De bonnes perspectives pour Moho Nord, malgré la chute du prix du baril

Assurance à ce sujet a été donnée par le directeur Afrique du groupe Total, Guy Maurice, au cours de l’entretien que lui  a accordé le 13 février à Brazzaville ,le président Denis Sassou N’Guesso.

Le champ Moho Nord que développe la société Total E&P Congo affiche de bonnes perspectives, en dépit de la chute du prix de baril de pétrole sur le marché mondial. Le directeur Afrique du groupe Total, Guy Maurice, en a assuré le Président Denis Sassou N’Guesso lors de l’entretien qu’il lui a accordé le 13 février à Brazzaville.

« J’ai fait un rapport complet de nos activités au Chef de l’État. Il est clair que le développement de Moho Nord est important dans la croissance pétrolière du pays. Les perspectives sont bonnes, la production est largement à la hauteur des espérances, avec un prix du baril qui a certes un peu baissé dans les derniers jours et qui se situe autour de soixante dollars », a déclaré le directeur Afrique de Total, à la sortie de l’audience.

Entré en production en 2017, Moho Nord représente un investissement de 11 milliards de dollars américains, pour une production attendue en phase de pic de 140.00 barils de pétrole par jour, pour une durée de 30 ans. C’est le plus important gisement pétrolier jamais exploité au Congo.

Guy Maurice a également exprimé au Chef de l’État congolais l’engagement de Total de s’employer dans la résolution des pénuries récurrentes de carburant dans les stations-service à Brazzaville.

«Tous les efforts seront mis et notre engagement est complet sur cette question des produits à la pompe pour aider les autorités et faire en sorte que l’énergie arrive dans toutes les stations-service », a-t-il dit.

Le directeur Afrique de Total a en outre dit la détermination de sa société à lutter contre le « torchage » du gaz sur le champ de Nkossa. Ce champ situé à plus de 70 km des côtes congolaises, constitue la source majeure du gaz au Congo, a-t-il affirmé. Il nécessite d’importants moyens financiers pour acheminer du gaz vers la centrale électrique basée à Pointe-Noire.

Primature : Conseil de cabinet consacré aux dossiers économiques

Le gouvernement de la république se réunit ce jeudi 15 février autour du premier ministre Clément Mouamba. La poursuite de l’examen des dossiers économiques est à l’ordre du jour de cette réunion.

De la relance de l’économie à la diversification de l’économie, sur fond de réduction des cours du pétrole, le gouvernement congolais s’emploie depuis quelques temps à redresser les équilibres macroéconomiques, en dépit de la situation difficile.

Selon la banque mondiale, l’économie congolaise subit de plein fouet les conséquences du tassement des cours du pétrole depuis 2014. Pour la quatrième année consécutive, la croissance du PIB cède du terrain, avec un taux négatif de -2,8 % en 2016 et d’au moins -1,1 % en 2017.

Cette évolution tient au déclin du PIB pétrolier (-1,5 %) sur la période 2014-16, les autres secteurs n’ayant pas véritablement pris le relais (3,3 %). En effet, après les bonnes performances de 2014 et 2015, tous les secteurs hors industries extractives ont reculé de 3,1 % en 2016 tandis que l’inflation, attisée par des difficultés dans le secteur ferroviaire, a atteint 3,6 %. Les perspectives économiques sont plutôt moroses, avec une croissance moyenne prévue de 0,9 % sur la période 2017-19 et ce, malgré l’entrée en production des nouveaux champs pétrolifères de Moho Nord qui augurent à terme des perspectives encourageantes.

Le Congo doit engager des réformes structurelles pour stimuler l’activité du secteur privé en s’appuyant notamment sur la relance de l’industrie et du bâtiment, pour renforcer une croissance qui atteignait en moyenne 2,5 % de 2014 à 2016.

Ces dispositions devraient permettre de ramener l’inflation sous l’objectif des 3 % fixé par la CEMAC mais également de réduire les déficits budgétaires et extérieurs, attendus respectivement à 3 et 2,8 % du PIB en moyenne sur la période 2017-19.

Tripartite Kabila-Sassou-Lourenco à Kinshasa

Le professeur Mwahila Tshiyembe estime que les chefs d’Etat visiteurs, qui sont membres de la CIRGL, viennent donner un coup de pouce au processus électoral en RDC marqué par quelques inquiétudes.

Les présidents de la RDC, Joseph Kabila, du Congo, Denis Sassou Ngouesso, et d’Angola, Joao Lourenco vont se retrouver mercredi 14 février à Kinshasa. Cette réunion tripartite est confirmée notamment par le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende.

En l’absence de communication officielle sur l’ordre du jour de la réunion, le professeur Mwahila Tshiyembe estime que les chefs d’Etat visiteurs, qui sont membres de la CIRGL, viennent donner un coup de pouce au processus électoral en RDC marqué par quelques inquiétudes.

Il est tout à fait normal que les deux pays, l’Angola et du Congo-Brazzaville qui ont piloté la CIRGL, viennent se pencher sur climat interne de la RDC « qui est en train de se corser, pour écouter probablement le président Joseph Kabila», affirme Mwahila Tshiyembe, le directeur de l’Institut panafricain de géopolitique de Nancy en France.

Il évoque notamment le calendrier électoral publié par la CENI, qui est appuyé par la communauté internationale mais critiqué par une frange de l’opposition congolaise. A cela s’ajoutent, selon lui, les divergences sur la mise en œuvre l’accord politique du 31 décembre 2016.

Mwahila Tshiyembe indique enfin que la rencontre entre les trois chefs d’Etats voisins pourrait aussi s’intéresser aux relations entre la RDC et la MONUSCO.

Remise des prix aux meilleures troupes à la 19ème édition du FETHESCO

Cet événement culturel se déroule à Brazzaville, dans la première quinzaine du mois de février. Il met en compétition des troupes composées exclusivement d’élèves et d’étudiants.

Au total quatre prix ont été remis, le 8 février à Brazzaville, aux quatre meilleures troupes sélectionnées par le jury, à la clôture de la 19ème édition du Festival de Théâtre Scolaire (FETHESCO).

Il s’est agi du prix du dévouement, remporté par le Lycée Agostino Neto B ; du prix de la meilleure troupe, catégorie collège, remis à l’établissement «Le Succès Merveilleux» ; du prix de la meilleure troupe, catégorie lycée, remporté par le lycée Thomas Sankara et du prix spécial du jury, remis au lycée Eméry Patrice Lumumba.

Outre le prix de la meilleure troupe, il a été prévu, à cette édition, trois prix de l’excellence, remportés respectivement par les établissements «Institut Inspecteur Biyoudi», «Immaculée Conception» et «Dom Elder Camara».

Des récompenses  ont été attribuées aux huit meilleurs acteurs du festival, qui ont reçu chacun une carte médiathèque offerte par l’Institut Français du Congo (IFC) qui a abrité ledit festival du 6 au 8 février. La carte médiathèque est un document qui donne à son détenteur le droit, durant une année, d’assister aux événements culturels organisés par l’IFC, a-t-on appris.

Entre autres récipiendaires, figurent Mlle Deo Gracias Nakoundila, élève à Dom Elder Camara, dans son rôle de la mère, dans la pièce «Le mariage forcé» ; M. Jules Ikamba, élève à Immaculée Conception, dans le rôle de Bafouma, dans la pièce «De la ruse au trône» et Mlle Thécia Ibara Elenga, élève à Nganga Edouard, dans le rôle de zobamatalana, dans la pièce «L’autre école».

Au total, 17 pièces de théâtre ont été jouées au cours de cette 19èmeédition du FETHESCO, dont une a été déclarée hors compétition, car présentée par une troupe professionnelle, a fait savoir M. Antoine Ambadrou, le promoteur et président organisateur de ce festival.

«L’objectif du FETHESCO est de faire du théâtre une activité de plein droit dans les établissements scolaires», a-t-il dit dans une interview. La perspective du festival est de réaliser une journée FETHESCO dans l’année au Congo, à l’image de la fête de Noël, a-t-il poursuivi.

Ambadrou s’est réjoui du succès croissant du festival, citant à titre d’exemple l’évolution constatée avec l’augmentation en nombre des établissements scolaires qui ont concouru pour le prix de l’excellence qui, aux précédentes éditions, ne récompensait qu’une troupe. Malgré cette évolution, M. Ambadrou espère que les autorités congolaises seront disposées à soutenir le FETHESCO qui œuvre aussi à l’encadrement et à l’éducation des élèves au Congo.

Prélude à la clôture, quelques groupes et jeunes artistes congolais ont procédé à une animation culturelle, parmi lesquels GBM-Musique, TBS et Sckayuss Brown pour l’intermède musicale, ainsi que «Le parlement du rire» pour la comédie.

La 1ère édition du FETHESCO a eu lieu en 1999, année de la création dudit festival. Cet événement a pour langue d’expression le Français, avec en appoint les langues nationales congolaises,  a-t-on appris. Le public cible de ce festival est le public scolaire. Cet événement culturel a pour organisateur la compagnie U Tam’si Théâtre. Il se déroule à Brazzaville, dans la première quinzaine du mois de février. Il met en compétition des troupes composées exclusivement d’élèves et d’étudiants.

Plus de 80 millions de FCFA pour une aide supplémentaire aux déplacés du Pool

S’inscrivant dans le projet d’assistance aux déplacés du Pool, ce don a été financé par  l’Agence des Etats-Unis pour le Développement International (USAID) précisément par le Bureau  d’Assistance en cas de Catastrophe à l’Etranger (OFDA).

L’ambassadeur des Etats-Unis au Congo, M. Todd Philip Haskell, a fait une donation supplémentaire de plus de 80 millions de FCFA aux déplacés du département du Pool, le 7 février dernier à Nganga-Lingolo, dans le 8ème arrondissement de Brazzaville, Madibou.

Composé, entre autres, d’ustensiles de cuisine, de sceaux et de nattes, ce don concerne 150 000 familles déplacées des villages de Djoumouna et Loussaka, ainsi que 90 femmes cheffes de ménage.

Ce don, s’inscrivant dans le projet d’assistance aux déplacés du Pool, a été financé par  l’Agence des Etats-Unis pour le Développement International (USAID), précisément par le Bureau  d’Assistance en cas de Catastrophe à l’Etranger (OFDA) et mis en œuvre par Caritas Congo et Catholic Relief Services (CRS).

«Nous pouvons multiplier des assistances humanitaires, mais la solution, c’est la paix pour que tous vous regagniez vos localités respectives», a précisé, à cet effet, le diplomate américain. Pour lui, c’est plus clair que jamais, «nous avons la paix dans le Pool», c’est la chose la plus  importante.

Haskell s’est réjoui du processus engagé dans le département du Pool entre le gouvernement et les représentants de M. Frédéric Bintsangou, le 23 décembre à Kinkala, chef-lieu de ce département.
Il a, à cette occasion, rappelé que son pays avait promptement réagi à l’appel du gouvernement Congolais pour l’assistance aux déplacés du Pool. C’est pour cela que les Etats-Unis ont apporté une aide de plus de 250 millions de FCFA, destinée à environ 6500 déplacés qui ont fui le conflit du Pool pour se réfugier dans la Bouenza, a-t-il souligné.

Cette nouvelle aide concerne mille personnes affectées par les conflits dans le Pool, à savoir 50 mille déplacés à Brazzaville, 250 à Kinkala et 600 dans la Bouenza, a-t-on appris.

De son côté, le secrétaire général de Caritas Congo, M. Alain Robert Moukouri, a déclaré que cette distribution va se poursuivre la semaine prochaine à Kinkala (Pool) et à Madingou, chef-lieu du Département de la Bouenza.

Remerciant le donateur, l’un des bénéficiaires, Mme Lydie Bitsindou, a souhaité rejoindre sa demeure, car «les conditions sont difficiles», a-t-elle fait savoir.

Sommet tripartite Angola-Congo-RDC ce mercredi à Kinshasa

Initiée par Denis Sassou N’Guesso, les débats entre les trois Chefs d’État tourneront autour des questions liées à la paix et la sécurité dans la région des Grands Lacs. Il pourrait s’agir de la poursuite des discussions entamées le 9 décembre dernier à Brazzaville.

Un mini sommet se tient ce 14 février à Kinshasa, regroupant les Présidents Denis Sassou N’Guesso du Congo-Brazzaville, João Manuel Gonçalves Lourenço d’Angola et Joseph Kabila Kabange de la République démocratique du Congo.

Cette rencontre est initiée par Denis Sassou N’Guesso, en sa qualité de Président en exercice de la Conférence internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL) et Président du Mécanisme de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC.

Les débats entre les trois Chefs d’État tourneront autour des questions liées à la paix et la sécurité dans la région des Grands Lacs. Il pourrait s’agir de la poursuite des discussions entamées le 9 décembre dernier à Brazzaville.

Parmi les sujets qui avaient été évoqués à cette occasion par les trois Chefs d’État, figuraient la publication du calendrier des élections en RDC et l’aboutissement du processus électoral au Kenya avec l’élection du Président Uhuru Kenyatta.

S’agissant de la RDC, les Présidents Denis Sassou N’Guesso et João Laurenço avaient été très clairs avec leur homologue Joseph Kabila Kabange, en exprimant leurs grandes inquiétudes sur la situation politique qui prévaut dans ce pays.

«La RDC est la mère de toutes les crises. Car, ce qui s’y passe affecte toute la région des Grands Lacs», déclarait récemment le ministre angolais des Affaires étrangères, Manuel Domingos Augusto.

Aux yeux des Présidents Denis Sassou N’Guesso et João Laurenço, ainsi que de plusieurs observateurs de cette situation d’ailleurs, la tenue des élections à la date fixée par la commission électorale, c’est-à-dire le 23 décembre 2018, est une condition sine qua non pour la paix en RDC.

Le Comité laïc de coordination, initiateur des marches des chrétiens, exige que le Président Kabila ne se présente pas à la prochaine présidentielle, pour avoir terminé ses deux mandats constitutionnels.

Le Congo, invité à participer au 6ème forum mondial sur l’eau au Brésil

L’invitation lui a été transmise par l’ambassadeur du Brésil au Congo, M. Raül De Taunay, au cours d’une audience qui a permis aux deux personnalités de discuter des questions liées à ce forum, notamment les aspects sur l’importance de l’eau dans la société actuelle moderne.

La ministre congolaise du tourisme et de l’environnement, Mme Arlette Soudan-Nonault, a été invitée le 9 février dernier à Brazzaville, à prendre part au 6ème forum international sur l’eau qui se tiendra du 18 au 23 mars 2018 à Brasilia au Brésil.

L’invitation lui a été transmise par l’ambassadeur du Brésil au Congo, M. Raül De Taunay, au cours d’une audience qui a permis aux deux personnalités de discuter des questions liées à ce forum, notamment les aspects sur l’importance de l’eau dans la société actuelle moderne ; le traitement de l’eau dans beaucoup de situation pour gérer l’eau potable.

Les débats seront également centrés sur tous les aspects qui parlent de l’eau, dont les besoins sont chaque fois croissants, mais les problèmes et les questions y relatives remplissent à tout moment les agendas internationaux, a dit M. De Tauney.

Les problèmes liés à l’environnement constituent une affaire extrêmement présente d’avant-garde pour laquelle le Brésil a tenu d’en discuter avec la représentante du Congo, la ministre du tourisme et de l’environnement et aussi avec le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture et de l’élevage, M. Henri Djombo, a-t-il expliqué.

Selon lui, la participation du Congo à ce forum est très importante parce que pour le Brésil, «le Congo est le pays qui a les plus grandes réserves hydriques forestières». « Si le monde respire encore aujourd’hui sans doute, c’est beaucoup grâce au Congo, à toute la région du bassin du Congo et au Brésil », a-t-il reconnu, relevant que « les rivières congolaises sont l’une des choses les plus importantes pour le monde, et le Brésil le reconnait».

« Maintenant, il faut commencer à trouver d’autres pays dans le monde, dans cette planète bleue, si l’on veut que ça continue à être ainsi », a souhaité le diplomate brésilien, exhortant les gens à reconnaître l’importance de l’environnement.

«Le Brésil a toujours été à l’avant-garde dans les forums internationaux multilatéraux sur les questions écologiques et de moyen ambiant », a ajouté M. Djombo, soulignant que « le Brésil a toujours été un défenseur de toutes les questions d’eau, de forêts et du fonds bleu. Il défend toujours l’ambiance de la nature, des forêts et de la façon de vivre des gens qui habitent plus simplement dans leur milieu naturel ».

Extra Musica annonce la sortie de son nouvel album

Le groupe congolais, porté par Roga Roga annonce « 242 », son nouveau titre, le 8 mars prochain avec en prime, une tournée dans quelques pays.

Extra Musica signe son grand retour à partir du 8 mars 2018. C’est la date de sortie officielle de leur nouvel album, intitulé « 242 ». « L’album d’Etat » comme indiqué sur la pochette du disque, est celui de la maturité, puisque le groupe vient de totaliser 25 ans d’existence.

Dans ce nouveau projet commun, tous les membres ont signé, indique Roga Roga. Le leader du groupe annonce par ailleurs que les tournages des titres se feront en Afrique, en Europe, aux Etats-Unis… Le clip qui accompagnera la sortie de 242 a d’ailleurs été tourné en plein cœur de Brazzaville.

L’un des messages dans ce nouvel opus, précise Roga Roga, est d’encourager les jeunes à choisir un bon modèle social, celui du travail et de la réussite au bout de l’effort pour que vive l’Afrique.

Parlant des tournées de la formation, Roga Roga et ses potes sont attendus à Conakry le 1er mai prochain. Le 26 mai, le groupe sera au Bataclan à Paris et le 2 juin à Chicago. Occasion pour les fans de célébrer les 25 ans du groupe et de découvrir en salle, l’album de maturité.

Le musicien congolais parlait de ce nouveau projet musical au cours de l’émission « A l’Affiche », diffusé sur la chaîne de télévision France 24.

Denis Sassou N’Guesso convoque le Conseil supérieur de la magistrature

Par un décret publié à Brazzaville, le président Denis Sassou N’Guesso a convoqué le Conseil Supérieur de la Magistrature en session ordinaire pour le 20 février 2018.

Cette convocation s’inscrit en droite ligne de la volonté du chef de l’État congolais, de réformer de la justice, exprimée dans son message sur l’état de la Nation devant le Parlement réuni en congrès.

La session du Conseil Supérieur de la Magistrature qui se tiendra prochainement à Brazzaville est vivement attendue de tous.

Dans son message du 30 décembre dernier, le président Denis Sassou N’Guesso en avait esquissé les grandes approches, pour «insuffler plus d’efficacité à la justice congolaise gangrenée par la corruption».

Aussi, il sera question à cette rencontre, d’examiner les questions liées au fonctionnement de la justice dans le pays et de la lutte contre la corruption qui ronge les institutions de la République, avait-il expliqué dans son message.

Le Chef de l’État a prescrit que la lutte contre la corruption soit menée dans tous les secteurs de l’État et plus particulièrement au niveau des régies financières et les magistrats en sont les principaux garants.

Le nouveau bâtiment du siège de la Fécofoot en construction

La date de la livraison du chantier débuté en janvier 2017 et les caractéristiques du bâtiment n’ont pas été communiquées pour le moment. Il ne reste que quelques travaux de finition.

Le nouveau siège de la Fédération Congolaise de Football (Fécofoot) est en plein chantier sur le site qui lui a été donné par le président congolais, Denis Sassou Nguesso.

La Fédération internationale de football association (Fifa) fidèle à sa promesse, a mobilisé les fonds pour doter la Fédération d’un cadre de travail qui lui faisait défaut depuis plusieurs années.

La date de la livraison du chantier débuté en janvier 2017 et les caractéristiques du bâtiment n’ont pas été communiquées pour le moment. Il ne reste que quelques travaux de finition.

SDF, depuis sa création, l’organe gestionnaire du football national ne squattait que les locaux donnés temporairement soit par le ministère des Sports, le Comité national olympique et sportif congolais ou soit par la présidence de la République.