôle de son institution dans un contexte de crise économique et sanitaire. Elle a invité les autorités du pays à tirer les leçons de la crise actuelle et à prendre des mesures permettant la transformation profonde de l’économie nationale, l’amélioration des dépenses sociales et la prise en compte des défis environnementaux.

Les recommandations issues de cette session seront transmises au chef de l’État, aux présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale, a assuré la présidente du CESE. « Nous avons compris que face à la crise actuelle, la collaboration entre le gouvernement et le conseil s’impose. Si au préalable la question était « pourquoi nous en sommes arrivés-là », nous devons à présent nous poser la question comment faire pour résoudre les problèmes et sortir le pays de cet engrenage qui met en danger notre économie, la vie de notre population et notre environnement », a-t-elle ajouté.

Notons que pendant deux semaines, les membres du CESE, repartis dans des diverses commissions, ont échangé sur des thèmes liés au plan de relance et de stabilisation de l’économie congolaise ; à la prise en charge des maladies chroniques et la nécessité de recourir aux médicaments génériques ; à l’employabilité des jeunes et à l’élaboration d’un plan environnemental adapté. Des débats ont aussi été organisés autour de « l’impact du coronavirus au Congo et les perspectives économiques, sociales et environnementales » animés par des membres du gouvernement, des représentants d’organismes onusiens et des administrations publiques.

Ce conclave a permis aux membres du conseil de formuler des pistes de solutions aux nombreuses questions liées aux conséquences socio-économiques de la pandémie.

Fonds routier : les administrateurs adoptent un budget de plus de 3 milliards pour l’exercice 2020

Le comité de direction du Fonds routier a validé, le 4 août à Brazzaville, en session budgétaire et bilanciel du conseil d’administration, son budget de fonctionnement exercice 2020.

Le comité de direction du Fonds routier a validé, le 4 août à Brazzaville, en session budgétaire et bilanciel du conseil d’administration, son budget de fonctionnement exercice 2020.

En dépenses, le budget est estimé à la somme de huit milliards six cent quarante-huit millions trois cent vingt mille francs CFA, soit un décalage de quatre milliards huit cent vingt-six millions huit cent vingt mille francs CFA.

Les priorités du budget adopté sont, entre autres, l’entretien routier et le cartonnage villageois.

La réunion présidée par Yves Ickonga a permis aux administrateurs d’approuver aussi le procès-verbal de la session du comité de direction du 21 juillet 2020 et d’adopter le rapport d’activité exercice 2019.

Plusieurs autres documents importants ont également été ratifiés, après examens et débats, notamment : le programme d’activité 2020, le ressourcement du Fonds routier ainsi que la fiche d’exécution du budget du Fonds routier de janvier au 15 juillet 2020.

Le président du conseil d’administration du Fonds routier a rappelé lors de cette réunion que : « Cette session se tient dans le contexte caractérisé par la baisse des activités dans tous les secteurs de l’économie nationale à cause de la Covid-19 ».

Signalons que le Fonds routier assure le financement, d’une part, des programmes de protection du patrimoine routier national, des programmes de prévention et de sécurité routières, d’entretien du réseau routier, et d’autre part, des opérations de réhabilitation et d’aménagement des routes.

Le Conseil départemental du Niari a adopté son budget de l’année

Avec une légère augmentation par rapport à l’année dernière, ce budget s’élève à plus de deux milliards de francs CFA.

Le budget du conseil départemental du Niari, exercice 2020, connait une légère augmentation de huit cent cinq millions neuf cent onze mille (805.911.342) francs CFA, par rapport à celui de l’année dernière. Il est arrêté en recettes et en dépenses à la somme de deux milliards cent soixante-neuf millions quatre cent treize mille neuf cent soixante-dix-neuf (2.169.413 .979) francs CFA.

Dans cette enveloppe, un milliard quatre cent soixante-dix millions deux cent dix mille quarante-huit (1.470.202.048) francs CFA est orienté dans le fonctionnement et six cent quatre-vingt-dix-neuf millions deux cent onze mille neuf cent trente-et-un (699.211.931) francs CFA seront consacrés à l’investissement.

Kouilou : le budget de l’exercice 2020 est fixé à plus de 5 milliards FCFA

Réuni le 28 février, sous la direction de son président, Alexandre Mabiala, le conseil départemental du Kouilou a retenu son budget exercice 2020 à la somme de 5.836.550.060 francs CFA.

Alexandre Mabiala a signifié que l’adoption du budget primitif du conseil départemental du Kouilou était le quitus donné au bureau exécutif, validant les prévisions des recettes et des dépenses de l’année 2020. Selon lui, ce budget consacre 3.487.405.083 francs CFA au fonctionnement de l’institution et 2.349.144.977 francs CFA à l’investissement.

« Pour le bureau exécutif, on peut dire, avec assurance, que les charges requises sont maîtrisées, et les dépenses programmées proportionnelles aux recettes prévues. Les projets à réaliser, dans les différents secteurs, sont désormais connus. Les ressources ont été ciblées et les mécanismes de leur recouvrement mis en place de façon rassurante. Le chemin est aujourd’hui tracé pour la mise en œuvre de notre programme annuel d’investissement, afin de répondre aux besoins des populations du Kouilou …», a-t-il déclaré.

Congo : 500 apprentis magistrats font le sit-in devant le ministère de la justice

Ils veulent un déblocage urgent de budget dans la fonction publique et appellent à l’arbitrage du chef de l’État.

Près de 500 apprentis magistrats ont entamé, ce lundi, leur deuxième semaine de sit-in devant le ministère de la Justice à qui il demande une meilleure formation. Ces jeunes se disent abandonnés depuis 2014.

Dans le jardin des droits de l’homme, juste en face des bureaux du ministère de la Justice, ces manifestants se servent d’une cloche, des bidons vides, des vuvuzelas, des fanfares et bien d’autres instruments pour produire un bruit assourdissant. Après avoir épuisé toutes les voies de recours, selon leur propre expression, ils ont résolu d’organiser ce mouvement pour se faire entendre.

« Nous voulons aller en formation. Qu’on prenne un décret et qu’on nous nomme auditeurs de justice et que nous bénéficions des salaires d’auditeurs de justice. À ce moment-là, va arriver par vague la programmation de notre formation », prévient Alexis Kanga Ondélé, premier responsable du collectif.

Le gouvernement alerté

« Nous voulons tout de suite le décret et la formation pour tous, peu importe le lieu », peut-on lire sur une immense banderole déroulée par ces apprentis magistrats qui se disent laissés pour compte.

« On peut dire que nous sommes des laissés pour compte parce que jusqu’alors nous n’avons pas de solution à notre problème. Nous manifestons effectivement pour rentrer pleinement dans nos droits. C’est tout », a lâché un concerné.

Contactée, une source au ministère de la Justice a fait savoir que leur problème est bel et bien sur la table du gouvernement et une solution sera trouvée. « Seule une solution efficace et définitive mettra un terme à notre mouvement », ont prévenu les manifestants.

Congo : Henri Loundou préside les conférences budgétaires ministérielles

Henri Loundou, le directeur du cabinet du ministre des Finances et du Budget a conduit ce 10 septembre les travaux de préparation du budget 2019.

Le Congo prépare déjà sa prochaine rentrée budgétaire 2019, le cabinet du ministre des finances a tenu une réunion en vue de l’atteinte de cet objectif dans les délais. Henri Loundou, le directeur du cabinet du ministre était accompagné lors de cette rencontre du Directeur de cabinet du Ministre du Plan, de la  statistique et de l’intégration régionale, de Franck Corneille Mampouya-Mbama, Directeur du Plan et du Développement et Nicolas Okandzé, Directeur général du budget (DGB).

« Ces conférences ont pour objet d’élaborer un budget compatible avec les exigences du  Fonds monétaire international (FMI), qui est en négociation avec le Congo, en vue de la conclusion d’un programme triennal de financement pour la relance de son économie. Ainsi, veiller à la qualité de la dépense est une exigence de ce budget de l’Etat exercice 2019 »,a indiqué Henri Loundou, à l’ouverture des travaux.

Notons que ces conférences budgétaires prendront fin mardi 18 septembre et la traditionnelle session budgétaire parlementaire, au cours de laquelle le Sénat et l’Assemblée Nationale voteront la loi des finances au plus tard le 31 décembre de  l’année en cours.