Congo-Poste: Plus de 400 millions de FCFA de chiffre d’affaires au 2eme trimestre 2017

Le revenu total relatif à la fourniture du service postal au 2 ème trimestre  en 2017 s’élève à 400 millions 790.300 FCFA pour le trafic de 26 021 objets acheminés et distribués aussi bien au niveau national qu’en international, a relevé récemment le rapport de l’Agence de Régulation des Postes et Communications Electroniques (ARPCE).

Il  s’agit du montant  obtenu par des opérateurs postaux privés dans le segment du courrier express. Sur les douze opérateurs contrôlés, ACC Express reste le leader en matière de trafic national, tandis que DHL International l’est au niveau international.

La part de marché est dominée par DHL qui se taille la part de 72,04 %, suivi de loin par Bolloré Logistics Express avec 11,70%, GX International 10,10% et ACC Express 4,17% ainsi qu’Intégral Service avec 0,02% de part de marché.

En dépit d’une faible rentabilité en matière de chiffre d’affaires, 20,70% au niveau national contre 79,30% en international. Le trafic national, dominé par ACC Express, avec une part de marché en ce qui concerne le volume de 38,54%, est plus opérationnel que celui de l’international occupé par DHL. Le volume du trafic national représente 73,58% du trafic total acheminé.

Constitué d’analyses et de commentaires des données issues du trafic des envois postaux, le rapport rendu disponible par l’ARPCE porte sur les données statistiques recueillies auprès de douze opérateurs sur les quatorze autorisés en République du Congo.

Si la crise économique actuelle a pesé sur la quasi-totalité des secteurs, les variations négatives des données en 2017 que montre l’analyse peuvent éclairer sur les difficultés des opérateurs postaux. En effet, en dehors de GX International qui n’a pas connu des rebonds drastiques en comparant les deux derniers trimestres au cours de la même période de l’année, les autres opérateurs ont réalisé des contrecoups allant jusqu’à moins de 30,10% de chiffre d’affaires, poursuit le rapport.

GX International a réalisé un chiffre d’affaires de 23 millions 452 500 FCFA au 2ème trimestre de 2016 et a fait évoluer ce gain à 40 millions 475.000 FCFA au 2ème trimestre 2017 qui fait l’objet de cette analyse. Par contre DHL, qui réalisait dans la même période de 2016 un chiffre d’affaires de 487 millions 874.381 de FCFA, est redescendu à 288 millions 720.646 FCFA dans ce récent rapport du second trimestre 2017. Des exemples de ces variations négatives sont multiples.

En ce qui concerne la qualité des services, une distribution est assurée au plus tard dans les soixante-douze heures des colis et courriers pour les opérateurs couvrant Brazzaville et Pointe-Noire, a rapporté le document. Il précise que près de 90% des distributions se font les deux premiers jours. Cependant, en fonction de la distance et des moyens d’accès difficiles, les opérateurs couvrant les villes intérieures délivrent les envois postaux en trois ou quatre jours pour les colis, a-t-on appris de source sûre.

Sopeco et Sikar finance appelées à s’adapter à la donne public-privé

Le Ministre des Postes a fait cette exhortation à la clôture de l’atelier sur le renforcement des capacités des personnels de la SOPECO et de SIKAR Finance.

Le Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, M. Léon Juste Ibombo, a exhorté récemment à Brazzaville les personnels de la SOPECO et de SIKAR Finance à s’adapter à la nouvelle donne  du partenariat public-privé. M. Ibombo a fait cette exhortation à la clôture de l’atelier sur le renforcement des capacités des personnels de la SOPECO et de SIKAR Finance, placé sous le thème «L’industrie financière et les TIC: Cas du transfert d’argent au Congo».

A cette occasion, il a fait savoir que l’entreprise privée va accompagner le secteur public pour maximiser les intérêts du secteur privé, soulignant la nécessité pour le secteur public de préserver d’abord les acquis sociaux à travers les emplois.

Il s’agira ensuite de penser à la maximisation des ressources des entreprises publiques afin de participer au développement du pays, a-t-il poursuivi.

«Notre devoir est d’accompagner Sikar-Finance. Si les travailleurs de la SOPECO ne sont pas performants, la société disparaîtra. Mais si vous êtes performants, nous pouvons faire en sorte qu’on puisse arrimer la SOPECO à l’ambition du président de la République, «la marche vers le développement». Cela arrimera le Congo au développement de l’économie numérique», a-t-il dit.

A cette occasion, M. Ibombo s’est appesanti sur deux points,  notamment l’adaptation aux mutations et la performance. Concernant l’adaptation aux mutations, il a expliqué qu’on ne peut pas être une entreprise dans un secteur concurrentiel si on ne trouve pas des mécanismes ou des moyens de s’adapter aux mutations internationales.  Aujourd’hui, a-t-il dit, l’une des grandes mutations dans le secteur des entreprises, même dans les secteurs administratifs, est de s’arrimer au développement de l’économie numérique parce qu’on ne peut plus rien faire sans les TIC.

S’agissant de la performance, il  a noté qu’on ne peut pas être une entreprise et être dans un secteur concurrentiel si on n’est pas performant. «On disparaît si on ne peut pas être performant. Il n’y a pas d’alternative. Cette disparition entraîne le chômage des masses et d’autres problèmes sociaux vont s’ensuivre», a-t-il précisé.

Cet atelier a eu, entre autres, pour buts de présenter l’impact des TIC sur le transfert d’argent, de regarder dans son ensemble les outils qu’il faut acquérir pour un bon chef, le coaching à développer dans une organisation entrepreneuriale ainsi que de se doter des outils nécessaires sur le contrôle, la conformité et la gestion de la trésorerie.

Intervenant à cette occasion, les participants ont  pris l’engagement de remplir à terme un contrat de performance, indiquant que la finance et les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont deux secteurs dans lesquels les pays de l’Afrique en général, la République du Congo en particulier, ont des atouts pour développer les activités économiques à forte valeur ajoutée, créatrice de richesses et d’emplois qualifiés.

«Nous remarquons que des avancées très importantes ont été réalisées par le gouvernement dans le domaine de l’industrie des TIC avec l’arrivée de la fibre optique qui nous permet aujourd’hui de subvenir à une partie de nos besoins locaux», ont souligné les participants  dans le communiqué final.

Ils ont aussi précisé que  le transfert d’argent, cas principal du thème de l’atelier lié aux TIC, constitue à ce jour le moteur des activités de production dans plusieurs domaines de notre société. 

Au cours de cet atelier, deux autres thèmes ont été développés, à savoir «L’amélioration de la performance des organisations», «Le contrôle, la conformité et la gestion de la trésorerie sur le produit MoneyGram», a-t-on appris.

La Banque mondiale entend contribuer a la dynamique de développement agricole

Les assurances ont été données lors de la restitution au gouvernement de la mission de pré-évaluation du Projet de Transformation Agricole pour l’Afrique de l’Est et du Centre.

Le représentant résident de la Banque Mondiale en République du Congo, M. Djirilla Issa, a indiqué, le 19 janvier dernier à Brazzaville, que son institution va contribuer à la dynamique de développement de l’agriculture et à la diversification de l’économie.

«Le potentiel agricole du Congo est indéniable avec tout ce qu’il y a comme ressources en eau, comme ressources agricole, comme marché domestique, mais aussi comme marché régional et sous-régional. Nous sommes ravis à la Banque Mondiale de pouvoir contribuer à cette dynamique de développement de l’agriculture», a déclaré M. Djibrilla, lors de la restitution au gouvernement de la mission de pré-évaluation du Projet de Transformation Agricole pour l’Afrique de l’Est et du Centre, effectuée par l’équipe de la Banque Mondiale du 15 au 19 janvier 2018.

La Banque Mondiale est disposée à  appuyer le Congo pour que ce projet puisse se faire dans les bonnes conditions,  pour relever les défis de présenter ce projet au conseil d’administration de la BM en mai 2018, a révélé M. Issa, ajoutant qu’elle va appuyer les efforts du Congo pour le développement de l’agriculture, pour la sécurité alimentaire mais aussi pour  l’agriculture commerciale.

Il a notamment remercié les Ministre de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, M. Henri Djombo, et de la recherche et de l’innovation Technologique, M. Martin Parfait Aimé Coussoud-Mavoungou, de leur engagement pour le leadership de conduire toute cette stratégie de  développement agricole, mais aussi de réunir  tous les acteurs qui sont concernés. Le représentant de la Banque Mondiale a invité tous les départements qui sont concernés à travailler ensemble pour relever les défis d’une activité qui est transversale par nature, le développent de l’agriculture.

Il a souligné le fait que l’agriculture et le projet ECAAT, qui est en préparation, sont en droite ligne et correspondent bien aux orientations du gouvernement. Diversifier l’économie devient maintenant un impératif pour le Congo et l’agriculture a le potentiel qu’il faut pour le faire.

«La recherche est un élément fondamental pour le développement de l’agriculture. Il ne faudrait pas que nous ayons des solutions qui viennent d’ailleurs, mais que nous ayons aussi des solutions qui soient adaptées au contexte et aux besoins du Congo pour que nous puissions le faire et c’est par la recherche fondamentale et la recherche opérationnelle», a-t-il dit.

Pour lui, le Congo ne peut rien entreprendre sans une bonne connaissance des enjeux et surtout de la matière. «L’on ne peut réussir sans réflexion préalable. La recherche constitue le domaine par excellence de la réflexion, de l’anticipation, la connaissance de ce domaine», a-t-il notifié.

A cet effet, il a signalé la nécessité de la coordination de la synergie à plusieurs niveaux. Il s’agit de la collaboration au niveau du gouvernement et du ministère de l’agriculture réuni autour de lui tous les départements qu’il faudrait pour que ce projet soit porté par toutes les parties prenantes. Au-delà du ministère de la recherche, le projet associe le ministère de l’enseignement supérieur, de l’enseignement professionnel, le ministère du commerce et celui des transports.

Il s’agit  également de la synergie, de la collaboration et du partenariat qui devraient inclure aussi le secteur privé et d’autres partenaires techniques et financiers qui ont un intérêt et des connaissances en matière agricole et de recherche, ce qui pourrait aider à la mise en œuvre de ce projet.

«Permettre que les échanges sud-sud se développent de façon plus prononcée surtout en matière de recherche, en matière de centre d’excellence et en la matière le projet ECAAT est un  élément fondamental qui puisse nous permettre d’arrimer l’Afrique Centrale à l’Afrique de l’Est qui a fait beaucoup de progrès en la matière», a précisé M. Issa.

Selon lui, l’agriculture reposera sur des structures d’accompagnement comme la recherche, le service national du sol, des semences améliorées, la formation et l’éducation sans lesquels le Congo ne peut pas aspirer à des hauteurs appréciables du niveau de notre agriculture.

«Le Congo a fait par le passé  des recherches très importantes qui ont été utilisées par plusieurs pays. La Banque Mondiale voudrait donc ramener cela au-devant de la scène,  montrer que le Congo apporte ses connaissances et sa recherche mais bénéficier aussi de la synergie au niveau régional», a signifié le représentant de la Banque Mondiale.

La finalité de ce travail c’est de pouvoir présenter ce dossier au conseil d’administration de la Banque au mois de mai, a-t-on appris.

Polémique autour de la question des ex-réfugiés rwandais au Congo

Ils sont 8 460 ex-réfugiés rwandais au Congo-Brazzaville à se retrouver sans papier depuis le 31 décembre 2017, suite à ce qu’on appelle la « clause de cessation de leur statut ». Une politique proposée par le  HCR à tous les pays qui accueillaient des réfugiés rwandais ayant fui le Rwanda entre 1959 et 1998 et mise en œuvre par le gouvernement congolais en consultation avec Kigali. Ces réfugiés devaient bénéficier de plusieurs options : retour au Rwanda, intégration locale ou exemption. Une association congolaise, l’Adhuc, avait plusieurs fois mis en garde les autorités congolaises comme le HCR, leur demandant de maintenir ce statut de réfugié.  Le bilan est là : 802 ont vu leur statut de réfugié maintenu, 104 ont choisi de rentrer au Rwanda, 18 seulement ont bénéficié de l’intégration locale. Le HCR se dit aujourd’hui encore prêt à accueillir ces milliers de personnes pour les aider à trouver une solution.

Pourquoi 104 seulement ont choisi de rentrer au Rwanda ? Pour le HCR, c’est tout simplement parce qu’une majorité d’entre eux sont nés au Congo-Brazzaville, se sont mariés ou cultivent des champs là-bas, ils auraient donc trop peu de liens avec le Rwanda.

En tout cas, si la clause de cessation a été proposée pour ces réfugiés rwandais, explique une porte-parole du HCR, c’est parce que la situation s’est stabilisée durablement au Rwanda. Pour l’Adhuc, le HCR oublie que ces Rwandais ont d’abord été réfugiés en RDC après le génocide et qu’ils y ont été massacrés, notamment dans les camps du HCR, entre 1996 et 1998 par l’armée rwandaise et ses alliés, ce qui justifierait leur crainte de rentrer.

« Nous, on parle de l’amélioration de la situation au Rwanda, pas de la RDC », insiste la porte-parole du HCR. Pourquoi 18 seulement (sur près de 9 000) ont obtenu des papiers congolais ? Pas d’explication précise sur ce point, pas d’inquiétude non plus, mais ce que le HCR dit avoir noté, c’est que 71 seulement se sont présentés pour se renseigner sur cette option et que 18 sont finalement allés jusqu’au bout de la procédure.

Et le HCR se dit prêt à les aider s’ils souhaitent vraiment régulariser leur situation. Pour l’Adhuc, il y a une explication simple, la crainte encore : pour entamer leur démarche à Brazzaville, selon cette ONG congolaise, ces réfugiés devaient retirer un papier à l’ambassade du Rwanda.

Paix dans le Pool: des experts de l’ONU en mission d’évaluation sur le DDR

L’arrivée des trois fonctionnaires onusiens a été annoncée par le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique centrale, François Lounceny Fall, qui a séjourné à Brazzaville, du 12 au 14 janvier.

Composée du Grec Thomas Kontogeorgos, de l’Allemand Ntagahoraho Burihabwa, et de la Suisse Glaucia Marie Yoshiura Boyer, la délégation, conduite par le représentant résident adjoint du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), Mohamed Abchir, a échangé le 23 janvier à Brazzaville avec le haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants, Euloge Landry Kolelas. L’entretien entre les deux parties a été focalisé sur le lancement du processus de Démobilisation, désarmement et réinsertion ( DDR) en République du Congo, avec l’appui des Nations unies.

« M. François Lounceny Fall nous avait dit que des experts devaient venir pour préparer ce programme. Donc, ils sont arrivés, nous avons échangé aujourd’hui et les discussions vont se poursuivre. Ils sont au Congo jusqu’au 2 février pour travailler là-dessus avant d’élaborer un programme DDR à la fin », a expliqué Euloge Landry Kolelas à la presse après la rencontre, précisant qu’après l’élaboration du programme il faut chercher des fonds.

Selon lui, outre la réinsertion des ex-combattants, il a été également évoqué la question sur le relèvement communautaire qui prendra aussi en compte la population civile ayant beaucoup souffert, ainsi que des projets spécifiques aux femmes. « Nous avons aussi parlé du relèvement communautaire, notamment la réhabilitation des maisons, des centres de santé et des écoles, ainsi que la relance des activités économiques et agropastorales dans le département du Pool, parce que tout cela va de pair. On ne peut s’occuper des ex-combattants sans prendre en compte la population civile, sinon cela ne marchera jamais », a conclu le haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants.

Virginie Awé présente son roman « Une robe pour deux »

Le livre de 116 pages, dont la cérémonie de dédicaces a eu lieu le 22 janvier à Brazzaville, a été publié aux éditions LMI de Pointe-Noire et compte vingt et un chapitres.

L’ouvrage raconte l’histoire de Dzené Dzené, un homme de près de 60 ans, marié à Okwala Kwala, une jeune fille de 25 ans. Laid comme un hibou, Dzené Dzené est le fruit de l’union d’une bantoue et d’un pygmée. Ce couple est dans l’impossibilité de faire des enfants.  Dzené Dzené, qui avait déjà un enfant avant ce mariage, ne veut pas aller à l’hôpital, ni boire de la tisane, estimant que le problème venait de sa femme sur laquelle il tire à boulets rouges .

Désespérée de sa stérilité, Okwala Kwala autorise son mari à prendre une seconde femme pour lui faire des enfants.  Ce feu vert donne alors des ailes à Dzené Dzené, qui se déchaîne et tire sur tout ce qui bouge à ses yeux. Il commence dans une famille voisine par la mère et finit par la fille unique de celle-ci. Ensuite il fait de toutes les femmes et jeunes filles de son quartier ses maîtresses. Sa femme Okwala Kwala devient la risée. Dans son libertinage, Dzené Dzené passe des semaines hors de la maison, sa femme l’accueille avec tendresse sans aucune forme de procès, comme si de rien n’était.

Virginie Awé dédie son livre à toutes les femmes qui souffrent de cette douleur de ne pas pouvoir enfanter. « Cette histoire est le fruit de mon imagination même si elle peut vous paraître vraie.  Elle n’est pas une œuvre autobiographique mais, un miroir que je promène le long des rues à travers nos villes », a indiqué l’auteure,  qui condamne le comportement de Dzené Dzené.

« Quand l’homme est stérile on n’en parle pas. Par contre, la stérilité de la femme est étalée au grand jour. C’est aussi une forme de violence faite à la femme, je dis non à cette violence. J’ai voulu attirer l’attention des couples. Il ne faut pas toujours tirer à boulets rouges sur la femme, quand il y a un problème il faut pacifiquement chercher des solutions. Un couple peut bien vivre sans avoir des enfants, le bonheur est un état d’esprit », a martelé Virginie Awé.

Née à Brazzaville, Virginie Awé a, à son actif, un recueil de nouvelles publié en 2016 intitulé Le silence de la tombeUne robe pour deux est son premier roman. Elle est inspectrice divisionnaire adjointe de l’acompte sur divers impôts de Brazzaville, conseillère municipale et départementale.

Programme de la commémoration des obsèques de Nzongo’Soul

Par communiqué de presse, la famille de l’artiste Nzongo’Soul informe sur les principales dates des obsèques au départ de Paris, décès survenu le 10 janvier dernier en France.

Dès le vendredi 26 janvier, à partir de 21h jusqu’à 6h, une veillée mortuaire est prévue dans l’enceinte de l’Eglise Sainte Claire au 179, boulevard Serrurier à Paris dans le 19e arrondissement, métro ligne N°5, station Porte de Pantin. Un parking de 40 places est ouvert au public.

Le lendemain samedi 27 janvier, le recueillement se poursuivra à Sevran à partir de 20h jusqu’à 6h, dans la grande salle du site près de la gare au 4, rue Frédéric Joliot-Curie, gare de Sevran Beaudottes, ligne B direction Roissy-Charles-de-Gaulle.

Lors de chaque recueillement, une collecte sera organisée sur place en signe de solidarité de participation aux obsèques à Brazzaville. « Merci de rapporter vos boissons favorites (de préférence non alcoolisées) », précise-t-on.

Les amis et mélomanes auront la possibilité de saluer l’artiste Wa Semo Nzongo Soul une dernière fois avant son retour au pays natal en vous rendant à la Chambre funéraire des Batignolles au 1 boulevard du Général Leclerc à Clichy 92110, le lundi 29 janvier à 14h 30. C’est le métro Porte de Clichy ou Porte de Saint Ouen par la ligne 13. Un parking de 32 places est ouvert au public.

Par le communiqué de presse, la famille remercie toutes les personnes qui ont adressé des messages de soutien et de réconfort.

Ayons dans nos cœurs que : « Nzongo Soul était un chanteur, un musicien, un philosophe, un humaniste, un père, un parrain, un ami et plus que tout un citoyen du monde. Un arc-en-ciel de personnalité qui fêtait dans la joie et communiquait dans le partage », rappelle la famille.

Musique : Yves Saint Lazare et K Musica en concert ce week-end

L’artiste musicien et son groupe offriront un spectacle gratuit au public dénommé « Une mélodie pour un geste humanitaire », le 28 janvier à l’Espace culturel Yaro, une façon pour eux de souhaiter une bonne entame d’année à leurs fans. 

Récemment distingués par l’Association des auditeurs des radios locales nationales et des journalistes chroniqueurs pour leurs efforts dans la reconstruction et la contribution à l’édification de la nation congolaise, Yves Saint Lazare et son orchestre K Musica Lé Ngouosi la Ngoué seront à Loandjili pour égayer leurs fans du 4earrondissement de la ville océane.

Ce concert se tient après une fin d’année faste qui a vu  l’orchestre sortir deux singles : Tchimpamu et Voisin.  Deux des chansons qui figurent dans leur prochain album Mad Rush 777 Etincelles qui sortira cette année.  Un opus riche avec des textes thématiques (société, éducation, ingratitude, espoir, orphelin…)

Yves Saint Lazare et K. Musica constituent un binôme indissociable qui vit le jour  le 12 novembre 2012.  Le single C’est le moment annonce, de manière fracassante, les couleurs de ce groupe dont les éléments pétris de talent ne cherchent aujourd’hui que la reconnaissance due à leur talent.  Des années durant, K.Musica et Yves Saint Lazare ont marqué de leur empreinte la scène musicale de la ville mais aussi d’autres localités du pays par la régularité dans l’organisation des concerts. En février 2016, au moment de la sortie de l’album  La montée de l’aigle, c’était la consécration tant attendue du groupe après plusieurs mois de dur labeur. À l’orée d’une année qui promet, Yves Saint Lazare et KMusica vont offrir au public de l’Espace Yaro un concert inédit et riche en sons et couleurs.

Après Monrovia, Denis Sassou-Nguesso à Abu-Dhabi et à Addis-Abeba

Après avoir assisté à l’investiture de George Weah à Monrovia, le président Congolais met le cap sur les Emirats arabes unis et l’Ethiopie.

Le chef de l’Etat a assisté lundi 22 janvier 2018 à la cérémonie d’investiture du nouveau président du Liberia, George Weah. Invité par le nouveau président, Denis Sassou-Nguesso est arrivé dans la capitale du Liberia dimanche en fin d’après-midi. Occasion pour les deux hommes d’échanger sur les questions d’actualité, à l’instar de la lutte contre le terrorisme, la paix et la sécurité en Afrique.

Après le Liberia, le chef de l’Etat Congolais se rendra aux Emirats arabe unis et en Ethiopie. A Abu-Dhabi le chef de l’Etat rencontrera les hommes d’affaires émiratis qui souhaitent investir dans le domaine du tourisme au Congo.

A Addis-Abeba, le chef de l’Etat prendra part aux travaux du 30ème sommet ordinaire de l’assemblée générale des chefs d’Etat et de Gouvernements de l’Union Africaine (UA). Le sommet se tient du 22 au 29 janvier 2018 sous le thème : « Remporter la lutte contre la corruption, une voie durable pour la transformation de l’Afrique ».

Musique : le groupe Conquering Lions se produira à Mpaka

L’orchestre de reggae  livrera, le 27 janvier, un concert live à l’espace culturel Le Continental, dans le 6e arrondissement de Pointe-Noire, Ngoyo.

Le concert 100 % reggae lance l’année de Conquéring Lions qui s’illustre depuis quelque temps dans ce genre musical à Pointe-Noire par des prestations de qualité. En effet, en mai dernier dans le premier arrondissement Lumumba, le groupe avait émerveillé le public par son savoir-faire et son professionnalisme.  Le voir sur scène est un régal pour le public d’écouter les sons de ses musiciens qui font à chaque sortie la promotion du reggae né dans les années 1960, en Jamaïque.

Inauguré en décembre dernier, l’espace culturel Le Continental est un lieu d’expression artistique et culturel pour les artistes confirmés ou non. Il est pourvu de toutes les commodités d’un espace moderne et professionnel. Avec ses trois cent cinquante places, sa scène pouvant accueillir plus de douze artistes, son matériel électro-acoustique de pointe, cet espace est dédiée aux promoteurs de projets de développement culturel dans l’art scénique (musique, théâtre, danse, conte, cinéma, poésie, peinture). C’est aussi  un sanctuaire de loisirs et de détente pour les activités récréatives et de réjouissances.