Depuis lundi dernier, une délégation de la société DMC- Exxaro composée de neuf (09) membres et conduite par Janse Andries, chef de la sécurité séjourne dans la ville de Mayoko dans la perspective de relancer le plus vite possible les activités de cette société.
La compagnie minière Exxaro Resources qui avait déjà conclu la vente de son projet de minerai de fer de Mayoko dans le Niari (sud), acquis en 2012 au Congo pour environ 350 millions de dollars, au consortium congolais SAPRO SA, compte relancer ses activités sur les chapeaux de roues.
Le projet est très prometteur en raison de la production attendue (5 millions de tonnes par an) et de l’existence d’une ligne de chemin de fer, reliant le site au port de Pointe-Noire.
Depuis lundi dernier, une délégation de la société DMC- Exxaro composée de neuf (09) membres et conduite par Janse Andries, chef de la sécurité séjourne dans la ville de Mayoko dans la perspective de relancer le plus vite possible les activités de cette société.
A cette occasion, le secrétaire général de la sous-préfecture de Mayoko, Marcel Mbitsi a entretenu les jeunes de cette localité dans la salle de mariage, au sujet du quota de recrutement des autochtones par la société DMC-Exxaro basée en Afrique du Sud et possédant un portefeuille d’intérêts diversifiés sur le continent, mais également en Europe et aux Etats-Unis.
En 2015, le conseil d’administration d’Exxaro avait pris la décision de se séparer de Mayoko. Des repreneurs potentiels se sont portés acquéreurs tout au long de l’année écoulée et le choix du sud-africain s’est finalement portée sur Sapro, lequel possède deux filiales dans le secteur minier, Afrimines et Socin Mines qui exploitent des gisements de fer, de potasse et de manganèse.