Cet atelier de sensibilisation a connu la participation du gouvernement, de l’UNDH, CNDH, Haut-commissariat des droits de l’homme, société civile, magistrats, avocats…
La République du Congo a validé l’année dernière et ratifier en avril la convention de la lutte contre la torture. La capitale congolaise a abrité un atelier de réflexion et de partage d’expérience sur le rôle et contribution d’un mécanisme national de prévention de la torture (MNP) dans la mise en œuvre du protocole facultatif se rapportant à la convention contre la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Ont pris part à cette rencontre gouvernement, de l’UNDH, CNDH, Haut-commissariat des droits de l’homme, société civile, magistrats, avocats et des associations. Les participants ont été édifiés de comment ce protocole de lutte contre la torture fonctionne dans d’autres pays.
Plusieurs abus ont été évoqués pendant l’atelier notamment la manière dont les gens sont pris dans leurs maisons et amenés jusqu’en prison, des gardes à vue arbitraires, de la façon dont les individus passent la nuit en garde à vue et du mauvais traitement qui leur est appliqué.