Mvoungouti : la circulation des trains interrompue entre Dolisie et Pointe-Noire

Une dégringolade s’est produite la semaine dernière, à la gare de Mvoungouti dans le Mayombe.

Un pan entier de la falaise s’est rompu brutalement sur plusieurs dizaines de mètres de hauteur, emportant environ 3 000 m³ de blocs de pierre. La voie ferrée s’est retrouvée recouverte de matériaux sur plusieurs dizaines de mètres.

Les trains voyageurs Roc en provenance de Brazzaville et de l’axe M’binda en partance pour Pointe- Noire sont bloqués à Dolisie depuis le 23 Janvier 2019.

Les passagers à bord de ces trains ne savent plus à quel saint se vouer.

Le CFCO attend l’étude des experts avant de déterminer les suites à donner à cet accident. La circulation des trains entre Dolisie et Pointe-Noire est annulée jusqu’à nouvel ordre.

Les déplacements par voie ferroviaire étant rendus impossibles,  la voie aérienne ou carrossable reste une option pour les plus pressés.

Kellé : exploitation illégale de l’or

La population de Kellé accuse la compagnie chinoise Agil d’exploiter illégalement et de façon scandaleuse l’or dans plus de 32 sites dans le département de la Cuvette-ouest.

Un scandale minier éclate au Congo-Brazzaville. Il s’agit des infractions commises par la compagnie chinoise Agil. En effet, tout ce que l’on sait de cette société, c’est qu’elle est principalement détenue par des investisseurs basés en Chine.

L’on soupçonne d’ailleurs Agil d’avoir obtenu de manière tout aussi douteuse, ses permis d’exploitation semi-industrielle de l’or à Kellé.

Une affaire de corruption dans laquelle auraient trempé certaines autorités locales et des responsables du ministère des Mines , et bien d’autres nervis des salons feutrés habitués de ce genre de scandales.

Diplomatie : le message de l’ambassadeur Adada à ses compatriotes vivant en France

Il est de tradition que la période de vœux court jusqu’au 31 janvier de chaque année. Restant dans les délais et afin de ne pas déroger à la règle,Rodolphe Adada, Ambassadeur du Congo en France a adressé un message de vœux à ses compatriotes vivant en France.

En voici le message :

Au seuil de la nouvelle année, je voudrais, au nom de l’ensemble du personnel de l’Ambassade du Congo en France et en mon nom propre, vous adresser mes meilleurs vœux pour l’année 2019.

À chacune et à chacun de vous, je souhaite des moments de bonheur, une parfaite santé et beaucoup de réussite dans vos différents projets.

L’année 2018 qui vient de tirer sa révérence a été particulièrement éprouvante au plan économique, avec une crise qui a lourdement pesé sur le budget de l’État et des divers établissements publics, sur l’activité des entreprises et sur les ressources financières des ménages, mais elle a été à certains égards, exceptionnelle pour l’ambassade et pour notre pays :

  • La dématérialisation des procédures de traitement des dossiers a contribué à la modernisation des services consulaires de l’ambassade ;
  • Un centre d’enrôlement a été installé à l’ambassade pour la délivrance des passeports ;
  • La Plateforme de gestion de l’ambassade permet désormais d’effectuer toutes les opérations en ligne ;
  • Le processus de paix enclenché dans la région du pool, ponctué par le ramassage des armes a été consolidé par la reprise du trafic sur le Chemin de fer Congo océan, dont chacun de nous connait l’importance.

Chers compatriotes, plus que jamais, pour la nouvelle année 2019, nous demeurerons à votre écoute et ne ménagerons aucun effort pour vous apporter un service à l’attente de vos espérances. Ainsi, nous resterons ouverts à toutes vos suggestions constructives.

Je suis confiant que nous pourrons, avec détermination, continuer à travailler la main dans la main, dans l’intérêt de notre communauté et du Congo notre belle patrie.

À toutes et à tous bonne et heureuse année 2019 !

Brazzaville : l’opposant P.Makaya présente ses vœux à la presse ce samedi

L’opposant Paulin Makaya dont la seule arme est la parole et son stylo-bille, présentera ses vœux à la presse nationale et internationale, ce samedi 26 janvier 2019 à 10h, à la Semaine Africaine, à un jet de pierre du CHU de Brazzaville.

Il s’agira pour le président du parti UPC (Unis pour le Congo) de partager non seulement un moment convivial avec les hommes et femmes de médias, mais aussi de faire comprendre aux congolais qui soutiennent son combat politique que le pays va très mal et traverse une crise financière sans précédent.

Proche collaborateur de l’opposant historique, feu Bernard Kolélas, président fondateur du parti MCDDI (Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral), éphémère premier ministre pendant la guerre civile de 1997, Paulin Makaya est l’un des rares opposants, sinon le seul, à avoir refusé la main tendue du régime de Brazzaville.

D’autres proches du regretté Bernard Kolelas ont, eux, accepté de se rapprocher du pouvoir et de travailler avec le régime en place. Pour l’ancien directeur de cabinet de Bernard Kolelas, c’était niet.

D’une très grande intégrité, Paulin Makaya a su garder intacte sa virginité politique.

Il a fait face à des soldats armés sur la route de Madingou (sud) le 29 août 2015. Il est l’unique homme politique de l’opposition congolaise à avoir manifesté avec ses militants le 20 octobre 2015 contre le référendum.

Mis aux arrêts à 46 ans pour trouble à l’ordre public et pour avoir participé à une marche non autorisée contre le changement de la constitution du 20 janvier 2002, Paulin Makaya a été libéré à l’âge de 49 ans. Il a été condamné à payer un franc symbolique à l’Etat à titre de dommage et intérêt pour préjudice subi.

Le président de l’UPC était incarcéré depuis 2015, peu avant sa seconde inculpation.

Le 28 septembre 2018, l’opposant avait été interdit de voyager officiellement parce qu’il ne disposait pas d’une autorisation de sortir du Congo. Il a été empêché par la police des frontières d’embarquer à bord d’un vol Air France à destination de Paris puis du Royaume-Uni, dont il possède aussi la nationalité.

Paulin Makaya était rentré au Congo le 30 juillet 2014 après dix-sept (17) ans d’exil à Londres.

Cybercriminalité : T. Moungalla victime de deux faux comptes twitter crées à son nom

Un compte twitter à l’identité du ministre de la Communication et  porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla est actif depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.

Cette manœuvre serait une usurpation d’identité pour laquelle le ministre a appelé ses  »amis » du net à la vigilance.

Après lui avoir attribué un faux compte face-book, plateforme qu’il n’utilise plus depuis bientôt deux ans déjà, ces charlatans disons-nous remettent le couvert, en créant de faux comptes twitter avec le nom du ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement.

Entrer au cœur de la communication gouvernementale et y créer une diversion, tel serait sans doute le dessein inavoué de certains charlatans du net qui n’ont de cesse de pirater, voire de fabriquer de faux comptes attribués au ministre de la Communication et des MédiasThierry Moungalla, sur les réseaux sociaux.

Aussi le ministre reprécise-t-il les caractéristiques des vrais comptes twitter que voici, relevant de sa personne.

Cette pratique à l’évidence criminelle n’a d’autre but que de nuire à la réputation de la personne ciblée, en véhiculant à travers son réseau d’amis, des informations erronées, devant la desservir, mais aussi en présentant des faux documents ou de fausses opinions véhiculés par cette plateforme, comme la position officielle du gouvernement congolais. Incurie.

Le ministre Moungalla en appelle donc à la vigilance face à ces cybercriminels dont les capacités de nuisance demeurent opérationnelles.

Congo : où va l’argent des taxes routières ?

L’argent des amendes issues de la répression routière ne sert pas à améliorer les infrastructures routières sur toute l’étendue du territoire national. C’est en substance ce que dénonce le congolais lambda.

De là, à savoir exactement ce qui est fait de tout cet argent de péage, ce n’est pas si évident. En toute franchise, c’est surtout bien difficile à dire ! Ce dont on peut être à peu près sûr, c’est que sur l’ensemble des amendes routières perçues, pour le reste, la traçabilité financière étant loin d’être évidente, il n’est pas simple de se montrer précis.

Il y en a en effet plus de 50 % – et même certainement bien plus – qui ne sont pas attribués à la rénovation des routes, autrement dit à l’amélioration des infrastructures routières, la préoccupation en creux des congolais et autres automobilistes.

Depuis 2004, d’importants investissements consentis dans le secteur routier ont fait évoluer le réseau routier national de 18.000 km à environ 23.234, dont 8.254 km du réseau routier prioritaire et 14.980 km de routes secondaires et de desserte rurale. Le réseau routier bitumé est passé de 1200 km à 3000 km.

Il a été établi que l’instauration de l’autonomie de gestion permettrait au Fonds routier de mieux financer les travaux d’entretien et de réhabilitation des routes bitumées.

Le directeur général de cet établissement, Elenga Bat-Nzenguet, indiquait que le Fonds routier disposait de beaucoup de ressources prévues dans les textes, déplorant cependant que « cet argent n’arrive pas au fonds pour pouvoir financer l’entretien des routes».

La déclaration de M. Elenga Bat-Nzenguet confirme donc l’avis du Congolais lambda, qui pense que la taxe routière obligatoire collectée auprès des usagers de la RN2, qui devrait permettre une prise en charge de l’entretien routier, ne va pas au trésor public mais dans les poches des tiers.

Mais qui exactement ? Et quand la sanction interviendra t-elle?

Chaussées fissurées ou déformées, accotements instables, signalisation manquante ou effacée, glissières de sécurité absentes, les images des routes les plus abîmées du Congo, font le buzz sur les réseaux sociaux.

Le résultat n’est hélas pas surprenant. Depuis plusieurs années se profile une dégradation lente et inévitable des routes, en raison notamment d’une baisse des crédits accordés pour leur entretien courant par l’État et les collectivités locales. Cela a des répercussions facheuses sur le quotidien des congolais, notamment un ralentissement de l’économie informelle basée sur les produits vivriers venant des campagnes et alimentant les grands centres urbains.

Une situation qui met le président de la République, Denis Sassou Nguesso hors de lui et dans une colère noire, nous apprend une source très proche de la Présidence de la République.

Comme un électricien affairé sur son tableau de plombs, le fusible Denis Sassou Nguesso devra maintenant gérer 2 courants opposés : la nécessité de stopper cette mafia et la nécessité de parler aux congolais, de leur dire qu’il entend leur colère et leurs inquiétudes, de se remettre au niveau le plus terrien de la politique. Le fusible devra aussi faire prise de terre.

Minusca : qu’en est-il de la solde minorée des contingents congolais?

La voix du silence, sur fond de traitement financier du contingent congolais de la Minusca, monterait des rangs des soldats qui font état d’une solde minorée par le commandement à Brazzaville. Qu’en est-il réellement ?

Même si ses troupes sont placées sous pavillon de l’ONU, l’armée demeure ‘’la grande muette’’ et rarement les états d’âme des soldats ne traversent les murs des casernes, sauf cas extrêmes, quand ils se transforment en mutineries, ce qui est loin d’être le cas pour des troupes dont la discipline, par-delà les frustrations, demeure l’arme principale.

En s’intéressant au plus près de ce dossier, il ressort que l’ONU ne gère pas directement les troupes des pays tiers placées sous son mandat. Selon un mémorandum d’entente, l’argent est versé à l’État concerné, en l’occurrence le trésor public, pour le cas du Congo. Ainsi le pactole dévolu aux troupes congolaises de la Minusca serait géré par le ministère des finances et celui de la défense dont l’organe technique est la direction générale de l’administration des finances, DGAF dont l’ordonnateur serait le chef d’état-major général, CEMG, en sa qualité de patron du GAS, groupe d’anticipation stratégique de l’ONU.

Ainsi, les salaires des casques bleus congolais majorés selon les barèmes de l’ONU suivraient le circuit normal de gestion des finances de l’Armée. Et là, s’opèreraient les ponctions qui seraient à l’origine du malaise des troupes. Ainsi, un différentiel de 900. 000 francs CFA serait noté entre les troupes qui l’année passée, avaient reçu 7.400.000 francs CFA alors que la somme évoquée cette année se monte à 6.500.000 francs CFA.

Même si elles relèvent d’une force mixte, Armée, Gendarmerie et Police, les unités déployées en RCA dépendent au plan opérationnel, administratif et financier, du  chef d’état-major général, CEMG.

Dans sa comptabilité matière, le mécanisme de la Minusca intervient sur deux volets. Les dépenses du matériel bien souvent spécifique aux capacités opérationnelles des troupes qui y sont exercées et habituées et les salaires du personnel engagé.

Ainsi qu’on le voit, ce malaise au sein de la Minusca couverait donc entre les troupes engagées en RCA et leur chef hiérarchique restée à Brazzaville, à ses bureaux de l’état-major général des armées dont il assure la charge.

Vivement qu’une solution soit trouvée dans les délais, car il y va de la crédibilité de la Nation congolaise, surtout à un moment où se mène la lutte contre les antivaleurs.

France : un congolais se jette d’un immeuble après une dispute conjugale

La communauté congolaise de France est en deuil. Un de ses ressortissants s’est donné la mort au petit matin de jeudi, après une dispute avec son épouse qui lui rendait la vie difficile, confortée par les lois sur la protection des femmes.

« Voir Paris et divorcer », cela est devenue la devise de nombreuses femmes congolaises, qui profitant de l’opportunité qu’elles ont d’arriver sur le bord de Seine par le biais du mariage, cachent leurs desseins sordides vis-à-vis du « naïf » époux qui pensant épouser une femme pétrie des qualités du terroir auquel il demeure attaché, s’en va chercher femme au pays.

La désillusion est grande, quand une fois arrivée en France et régularisée sans qu’il ne lui en coûte le moindre effort, l’épouse ‘’modèle’’ se révèle être une véritable mégère, baignant dans l’imposture, arguant « étangama que na ko ya poto » (il était écrit que je viendrai en France), à l’époux qui lui rappelle d’où elle vient, et les sacrifices endurés pour la faire venir. Parfois les églises dites de réveil auxquelles elles adhèrent contribuent à envenimer la situation, présentant l’homme comme animé par de mauvais esprits.

Profitant des lois et des avantages sociaux qu’offre la France notamment aux mères seules elle fait subir à l’homme la pire des misères, afin de parvenir au divorce, aux dépends de celui-ci.

Pour Jacques Mahoukou demeurant à Fontenay-sous-Bois, les disputes récurrentes et les interventions de la police sur appel de son épouse ont fini par atteindre sa sensibilité au point qu’après une énième dispute qui a tiré en longueur et incommodé les voisins toute la nuit, excédé, celui-ci s’est jeté du 4ème étage se tuant sur le coup, jeudi 24 janvier à 3 heures.

Congo : le patriarche Jacques Joachim Yhomby-Opango célèbre ses 80 ans en famille et autour des amis

Ancien Président de la République (4 avril 1977- 5 Février 1979), ancien Premier Ministre (juin 1993 – aout 1996) sous le régime du Président Pascal Lissouba (1992-1997), Jacques Joachim Yhomby-Opango a célébré ses 80 ans, en famille et autour de quelques amis.

Né le 14 janvier 1939, Jacques Joachim Yhomby-Opango dans  sa retraite, l’homme regarde désormais le temps qui passe, ramenant parfois à la surface les souvenirs de la vie active, comme si c’était hier.

Parcours politique

Premier officier général de l’armée congolaise nommé en janvier 1978 alors qu’il est déjà Chef d’État, ancien de Saint-Cyr (Promotion Colonel Bourgoin -1960-1962), Jacques Joachim Yhomby-Opango fut chef du cabinet militaire du Président Alphonse Massamba-Débat, en 1965, avant d’être envoyé, la même année, comme attaché militaire à l’Ambassade du Congo à Moscou.

Sous le régime du Président Marien Ngouabi (1968-1977), il est nommé, en septembre 1969, chef d’État-major général des forces armées avec le grade commandant. Élevé au grade de colonel en janvier 1973, il fut remplacé à la tête de l’armée, en octobre, et devint inspecteur général des forces armées.

Yhomby-Opango dirigea le régime d’exception, appelé Comité militaire du parti (CMP), mis en place après l’assassinat du Président Marien Ngouabi, le 18 mars 1977. Choisi par le PCT, le 4 avril, il prêta serment le 6 avril 1977. Renversé le 5 février 1979, par une révolution de palais, il connût la prison, avant d’être libéré en 1990, sans jamais avoir été jugé, grâce au mouvement qui conduisit le Congo-Brazzaville à l’ouverture démocratique, avec la tenue de la Conférence nationale souveraine en 1991.

Membre du Comité central du PCT à sa création, en 1969, il en fut exclu en 1975, avec le mouvement de radicalisation du parti.

En 1990, avec le vent démocratique qui soufflait dans certains pays africains, après la chute du mur de Berlin, Jacques Joachim Yhomby-Opango créa son propre parti, le Rassemblement pour la démocratie et le développement (RDD), à travers lequel il va se révéler comme un acteur politique majeur du Congo.

À la tête de ce parti, il est élu député en 1992 à Owando, et se présente comme candidat à l’élection présidentielle. Il apporta son soutien à Pascal Lissouba au deuxième tour de la présidentielle contre Bernard Kolelas.

Élu, le Président Lissouba fera de lui chef de sa majorité présidentielle, avant de le nommer Premier Ministre.

Jacques Joachim Yhomby-Opango s’est aujourd’hui retiré de la politique, pour des raisons de santé. C’est son fils, Jean-Jacques Yhomby-Opango, qui a repris les rênes du RDD, comme vice-président. Le fils qui a un jour-près de son père, est né un 15 janvier. Alors, c’est ensemble qu’ils ont fêté leur anniversaire à la capitale française où réside le patriarche Jacques Joachim Yhomby-Opango.

Internet : la Likouala bientôt connectée au réseau de la fibre optique

Le directeur de cabinet du ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Franck Siolo a annoncé le 14 janvier dernier, que le département de la Likouala sera bientôt  connecté au réseau de la fibre optique.

Les techniciens chargés d’implanter la technologie en matière d’accès à internet à travers le territoire national sont déjà à pied d’œuvre à Impfondo, chef-lieu du département.

L’Internet à Très Haut Débit est un levier essentiel de croissance, de compétitivité mais aussi d’intégration sociale.

Parmi l’ensemble des technologies de télécommunication, le déploiement de la fibre optique jusque dans les logements et les entreprises est la solution la plus évolutive et la plus performante pour remplacer les réseaux de cuivre déjà obsolètes au Congo-Brazzaville.

Fil de verre plus fin qu’un cheveu, la fibre optique transporte les données à la vitesse de la lumière, sans jamais faiblir. C’est grâce à elle qu’on accède au très haut débit (jusqu’à 1000 Mb/s contre 30 Mb/s maximum en ADSL).