L’Ouganda va produire des vaccins anti-tiques

L’Ouganda va produire son propre vaccin anti-tiques pour lutter contre fièvre aphteuse qui menace son agriculture.Le ministère de l’Agriculture, de l’Industrie animale et de la Pêche, par l’intermédiaire de l’Organisation nationale de recherche agricole (NARO), indique qu’il est à un stade avancé de la mise en place d’une infrastructure locale de fabrication de vaccins à Nakyesasa, dans le district de Wakiso, afin de produire des vaccins contre les tiques et la fièvre aphteuse.

Selon le ministère, l’Ouganda devrait commencer à fabriquer les vaccins dans environ deux ans. Cette information a été révélée mercredi lorsque l’équipe technique du ministère, dirigée par Ronald Ssegawa Gyagenda, sous-secrétaire et commissaire en charge des finances et de l’administration, s’est présentée devant le Comité des comptes publics pour répondre aux questions de l’Auditeur général concernant l’exercice financier 2020/2021.

« Nous prévoyons de faire fabriquer en Ouganda, par l’intermédiaire de la NARO, des vaccins contre les poux et contre la fièvre aphteuse, et l’installation de Nakyesasa a été mise en place. Nous allons produire une souche de vaccin qui peut être multipliée, mais nous avons accéléré la production de celui contre les tiques, qui est devenu si grave, et il est maintenant testé sur le terrain avant que nous lancions la fabrication complète », a déclaré Fred Mayanja, commissaire à la planification et au développement agricoles.

Communiqué de presse : Binance Trading Masterclass pour les Africains francophones

Binance qui a déjà formé gratuitement plus de 400 000 Africains sur les crypto-monnaies s’étend maintenant à l’Afrique francophone

Depuis 2020, Binance propose des cours gratuits d’éducation aux crypto-monnaies à travers l’Afrique, sur des sujets allant de la protection des utilisateurs à la construction de carrières dans la blockchain, et fait désormais de même pour les Africains francophones.

 

Le 3 septembre 2021 —Au fur et à mesure que Binance poursuit sa mission d’accroître la liberté de l’argent pour les utilisateurs, de stimuler l’adoption de la blockchain et de permettre une plus grande accessibilité, elle reste dédiée à l’éducation crypto à l’échelle mondiale.

 

Depuis sa création en janvier 2020, la Binance Masterclass a fourni une éducation crypto gratuite à plus de 400 000 Africains. À la fin de 2020, plus de 70 000 Africains ont été éduqués au cours de la première année du lancement de la Masterclass. Binance a depuis doublé ses efforts, fournissant des ressources éducatives à plus de 177 000 Africains au premier trimestre 2021 et à plus de 179 500 au deuxième trimestre 2021 – créant l’infrastructure éducative dont les Africains ont besoin pour être financièrement libres et informés.

  

En juillet 2021, Binance a organisé sa toute première masterclass dédiée aux Africains francophones, indiquant le coup d’envoi de ses efforts d’éducation crypto dans la région. La masterclass a vu plus de 3 900 débutants en crypto apprendre les bases de la blockchain, les moyens les plus faciles d’acheter et de vendre des crypto-monnaies et la façon de faire des revenus passifs ou actifs. Binance, la plus grande bourse de crypto-monnaies et le plus grand écosystème blockchain au monde, a également organisé des sessions pour les débutants, une série de webinaires pour les débutants visant à fournir une introduction aux crypto-monnaies et des webinaires interactifs à travers la région. À l’heure actuelle, plus de 7000 personnes ont bénéficié des efforts d’éducation axés sur la francophonie.

 

Suite à cela, Binance organise un boot camp de trading de 2 jours les 10 et 11 septembre 2021 pour les amateurs de crypto à travers l’Afrique francophone.

 

Inscrivez-vous ICI pour participer à l’événement virtuel

JOUR 1 : Vendredi 10 septembre 2021 à 17h00 GMT

JOUR 2 : Samedi 11 septembre à 11h00 GMT

 

La masterclass vise principalement à doter les utilisateurs de compétences en matière de trading et à leur faire comprendre comment cela fonctionne en termes simples.

« L’éducation en matière de blockchain est au cœur de nos préoccupations sur le marché mondial. En tant que fournisseur d’infrastructures blockchain, nous nous engageons à faire en sorte que de plus en plus de personnes aient accès aux bonnes informations sur le fonctionnement de l’écosystème. L’Afrique est un marché très important pour Binance car nous voyons la profonde opportunité que la blockchain apporte à l’ensemble du continent « , a déclaré Emmanuel Babalola, directeur chez Binance Africa.

À propos de Binance

Binance est le premier fournisseur d’infrastructures de blockchain et de crypto-monnaies au monde, avec une suite de produits financiers qui comprend la plus grande bourse d’actifs numériques en volume. Bénéficiant de la confiance de millions de personnes dans le monde, la plateforme Binance a pour objectif d’accroître la liberté de l’argent pour les utilisateurs et propose un portefeuille inégalé de produits et d’offres crypto, notamment : trading et finance, éducation, données et recherche, bien social, investissement et incubation, solutions de décentralisation et d’infrastructure, et plus encore.

 

Pour plus d’informations, visitez : https://www.binance.com

 

Utilisez l’application mobile de trading de crypto de Binance. Télécharger pour Android ou iOS

« UBA est bien lancée pour tirer parti de la relance économique en 2021 », déclare M. Elumelu

Les actionnaires sont optimistes quant aux perspectives de bénéfices futurs.

L’institution financière panafricaine, United Bank for Africa (UBA) Plc, promet à ses nombreux actionnaires et investisseurs des rendements encore plus élevés dans les mois à venir, grâce à la mise en place d’un modèle d’entreprise diversifié qui garantit des performances impressionnantes, même en période d’incertitude, sur l’ensemble de son réseau de représentation géographique.

Le président du conseil d’administration du Groupe UBA, Tony O. Elumelu, qui a formulé cette assurance aux actionnaires lors de la 59e Assemblée générale annuelle au siège de UBA, le jeudi 1er avril 2021, a expliqué que la banque a pris des décisions stratégiques qui renforceront son engagement à devenir le leader du secteur auquel elle aspire au Nigeria, en Afrique et dans le monde.

« Nous avons réalisé des investissements stratégiques dans nos plateformes bancaires et technologiques numériques afin de promouvoir davantage les services bancaires en libre-service. Nous nous sommes également employés à améliorer les capacités de notre personnel en mettant en place plusieurs programmes de développement des capacités en ligne », a ajouté M. Elumelu.

« Nos opérations africaines (hors Nigéria) ont contribué à environ 55 % de nos bénéfices de l’année, ce qui montre que nous sommes véritablement une banque panafricaine. »

Il a en outre expliqué que la banque reste déterminée à assurer sa viabilité dans un environnement commercial en constante évolution et à continuer à être un modèle pour les entreprises africaines en faisant découvrir au monde les atouts de l’Afrique. « Le travail que nous avons accompli pour renforcer nos structures de gouvernance à l’échelle du Groupe et pour améliorer nos modèles commerciaux et opérationnels en 2020 dote notre banque des moyens de tirer parti de la reprise et réaliser des gains de parts de marché significatifs sur l’ensemble de nos activités », a-t-il noté.

À la clôture de l’exercice 2020, les bénéfices de UBA ont remarquablement augmenté de 27,7 %, s’établissant à 113,8 milliards de N, contre 89,1 milliards de N enregistrés à la fin de l’exercice 2019, tandis que le bénéfice avant impôt a été impressionnant à hauteur de 131,9 milliards de N, contre 111,3 milliards de N à la fin de l’exercice 2019.

Les bénéfices bruts ont augmenté de 10,8 %, passant à 620,4 milliards de N, contre 559,8 milliards de N enregistrés au cours de la même période de 2019, tandis que le total des actifs a également progressé de 5,6 % pour atteindre le chiffre sans précédent de 7,7 milliards de N pour l’année sous revue.

Dans sa tradition habituelle visant à récompenser les actionnaires, la banque a proposé un dividende final de 0,35 kobo pour chaque action ordinaire de 50 kobo, portant le dividende total pour l’année à 0,52 kobo, la banque ayant versé un dividende intérimaire de 0,17 kobo plus tôt dans l’année.

Les actionnaires présents à l’assemblée ont salué la décision de la banque de réinvestir une partie de ses bénéfices dans la consolidation des activités, ajoutant que la période actuelle exige une gestion prudente et efficace des ressources financières pour toutes les entreprises, en particulier celles qui ont un taux d’actionnariat élevé comme UBA.

L’un des actionnaires, Sir Sunny Nwosu, qui a pris la parole lors de l’Assemblée, a félicité le conseil d’administration et la direction de la banque pour avoir poursuivi ses activités malgré la pandémie de Covid-19 et ses effets sur les grandes entreprises.

Tout en recommandant à l’établissement de redoubler d’efforts pour augmenter les dividendes au cours du prochain exercice financier, M. Nwosu a félicité UBA pour avoir veillé à ce que les filiales africaines soient performantes et aient contribuées à hauteur de 55 % aux activités du groupe.

Un autre actionnaire, Nonah Awoh, qui s’est félicite de l’amélioration enregistrée par les filiales de la banque hors du Nigéria, a encouragé la direction à donner aux autres filiales les ressources nécessaires pour les aider à réaliser des performances encore meilleures au cours de l’exercice actuel.

Ayant pris la parole pour répondre aux questions des actionnaires, le directeur général du Groupe UBA, Kennedy Uzoka, a indiqué que la décision de réduire les dividendes à verser cette année était une mesure conservatrice visant à renforcer davantage l’activité.

Il a déclaré : « En tant qu’institution qui opère depuis 72 ans sans discontinuer, UBA veut continuer à fonctionner de manière optimale. Dans cette optique, nous avons utilisé la plupart de nos fonds pour nous préparer à des défis imprévus. Compte tenu de la trajectoire et de la résilience de notre activité, nous pouvons vous assurer que nous répondrons et dépasserons vos attentes. »

Il a poursuivi en déclarant : « Nous avons recalibré notre structure commerciale, de Lagos jusqu’au South-South (une région du Nigeria). Nous l’avons renforcée avec le leadership nécessaire pour atteindre notre objectif. Nous sommes convaincus qu’avec les mesures que nous avons mises en place, notre activité au Nigeria pourra compétir de manière saine avec le reste de l’Afrique « , a déclaré M. Uzoka.

United Bank for Africa Plc est une institution financière panafricaine de premier plan, qui offre des services bancaires à plus de vingt millions de clients, à travers 1 000 agences et points de contact, dans 20 pays d’Afrique. Implantée à New York, Londres et Paris, UBA connecte les populations et les entreprises à travers l’Afrique grâce à des services bancaires aux particuliers, aux commerces et aux entreprises, ainsi que grâce aux paiements, aux transferts d’argent transfrontaliers innovants, au financement du commerce et aux services bancaires connexes.

De gauche à droite : le Directeur général du Groupe UBA, Kennedy Uzoka, et le PCA du Groupe UBA, Tony Elumelu, et le Secrétaire général du Groupe UBA, Bili Odum, lors de la 59e assemblée générale annuelle de United Bank for Africa (UBA) Plc
De gauche à droite : le Directeur général du Groupe UBA, Kennedy Uzoka et le PCA du Groupe UBA, Tony Elumelu
De gauche à droite : le Directeur général adjoint, Nigeria, Ayoku Liadi ; le Directeur général du Groupe UBA, Kennedy Uzoka ; le PCA du Groupe UBA, Tony Elumelu, et le Directeur général adjoint de UBA Afrique, Oliver Alawuba
De g à d : le Directeur général du Groupe UBA, Kennedy Uzoka et le PCA du Groupe UBA, Tony Elumelu, lors de la 59e assemblée générale annuelle de United Bank for Africa (UBA) Plc, qui s’est tenue à Lagos jeudi.
De g-d : le Directeur général du Groupe UBA, Kennedy Uzoka, et le PCA du Groupe UBA, Tony Elumelu, et le Secrétaire général du Groupe UBA, Bili Odum, lors de la 59e assemblée générale annuelle de United Bank for Africa (UBA).
De g-d : le Directeur général Adjoint, Nigeria, Ayoku Liadi ; les Directeurs Non Exécutifs – Mme Onari Duke et Hajiya Aisha Hassan Baba ; le Directeur Général du Groupe UBA, M. Kennedy Uzoka ; le PCA du Groupe UBA, M. Tony Elumelu ; les Directeurs Non Exécutifs – Erelu Angela Adebayo et Mme Angela Aneke, et le Directeur Général Adjoint, UBA Afrique, M. Oliver Alawuba ; lors de la 59ème Assemblée Générale Annuelle de United Bank for Africa (UBA).

Programme Young Leaders : la French-African Foundation lance l’appel à candidatures

La French-African Foundation a lancé, mercredi 17 février, son programme Young Leaders destiné à identifier et rassembler les jeunes talents africains et français engagés, porteurs de projets et souhaitant s’investir pour contribuer à un changement en Afrique et en France. L’appel à candidature sera clôt le 21 mars.

L’édition 2021 connaît de nouvelles modalités. La French-African Foundation a triplé l’effectif de la nouvelle promotion. Cette année, à l’issue du processus de sélection, 100 Young Leaders africains et français, âgés de 28 à 40 ans, seront sélectionnés en respectant la parité hommes-femmes. La composition de la nouvelle promotion sera dévoilée en mai.

Après les résultats, les lauréats seront répartis en deux groupes de 50 personnes, chacun participant à une session participative d’une durée de cinq jours, en France ou au Sénégal, sur le thème de la résilience. Les échanges de la session seront traduits, vers mars 2022, sous forme d’un rapport intégrant des recommandations qui sera par la suite destiné aux décideurs nationaux et internationaux, publics et privés.

La French-African Foundation a pour mission d’identifier les talents les plus prometteurs sur la scène économique, politique, universitaire, sociale et culturelle franco-africaine, et de soutenir le potentiel de leadership et de management de cette nouvelle génération, notamment à travers son programme phare Young Leaders.

L’Olympique de Marseille : une sortie de crise impossible ?

Après des débuts prometteurs, le coach portugais André Villas-Boas connaît une période un peu plus compliquée sur le banc de l’OM. En effet, le club français est sur une série de 3 défaits consécutive et trône à la 6ème place de la Ligue 1, très loin des places européennes. Si vous croyez encore dans les chances de l’OM à faire une bonne saison, ce site de foot vous permet de miser sur vos équipes favorites de Ligue 1 et d’Europe.

Sous les feux de projecteurs, André Villas-Boas affiche un visage serein et déterminé devant les caméras. Selon lui, l’OM a les ressources pour reprendre du poil de la bête et que ses hommes allaient travailler dur pour redresser la barre. Mais le coach doit composer avec une autre crise qui fait couler beaucoup d’encre dernièrement : l’animosité entre Thauvin et Payet, les deux cadors de l’équipe. Alors, est-ce que l’Olympique de Marseille peut espérer une issue favorable à la crise qu’il traverse ?

Une crise s’étageant sur plusieurs niveaux

Après son élimination en Ligue des Champions, l’Olympique de Marseille s’était concentré sur la Ligue 1 et avait enchaîné plusieurs victoires en championnat. En effet, André Villas-Boas avait pu remobiliser ses joueurs et ces derniers se montraient très convaincants sur le terrain. Néanmoins, l’OM n’a pas dégringolé dans le classement après une série de résultats négatifs. Peu efficace offensivement et très fébrile défensivement, l’OM a coulé devant des équipes de deuxième partie de tableau, à l’instar du Racing Club de Lens ou de Nîmes, entre autres.

En plus de la crise sportive, l’OM connaît des difficultés financières et ne s’est pas montré très actif lors du mercato hivernal. Malgré le recrutement d’Arkadiusz Milik en provenance de Naples, le club marseillais a besoin de se renforcer au milieu du terrain et en défense centrale, essentiellement. Avec des finances fragiles, la Ligue 1 qui n’a toujours pas diffuseur officiel, et la crise sanitaire que traverse la planète foot, l’Olympique de Marseille doit composer avec ce qu’il a et il n’a malheureusement pas grand-chose.

La brouille entre Thauvin et Payet

Comme si le club n’avait pas assez de difficultés, il semblerait que deux cadors de l’OM ont eu un échange très musclé le lendemain de la défaite face à Nîmes, au stade Vélodrome. Selon de nombreux médias sportifs, cette altercation a opposé Florian Thauvin à Dimitri Payet, les deux cadors emblématiques du club depuis de nombreuses années maintenant. Peu d’informations ont fuité sur les raisons de la dispute, mais selon certains médias, Florian Thauvin aurait moyennement apprécié que Dimitri Payet négocie la basse de son salaire sans avertir le vestiaire tandis que Dimitri Payet reprocherait l’individualisme de son coéquipier.

Quoi qu’il en soit, peu importe les raisons de cette altercation, André Villas-Boas doit savoir trouver les mots justes pour rabibocher les deux stars du club. En effet, étant très attaché à la notion de charge émotionnelle, le coach portugais sait à quel point une telle situation peut affecter l’humeur et par extension les performances de ses joueurs sur le terrain. En tout cas, l’OM n’est pas sorti de l’auberge et les prochaines semaines promettent d’être riches en événements pour le club olympien.

Le cabinet Bloomfield attribue à BGFI Holding Corporation la note A+ avec une perspective stable pour la seconde année consécutive

Le Groupe BGFIBank s’est inscrit depuis bientôt deux ans dans une démarche volontaire de notation de ses activités.

BGFI Holding Corporation s’était distinguée par l’obtention de la note A+ en 2019 ; elle confirme en 2020, la solidité de ses fondamentaux avec le renouvellement de sa notation, aux mêmes conditions, dans un contexte de crise économique mondiale.

Le Groupe s’est ainsi vu attribuer les notes suivantes :

– à long terme la note A+, avec une perspective stable (note d’investissement),
– à court terme la note A1-, avec une perspective stable (note d’investissement).
Une notation positive qui traduit la cohérence de la stratégie mise en œuvre, ainsi que la résilience
organisationnelle du Groupe BGFIBank dans son ensemble.
En effet, la notation attribuées par Bloomfield Investment Corporation s’appuie sur :
– le renforcement continu du cadre de gouvernance et du dispositif de gestion des risques ;
– la poursuite du processus de digitalisation du Groupe BGFIBank ;
– la position de leader conservée dans sa principale zone d’implantation ;
– la performance globale et une solidité financière qui se confirment, en dépit de la
survenance de la crise sanitaire liée au Coronavirus.

«Nous nous réjouissons de cette nouvelle reconnaissance qui consacre l’attachement du Groupe
BGFIBank aux principes de transparence financière et se traduit par l’exigence faite à l’ensemble de
nos entités bancaires, de se soumettre au même exercice. Ainsi, après BGFIBank Gabon, BGFIBank
Côte d’Ivoire et BGFIBank Europe, cette démarche est désormais engagée pour nos filiales du Congo

Brazzaville et du Cameroun» a déclaré le Prédisent Directeur Général du Groupe BGFIBank, Henri-
Claude OYIMA.

BGFI Capital structure une opération de 300 milliards FCFA pour l’apurement partiel de la dette intérieure commerciale du Congo

Le Président Directeur Général du Groupe BGFIBank a effectué au Congo Brazzaville le 19 et 20
septembre 2020, un séjour de travail au cours duquel il est allé faire état, aux plus hautes autorités du
pays, de l’avancée de la mission d’arrangeur et de conseil financier qui a été confiée à BGFI Capital,
dans le cadre du projet d’apurement partiel de la dette intérieure commerciale du Congo.
Lors de l’audience que le Président de la République, Denis SASSOU NGUESSO, a accordé au PDG
du Groupe BGFIBank, et à l’laquelle assistaient également le Premier Ministre et les Ministres des
Finances et du Budget, Monsieur OYIMA a présenté le Groupement d’Intérêt Économique dénommé «
Club de Brazzaville ».
Nous sommes heureux de vous annoncer que nous avons conclu à la fois avec tous les créanciers de
ce club et le ministère en charge des Finances et du Budget pour une enveloppe de trois cents
milliards de francs CFA. Ce financement devrait permettre de régler une partie de la dette intérieure
du Congo », a expliqué le PDG de BGFI Bank, avant d’ajouter qu’ « il ne s’agit pas de financements
accordés directement à l’Etat, mais des financements destinés à accompagner les entreprises et
permettre de relancer de manière durable et pérenne l’économie du pays.
Il faut noter que cette initiative qui a été conduite par BGFI Capital est une première dans ce pays.

BGFIBank Europe notée AA+ et A1 par Bloomfield Investment (Communiqué)

Notation financière : BGFIBank Europe notée AA+ et A1 par Bloomfield Investment Corporation

Au terme d’un audit indépendant de sa gouvernance et de sa solidité financière, BGFIBank Europe, hub du Groupe BGFIBank à l’international, a reçu de l’agence de notation Bloomfield Investment Corporation, la
note AA+.

Cette note à Long Terme correspond, sur l’échelle de notation en devises de l’agence, à la note BBB- (note d’investissement), avec une perspective stable.
L’agence de notation financière Bloomfield Investment Corporation a rendu son rapport à
BGFIBank Europe lors d’un meeting par visioconférence à laquelle participaient notamment Henri-Claude Oyima, Président-Directeur Général du Groupe BGFIBank et Francesco De Musso, Directeur Général de BGFIBank Europe.

Basée sur une évaluation rigoureuse portant sur la période de 2015 à 2019, les notes obtenues AA+ à long terme et A1 à court terme se sont avérées très satisfaisantes dans la définition et l’interprétation de l’échelle de la notation financière internationale.

BGFIBank Europe, seule filiale du groupe BGFIBank hors d’Afrique représente le hub à l’international pour le Groupe BGFIBank. Le Comité note que le modèle économique de BGFIBank Europe a progressivement évolué, depuis sa création jusqu’en 2019. En effet, d’un modèle marqué par la prédominance du Groupe (autant en termes de ressources que d’affaires apportées), avec une activité centrée sur l’escompte de traites avalisées, la banque a progressivement évolué vers un modèle basé sur le financement transactionnel, avec une baisse de la dépendance aux ressources du Groupe.

Cette transformation s’est notamment faite à la faveur des changements exogènes, dont la baisse des cours du pétrole et des matières premières (entraînant la réduction des ressources en provenance des filiales sœurs) et le durcissement de la réglementation des changes dans la zone CEMAC notamment. La mise en application de sa stratégie, adossée sur le développement de la signature ainsi que des financements, a permis de générer un PNB en hausse significative, passant de 5 millions d’euros en 2015 à 13 millions d’euros en 2019.

Après un résultat déficitaire en 2015, la banque enregistre un résultat net en amélioration progressive, qui s’établit à 3,3 millions d’euros en 2019.
Le Comité observe que ces performances sont entretenues par une vitalité de son action commerciale, une exploitation optimale de son réseau clientèle obtenu grâce aux synergies avec ses filiales sœurs en Afrique et la constitution d’un réseau de correspondants.

Ces actions commerciales sont par ailleurs soutenues par le renforcement du cadre de gestion des risques, à travers l’élaboration et l’actualisation régulière d’une politique d’appétence aux risques et d’une cartographie des risques, qui ont permis la réduction du coût du risque de 5,5 millions d’euros en 2015 à 0,87 millions d’euros en 2019, soit 1,1% du portefeuille clientèle.
Le Comité remarque par ailleurs que, pour lever la contrainte liée au recul des liquidités en provenance du Groupe, BGFIBank Europe a orienté ainsi sa stratégie de refinancement vers les ressources de la clientèle, grâce à l’extension de son agrément obtenu en 2015. La part de ressources du Groupe s’est ainsi affaissée de 61% des ressources collectées en 2015 à 30% en 2019.

Le soutien de la holding BGFI Holding Corporation, actionnaire unique, est acquis à BGFIBank Europe, en raison de son importance dans la stratégie du Groupe. La poursuite du développement des activités de la banque devrait se poursuivre sur le moyen et long terme, au regard du potentiel existant en termes de commerce international entre l’Afrique et l’Europe, et de l’expertise acquise par BGFIBank Europe.

Les résultats de la banque à fin juin 2020 indiquent une bonne résilience de l’établissement dans un contexte marqué par la crise sanitaire du Covid-19 et une récession globale des économies.

Journée internationale des droits des femmes: BGFIBank RDC s’engage au côté du Dr Denis Mukwege

BGFIBank RDC, filiale du Groupe BGFIBank, a eu l’honneur de recevoir le Docteur Denis Mukwege à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes.

Connu mondialement pour son engagement contre les mutilations génitales pratiquées sur les femmes en République démocratique du Congo ainsi que pour son travail remarquable dans les régions en guerre de l’Est du pays, le Docteur Denis Mukwege est un gynécologue et militant des droits de l’homme congolais. Surnommé “l’homme qui répare les femmes”, il a reçu de nombreuses distinctions dont le prix Sakharov en 2014 et le prix Nobel de la paix en 2018.

“Il est rare de pouvoir rencontrer l’un de ses héros et je suis donc infiniment reconnaissante de l’opportunité qui m’est offerte aujourd’hui. Docteur Mukwege est l’un de mes héros car il nous réconcilie avec des valeurs fondamentales d’humanité, de solidarité, de compassion, de persévérance et de courage. En octobre 2018, il a été couronné du prix Nobel de la paix et j’espère que ce prix sera prophétique et que la paix s’installera durablement sur tout le territoire congolais.” A déclaré Marlène Ngoyi, Directeur Générale de BGFIBank RDC.

BGFIBank RDC a tenu à remercier symboliquement le Docteur Mukwege pour le temps consacré à partager son expérience avec le personnel de la banque. La filiale lui a donc offert une statue en bois, œuvre d’une artiste congolaise qui peut vivre dignement de son art malgré un handicap.

La direction générale de BGFIBank RDC s’est engagée par ailleurs à apporter son assistance financière à l’hôpital de Panzi pour transformer immédiatement en actes les paroles prononcées à l’occasion de cette journée exceptionnelle.

Pour BGFIBank RDC, accueillir le Docteur Mukwege résonne avec la mission que la banque s’est fixée de promouvoir toujours plus activement son personnel féminin, en ligne avec les objectifs fixés au niveau du groupe.

En effet, avec plus de 2 000 collaborateurs dont 51% d’effectifs féminins en son sein, le Groupe a su démontrer que féminisation des équipes rime avec performance. Nombre de femmes occupent déjà les plus hautes fonctions de la banque, à l’image de Marlène Ngoyi, Directeur Général de BGFIBank RDC et bien d’autres au sein du Groupe.

La Fondation BGFIBank offre une salle multimédia à l’INP Félix Houphouët-Boigny, à Yamoussoukro

Le Directeur Général de BGFIBank Côte d’Ivoire, Monsieur Malick NDIAYE, a assisté ce jeudi 5 mars 2020 à l’inauguration de la salle multimédia de l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire.

Cette cérémonie a eu lieu en présence du Directeur Général de l’Institut, Monsieur Koffi N’GUESSAN accompagné de son Directeur Général Adjoint, Monsieur Moustapha SANGARE, du Secrétaire Général chargé de la coordination des services administratifs et techniques, Monsieur Sié PALE, de quelques invités triés sur le volet, ainsi que d’une centaine d’étudiants.

L’inauguration de la salle multimédia fait suite à la convention de mécénat conclue le 3 septembre 2019 entre la Fondation BGFIBank et l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny.

Composée entre autres de 20 ordinateurs avec une connexion internet haut débit, le tout financé par la Fondation BGFIBank à hauteur de 30 millions de francs CFA, cette donation est l’aboutissement d’un projet d’aménagement et d’équipement qui s’est étalé sur 3 mois.

Le Directeur Général, Monsieur Koffi N’GUESSAN a exprimé, au nom de toute la communauté INP-HB, sa gratitude à la Fondation et au Groupe BGFIBank pour ces équipements qui permettront sans nul doute d’améliorer les performances des enseignements et des activités de recherche.

Monsieur Malick NDIAYE, a quant à lui tenu à rappeler que « Ce don revêt une importance particulière dans l’atteinte des objectifs du Groupe en matière de responsabilité sociétale, car il vise en effet à offrir au personnel enseignant de l’INP-HB ainsi qu’aux étudiants, un cadre d’apprentissage de qualité digne du niveau d’excellence de l’Institut ».

A l’occasion de cette cérémonie qui a marqué une date historique dans le développement des activités de la Fondation BGFIBank en Côte d’Ivoire, Madame Manying GARANDEAU, Secrétaire Exécutif de la Fondation BGFIBank, prenant la parole au nom du Président de la Fondation, Monsieur Henri Claude OYIMA, a réitéré l’engagement du Groupe BGFIBank à soutenir les populations dans l’ensemble des pays où il est représenté.

 « Permettre l’accès à la connaissance est pour notre groupe, une action citoyenne qui vise à l’autonomie et au bien-être des individus » a-t-elle indiqué.

« Partant de ce principe, nous avons construit et équipé des centres de documentation et d’information, construit des écoles et augmenté la capacité d’accueil de certaines d’entre elles, formé des femmes à l’entreprenariat, notamment en Côte d’Ivoire pour ne citer que ces quelques exemples » s’est-elle félicitée.