Saint -Valentin : un café littéraire pour parler d’amour

Un café littéraire pour parler d’amour. C’est le rendez-vous de ce 14 février 2018, jour de la Saint-Valentin. L’activité sera organisée par l’Institut Français du Congo (IFC) de Pointe-Noire, pour permettre au public de mettre en partage les mots des auteurs qui le touchent.

Dans la ville de Pointe-Noire, l’amour sera célébré en littérature et en poésie, car l’IFC organise un bal à lire qui met en lumière la littérature amoureuse. Pendant cette activité, le public est invité à parcourir le fonds de la médiathèque de l’IFC, à y choisir un texte (poème, extrait de roman, correspondances) et  le présenter publiquement, le 14 février, à partir de 18h30.

Les correspondances de Maria Casarès et Albert Camus, récemment publiées chez Gallimard  et acquises dernièrement par l’IFC, illustrent à merveille la puissance et la beauté d’un amour extraordinaire au sens littéral du mot.

En effet, lorsque Camus  publie L’Etranger en 1942, Maria Casarès, fille d’un républicain espagnol en exil, débute sa carrière de comédienne à Paris. Ils se rencontrent deux ans plus tard, alors que Camus est seul à Paris, son épouse étant restée à Oran où elle enseigne.

Ils deviennent  amants et entretiendront, jusqu’à la mort accidentelle de l’écrivain en 1960, une correspondance nourrie, qui révèle l’intensité d’un amour hors du commun. Catherine Camus, la fille de l’écrivain, publie, cinquante-cinq ans après la mort de son père, ces correspondances amoureuses, aussi émouvantes qu’incandescentes, à l’intelligence vive, sur fond d’après guerre.

Cet événement littéraire permet ainsi à l’IFC de proposer aux amateurs de beaux textes, une plongée dans les replis des âmes amoureuses, à travers les sélections mises en avant par les lecteurs eux-mêmes.

Notons que l’équipe de l’IFC accueille dès à présent toutes celles et tous ceux qui souhaitent plonger dans ses collections pour y dénicher la pépite qui parlera à leur cœur. Le rendez-vous est donc pris pour le 14 février, afin de célébrer l’amour à travers les mots des poètes, d’un jour ou de toujours.

 

Institut national de recherche en sciences de la santé : le budget 2018 s’élève à 350 millions FCFA

Le montant a été dévoilé à l’issue de la session inaugurale du conseil d’établissement tenue le 6 février à Brazzaville, sous la direction du Pr Charles Gombé Mbalawa.

L’Institut national de recherche en sciences de la santé a voté son budget 2018. Il s’élève s’élève à 350 millions FCFA. Le montant a été dévoilé à l’issue de la session inaugurale du conseil d’établissement tenue le 6 février à Brazzaville, sous la direction du Pr Charles Gombé Mbalawa.

Le budget de l’Institut national de recherche en sciences de la santé (IRSSA) du présent exercice est invariable, comparé à celui de l’année dernière, a expliqué le Pr Charles Gombé Mbalawa, directeur de cet établissement. Ce budget, a-t-il ajouté, est partagé en deux parties : le fonds du personnel et le financement de la recherche.

La tenue de la session inaugurale du conseil d’établissement, a dit le Pr Charles Gombé Mbalawa, fait partie du conseil consultatif de l’organigramme de l’institut qui se tient une fois par an. Ce conseil fait suite à l’arrêté portant organisation, composition et fonctionnement de l’institut, signé le 4 décembre par le ministre de tutelle.

Le conseil d’établissement est l’organe de concertation et d’orientation chargé d’appuyer la direction générale dans le suivi et l’évaluation des activités de l’institut, d’émettre des avis et de faire des propositions des sessions du comité de direction.

L’ordre du jour a porté sur le budget 2018, la liste des projets à financer, la procédure de départ pour la formation, la liste des prestations, les implantations des instituts hors de Brazzaville ainsi que les divers.

Après examen et adoption de ces points, les membres du conseil ont été informés de la réhabilitation des édifices des unités de recherche basées à Ouesso, Pointe-Noire, Dolisie. A Oyo, l’édifice octroyé au centre n’a pas été réhabilité.

Un projet de transport fluvial centre-ville-Kintele en gestation

La nouvelle a été rendue publique à l’issue d’un échange entre l’ambassadeur de la République de Côte d’Ivoire au Congo et le président du Conseil départemental et municipal, maire de Brazzaville.

Un projet de transport fluvial entre le centre-ville de Brazzaville et la commune de Kintélé est projeté pour un avenir proche, à laisser entendre l’ambassadeur de la République de Côte d’Ivoire au Congo, Mme Thérèse N’Dri Yoman, à l’issue d’un échange avec le président du Conseil départemental et municipal, maire de Brazzaville, M. Christian Roger Okemba. 

«Avec le maire de Brazzaville,  qui nous a reçus avec une délégation d’hommes d’affaires venus de la Côte d’Ivoire, il a été question de parler d’un projet de transport fluvial sur le majestueux fleuve Congo, qui va relier le centre-ville et la commune de Kintélé», a précisé Mme N’Dri Yoman, le 2 février dernier dans la capitale congolaise.

C’est un projet très important, dit -elle, ajoutant qu’il s’inscrit dans le cadre de la coopération sud-sud. «Nous devons saisir toutes les opportunités pour développer les relations entre le Congo et la Côte d’Ivoire. Nous pensons que la société des transports lagunaires peut mettre sa grande expérience au service de nos frères du Congo», a fait savoir la diplomate ivoirienne.

A cette rencontre, la maire de Brazzaville a remis à son hôte un présent constitué de divers légumes récoltés dans le jardin potager de la mairie.

Satisfaite du don et marquée par l’initiative agricole de la mairie de Brazzaville, Mme N’Dri Yoman a promis d’en faire l’expérience en Côte d’Ivoire.

Le Congo présente sa candidature pour abriter la 3ème édition de la COP de la Convention de Bamako en 2020

La candidature du Congo a été déposée lors de la Conférence des Parties de la convention de Bamako tenue du 30 janvier au 1er février 2018 à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

La ministre du tourisme et de l’environnement, Madame Arlette Soudan-Nonault, a présenté au cours de la Conférence des Parties de la convention de Bamako sur l’interdiction d’importer en Afrique des déchets et produits dangereux, sur le contrôle des mouvements transfrontalières et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique, tenue du 30 janvier au 1er février 2018 à Abidjan, en Côte d’Ivoire, la candidature de la République du Congo pour abriter la 3ème édition de la COP de cette Convention en 2020.

La République du Congo, soucieuse des faiblesses constatées dans la mise en œuvre de cet accord, a partagé son ambition de faire évoluer la convention de Bamako, pour qu’elle devienne la plateforme d’une Afrique sans pollution, thème de la Convention des parties, réunie à Abidjan.

C’est ainsi que lors du segment ministériel, la ministre du tourisme et de l’environnement a présenté la déclaration de la République du Congo en insistant sur les points tels que, le constat des faiblesses dans le fonctionnement de la Convention ; l’appel au ressaisissement des pays africains membres de la Convention et à l’adhésion sans condition des pays africains non membres à la Convention ; le soutien à la désignation du Mali pour abriter le secrétariat exécutif de la Convention.

La participation active de la ministre, a-t-on appris, a permis les résultats suivants, l’élection du Congo comme membre du bureau à la première Vice-président de la 2ème conférence des parties, qui a aussi mandat de préparer la 3ème, la désignation du Congo pour abriter la COP en 2020, précisément du 5 au 8 février à Brazzaville.

Ces deux résultats, indique-t-on, confortent l’ambition et l’engagement de la République du Congo à faire avancer l’accord de Bamako, tout en s’inscrivant dans le cadre du combat pour la défense de l’environnement en Afrique, impulsé par le Président de la République du Congo, M. Denis Sassou-N’guesso.

Une session d’instruction des cadres et agents de la police en cours à Brazzaville

Cette session de formation vise à aider les cadres et agents de la police à corriger les défaillances observées dans la pratique du métier de policier.

Une session d’instruction des cadres et agents de la police a été lancée, le 3 février à Brazzaville, sous le patronage du directeur général adjoint, le colonel André Obambi Itou, en présence de plusieurs membres du commandement, en vue de renforcer les capacités professionnelles et techniques des cadres et agents de cette force publique.

Prévue pour toute cette année, cette session de formation vise à aider les cadres et agents de la police à corriger les défaillances observées dans la pratique du métier de policier, a-t-on appris. Elle va concourir au renforcement des capacités des participants en vue de résorber quelques faiblesses, notamment dans la maîtrise des fondamentaux de la police (normes déontologiques), des questions juridiques (droits de l’homme) et des préoccupations d’ordre technique lors des interventions.

«La recrudescence de la violence est de mise cette fois-ci, surtout entre Brazzaville et Pointe-Noire. Pour pallier ce phénomène qui est en train de prendre de l’ampleur, nous avons à court terme commencé par les unités qui doivent intervenir dans ce domaine», a déclaré le lieutenant-colonel Jocelyn Francis Koubemba, chef de service de l’instruction à la direction générale de la police, à l’issue de l’ouverture de cette session.

Selon ce cadre de la police, tout au long de cette année, toutes les unités d’intervention vont recevoir cette formation. Celle-ci va s’étendre aussi aux commissariats de police et aux autres structures de la direction pour couvrir finalement, à l’avenir, toute l’étendue du territoire national.

La cérémonie de lancement de cette formation a réuni 95 cadres et agents de la Brigade  Spéciale d’Intervention Rapide (BSIR). A cette occasion, une séquence de deux exercices d’imprégnation a été organisée sur deux thématiques, à savoir «La recherche d’un individu dangereux» et «Le contrôle d’un individu dans une zone suspecte».

Ouverture du centre national de football de préformation à Brazzaville

La création de ce centre au régime externat fait suite au protocole d’accord d’une durée de deux ans, signé entre le ministère de tutelle et Atlanta Bergamasca Calcio.

Le centre de préformation de football de Brazzaville s’est ouvert ce 3 février au complexe sportif de la Concorde de Kintélé, en vue de détecter, former et d’encadrer les catégories de poussins, benjamins et minimes, rapporte un document du ministère en charge des sports.

La création de ce centre au régime externat, précise ce texte, fait suite au protocole d’accord d’une durée de deux ans, signé entre le ministère de tutelle et Atlanta Bergamasca Calcio, un Club de première division italienne, le 17 février 2017 à Bergame en Italie.

«Il s’agit de donner à ces catégories des fondamentaux sur le plan physique, tactique et technique et de servir de vivier pour le développement du football au Congo», indique ce document, annonçant le transfert des plus talentueux dans les grands clubs, prioritairement à Atlanta BC, partenaire du projet.

Dirigé par le coordonnateur technique national, l’entraîneur formateur, M. Fabrizio Eraldo Césana, ce nouveau service vise, entre autres, à préparer les meilleurs joueurs afin d’intégrer le Centre National de  Formation de Football de Brazzaville et de servir de vision pour les sélections nationales «Les Diables Rouges U17 et U20».

Tenant compte de l’objectif général du projet, une campagne d’inscription et de détection avait eu lieu du 17 avril au 8  juillet 2017 pour des jeunes dont l’âge varie entre huit et 15 ans. A l’issue de cette campagne, sur 623 participants, 336 ont été sélectionnés et 240 ont été jugés aptes à débuter la formation, à la suite des examens médicaux réalisés au centre médico-sportif de Brazzaville.

Dans le cadre de la coopération sportive entre le ministère des sports et de l’éducation physique et AC Milan SPA, une lettre de collaboration future a été signée, le 17 février à Casa Milan, pour développer un programme de formation technique pour les catégories d’âge de huit à 12 ans et de 13 à 17 ans.

Le ministère a, par ailleurs, signé le 29 avril 2015, un protocole d’accord avec l’Université d’Ubine (Italie), au département des sports et de l’éducation physique de la Faculté de Médecine et des Sciences Biologiques, pour la formation des étudiants congolais et du renforcement des capacités des cadres.

Une délégation d’experts chinois prospecte des mines d’or dans le Niari

Cette délégation chinoise accompagnée de quelques experts du ministère congolais des mines et de la géologie, explore les sites de Bikongo, Ibabanga et Mpoukou.

Une délégation d’experts chinois composée de quatre opérateurs séjournent depuis quelques jours dans le département du Niari, pour mener des études de prospection de l’or dans le bassin de la Louessé.

Selon une bonne source, cette délégation chinoise accompagnée de quelques experts du ministère congolais des mines et de la géologie, explore les sites de Bikongo, Ibabanga et Mpoukou.

Dans le bassin de la Louessé, des indices d’or y existent depuis des millénaires, donnant  lieu jusque-là, à une simple exploitation artisanale.

Congo/Afrique du Sud: les parlements des deux pays entendent renforcer leurs liens de coopération

C’est l’essentiel à retenir de l’entretien qu’il y a eu entre l’ambassadeur de la République Sud-Africaine au Congo et  le président du Sénat congolais.

L’ambassadeur de la République Sud-Africaine au Congo, M. Richard Baloyi, a réitéré le 02 février à Brazzaville, la volonté de son pays de pouvoir travailler en étroite collaboration avec le Congo.  

Il a traduit cette volonté à l’issue de l’entretien qu’il a eu avec le président du Sénat congolais, M. Pierre Ngolo, au cours duquel M. Baloyi a indiqué qu’«il est venu renouveler en tant qu’ambassade, la volonté de pouvoir travailler avec le Sénat et de renforcer en ce début d’année 2018, les relations qui existent entre les deux pays».

Cette rencontre a permis à l’ambassadeur de l’Afrique du Sud de pouvoir réaffirmer le rôle du législateur et encourager le contact entre les deux Parlements, à savoir ceux du Congo et de l’Afrique du sud. Elle a également permis de faire de telle sorte que le Sénat congolais puisse travailler avec le conseil provincial de l’Afrique du sud, a-t-il ajouté.

La République d’Afrique du Sud étant avancé sur le secteur aérien, va regarder au niveau du Parlement quelles sont les règles qui ont été adoptées pour pouvoir partager l’expérience afin de promouvoir  la diplomatie économique entre les deux pays. «Là où l’Afrique du sud est fort,  le Congo doit tirer profit et là où le Congo est fort l’Afrique du Sud doit aussi en bénéficier», a-t-il fait comprendre.

Congo-B: une situation difficile pour les anciens réfugiés mineurs venus du Rwanda

Depuis la cessation de leur statut, des anciens réfugiés rwandais au Congo-Brazzaville sont aujourd’hui plus de 8 000 sans-papiers à avoir refusé de rentrer en invoquant des raisons de sécurité. Le gouvernement congolais renouvelle ses appels à suivre la procédure administrative prévue pour ceux qui souhaitent rester dans le pays. A savoir retirer un passeport rwandais à l’ambassade du Rwanda à Brazzaville, avant de pouvoir demander de régulariser leur situation au Congo. Le HCR de son côté estime que la protection internationale a été maintenue pour ceux qui avaient des raisons fondées de craindre pour leur vie s’ils rentraient au Rwanda.

A Brazzaville, près 200 de ces anciens réfugiés se sont réunis dans un collectif, celui dit « des mineurs non accompagnés reconnus par le HCR ». Ils se retrouvent eux aussi sans papiers. Ils disent être arrivés mineurs au Congo-Brazzaville, pris en charge par le HCR alors que leurs parents avaient été massacrés à Kibeho au Rwanda ou dans des camps de réfugiés en République démocratique du Congo en représailles du génocide de 1994. Ces orphelins ne comprennent pas la décision prise de leur refuser toute protection internationale, « faute de nouveaux éléments ».

Comme des milliers d’autres, ils refusent aujourd’hui de rentrer au Rwanda ou de passer par leur ambassade. Ils ont peur d’avoir un quelconque contact avec un gouvernement qu’ils estiment responsable de la mort de leurs proches : « Si les parents ont été tués par le même pouvoir. Si aujourd’hui, on te demande encore d’aller plus  en contact avec les mêmes personnes qui n’ont jamais reconnu qu’ils ont assassiné nos parents. Ça, c’est l’injustice ».

Pour l’Adhuc, l’association congolaise qui suit ces anciens réfugiés et tire la sonnette d’alarme depuis des mois, c’est la négation d’un traumatisme. Loamba Moke en est le président : « Ils sont traumatisés, ils ne savent pas sur quel pied danser : repartir au Rwanda, comment et surtout dans quelle maison ? Ils ont été traumatisés en bas âge, c’est cela le grand problème. Ca devait être les premières personnes qui devaient être exemptées parce qu’ils sont des enfants non accompagnés ».

L’Adhuc demande au gouvernement congolais, comme au HCR, de trouver une solution pour ces orphelins, comme pour les milliers d’autres Rwandais aujourd’hui sans papiers, qui rejettent depuis cinq ans les différentes options mises sur la table.

Tout en comprenant leur traumatisme, le gouvernement congolais estime que le risque est inexistant pour ces orphelins de se présenter à leur ambassade à Brazzaville, que cette procédure a fait l’objet de cinq années d’échanges avec le HCR, Kigali et cette communauté. Mais si l’impasse se confirme, dit son porte-parole, le gouvernement congolais « restera à l’écoute comme il l’a toujours été » et se tournera vers le HCR pour envisager un « déblocage » de la situation. Le HCR dit pour sa part avoir déjà tenté de convaincre le gouvernement congolais de trouver une procédure alternative, en vain.

Près de 26% des enfants de moins de 5 ans atteints de malnutrition chronique, selon L’Unicef

Le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) indique également que 14 % des enfants congolais de moins de 5 ans sont atteints d’insuffisance pondérale et 7 % de maigreur.

Le résultat d’une enquête sociale réalisée récemment et qui offre une idée précise des conditions de vie auxquelles doit faire face une majorité de Congolais, épingle parmi les causes, la question de logements exigus et insalubres, les difficultés extrêmes à se nourrir convenablement, à accéder à l’eau potable et à se procurer l’énergie nécessaire ; les difficultés à trouver un emploi décent et suffisamment rémunérateur.

Selon l’enquête réalisée par la Conférence épiscopale du Congo avec l’appui technique et financier du Secours Catholique et de Misereor, manger pour les adultes comme pour les enfants, la pauvreté aidant, devient un véritable cauchemar.

Les statistiques officielles indiquent que le pays a enregistré un taux de chômage de 34,2% en 2011, touchant de plein fouet la tranche des 25-35 ans, alors que les jeunes représentent 60% des 4 millions de Congolais.

Depuis quelques années, l’UNICEF demande au gouvernement congolais d’affecter 20 % des recettes pétrolières à l’enfance, considérée comme une «couche vulnérable».

Le Congo est un pays producteur de pétrole, une ressource qui contribue à plus de 80% aux recettes de l’Etat. Mais près de 50% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté précise-t-on.