En cette période de confinement en République du Congo, le président du sénat a signé des autorisations de circulation aux membres de la chambre haute. Des documents que la police n’a pas souvent pris en compte.
A Congo, les sénateurs se sont indignés après avoir vus leurs autorisations de circulation saisie voire déchiré par des agents de la police. Un document qui leurs avait été signé par le président du Sénat, Pierre Ngolo.
Réunis en plénière le 27 avril à Brazzaville, pour approuver deux projets de loi à l’ordre du jour de leur session, Pierre Ngolo, a parlé d’un manque de considération du Sénat par les éléments de la police.
« La force publique est républicaine comment alors peut-elle se permettre de déchirer une note du président de l’Assemblée nationale ou du président du Sénat ? », s’est interrogé le président du Sénat, Pierre Ngolo.
Cette même plainte est souvent formulée du côté du personnel de santé, des journalistes, et autres.