Vers une consolidation de la coopération entre le Congo, l’AFD et le Pnud

Le ministre de l’Administration du territoire, de la Décentralisation et du Développement local, Guy Georges Mbacka, a échangé le 14 mars avec le directeur de l’Agence française de développement (AFD) au Congo, Maurizio Cascioli, et le représentant résident du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), Maleye Diop.

 

Maurizio Cascioli et Guy Georges Mbacka ont, lors de leur premier contact, échangé sur le partenariat entre la France à travers l’AFD et le Congo.

« Nous avons notamment parlé des projets en cours qui visent à accompagner un certain nombre d’infrastructures et d’investissements à Brazzaville, Pointe-Noire, Owando et Nkayi, quatre villes du pays pour améliorer leur résilience aux changements climatiques. Il s’agit précisément du projet de drainage », a expliqué le directeur de l’AFD à la presse.

Ces deux personnalités ont également évoqué le rôle que les collectivités locales et les mairies doivent jouer dans la gestion des projets en cours d’exécution, à travers les orientations sur les investissements prioritaires. Ceci du début jusqu’à la fin des travaux dans les domaines de la maintenance et de la gestion de ces infrastructures, dont le pilotage devrait être assuré par les collectivités locales.

« Nous avons également parlé de l’aménagement du territoire et du développement local qui est un sujet qui tient à cœur le ministre et que nous partageons tous. Donc, nous avons eu l’occasion d’échanger sur un certain nombre de projets de développement rural que l’AFD finance, notamment avec le ministère de l’Agriculture. C’est un très bon tour de table et nous avons pris rendez-vous pour continuer à échanger sur les grands chantiers, les grandes réformes que le ministère souhaite amorcer et qui pourraient faire l’objet d’une collaboration avec l’AFD », a conclu Maurizio Cascioli.

Le représentant du Pnud au Congo, Maleye Diop, de son côté, a rappelé que le ministère en charge du Développement local est un partenaire de cette agence onusienne au moment où les deux parties sont engagées dans la formulation d’un certain nombre de plans locaux de développement au niveau des localités. Selon lui, deux départements se sont ajoutés à cette liste, notamment le Kouilou et la Sangha.

« Le souhait du ministre est que ces plans soient élaborés pour toutes les localités du Congo pour avoir un cadre de développement, organiser des interventions aussi bien des partenaires, de la société civile et des ONG que de l’Etat. Et cela crée vraiment une visibilité pour le gouvernement », a-t-il déclaré.

Guy Georges Mbacka et Maleye Diop ont, enfin, évoqué la question des nouvelles autorités municipales qui seront élues après les élections de juillet prochain, précisément la manière dont elles vont gérer la mise en œuvre des plans locaux de développement.

Congo : plus de 5 milliards pour l’appui à la relance du secteur agricole

Le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo a lancé, 18 novembre à Brazzaville, les activités du Projet d’appui à la relance du secteur agricole (Parsa).

 

D’un montant d’environ 5,2 milliards de FCFA, le projet est porté par l’Agence française de développement (AFD) et mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture. D’une durée de quatre années et financé dans le cadre du contrat de désendettement et de développement (C2D) signé en 2014, entre la France et la République du Congo.

« Le C2D est un outil qui permet de reconvertir la dette de certains pays. Concrètement, à chaque échéance remboursée, l’AFD reverse au Congo la somme correspondante sous forme de don et à destination de programme de développement ou de lutte contre la pauvreté », indique le communiqué de presse.

Le Parsa permettra concrètement d’accompagner la relance de la filière cacao dans les départements de la Likouala, de la Sangha et dans la partie nord des deux Cuvette, tout en soutenant la structuration du secteur maraîcher et l’amélioration de l’approvisionnement alimentaire à Brazzaville.

« La diversification de l’économie à travers le développement du secteur agricole est un défi à relever au moment où le Congo est en train d’élaborer son nouveau Plan national de développement. A cet effet, je voudrais vous exprimer toute ma disponibilité et celle des équipes de l’Agence française de développement  à œuvrer à vos côtés pour conjuguer nos efforts », a indiqué l’ambassadeur de France au Congo.

Le ministre de l’Agriculture a, pour sa part, rappelé que la politique nationale de développement socio-économique met aujourd’hui l’accent sur le développement de l’agriculture, afin d’améliorer les revenus de la population, de diversifier l’économie et de réduire les importations, et donc d’accroître la souveraineté alimentaire du pays.

Pour sa part, le coordonnateur du projet, Ambroise Loufouma, a notamment insisté sur l’ampleur des bénéfices sociaux, environnementaux et économiques qui seront ainsi générés au cours des prochaines années par le biais dudit projet.

Malgré les potentialités et les atouts considérables dont dispose le Congo avec son climat et ses vastes terres arables qui représentent à elles seules un tiers du territoire, la production agricole au Congo ne parvient pas toujours à satisfaire la demande nationale.

Congo : 120 milliards de FCFA pour améliorer l’accès à l’eau et l’électricité

Cette enveloppe a été mobilisée par l’Agence française de développement (AFD) dans le but d’améliorer le secteur de l’énergie.

 

L’Agence française de développement met à la disposition de la République du Congo la somme de 120 milliards de FCFA. Cette enveloppe est destinée d’améliorer le transport, la distribution et le système d’information de la société Energie électrique du Congo (E2C).

En dehors du secteur de l’énergie, un autre projet est en cours concerne. Celui-ci concerne  l’adduction en eau potable dans les zones périphériques de la capitale congolaise. Ce projet dont l’objectif est d’amener l’eau de qualité aux populations de la première ville du Congo qui compte 1. 838. 348 habitants en 2017, « avance très bien ». C’est du moins ce qu’a affirmé le nouveau directeur général de l’AFD au Congo, Maurizio Cascioli.

Notons que depuis longtemps, les Brazzavillois font face à d’intempestives coupures d’électricité et d’eau.

Congo : l’AFD s’engage dans la préservation de ressources naturelles

A travers un programme d’utilisation des terres  concerne environ  14 ministères  qui concourent à l’aménagement du territoire.

Le directeur de l’Agence Française de développement (AFD), Lionel  Cafférini  a souligné le 1er juin à Brazzaville que la rencontre avec le  ministre  de l’Aménagement, de l’équipement  du territoire et des grands travaux Jean-Jacques Bouya consistait à faire la restitution  de la mission sur le programme d’aménagement du territoire et la gestion efficiente des ressources naturelles du pays, décliné en deux  phases.

« Nous allons identifier les différentes composantes de ce programme qui sera financé par les ressources  en don  de l’initiative pour les forêts d’Afrique centrale  (CAFI)  à travers deux  phases successives. Le financement de la  Première phase est de 15 millions de dollars , et  la seconde fiancée entre 15 à 20 millions  de dollars,  soit un total de 30 à 35 millions de dollars qui seront mobilisés pour ce programme », a  dit Lionel  Cafférini  lors des échanges avec le ministre Jean-Jacques Bouya.

La première phase a pour objectif, d’accompagner  la politique d’aménagement du territoire de manière très inclusive avec l’ensemble des ministères, des administrations, mais aussi la société civile, des organisations non gouvernementales  (ONG) pour rassembler ses compétences, ensuite essaie  de renforcer leurs capacités et construire au Congo  une plateforme de spécialistes de’ ce programme.

La seconde sera plus opérationnelle, elle portera sur l’accompagnement très concret d’investissement  dans le domaine de l’agriculture et la forêt  notamment  en accompagnant  les porteurs de projets et l’agriculture familiale.

Au cours  des échanges, Lionel  Cafférini, a précisé que la France au travers de l’AFD mobilise 15 millions d’Euros   en don pour la mise en pied de ce programme.

Ce programme d’utilisation des terres  concerne environ  14 ministères  qui concourent à l’aménagement du territoire et bénéficieront de l’accompagnement  matériel  et financier.

Le Programme d’utilisation des terres  s’inscrit  dans la continuité  de la lettre d’intention de partenariat entre  le centre africain  Forest initiative (CAFI)  signé par les  chefs d’Etat congolais et  le Président français. À travers ce partenariat, le Congo s’est engagé à atteindre un nombre de jalons  pour la préservation et la gestion   des ressources naturelles et  développer la politique.

 

Le Congo va recevoir 45 millions d’euros de l’initiative CAFI

Cet argent va pour soutenir la République Congo dans ses stratégies d’aménagement du territoire et de préservation des ressources naturelles.

 

L’initiative CAFI va mobiliser 45 millions d’euros pour soutenir le Congo dans ses stratégies d’aménagement du territoire et de préservation des ressources naturelles. C’est ce qu’a déclaré le directeur de l’Agence française de développement (AFD) au Congo, Lionel Cafferini, à l’issue d’un échange avec la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault.

Lionel Cafferini a indiqué que son agence était en train de finaliser l’instruction d’un programme d’utilisation des terres durables au Congo avec des financements de l’initiative CAFI qui appuie les forêts dans le bassin du Congo et les fonds propres de l’AFD.

Il s’agit d’accompagner et de soutenir les différents jalons de la note d’intention que le président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso a signée avec le président de la République française, Emmanuel Macron, en octobre 2019 pour mettre en place une politique nationale d’aménagement du territoire au Congo qui préserve les ressources naturelles et lutte contre le changement climatique.

« Nous avons fait le point avec la ministre sur les activités que nous pourrions soutenir pour accompagner cette stratégie de préservation des tourbières, des zonages tout en accompagnant une activité économique agricole durable dans la proximité de ces zones-là », a déclaré le directeur de l’AFD au Congo.

Quant aux montants financiers, a-t-il poursuivi, il y a deux phases dans ce programme d’utilisation des terres. Une première où le Fonds CAFI a délégué des ressources à l’AFD pour un montant de quinze millions de dollars, et où l’AFD pour le compte de l’État français va mobiliser sept millions d’euros de financement complémentaire. Une deuxième phase qui est également en cours d’instruction, devrait mobiliser quinze à vingt-cinq millions de dollars de la part de l’initiative CAFI auxquels s’ajouteront huit millions d’euros de ressources en don de l’État français via l’AFD.

« C’est un programme haut global que nous instruisons pour un montant d’environ quarante-cinq millions d’euros en don pour soutenir le Congo dans sa stratégie d’aménagement du territoire et dans sa stratégie de préservation des ressources naturelles », a confié Lionel Cafferini.

La ministre du Tourisme et de l’Environnement a fait part à ses partenaires de son impatience par rapport aux procédures et aux délais de mise en œuvre des programmes. Lionel Cafferini lui a indiqué que l’objectif était de pouvoir signer les conventions de financements d’ici octobre 2021 pour une mise en œuvre effective de ce programme à l’horizon du début 2022.

« Le Congo a exprimé un ensemble d’orientations, de stratégies, d’objectifs, et nous avons considéré que ces objectifs de lutte contre le changement climatique, de préservation des ressources naturelles, et du développement économique rencontraient les grandes orientations de l’État français. On sait que le bassin du Congo est une zone géographique qui apporte beaucoup à l’humanité… », a-t-il ajouté.

Congo : l’AFD entend aider la mairie de Brazzaville dans la lutte contre les érosions

Le sujet était l’un des points au centre des échanges entre le directeur de l’AFD en République du Congo et le maire de Brazzaville.

 

Mardi 13 avril 2021, Dieudonné Bantsimba a reçu en audience le directeur de l’AFD au Congo, Lionel Cafférini. Les personnalités ont abordé plusieurs sujets au cours de leur rencontre. Entre autres sujets la connexion de plus de trois cent cinquante mille ménages au réseau d’eau potable dans les quartiers situés au nord, au centre et au sud de la capitale, Brazzaville. L’AFD entend aider la mairie de Brazzaville à lutter contre les érosions. Il s’est agi aussi de parler des questions liées à la collecte des ordures ménagères et au drainage des eaux pluviales dans les quartiers de la Tsiémé et de Mpila dans le sixième arrondissement de la capitale.

« Dans les quartiers qui ne sont pas accessibles par la société Averda, la collecte des ordures est importante pour améliorer la qualité de l’hygiène et la qualité de vie des populations. Par contre, il y a des études qui sont en cours pour le drainage des eaux pluviales et du cours d’eau de la Tsiémé », a expliqué le directeur de l’AFD au Congo.

Dieudonné Bantsimba et Lionel Cafférini sont revenus sur les travaux de la corniche dont une partie est financée par l’ADF.

« Nous avons aussi abordé le sujet sur les travaux de la corniche financés en partie par l’AFD et qui ont permis de réhabiliter le canal de Bacongo. Ces travaux nécessitent un entretien régulier des voiries, de l’éclairage public et vont permettre de prévenir d’éventuelles érosions liées à l’activité des maraîchers », a indiqué Lionel Cafférini.

Il faut signaler que l’AFD met en œuvre à Brazzaville plusieurs projets pour un financement d’environ quatre cent quatre-vingts millions d’euros.

Congo-Brazzaville : plus de 350 mille ménages seront connectés au réseau d’eau potable

L’Agence française de développement (AFD) entend connecter plus de 350 milles nouveaux ménages de Brazzaville au réseau d’adduction d’eau potable.

 

Plusieurs familles des quartiers situés au nord, au centre et au sud de Brazzaville auront bientôt de l’eau potable chez eux. C’est ce qu’a annoncé le directeur de l’AFD en République du Congo, Lionel Cafférini, le 13 avril à l’issue d’une audience avec le maire de la capitale congolaise, Dieudonné Bantsimba.

Notons que ce projet concerne les nouveaux ménages des quartiers situés au nord, au centre et au sud de Brazzaville. L’AFD finance au niveau du Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville les travaux de rénovation des circuits d’eau potable et usée. Selon Lionel Cafférini, le contrat a été signé et les travaux vont commencer au mois d’août ou septembre.

Signalons que l’AFD met en œuvre à Brazzaville plusieurs projets pour un financement d’environ quatre cent quatre-vingts millions d’euros.

Congo : la France finance à hauteur de 5,247 milliards FCFA un projet éducatif

La France, le Congo et l’Agence française de développement (AFD) ont procédé, le 9 décembre à Boko, au lancement du projet d’Appui au Réseau des Centres d’éducation, de formation et d’apprentissage (ARCEFA).

A la cérémonie de lancement des activités, les trois parties ont été représentées, respectivement par le ministre de l’Enseignement technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, Antoine Nicéphore Thomas Fylla de Saint-Eudes, l’ambassadeur de France, François Barateau, et le directeur de l’Agence française de développement (AFD) au Congo, Lionel Cafferini.

« Alors qu’avec la crise économique et sanitaire actuelle les difficultés se sont amplifiées, une priorité majeure de l’action de la France est d’offrir à la jeunesse congolaise l’opportunité de se former et de s’insérer dans le monde du travail », a souligné l’ambassadeur de France.

D’un montant de 5,247 milliards FCFA, soit huit millions d’euros, le projet est financé dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) signé entre la France et la République du Congo.

D’après un communiqué de l’ambassade de France, le projet s’inscrit dans le cadre des orientations prioritaires de la France au Congo, au bénéfice de la jeunesse congolaise. « Il concrétise un axe majeur de la feuille de route franco-congolaise éducation, enseignement, recherche, signée en septembre 2019, par les présidents Denis Sassou N’Guesso et Emmanuel Macron ».

Le programme a pour objectif de faire des Centres d’éducation, de formation et d’apprentissage (CEFA) existant, implantés à Brazzaville, Pointe-Noire et Dolisie, un réseau d’établissements de référence pour la formation des ouvriers qualifiés dans les secteurs porteurs de l’économie nationale, notamment les métiers agricoles, de services, de la maintenance industrielle, du BTP et de la mécanique automobile. Des outils pédagogiques et numériques modernes et adaptés y seront déployés.

Par ailleurs, un nouveau CEFA sur les métiers ruraux sera construit prochainement à Boko dans le département du Pool, important vivier agricole du pays, précise le texte. À ce sujet, l’ambassadeur de France a souligné « l’engagement de la France aux côtés du Congo, de ses territoires et de ses populations rurales, pour promouvoir l’économie verte, les ressources naturelles et une trajectoire de développement durable davantage ancrée au niveau local ».

À cet effet, plusieurs autres programmes financés par la France sont en cours de démarrage ou de préparation, en particulier le Projet d’appui à la relance du secteur agricole, le Projet paysage forestier Nord-Congo ou bien encore le programme Utilisation durable des terres, en lien avec l’Initiative pour la forêt en Afrique centrale (CAFI).

Enfin, le programme ARCEFA, précise le texte, permettra « de renforcer le cadre institutionnel et partenarial de la formation professionnelle au Congo, en contribuant notamment à son financement pérenne et à la participation active du secteur privé et des professionnels ».

Le projet ARCEFA sera mis en œuvre par le ministère de l’Enseignement technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, avec l’appui de l’opérateur Expertise France.

« Une fois de plus, ce projet traduit toute la vitalité du partenariat de long terme entre la France et la République du Congo, au profit des populations », a assuré l’ambassade de France.

Congo : un projet d’eau potable pour 60.000 ménages brazzavillois

Le programme sera financé par l’Agence française de développement (AFD). L’annonce a été faite mardi 26 mars à Brazzaville par le directeur de ladite agence, Lionel Carrerini.

Ce sont au total, 400.000 personnes issues de 60.000 ménages brazzavillois qui bénéficieront de l’eau potable. dans le cadre d’un projet qui sera financé par l’Agence française de développement (AFD), a annoncé mardi à Brazzaville, le directeur de l’AFD, Lionel Carrerini.

Lionel Carrerini a eu un entretien avec la ministre du Plan, de la Statistique et de l’Intégration régionale, Ingrid Ebouka Babakas. Au sortir de cette rencontre, le directeur de l’AFD a expliqué aux journalistes que ce projet entre dans la mise en œuvre du plan national de développement du Congo 2018-2022.

Selon lui, l’AFD financera cette année d’autres projets dans plusieurs  secteurs au Congo, notamment ceux du  transport de l’énergie dans les deux grandes villes du pays et du drainage des eaux de pluie afin de de lutter contre les inondations.

Lionel Carrerini a affirmé que de nombreux projets financés par l’AFD au Congo, s’exécutent déjà dans le cadre de la diversification de l’économie du pays. « Il s’agit, de la construction à Pointe-Noire de nouveaux quais pour désengorger le port autonome et améliorer sa compétitivité ; de la relance de la filière du cacao ; de l’aménagement forestier ; de l’amélioration de l’employabilité des jeunes ; de la santé et de l’action sociale ».