Un démenti sur la faillite de l’hôtel Ledger

Au cours d’un point de presse, le directeur général de Ledger a reconnu que l’hôtel traverse une situation difficile, qui n’est pas liée au mauvais fonctionnement de la société.

Le directeur général de l’Hôtèl Ledger-Plaza-Maya-Maya, M. Anicet Massengo-Mbemba, a démenti le 13 janvier dernier dans la capitale congolaise, les allégations mensongères de la faillite de cette société hôtelière, diffusées sur les réseaux sociaux en vue de ternir l’image de marque de cet hôtel à Brazzaville. Au cours d’un point de presse, le directeur général de Ledger a reconnu que l’hôtel traverse une situation difficile, qui n’est nullement liée au mauvais fonctionnement de la société, mais plutôt à la conjoncture économique actuelle que vit le pays.

«Pour faire face aux exigences de la maison, l’hôtèl Ledger se préoccupe et attelle à créer l’équilibre entre les charges fixes et les recettes. C’est dans ce contexte de crise que la direction générale s’engage à relever la pente, en vue d’arriver à un lendemain meilleur», a-t-il rassuré les personnels de l’hôtel Ledger, ex-Méridien.

Ainsi, le tableau sombre diffusé sur les réseaux sociaux, ne peut nous décourager, mais doit être un motif d’encouragement, parce que le relèvement de l’hôtel Ledger dépend de la volonté et de la compréhension de tous les travailleurs pour sauvegarder l’instrument de production, a fait savoir la direction générale aux médias.

«Nous devons nous adapter à la crise», a exhorté le directeur général de l’hôtel, tout en interpellant les travailleurs à donner le maximum dans leurs prestations des services, pour juguler cette crise et relever les recettes de l’entreprise afin d’éviter les licenciements.

Une forte pluie cause la mort d’un collégien à Kimongo

S’agissant des dégâts matériels, les sources font état d’une vingtaine de maisons inondées dans cette ville.

La pluie diluvienne qui s’est abattue, le 16 janvier dernier à Kimongo, dans le département du Niari, a causé la mort de l’élève Jorny Ngatseké, 22 ans, fréquentant le collège de cette localité. Ce collégien a été frappé par une foudre survenue au cours de cette pluie, blessant grièvement quatre autres élèves du CEG de Kimongo, admis actuellement à l’hôpital de référence de Dolisie pour des soins intensifs.

S’agissant des dégâts matériels, les sources font état d’une vingtaine de maisons inondées dans cette ville. Les eaux en furie ont drainé des ordures à leur passage jusqu’aux portes de certaines habitations. Plusieurs familles ont abandonné leurs résidences pour trouver refuge dans les villages voisins.

Le siège du fonds bleu sera installé à Brazzaville courant 2018

L’annonce a récemment été fait au Journal en ligne de Jeune Afrique, par le chef de l’Etat congolais, également président de la Commission climat de ce bassin.

Le siège du Fonds bleu pour la gestion du Bassin du Congo sera installé à Brazzaville courant 2018, a annoncé récemment au Journal en ligne de Jeune Afrique, le chef de l’Etat congolais, M. Denis Sassou-N’Guesso, également président de la Commission climat de ce bassin. Faisant le 15 janvier dernier, le bilan des activités menées à la tête de la Commission climat du Bassin du Congo, dans une interview accordée à ce journal, M. Sassou-N’Guesso enjoint ses pairs à faire pression sur les pays du Nord, les plus pollueurs, pour qu’ils remplissent leurs promesses de financements du Fonds bleu.

Il a signifié que la signature, en mars dernier à Oyo dans la Cuvette, nord du Congo, du mémorandum d’entente sur le Fonds bleu, qui a pour objectif de mobiliser les ressources nécessaires auprès des contributeurs et investisseurs en vue du financement des projets de développement durable, a été suivie en octobre à Brazzaville par une conférence ministérielle conjointe CEEAC-EAC, Brazza Finance Climat, consacrée à l’opérationnalisation de cet outil.

«En tant que président de la commission climat du Bassin du Congo, il me paraît nécessaire, au terme d’une année 2017 particulièrement dense en événements internationaux consacrés au défi climatique, de coordonner nos approches sur les modalités de financement du Fonds bleu, bras financier de ladite commission, qui regroupe quinze États d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Est», a-t-il signifié.

Il s’agit aussi de «restituer à mes pairs les résultats globaux de cette séquence, d’échanger sur nos expériences respectives ainsi que sur l’opérationnalisation de nos outils», a-t-il indiqué dans son interview.

L’Assemblée nationale adopte le budget exercice 2018

Ce budget prévoit plusieurs allocations entre autres celles du chef de file de l’opposition qui s’élève à 150 millions de FCFA.

L’Assemblée Nationale a adopté avec amendement, le 17 janvier à Brazzaville, la loi de finances de l’Etat exercice 2018 arrêté à la somme de 1602 milliards 619 millions 295.029 FCFA, au cours d’une séance plénière de la première session extraordinaire budgétaire.

Ce budget, en dépense à la somme de 1383 milliards 619 millions 295.029 FCFA, dégage un excédent de 219 milliards de FCFA destiné à financer une partie du déficit de trésorerie de 778 milliards 900.000 de FCFA. Le solde du déficit de trésorerie de 559 milliards sera financé par des apports extérieurs.

Ce budget prévoit plusieurs allocations entre autres celles du chef de file de l’opposition qui s’élève à 150 millions de FCFA, un milliard pour la réinsertion des déplacés du Pool, 150 millions de FCFA pour l’appui à l’opération d’immatriculation d’office des propriétés et droits réels immobiliers dans les 5 villes, du projet cadastral national et 100 millions de FCFA pour le fonds d’études des projets d’investissements dont 200 millions de FCFA pour la finalisation des études de construction des ponts sur la Libenga et la Motaba.

Intervenant à cette occasion, le ministre des finances et du budget, M. Calixte Nganongo a souligné la nécessité de retrouver les équilibres financiers avant de penser à l’investissement, car selon lui, le fonds Monétaire Internationale (FMI), recherche les équilibres budgétaires financiers. Ce budget, a-t-il dit qui est un budget de rétablissement de l’équilibre à respecter le cadre macroéconomique.

Au Congo, la récession observée en 2016 (-2,8%), s’est accentué en 2017 avec une croissance négative estimée à (-4,6%), cependant en 2018 l’économie congolaise renouerait avec la croissance 0,7% en raison de l’augmentation de la production du champ pétrolier Moho-Nord. Ce budget 2018 est élaboré dans un contexte où la croissance mondiale devrait se consolider à 3,7% en 2018 contre 3,6% en 2017 selon les estimations du FMI, a conclu M. Nganongo.

Au cours de cette séance plénière, les députés ont recommandé au gouvernement de se conformer à la discipline budgétaire qu’implique la gestion des finances publiques conformément aux dispositifs constitutionnels, législatifs et réglementaires. Ils ont demandé au parlement d’user de toutes ses prérogatives constitutionnelles et législatives en entreprenant toute investigation et enquête relatives à l’exécution de cette loi de finances.

A cet effet, les députés ont souhaité que les recommandations soient respectées en vue de payer les dettes et reconstituer les réserves d’échanges pour la crédibilité du pays dans la sous-région.

Ce budget est assorti de plusieurs mesures d’accompagnements, et l’Assemblée Nationale ayant constaté une indiscipline budgétaire au niveau du gouvernement, s’engage à faire un contrôle permanent afin de ne plus revenir sur la situation antérieure, a fait savoir le président de la commission économie finances et contrôle, M. Maurice Mavoungou.

Téléphonie mobile: le ministre Ibombo s’oppose au plan de licenciement concocté par Airtel-Congo

Le ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, a d’ailleurs demandé au directoire de cette société de surseoir son plan de suppression d’une centaine d’emplois.

Le plan de licenciement de travailleurs, mis en place par la société de téléphonie mobile Airtel-Congo, vient d’être désapprouvé par le ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, M. Léon Juste Ibombo, selon une source digne de foi.

Le ministre Ibombo qui a effectué, le 15 janvier dernier à Brazzaville, une descente à la direction générale d’Airtel-Congo, a demandé au directoire de cette société de surseoir son plan de suppression d’une centaine d’emplois.

Cette opération se menait en catimini, car la tutelle n’a reçu aucun document officiel «précis et explicite», faisant état de difficultés économiques de l’entreprise, alors que les résultats financiers présentés en fin d’année 2017 sont excellents et en progression exponentielle.

«Notre présence ce jour à Airtel Congo a pour but d’attirer l’attention des dirigeants sociaux, que nous n’approuvons pas la démarche qu’ils ont entreprise. Nous ne l’acceptons pas en tant que gouvernement», a déclaré le ministre Ibombo.

Un plan social qui implique des licenciements massifs pour motif économique, ne peut se faire sans l’avis de la tutelle, a ajouté le ministre, car les détails fournis sont censés permettre au ministère de situer l’opinion et, pour le cas échéant, les hautes autorités de l’État.

Le ministre a insisté sur la nécessité de mettre en place un comité placé sous sa supervision, chargé de redresser l’entreprise et de trancher l’épineuse question de licenciement. Il appartiendra donc au comité, y compris les représentants du personnel, de décider d’un possible plan social.

«Les dirigeants d’Airtel sont libres de prendre des décisions, mais celles-ci doivent être conformes à la loi. L’intérêt des travailleurs doit être garanti et préservé», a-t-il conclu.

Le Conseil supérieur islamique contre les messages de terrorisme

Le président du Conseil Supérieur Islamique (CSI) du Congo, M. El Hadj Djibril Bopaka, a déclaré le 16 janvier à Brazzaville, que sa structure est «le numéro un» dans la lutte contre les messages de division, de désordre, du terrorisme dans le pays.

Dans une déclaration publiée à l’issue d’un entretien avec le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, M. Anatole Collinet Makosso, M. Bopaka qui conduisait une délégation du Conseil Supérieur Islamique du Congo, dans le cadre de la gestion des structures scolaire franco-arabe de cette confession religieuse, a affirmé que le CSI a déjà démontré que «nous sommes les premiers gendarmes qui veille sur la bonne éducation de nos enfants».

Bopaka a soutenu que «le CSI respecte l’application du Coran à 100%, mais ne suit pas le chemin de ceux qui pensent qu’à l’aide de quelques billets de dollars on peut aller tuer des innocents, cela est interdit chez nous».

Selon lui, c’est à cet effet que le CSI travaille en parfaite collaboration avec les institutions de la République et avec les services de sécurité du Congo.

Dans le cadre de la gestion d’un certain nombre des structures d’éducation, le CSI a présenté quelques préoccupations du Centre islamique franco-arabe du Congo au ministre Makosso. A ce niveau, a-t-il indiqué, ils ont reçu de la part du ministre, des conseils, des orientations dans le cadre de la bonne gouvernance pour la gestion de leurs établissements scolaires.

«Le Conseil Supérieur Islamique du Congo est très satisfait du fait que chaque année, nous sortons avec des résultats de 100% de réussite concernant le CEPE et 99% pour le BEPC», a-t-il révélé. A ce niveau, M. Bopaka s’est dit être fier d’expliquer au ministre leur contribution au ministère dans la formation et l’éducation.

«Nous partons satisfaits de cet entretien avec le ministre sur les questions d’organisation, de discipline et de mobilisation par rapport aux directives de notre pays sur une bonne éducation de nos jeunes», s’est-il réjoui.

Vers la tenue du premier forum sur l’alimentation scolaire 

Ce forum sur l’alimentation scolaire est prévu du 27 février au 1er mars prochain à Brazzaville.

Le Représentant résident du Programme Alimentaire Mondiale (PAM) au Congo, M. Jean Martin Bauer, a annoncé le 16 janvier à Brazzaville, la tenue, du 27 février au 1er mars prochain, du premier forum sur l’alimentation scolaire au Congo.

Cette annonce a été faite à la sortie de l’audience que le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation M. Anatole Collinet Makosso, a eu avec M. Bauer, dans le but de réaffirmer les liens de coopération entre le ministère de l’éducation primaire et secondaire et le PAM.

«Le 1er mars, c’est la journée africaine de l’alimentation scolaire. Nous souhaitons, à l’occasion de cette journée, réunir au tour d’une même table, tous les partenaires qui interviennent dans le domaine de l’alimentation scolaire pour qu’on puisse discuter ensemble de la mise en oeuvre effective du programme national d’alimentation scolaire pour qu’il ait une cantine scolaire dans chaque établissement du Congo», a-t-il indiqué.

A cette occasion, les deux interlocuteurs ont également parlé de l’achat du haricot produit par les paysans de la Bouenza, qui est un programme mis en place avec le ministère de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, mené en collaboration avec la FAO et le FIDA. Ce programme qui appuie une vingtaine de producteurs de haricot est financé par l’Union Européenne.

Le PAM, a-t-on appris, achète ce haricot pour le distribuer au niveau des cantines scolaires. A cet effet, le PAM a pu acheter 13 tonnes de haricots directement aux petits producteurs de la Bouenza. «Pour nous, c’est une première au niveau de ce programme, donc nous sommes fièrs de nous appuyer de plus en plus sur les potentialités productives du Congo, pour pouvoir les mettre au bénéfice des enfants qui sont dans les écoles du pays», a-t-il fait savoir.

Pour lui, ce sont des nouvelles positives que le PAM a discuté avec le ministre. Pour cela, il a souhaité pouvoir faire des cantines scolaires, une véritable plateforme pour l’agriculture, la nutrition et pour l’éducation dans le pays.

Actuellement, a dit M. Bauer, le PAM est en train de couvrir un nombre limité des départements compte tenu des contraintes financières que cet organe a connu. Par ailleurs, le représentant du PAM a annoncé l’arrivée, à partir du mois d’avril, des produits alimentaires des Etats Unis d’Amérique pour un programme qui couvrira les départements de la Likouala, de la Bouenza, du Niari, du Pool, des plateaux et de la cuvette dont bénéficieront 54000 élèves en mois d’avril.

«Nous sommes actuellement à un niveau plus bas. Nous avons aussi discuté avec le ministre sur les voies et moyens pour améliorer et augmenter le volume de la couverture des cantines scolaires», a-t-il reconnu.

Le Congo va adhérer à l’Organisation des Pays Producteurs et Exportateurs du Pétrole (OPEP)

La nouvelle vient d’être rendue publique par le biais d’un communiqué de la présidence de la République du Congo.

Le Congo a décidé d’adhérer à l’Organisation des Pays Producteurs et Exportateurs du Pétrole, (OPEP), en vue de placer le pays «au rang des leaders mondiaux, porteurs de propositions dans les négociations internationales», indique un communiqué de la présidence de la République du Congo, publié récemment à Brazzaville.

Selon le communiqué, «ce statut de membre de plein droit témoigne de l’engagement du Congo d’appartenir à un cartel ayant entre autres missions, la fixation des quotas de production qui influe sur le prix de vente du pétrole, et ce, dans l’intérêt des pays membres».

«A travers cette démarche, qui est une volonté du Président congolais, M. Denis Sassou-N’Guesso, la République du Congo entend se donner les moyens de prendre sa place dans la définition des politiques et la prise de décisions au sein de cette organisation», poursuit le communiqué.

L’initiative d’appartenance à l’OPEP, précise la source, «a été saluée par le ministre saoudien des affaires étrangères, lors de sa visite de travail à Brazzaville, le 8 janvier 2018», rappelle-t-on.

La mairie centrale légalise une trentaine de parkings

La légalisation de ces parkings à arrêter l’évasion des recettes générées par les chargeurs de ces bus et les commissaires de police.

La mairie centrale a accordé, le 15 janvier dernier à Brazzaville, les autorisations d’exploitation et de gestion à une trentaine de parkings de véhicules de transport en commun sur plus de 100 parkings existant dans le département de Brazzaville, en vue d’arrêter l’évasion des recettes générées par les chargeurs de ces bus et les commissaires de police.

Pour éviter le désordre dans ce secteur qui était encore à l’état informel, le maire central, M. Christian Roger Okemba, a décidé de récupérer et de légaliser ce secteur, en octroyant des autorisations d’exploitation de gestion de ces parkings, a souligné M. Ngatse Itoua Mboula, secrétaire général de la Fédération Syndicale des Transports du Congo (FESYPTC) de Brazzaville, à l’occasion de la cérémonie de remise de ces autorisations.

De son côté, le premier vice-maire, M. Guy Marius Okana, a précisé que «nous avions mis en gestion indirecte ces parkings en délivrant les autorisations d’exploitations provisoires de trois mois. Désormais, la police n’a plus le droit de mettre la main sur les recettes générées par ces parkings, c’est le travail de la mairie».

En effet, chaque bus verse au responsable du parking une somme de 100 FCFA ou 150 FCFA à chaque embarquement des clients. A la fin de la journée, le chargeur totalise une recette de 10.000 FCFA ou 15.000 FCFA, cela constitue un gain important. Malheureusement, la plupart des commissaires de police prennent cet argent, mettant ainsi à mal les droits de la mairie centrale.

Créer les conditions pour une recherche Scientifique à la portée du peuple

La promesse vient d’être faite à Brazzaville par le ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, M. Martin Parfait Aimé Coussoud-Mavoungou.

Le ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, M. Martin Parfait Aimé Coussoud-Mavoungou, a promis, récemment à Brazzaville, lors d’une communication, de créer toutes les conditions pour que la recherche scientifique et l’innovation technologique soient à la portée du peuple congolais.

S’adressant le 12 janvier dernier à ses collaborateurs, le ministre Coussoud-Mavoungou a dit que la recherche scientifique et l’innovation technologique «doivent savoir se sauver et doivent savoir créer les conditions de leur positionnement dans le dispositif congolais».

«Nous n’allons pas attendre que l’on vienne nous sauver, alors que nous avons tous ensemble les moyens nécessaires de créer toutes les conditions pour que la recherche scientifique et l’innovation technologique soient à la portée du peuple congolais», a-t-il fait remarquer, indiquant «ne pas vouloir de la recherche pour la recherche, mais la recherche dans l’intérêt des populations de notre pays».

Il a invité les cadres et agents de ce ministère à faire de sorte que la recherche scientifique et l’innovation technologique en République du Congo avancent, tout en les amenant à comprendre le rôle et l’importance de la recherche dans un Etat.

Il est nécessaire que la communauté scientifique mette en place le dispositif qui va faire de telle sorte que la recherche scientifique ait sa place dans le dispositif national de production de richesses et des meilleures conditions de vie des populations, a-t-il signifié.

Il a prescrit que «sans recherche un Etat ne peut pas évoluer, et si elle n’est pas bien orientée, la recherche au Congo sera une opération vaine», a insisté le ministre en charge de la recherche scientifique aux agents de son département.