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Justice et santé en vedette dans la presse congolaise

Les nouvelles charges contre l’opposant Paulin Makaya, la session criminelle qui s’ouvre le 29 mars prochain et la prolifération des…

Les nouvelles charges contre l’opposant Paulin Makaya, la session criminelle qui s’ouvre le 29 mars prochain et la prolifération des faux médicaments sont les sujets en vedette dans la presse congolaise parue ce lundi.
«Justice : de nouvelle charges contre l’opposant Paulin Makaya »,titre le bihebdomadaire La Semaine africaine pour qui « le leader de l’UPC (Unis pour le Congo), Paulin Makaya, condamné en 2015 à 2 ans d’emprisonnement ferme et à une amende de 2,5 millions de FCFA, fait face à une nouvelle accusation, alors qu’il a purgé sa peine à la date du 2017».

Et La semaine africaine d’ajouter : « une ordonnance a été déposée au cabinet de Yvon –Eric Ibouanga (son avocat), le 9 mars dans laquelle le juge d’instruction a signifié que la charge de ‘’délit d’évasion’’ est retenue contre son client».

Restant dans chapitre judiciaire, le quotidien Les Dépêches de Brazzaville, sous le titre : « Justice :la session criminelle s’ouvre le 29 mars », écrit : « Jusqu’au mois de mai prochain, la Cour criminelle siégera à Brazzaville sur 127 affaires inscrites à la session, ainsi que l’a confirmé l’audience publique tenue vendredi au Palais de justice (…) pour l’occasion, dix jurés dont six titulaires et quatre suppléants ont été désignés pour épauler les juges de la Cour conformément aux textes en vigueur ».

« Les crimes de viol, meurtre, assassinat, détention illégale d’arme de guerre, atteinte et complicité d’atteinte à la sureté intérieure de l’Etat font partie des affaires sur lesquelles les juges vont plancher », ajoute le quotidien.

Sur un autre plan, l’hebdomadaire La Griffe aborde le volet santé et titre : « Santé publique : le phénomène des faux médicaments appelle une riposte adéquate ». Selon La Griffe,  « Une enquête réalisée en 2017 révèle que ces dernières décennies, la contrefaçon en matière de médicaments aurait fait entre 700 000 et 800 000 morts par an, principalement dans les pays en développement ». « A quand l’accès aux médicaments sûrs et de qualité ? », s’interroge l’hebdomadaire, d’après qui « un produit médical sur dix serait falsifié».

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