Le sujet était au centre un entretien entre le ministre de l’environnement et du représentant résident du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud).
Le Pnud va aider la République du Congo à protéger les mangroves. C’est ce qui justifie la rencontre en le représentant résident du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) au Congo, Maleye Diop, et la ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, le 20 janvier à Brazzaville.
Notons que la protection des mangroves au littoral de Pointe-Noire était l’un des trois sujets inscrits à l’ordre du jour de la réunion des deux personnalités. Au regard de l’importance de la préservation de l’environnement, l’agence onusienne s’est engagée à appuyer le Congo dans la protection des mangroves.
La mangrove est un écosystème de marais maritime incluant un groupement de végétaux spécifiques, principalement ligneux, qui ne se développe que dans la zone de balancement des marées, sur des côtes basses des régions tropicales. Riches en termes de biodiversité, mais menacées de par le monde, les mangroves sont un type d’écosystème très important pour la conservation de diverses espèces marines.
Arlette Soudan-Nonault et Maleye Diop ont évoqué, ensuite, la conception d’un autre projet sur la protection des tortues marines le long des côtes de l’océan Atlantique. Classée elle aussi parmi des espèces en danger, la tortue marine mérite une attention particulière avec pour objectif de susciter sa valorisation économique.