La communauté congolaise de France est en deuil. Un de ses ressortissants s’est donné la mort au petit matin de jeudi, après une dispute avec son épouse qui lui rendait la vie difficile, confortée par les lois sur la protection des femmes.
« Voir Paris et divorcer », cela est devenue la devise de nombreuses femmes congolaises, qui profitant de l’opportunité qu’elles ont d’arriver sur le bord de Seine par le biais du mariage, cachent leurs desseins sordides vis-à-vis du « naïf » époux qui pensant épouser une femme pétrie des qualités du terroir auquel il demeure attaché, s’en va chercher femme au pays.
La désillusion est grande, quand une fois arrivée en France et régularisée sans qu’il ne lui en coûte le moindre effort, l’épouse ‘’modèle’’ se révèle être une véritable mégère, baignant dans l’imposture, arguant « étangama que na ko ya poto » (il était écrit que je viendrai en France), à l’époux qui lui rappelle d’où elle vient, et les sacrifices endurés pour la faire venir. Parfois les églises dites de réveil auxquelles elles adhèrent contribuent à envenimer la situation, présentant l’homme comme animé par de mauvais esprits.
Profitant des lois et des avantages sociaux qu’offre la France notamment aux mères seules elle fait subir à l’homme la pire des misères, afin de parvenir au divorce, aux dépends de celui-ci.
Pour Jacques Mahoukou demeurant à Fontenay-sous-Bois, les disputes récurrentes et les interventions de la police sur appel de son épouse ont fini par atteindre sa sensibilité au point qu’après une énième dispute qui a tiré en longueur et incommodé les voisins toute la nuit, excédé, celui-ci s’est jeté du 4ème étage se tuant sur le coup, jeudi 24 janvier à 3 heures.