Congo : 2% de projets liés à la santé ont été réalisés entre 2020 et 2023

C’est ce qui ressort d’une étude menée par l’organisation non gouvernementale congolaise « Publiez ce que vous payez ».

 

L’ONG congolaise Publiez ce que vous payez vient de rendre public les résultats d’une étude qu’elle a menée. Selon cette étude, entre 2020 et 2023, sur 160 milliards de FCFA mis à disposition en vue de mener des projets destinés à améliorer le taux d’accès à la santé, seulement 2% ont été réalisés.

Parmi les projets qui n’ont pas été exécutés, figure par exemple la mise à niveau de la station d’épuration du CHU de Brazzaville. Publiez ce que vous payez a dénoncé une faible exécution des projets

Pour conduire son étude, l’ONG congolaise, qui était à son huitième exercice du genre, a déployé près de 80 agents dans sept départements du pays pour recueillir les données sur 55 projets, tous essentiellement dans le domaine de la santé.

Congo : ouverture d’une conférence sur l’assainissement urbain

Les acteurs doivent mettre en place des mécanismes pour assurer une collecte et gestion durable des ordures qui jonchent les rues des principales villes.

 

La conférence sur l’assainissement urbain s’est ouverte, ce lundi 3 février, à Brazzaville. Il est question « d’envisager une transformation profonde et structurée de l’approche de gestion des déchets en y intégrant les réalités locales ainsi que les exigences des objectifs de développement durable », à en croire Juste Désiré Mondélé, ministre de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier.

Les participants à cette conférence vont proposer une feuille de route qui prévoit, entre autres, la mise en œuvre d’une économie circulaire à travers la transformation et la valorisation des déchets ; la construction des centres de tri et de recyclage ; l’amélioration des voiries ; la promotion des technologies comme la bio-méthanisation et la pyrolyse des déchets plastiques.

Il est important de noter que Les deux principales villes du pays, Brazzaville et Pointe-Noire, font actuellement face à une importante crise de collecte des ordures ménagères. La crise des ordures qui s’est déclenchée depuis la fermeture en septembre dernier de la société Averda. L’entrepreneur turc qui devrait remplacer Averda n’a toujours pas totalement posé ses valises.

Selon le Premier ministre, les projets d’assainissement à réaliser avec l’appui de l’Agence française de développement concernant les villes de Pointe-Noire et de Brazzaville vont démarrer sous peu.

Congo : une conférence pour amélioration du cadre de vie dans les grandes villes

Le palais de Brazzaville servira de cadre lundi 03 février à la conférence sur les enjeux et les défis de l’assainissement urbain.

 

Améliorer le cadre de vie des populations dans les grandes villes. C’est l’objectif visé par la conférence sur les enjeux et les défis de l’assainissement urbain. La rencontre est organisée par le 3 février au palais de Brazzaville, par le ministère de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier.

La conférence va réunir toutes les parties prenantes, notamment les ONG, les chefs de quartiers, les administrateurs maires, les partenaires au développement, bilatéraux, multilatéraux. Selon le ministre de tutelle Juste Désiré Mondelé, ce sera un moment d’échange.

« Nous allons nous retrouver en une journée le 3 février pour parler non seulement de comment collecter ou enlever les déchets, mais aussi du mécanisme, du processus de toute la chaîne des déchets, à savoir du ramassage jusqu’à la transformation, à la valeur ajoutée à donner aux déchets. Tout en sachant que les déchets sont une matière, un produit qui peut permettre à ce qu’il y ait des jeunes entrepreneurs, des start-up qui peuvent aussi intervenir dans l’assainissement », a expliqué le ministre de l’Assainissement urbain, du Développement local et de l’Entretien routier dans un extrait tiré d’une publication de adiac-congo.com.

Après cette conférence, le ministère va établir un calendrier devant lui permettre d’aller sur le terrain. Juste Désiré Mondelé a également évoqué la possibilité d’instaurer des journées d’assainissement pour inciter les populations dans les quartiers.

Congo : le forum des entrepreneurs francophones se tiendra du 26 au 28 juin

L’objectif de cette rencontre est de promouvoir une économie dynamique et prospère au sein des pays membres de l’Alliance du patronat francophone (APF).

 

Le ministre chargé du Développement industriel, Antoine Nicéphore Fylla Saint Eudes s’est entretenu mardi 28 janvier à Brazzaville, avec une délégation de l’APF et le président du conseil d’administration de l’Union patronale et interprofessionnelle du Congo (Unicongo), Michel Djombo. Les échangent ont porté sur les préparatifs du forum international des entrepreneurs francophones qui se tiendra du 26 au 28 juin dans la capitale congolaise, sous l’égide d’Unicongo.

Cette conférence annuelle a pour objectif de promouvoir une économie dynamique et prospère au sein des pays membres de l’APF. Ce sont les acteurs du secteur privé du patronat francophone qui couvre 35 pays d’Afrique, de l’Europe francophone, du Canada et certains pays d’Asie qui prendront part aux activités.

Plusieurs thématiques seront développées lors de ce forum, dont le thème principal portera sur « L’intégration régionale au sein des pays francophones ». Les acteurs économiques évoqueront aussi la problématique du financement des infrastructures, la collaboration entre les entreprises, le développement des accords entre les entreprises ainsi que la promotion des relations commerciales dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine. C’est du moins ce qu’a indiqué Michel Djombo, président du conseil d’administration d’Unicongo.

Congo : des coupures d’électricité persistent à Brazzaville et Pointe-Noire

La société nationale annonce une révision « générale » de l’une des trois turbines de la centrale électrique basée à Pointe-Noire.

 

Les villes de Brazzaville et de Pointe-Noire sont confrontées à des coupures intempestives d’électricités. Celles-ci vont se poursuivent jusqu’au 02mars 2025 prochain. La société énergie électrique du Congo qui annonce une révision « générale » de l’une des trois turbines de la centrale électrique basée à Pointe-Noire.

Les perturbations constatées ces jours-ci vont durer une quarantaine de jours, le temps de faire une révision générale de l’une des trois turbines de la centrale électrique du Congo de 150 MW, qui a largement dépassé les heures de fonctionnement prévues. C’est du moins ce qu’a expliqué une source de à la société énergie électrique du Congo.

Congo : Corsair va ouvrir une nouvelle ligne à destination de Brazzaville

Une décision qui intervient au moment ou la compagnie aérienne entend se recentrer sur ses principales destinations dont l’Afrique.

 

La compagnie aérienne Corsair va ouvrir une nouvelle ligne à destination de Brazzaville en République du Congo, d’ici la fin du premier semestre. D’après ses dirigeants, la décision qui va être mise en place d’ici à juin fait suite à un changement de stratégie ayant pour base la rentabilité et l’optimisation de son réseau.

En décembre 2023, la compagnie aérienne française de longs courriers avait estimé le prix des billets à partir de 460 000 F CFA pour les vols Brazzaville-Paris, contre les 850 000 FCFA minimum qu’offre Air France.

Notons que cette information intervient après plusieurs mois de rumeurs autour d’une éventuelle entrée de la République du Congo dans le capital de Corsair, à travers une participation estimée à 9,8 milliards F CFA

Créée en 1981, Corsair dispose d’une flotte composée uniquement d’appareils long-courrier. Pendant les périodes d’affluence, la compagnie fait souvent appel à l’espagnole Wamos Air, en lui louant un avion.

Congo : le gaz butane est rare introuvable à Brazzaville

Les ménagères et autres consommateurs parcourent parfois de longues distances sans trouver le précieux sésame.

 

Plusieurs points de vente de gaz butane sont fermés dans la capitale congolaise. Dans des brouettes, les pousses-pousses, sur les motos ou encore dans les taxis, des consommateurs parent de longues distances en espérant s’en procurer. Malgré tous ces efforts il est difficile de trouver du gaz butane.

Selon lesechos-congobrazza.com, l’entrepôt de la société de distribution dénommée Faaki à Makélékélé a baissé son rideau depuis deux jours. La rareté serait due à un problème d’approvisionnement. Aucune source officielle n’a communiqué sur cette pénurie.

Les consommateurs ont recours au bois de chauffe et au charbon de bois pour la cuisson. Ils attendent tout de même que les autorités trouvent une solution à cette situation.

Congo : le CEIF se tiendra au mois de mars à Brazzaville

Le Forum économique et d’investissement du Congo (CEIF) réunira des investisseurs internationaux et des acteurs locaux.

 

La capitale congolaise Brazzaville abritera les 25 et 26 mars 2025, le CEIF. Le groupe panafricain de conseil juridique et commercial CLG a été désigné partenaire juridique officiel de ce rendez-vous économique. Le directeur général de CLG Congo, Yves Ollivier, interviendra en tant qu’orateur pour partager son expertise sur le secteur énergétique congolais.

« Notre stratégie en Afrique a consisté à développer notre offre au Congo en tant que plaque tournante pour la CEMAC, en complément de notre croissance continue en Afrique. Renforcer les capacités et encourager le contenu local est la clé de notre travail au Congo », a déclaré Yves Ollivier

Ce sont des investisseurs internationaux et des acteurs locaux qui se réuniront pour explorer les opportunités nationales et régionales dans les domaines de l’énergie et des infrastructures. Il sera question de mettre en lumière les projets de transformation du gaz en électricité et fournira des mises à jour sur les expansions en cours dans le pays.

Le cabinet CLG représente des entreprises pétrolières et gazières dans 16 pays africains.

Congo : plus 1500 vendeuses bénéficient d’un financement

C’était en faveur d’une campagne de financement des activités lancé mardi 31 décembre dernier par la Génération auto-entrepreneuriat (GAE).

 

Ce sont 1500 femmes qui vendent dans les marchés domaniaux de Brazzaville qui ont reçu des financements de la GAE. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Matissa affaires », « Booste ton business ».

Digne Elvis Tsalissan Okombi qui est le coordonnateur général de cette association, a remis des chèques de 100 000 FCFA à un échantillon de deux cents vendeuses issues des neuf arrondissements de Brazzaville.

Pour Digne Elvis Tsalissan Okombi, le montant de 100 000 FCFA octroyé à chacune de ces femmes à la veille de la fête du nouvel an va aider ces femmes à développer les petits commerces. Il a également invité les autres bienfaiteurs soutenir les activités génératrices de revenus des vendeuses

Congo : Brazzaville et Shao Yang signe un accord de partenariat

L’accord a été paraphé par le président du Conseil départemental et municipal, Dieudonné Bantsimba, et Riping Ouyang, conseiller principal du gouvernement populaire municipal de Shao Yang.

 

Le partenariat signé dimanche 29 décembre entre les villes de Brazzaville et Shao Yang, s’inscrit dans le cadre de la coopération décentralisée entre les deux villes et porte essentiellement sur l’ingénierie municipale. Il est question de développer des projets d’intérêt public et renforcer l’assainissement dans la ville.

La mise en œuvre des projets qui sont en cours d’indentification se fera par Omex, une société partenaire de la ville Shao Yang, spécialisée dans la construction et le développement des infrastructures urbaines.

« En signant ce protocole d’accord qui sera suivi d’effets escomptés, nous ne saurons que renforcer la coopération sino-congolaise pour le bien de nos populations et la transformation de notre ville. Notre ville de Brazzaville doit se mettre en branle pour rechercher les financements et Shao Yang, pour sa part, doit sélectionner les entreprises pour que tous ces travaux puissent démarrer au plus vite », a indiqué le président du Conseil départemental et municipal.

Congo : les forages industriels de la patte d’oie viennent résoudre la pénurie d’eau

Ces forages ont été inaugurés mercredi 4 décembre, à Brazzaville par le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso.

 

Les forages industriels de la patte d’oie ont été inaugurés mercredi 4 décembre à Brazzaville par le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso. Ces forages vont permettre de desservir en eau potable les abonnées de La congolaise des eaux (LCDE) du quartier Plateau des 15 ans et ses environs.

D’une capacité de  quatre réservoirs de 20 m3  soit une capacité de stockage de 80 m3, chaque  réservoir est doté de  sondes de niveau haut et de niveau bas ; deux pompes de surpression de 20 m3 par heure chacun avec une pompe  de secours ; quatre pompes doseuses pour injecter les produits de traitement, un système de comptage d’eau brute et d’eau traitée ; une ligne électrique équipée d’un régulateur de tension ; un générateur diesel de secours d’une capacité de 66 kva pour garantir la continuité de service.

D’une capacité de  quatre réservoirs de 20 m3  soit une capacité de stockage de 80 m3, chaque  réservoir est doté de  sondes de niveau haut et de niveau bas ; deux pompes de surpression de 20 m3 par heure chacun avec une pompe  de secours ; quatre pompes doseuses pour injecter les produits de traitement, un système de comptage d’eau brute et d’eau traitée ; une ligne électrique équipée d’un régulateur de tension ; un générateur diesel de secours d’une capacité de 66 kva pour garantir la continuité de service.

Il y a également des tableaux de commandes électrique automatique ; un système de supervision et de télésurveillance permettant d’exporter les données d’exploitation ( volume d’eau produit et émis au réseau , niveau des réservoirs) vers le poste central de télégestion pour un suivi en temps réel ; une rampe d’alimentation des camions citernes avec une pompe dédiée par le biais d’un tuyau de 20 mètres  de longueur ; un derick muni d’un palan électrique d’une tonne et demie pour chaque forage en vue de faciliter les opérations de maintenance  et  d’entretien.

La quantité d’eau produite est susceptible de satisfaire aux besoins quotidiens d’une population d’environ 13 000 habitants sur la base d’une consommation spécifique moyenne de 75 litres jour et par habitant. C’est du moins ce que pense le Directeur général de LCDE, Parfait Chisostome Makita.

Congo : une campagne de consultation gratuite lancée à Bacongo

Les populations du deuxième arrondissement de Brazzaville, ont jusque au 7 décembre prochain, pour se faire consulter du diabète, l’hypertension artérielle, le VIH/sida et le cancer de la prostate.

 

Une campagne de sensibilisation et de dépistage gratuit contre le diabète, l’hypertension artérielle, le VIH/sida et le cancer de la prostate est organisée à Bacongo, deuxième arrondissement de Brazzaville. C’est une initiative de la Maison médicale Swalou Diagnostics. Lancée le mercredi 27 novembre dernier, la compagne va s’étendre jusqu’au 07 décembre 2024.

C’est la 5e campagne de consultations gratuites lancée par la clinique Swalou Diagnostics depuis sa création en 2020. Elle offre plusieurs services dans diverses spécialités. Notamment, la neurologie, la rhumatologie, la diabétologie, la gynécologie obstétrique, la pneumologie, la pédiatrie, la cardiologie et la prise en charge des patients vivant avec le VIH.

« Cette année, nous avons voulu saisir le mois de novembre bleu dédié au cancer de la prostate en intégrant le dépistage du VIH, puisque le mois de décembre est consacré à cette affection. C’est pourquoi nous avons organisé notre campagne de sensibilisation et de dépistage du 27 novembre au 7 décembre », a déclaré la promotrice de la clinique médicale, Dr Simone Loubienga.

Bon à savoir, avant le lancement de ladite campagne une journée portes ouvertes avait été organisée au sein de cette clinique.

Congo : l’Aconoq tient un séminaire sur « la maintenance » à Brazzaville

Organise, les 25 et 26 novembre par l’Agence congolaise de normalisation et de qualité (Aconoq) en collaboration avec la société MCV Services.

 

Placé sous le thème « La maintenance : levier incontournable pour une production de qualité », ce séminaire a pour but de mettre en lumière l’importance stratégique de la maintenance. Les séances de travail ont permis entre autres de promouvoir les métiers de la maintenance ; promouvoir la maintenance comme processus dans l’industrie et le tertiaire ; renforcer les compétences des responsables de maintenance ainsi que la position et la posture des responsables de maintenance au sein des organisations.

Pour le directeur de cabinet du ministre du Développement industriel et la Promotion du secteur privé, Émile Pascal Blaise Opangault, que ce séminaire arrive à point nommé. Selon lui, la maintenance permet non seulement de prévenir les pannes mais aussi optimiser les performances des équipements ainsi que de garantir la continuité de la production et assurer la sécurité des travailleurs.

La rencontre a permis de susciter l’idée d’un réseau des mainteneurs congolais mais aussi celle de l’adhésion à la formation certifiante Responsables de la maintenance.

L’Aconoq est un établissement public à caractère administratif et technique doté de personnalité morale et d’autonomie financière qui a été créé en 2015. Sa mission est d’assurer les activités de normalisation, de métrologie, de certification et de promotion de la qualité dans tous les secteurs socio-économiques.

Cames : un atelier sur l’assurance qualité interne de l’enseignement supérieur

Les universitaires des pays membres du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (Cames) se sont réunis dans la capitale congolaise, Brazzaville.

 

L’atelier réunissant les universitaires du Cames et leurs partenaires qui s’est ouvert lundi 4 novembre à Brazzaville, porte sur l’assurance qualité interne de l’enseignement supérieur. L’objectif de cet atelier est de doter les gestionnaires de qualité des établissements membres de nouvelles connaissances de manière à améliorer de façon continue leur fonctionnement. Il sera aussi question de l’intégration de l’intelligence artificielle dans l’enseignement supérieur.

« Cet engagement en faveur de la qualité est crucial pour l’avenir de notre espace académique commun en tant que socle de compétitivité et de reconnaissance internationale de nos systèmes d’enseignement supérieur », a déclaré le directeur des programmes du Cames, le Pr Saturnin Enzonga Yoca.

L’assurance qualité devra permettre d’améliorer les performances de ce secteur en faisant en sorte que les programmes de formation répondent aux besoins de développement humain, social et économique.

L’atelier sera également une occasion de partager l’expérience et un moyen de créer un réseau pour pérenniser les échanges entre les pays membres du Cames et leurs partenaires.

Congo : 500 jeunes obtiennent des attestations d’ouverture d’une entreprise

La Génération auto-entrepreneur (GAE) a lancé lundi 4 novembre, à Brazzaville le processus de formalisation de 500 artisans.

 

Formaliser 500 000 autoentrepreneurs, c’est le défit que se lance la GAE. L’initiative lancé lundi 4 novembre à Brazzaville, s’inscrit dans le cadre de la concrétisation des recommandations du Dialogue intergénérationnel décentralisé organisé il y a quelques mois par la dynamique « Pona Ekolo ». C’est du moins ce qu’on fait savoir les initiateurs du projet.

Pendant la cérémonie de lancement 500 jeunes ont reçu des cartes professionnelles et des attestations d’ouverture d’une entreprise. Ces jeunes travaillent tous dans le secteur informel dans les domaines tels que la coiffure, la couture, la boulangerie, la peinture, la maçonnerie et bien d’autres.

Le coordonnateur général de la GAE, Digne Elvis Okombi Tsalissan, a invité les bénéficiaires à faire preuve de l’innovation et de faire de grandes choses. « Vous êtes l’avenir, vous êtes le rêve de tout un pays car, pour certains, vous avez déjà emboîté le pas de l’entrepreneuriat et de la création des richesses. Quoi que l’on dise, le Congo est un pays d’opportunités capables de créer des millionnaires, un pays où avec un talent on peut avoir le monopole d’activités. L’acte de ce matin est pour vous, artisans, le début d’une nouvelle aventure pleine de promesses et de défis qui exigent la rigueur, l’enthousiasme, la volonté et de l’abnégation », a-t-il rappelé.

Lancé à Brazzaville, le projet va se poursuivre à Pointe-Noire puis dans d’autres départements grâce à la collaboration de la GAE et ses partenaires.

Congo : une formation sur la gestion de la faune ouverte à Brazzaville

Une trentaine d’acteurs fauniques participent à une session de formation qui va durer trois jours dans la capitale politique.

 

Des experts, acteurs fauniques et conservateurs de la biodiversité au Congo ont entamé, le 28 octobre, à Brazzaville une formation de trois jours sur la faune. Organisée dans le cadre du projet CAAPP-Faune, il sera question pour les participants pendant les trois jours de formation de réactualiser leurs connaissances techniques dans la gestion de la faune sauvage et la conservation des écosystèmes forestiers.

Ils bénéficieront également des pratiques plus efficientes et adaptées en matière de conservation de la faune et de la protection des écosystèmes forestiers. Et aussi des méthodes d’inventaires et de suivi de la faune sauvage adaptées au contexte des concessions forestières.

Des thématiques qui seront développées porteront entre autres sur la Technique transect distance sampling ; Technique ARTS ; Technique pièges photographiques ; Technique capteurs acoustiques ; Technique ADN environnement et Outils FauneFac et AurèCam.

Congo : vers la fermeture de 28 pharmacies

A Brazzaville et à Pointe-Noire des mesures conservatoires de fermeture seront prisent à l’encontre de vingt-huit officines pharmaceutiques.

 

Vingt-huit pharmacies frappées par des mesures conservatoires de fermeture. Une décision conforme aux mesures prises par le Ministère de la santé et de la population, relatives à l’assainissement du secteur de la pharmacie au Congo. Les praticiens de ces pharmacies ne respectent pas la législation en vigueur, dans la gestion de leurs officines de pharmacie.

Pour l’inspecteur général de la santé, le prof Richard Urbain Bileckot, « c’est inédit » en République du Congo. Il explique que depuis 2018, l’Inspection générale de la santé qui bénéficie de l’appui de l’Ordre national des pharmaciens, mène des contrôles sur le terrain pour vérifier la légalité des officines de pharmacie. Un travail fait conjointement avec l’ordre et le syndicat des pharmaciens.

De cette mission conjointe, il en ressort qu’il y a des officines de pharmacie en désaccord avec la réglementation qui prévoit que « lorsqu’un pharmacien est décédé, il y a une période d’observation qui va de deux à six ans, pour qu’il y ait des ayants-droits pharmaciens ou mineurs en études de pharmacie ».

Par ailleurs, on ne peut être inscrit qu’à un seul ordre. Donc, on ne peut pas avoir une pharmacie à l’étranger et une autre au Congo.

« Ces fermetures font l’objet d’une procédure consensuelle commencée depuis le 30 avril 2024, avec tous les acteurs qui interviennent dans le secteur, notamment l’Ordre national des pharmaciens, le Ministère du commerce, l’Agence congolaise de la création des emplois, le Ministère du travail et de la fonction publique », a-t-il fait savoir. Il a été tout de même décidé une mise en demeure d’au moins trois mois soit accorder à ces pharmacies.

Congo-Foire aux plants : plus de 220 000 plants variés sont exposés

L’évènement vise à la valorisation du patrimoine végétal vivant et de la culture écologique.

 

Ce sont quelque vingt-trois (23) exposants originaires de la capitale congolaise qui prennent part à la 8e Foire aux plants qui s’est ouvert vendredi 11 octobre 2024. Au total, 221 848 plants variés sont exposés, soit 74% de plants fruitiers, 15% d’espèces fruitières, 5% d’ornementaux, 2% de plants médicinaux.

Le thème de cette édition est « Foire aux plants, 8e édition : Verdir toute la nation avec la jeunesse ». L’évènement vise à valoriser le patrimoine végétal vivant et de la culture écologique. Pour cette 8e édition, on a trente-six espèces fruitières ; dix-sept espèces forestières ; dix-sept espèces ornementales ; six espèces aromatiques ; quatre espèces médicinales et trois espèces potagères.

La 8e Foire aux plants est oorganisée par le ministère de l’Économie forestière avec l’appui technique du Programme national d’afforestation et de reboisement (PRoNAR).

Congo : une école de formation de l’intelligence artificielle ouvre ses portes

L’Ecole du numérique et de l’intelligence artificielle (Enia 2.0) a officiellement lancé ses activités le 7 octobre 2024, à Brazzaville.

 

L’Enia 2.0 compte 1500 places et offre la possibilité aux jeunes Congolais d’apprendre et faire carrière dans certains métiers dits de l’avenir. A ce jour, 410 étudiants prennent cours en présentiel et en vidéo conférence dans ce nouvel établissement. Outre les cours, les visites dans les écoles et les autres structures partenaires sont prévues.

Elle est constituée de quatre bâtiments dans lesquels on retrouve des salles de classes, l’infirmerie, le laboratoire, la direction, le réfectoire, la bibliothèque numérique et bien d’autres. L’Enia se trouve dans les locaux de l’Institut des jeunes sourds, et offre une large gamme de formation dirigée, pour l’essentiel, vers l’intelligence artificielle. Il s’agit, entre autres, des licences en technologie et d’un BTS en mécatronique.

Selon le promoteur Chirel Mongo l’objectif est de former des ingénieurs, des chercheurs d’emploi, des créateurs d’emplois dans les domaines de l’intelligence artificielle et des nouvelles technologies. Les responsables de cette école entendent adapter les jeunes Congolais aux mutations des nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Congo : le centre de maintenance aéronautique sera opérationnel en 2025

Réalisé par la Chine, la République du Congo entend se doter de son propre atelier de maintenance aéronautique dans la ville de Brazzaville.

 

Le projet aéronautique est érigé sur un terrain de 85, 095 m², dont une superficie de construction de 12, 010 m². Il est construit dans la zone voisine de l’aéroport international Maya-Maya. Réalisé et financé par la Chine, sur une durée de deux ans, l’ouvrage de trois niveaux comprendra aussi bien un centre d’entretien et de maintenance qu’un dépôt de produits dangereux, des locaux de pompe d’incendie, de compresseur d’air, une station de traitement des eaux usées.

Lors de sa visite du chantier le 04 octobre dernier, le ministre d’État chargé des Infrastructures, Jean-Jacques Bouya a estimé que les travaux avancent normalement. Il était accompagné de sont collègue en charge des transports, Honoré Sayi, et de l’ambassadeur de Chine au Congo, Li Yan.

« Nous avons-là une opportunité de faire la révision des aéronefs sur place et recevoir d’autres compagnies de la sous-région. En mettant en place cette plateforme, nous donnons un caractère régional à notre aéroport, c’est-à-dire que ceux qui possèdent des avions peuvent venir chez nous. Les ressources sont disponibles et le chantier progresse. L’ouvrage devrait être réceptionné au plus tard décembre 2025 », a assuré Jean-Jacques Bouya

Le premier centre de maintenance du pays devrait être opérationnel dès décembre 2025.

Congo : suspension temporaire de la grève des travailleurs d’Averda

Le Directeur général de la société Congo Environmental Services (CES), filiale du groupe Averda, Nabih Nassar a expliqué qu’un compromis a été trouvé avec les travailleurs.

 

C’est dans un communiqué de presse que Nabih Nassar a annoncé la suspension momentanée de la grève des travailleurs d’Averda. Une décision qui arrive après selon lui un compromis trouvé entre les deux parties. Les négociations se poursuivent tout de même.

Le document précise que la société CES, n’a jamais soutenu la décision de grève, prise par les représentants des travailleurs, qui a conduit la société dans une situation difficile. La CES continue de s’opposer à toute interruption de service et reste déterminée à maintenir ses prestations sans pénaliser les citoyens.

Congo Environmental Services se dit engagée à résoudre rapidement cette situation afin de régulariser les paiements en attente, et continue d’assurer ses opérations. L’entreprise reconnait qu’elle a des ressources limitées actuellement disponibles, mais s’efforce de maintenir un service minimum. Elle est consciente du désagrément causé par la grève, présente ses excuses les plus sincères à la population.

La société CES rassure les brazzavillois et les ponténégrins, qu’elle continue de collaborer étroitement avec les autorités pour trouver une solution durable et efficace, tout en mettant en garde contre le risque potentiel d’une extension de l’impact la situation financière actuelle à d’autres villes où la CES opère.

Congo : les enjeux et défis de l’éducation non formelle au cent des débats

Les travaux de la 26e session du Conseil national de l’éducation préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation se sont ouvert mercredi 18 septembre à Brazzaville.

 

C’est sous le thème « Enjeux et défis de l’éducation non formelle dans le système éducatif congolais », que se sont ouvert les travaux de la 26e session du Conseil national de l’éducation préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, mercredi 18 septembre dans la capitale congolaise.

Les acteurs du système éducatif vont plancher sur plusieurs sous-thèmes notamment l’éducation non formelle, un défi majeur dans la réinsertion socioéconomique économique des jeunes ; la prise en main des enfants défavorisés par l’éducation non formelle ; la production des manuels liés à l’éducation non formelle.

Les participants à la 26e session du Conseil national de l’éducation préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation vont analyser les points forts et faibles du système éducatif afin de corriger ce qui doit l’être. Les travaux prendront fin samedi 21 septembre 2024.

Congo : les agents d’Averda en grève

Les bacs à ordures débordent tout le long des principales artères de la ville de Brazzaville et rétrécissent la chaussée.

 

Depuis cinq jours, les agents de la société Averda ont arrêté le travail. Ils sont en grève. Ces employés de la société chargée de collecter les déchets réclament des salaires impayés de plus de trois mois. La capitale congolaise ploie sous les immondices et des odeurs répugnantes.

Selon RFI, les bacs à ordures débordent aussi le long des principales artères de la ville, qui se rétrécissent par endroits. Les déchets sont brûlés à toute heure du jour ou de la nuit, sans considération pour la sécurité des habitants.

La situation est inacceptable pour la population et la société Averda continue d’attendre les montants qui doivent être alloués par le gouvernement.

Congo : la Russie donne son accord pour construction d’un oléoduc

C’est une annonce faite par le gouvernement russe, dans un décret publié lundi 16 septembre 2024.

 

La Russie a approuvé la construction d’un oléoduc en République du Congo. L’infrastructure devrait relier Pointe-Noire, une ville portuaire et une plateforme de l’industrie pétrolière située dans le sud du pays, à la capitale Brazzaville. C’est du moins ce qu’a précisé le décret gouvernemental publié lundi en fin de journée.

Sa construction impliquera la création d’une joint-venture entre le constructeur russe de pipelines ZNGS Prometey, qui détiendra 90 % de l’entreprise, et la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC). Les questions techniques et économiques doivent être définies dans un accord de concession.

La Russie s’est engagée à fournir des fonds, des équipements et du personnel pour la construction de l’oléoduc, ainsi que du carburant pour le remplir en cas de besoin. Le Congo devrait accepter diverses mesures d’allègement fiscal.

Annoncé initialement en 2017, le projet d’oléoduc a été mis en veilleuse pendant plusieurs années, en raison notamment de la pandémie de covid-19 et de la guerre en Ukraine.

Congo : la première édition du « Women économic forum » se tient à Brazzaville

L’objectif de cette rencontre est de dynamiser et de promouvoir l’esprit entrepreneurial des femmes en République du Congo puis à travers l’Afrique.

 

La capitale congolaise abrite depuis lundi la première édition du « Women économic forum ». Avec pour thème « inkluzion. », l’événement réunit des femmes entrepreneures, cheffes d’entreprises et porteuses de projets, ainsi que des professionnelles de divers secteurs venus notamment du Congo, de la RDC et de la France.

L’objectif de ce forum économique des femmes est de dynamiser et de promouvoir l’esprit entrepreneurial des femmes congolaise et d’Afrique. Il vise également à favoriser la mutualisation des projets et l’inclusion de toutes celles et ceux souhaitant accompagner l’entrepreneuriat au Congo. C’est aussi l’occasion de renforcer les liens entre les femmes entrepreneures à l’échelle internationale.

Au programme de ces journées, on note l’entrepreneuriat coopératif, les masters class, les panels sur le thème « Le développement d’une politique régionale dans les PME et les PMI féminines », pertinences et défis de la Zlécaf ». A cela s’ajoutent des thématiques liées à l’accès au financement, les métiers de demain, l’investissement dans l’agroalimentaire et les opportunités de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf)

Autres activités, les ateliers de formation et des partages d’expérience ainsi qu’une exposition-foire pour promouvoir les produits et services. La « Women économic forum » est une initiative de la chambre nationale des femmes cheffes d’entreprises et entrepreneures du Congo ( CNFCEEC). L’évènement s’achève mercredi 18 septembre 2024.

Congo : Li Yan restitue les résultats du forum sur la coopération sino-africaine

L’ambassadeur de Chine au Congo a animé une conférence de presse lundi 16 septembre, à Brazzaville.

 

La conférence de presse animé par Li Yan portait sur la restituer les résultats du forum sur la coopération sino-africaine qui s’est tenu récemment à Beijing en Chine. Pour la diplomate, le Forum a obtenu des résultats fructueux dans divers domaines. En outre, depuis la mise en place du Focac, la Chine a injecté une énergie forte à la croissance économique de ses partenaires.

« Sous la direction du Focac, le volume des échanges commerciaux entre la Chine et l’Afrique et le stock d’investissement de la Chine en Afrique sont multipliés respectivement par 26 et par 100. 77 instituts Confucius et classes Confucius ont été créés en Afrique. La Chine a envoyé des équipes médicales à 48 pays africains et plus de 230 millions d’Africains en ont bénéficié », a déclaré Li Yan

A l’issue de l’entretien avec la presse nationale, l’ambassadeur de Chine a fait un don du matériel de bureau et informatique aux différents médias. Ce matériel était constitué d’ordinateurs, des onduleurs, des imprimantes, des encres, des photocopieurs, etc. Ont bénéficié de ce don, Les Dépêches de Brazzaville, ACI, TV Congo, radio Congo, Nouvelle République, DRTV, Vox TV et le Groupe Congo Média.

Congo : la 74e session du comité de la région africaine de l’OMS s’est ouvert

Ce sont 650 délégués venus de 46 pays, qui sont en conclave dans la ville de Brazzaville, pour une session qui doit durer jusqu’au 30 août 2024.

 

La capitale congolaise abrite la 7’e session du comité de la région africaine de l’organisation mondiale de la santé. Un évènement qui se tient au moment où la propagation de la variole du singe sur le continent préoccupe de plus en plus l’OMS. Le thème de cette édition est « Un monde mobilisé pour la santé, la santé pour tout le monde ».

Le président Denis Sassou N’Guesso qui a ouvert les travaux, a appelé à une vigilance accrue pour une surveillance épidémiologique soutenue et une riposte urgente et efficace, contre le virus de la variole du singe.

Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a exprimé son inquiétude concernant les derniers variants signalés. « Nous sommes particulièrement préoccupés par l’expansion de cette nouvelle souche du virus appelée Clade 1b, notamment dans la partie orientale de la République démocratique du Congo. Au cours du mois dernier, plus de 220 cas concernés par le clade 1b ont été confirmés dans quatre pays voisins qui n’avaient pas déclaré des cas de mpox auparavant : le Burundi, du Kenya, du Rwanda et de l’Ouganda », a affirmé Tedros Adhanom Ghebreyesus.

A ces assises, le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, a annoncé la hausse financière de la contribution du Congo. « Le Congo, par ma voix, voudrait vous annoncer que sa contribution va augmenter de 50% », a-t-il fait savoir.

La 74ème session du comité va tabler sur l’élection du successeur de l’actuelle directrice régionale de l’OMS-Afrique, le Dr Matshidiso Moeti, qui après dix ans à la tête de cette institution est arrivée à la fin de son mandat. Quatre candidats sont en lice pour le poste de directeur régional. Il s’agit notamment des docteurs Boureima Hama Sambo du Niger, Richard Mihigo du Rwanda, Ibrahim Socé Fall du Sénégal et du Dr Faustine Engelbert Ndugulile de la Tanzanie.

Congo : ouverture de la 74e session du Comité régional de l’OMS pour l’Afrique

Pendant cinq jours, les ministres de la Santé de 47 pays d’Afrique vont examiner et approuver les politiques, les activités et les plans financiers régionaux destinés à améliorer l’état de santé des populations africaines.

 

La capitale congolaise abrite depuis ce lundi 26 août, la 74e session du Comité régional de l’OMS pour l’Afrique. Il sera question pendant 5 jours d’examiner et approuver les politiques, les activités et les plans financiers régionaux destinés à améliorer l’état de santé et le bien-être des populations du Continent africain.

Les thèmes qui seront abordés au cours de cette édition sont entre autres « la transformation en vue de l’obtention de résultats – renforcer les systèmes de santé africains grâce aux réformes de l’OMS », « cycle d’investissement de l’OMS : faire entendre la voix de l’Afrique », « faire face à l’urgence de santé publique que représente la mortalité évitable de l’enfant dans la région africaine de l’OMS » ou encore « accélérer l’élimination du cancer du col de l’utérus en Afrique : stratégies et partenariats pour une prévention et des soins intégrés centrés sur la personne ».

Ce sont au total, 500 participants parmi lesquels le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, le Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, les ministres de la Santé des 47 Etats membres de l’OMS dans la région Afrique, de hauts responsables de ministères de la Santé, des représentants d’institutions du système des Nations Unies, de la société civile, d’organisations bilatérales et multilatérales, ainsi que des partenaires de développement.

Notons que la 74e session du Comité régional de l’OMS pour l’Afrique débouchera sur l’élection du nouveau directeur régional en remplacement de Mme Moeti.

Congo : Brazzaville accueille la 11e conférence des ministres du Codepa

Cet évènement qui s’ouvre ce 12 août 2024, dans la capitale congolaise vise à mettre en place des mécanismes pour améliorer le secteur de l’artisanat.

 

« Codepa : quelle approche pour une adhésion des Etats et une mobilisation des ressources pérennes pour l’organisation ? ». C’est le thème de la 11e conférence des ministres chargés de l’Artisanat des pays membres du Comité de coordination pour le développement et la promotion de l’artisanat africain (Codepa). Les ministres en charge de l’Artisanat sont réunis à Brazzaville.

Il est question au cours de ce rendez-vous africain de l’artisanat d’évaluer, entre autres, les politiques de développement et de la promotion du secteur au plan continental. Les difficultés que rencontrent les artisans : manque d’encadrement, d’infrastructures et d’accès aux crédits. Il va également être question de mettre en place du nouveau bureau dudit comité.

La ministre congolaise des Petites et moyennes entreprises et de l’Artisanat, Jacqueline Lydia Mikolo, a ouvert les travaux des experts le 9 août. Pour rappel, le Codepa compte à ce jour vingt-huit pays membres répartis en cinq régions d’Afrique.

Congo-Port autonome de Pointe-Noire : vers de nouvelles stratégies de fonctionnement

Le Comité national de facilitation et de simplification du passage portuaire a tenu, le 16 juillet à Brazzaville, son comité de pilotage.

 

Des experts et acteurs publics et privés du Port autonome de Pointe-Noire, de la douane, des transitaires et autres se sont réunis mardi 16 juillet à Brazzaville. L’objectif de ce comité de pilotage était de trouver de nouvelles stratégies visant à améliorer la chaîne de passage portuaire des marchandises au Port autonome de Pointe-Noire, en termes de coûts et de délais des opérations.

Ces experts ont évalué les dysfonctionnements constatés dans le circuit de livraison et de dédouanement des marchandises en vue de proposer une nouvelle approche qui permettrait de fluidifier le processus. Il était aussi question de corriger la léthargie administrative liée aux prix jugés élevés de l’ensemble des taxes, mais aussi à la durée des opérations de contrôle et de livraison des marchandises dans la chaîne de passage portuaire.

Le comité de pilotage a prévu la mise en place d’un plan d’action qui sera transmis au gouvernement. Celui-ci est structuré en neuf points et vise, entre autres, la mise en place d’un cadre règlementaire qui soit stabilisé pour pouvoir maîtriser l’action réglementaire.